100 000 Entrepreneurs
À l’âge où les premières interrogations professionnelles apparaissent, il s’agit de semer dans la tête des jeunes générations l’idée qu’entreprendre peut être une source d’opportunités et d’épanouissement. L’association 100 000 Entrepreneurs veut transmettre la culture d’entreprendre aux jeunes en organisant des témoignages bénévoles d’entrepreneurs dans les établissements scolaires, de la 3ème à l’enseignement supérieur. Écouter un entrepreneur raconter son aventure donne aux jeunes (13 à 25 ans) des perspectives professionnelles, éveille en eux l’envie de s’exprimer par le travail et de « prendre leur vie en main ». L’intervention montre qu’il est possible de choisir sa vie professionnelle, et qu’elle peut être synonyme d’opportunité et d’épanouissement. Lors de l’intervention, les entrepreneurs transmettent la signification de l’acte d’entreprendre. Les élèves découvrent le fonctionnement concret du monde professionnel, les différents secteurs d’activité, ainsi que les mécanismes et les fonctions de l’entreprise. À l’issue de cet échange, les jeunes appréhendent mieux l’utilité concrète des matières enseignées et les différents axes d’orientation scolaire.
http://www.100000entrepreneurs.com
La fabrication de La Vache qui rit en images
La Vache qui rit, le fromage fondu le plus connu au monde et le plus consommé, fête ses 90 ans en 2011. Visite de l’usine de Lons-le-Saunier, dans le Jura, son lieu historique de production.
http://www.journaldunet.com/economie/agroalimentaire/fabrication-vache-qui-rit/
Passeport éco-produit
À l’échelle de la planète, la consommation globale des ressources et l’émission de polluants augmentent. Cette tendance est liée au développement de pays fortement peuplés, à la croissance de la population en général et à l’évolution de nos modes de vie (suremballage, produits à durée de vie courte…). La courbe ascendante de la demande en ressources ne semble pas prête de s’inverser, malgré la productivité matérielle. Cette tendance pose problème pour les ressources non renouvelables, et plus particulièrement pour les ressources énergétiques fossiles. Pour les ressources minérales, si le recyclage permet de ralentir le rythme d’épuisement, il ne permet pas de le stopper. Alors, comment agir face à une consommation galopante et une pénurie des ressources ? Diminuer notre consommation de ressources. Cela peut signifier pour l’industriel d’augmenter sa productivité et pour le consommateur réduire sa consommation ou aller vers des produits plus durables, moins jetables. Une seconde piste tient au développement de la dématérialisation, conduisant à une économie de la fonctionnalité qui consiste à passer de la notion de biens à celle de services.
Enfin cela peut consister à s’orienter vers des matériaux moins rares ou plus disponibles, plus faciles à recycler, intégrant du recyclé, ou vers des matières d’origine renouvelable.
http://www2.ademe.fr/servlet/getBin?name=B3FA128BB96ACDCCD6352E57A494F34A
Choisir son statut juridique en fonction de ses
objectifs
De « auto entrepreneur » à « société anonyme », les statuts juridiques offerts aux créateurs d’entreprises se présentent maintenant comme une jungle inextricable. La différence entre auto-entrepreneur et entreprise individuelle relevant du régime micro-fiscal, la frontière entre entreprise individuelle avec insaisissabilité de la résidence principale et entreprise individuelle à responsabilité limitée et les motifs du choix entre gérant minoritaire de SARL et patron de SAS, … ne paraissent pas évidents à la plupart des créateurs d’entreprises.
http://portail-des-pme.fr/droit-des-societes/2244-choisir-son-statut-juridique-en-fonction
Téléphonie mobile : Bouygues Télécom revoit son
offre B and You
Les concurrents de Free n’en peuvent plus d’attendre pour savoir à quelle sauce ils seront mangés. Alors que plus rien ne filtre sur les futures offres mobiles de la filiale du groupe Iliad, Bouygues Telecom revoit sa stratégie, un mois seulement après avoir lancé son offre B and You.
http://votreargent.lexpress.fr/consommation/telephonie-mobile-bouygues-telecom-revoit
Red Hippopotamus, le pari du fast food
haut-de-gamme
Red. C’est le nom qu’a choisi le groupe Flo pour sa nouvelle enseigne de restauration rapide, dont le premier restaurant a ouvert fin décembre 2010 au Cnit de La Défense côté de Paris. « Un nom aussi court que la durée du repas et qui évoque le rouge, la couleur de la viande de bœuf », explique Patrik Le Mazou, le directeur marketing de la division restauration à thème du groupe Flo. Un nom qui veut aussi dire « Restauration Express D’Hippo », diminutif de son grand frère dont il reprend le savoir-faire en matière de viande. « Red est à Hippopotamus ce que Daily Monop est à Monoprix », explicite Patrik Le Mazou. « Un concentré d’Hippo ». De fait, la carte comporte 10 pièces de viande au choix, contre 35 chez Hippopotamus. On y retrouve les best-sellers : bavette d’aloyau, entrecôte, tartare, cœur de rumstek… Avec des petites exclusivités, comme ce burger ou le steak haché a été remplacé par du vrai filet de bœuf. La carte est complétée par seulement 5 entrées et 5 desserts au choix. Mini carte mais aussi mini restaurant : là où Hippopotamus offre 200 places assises et sert 500 couverts par jour, Red se limitera à 60 ou 80 places assises. À l’inverse des fast-foods classiques, Red entend pourtant offrir un véritable service de restauration sur place.
http://www.journaldunet.com/economie/services/red-hippopotamus.shtml
La marque et la dénomination sociale : signes de
reconnaissance de l’entreprise
La décision de faire naitre un acteur supplémentaire dans un secteur économique choisi est le résultat d’une analyse de marché et de la perspective d’apporter à celui-ci un produit ou un service n’existant pas ou décliné sous une autre forme, ou présentant un prix plus attractif, ou d’être à l’origine d’une nouveauté quasi absolue.
http://portail-des-pme.fr/droit-des-societes/2247-la-marque-et-la-denomination-sociale
La Coupe du monde, poule aux œufs d’or du rugby
Depuis sa deuxième édition en 1991 en Grande-Bretagne et en France, la Coupe du monde constitue une source de revenus essentielle pour l’IRB, qui perçoit les droits de télévision et de marketing, et impose un « droit d’entrée » au pays organisateur. La dernière édition, en 2007 en France, a ainsi laissé un bénéfice de 155 millions d’euros dans les caisses de l’IRB, en hausse de 100 % par rapport à 2003, alors que le Comité organisateur français a soldé ses comptes avec un excédent de plus de 30 millions d’euros pour un budget de 250 millions d’euros. En 2010, RWC, dont le siège se trouve à Dublin, a annoncé avoir conclu des contrats d’un montant global de 44 millions de livres (seulement 5,5 millions en 2009, pic de crise) pour l’édition 2011, mais aussi de 117,5 millions de livres pour les Mondiaux 2015 en Angleterre et 2019 au Japon, d’ores et déjà attribués pour assurer de meilleures rentrées commerciales.
http://www.journaldunet.com/economie/magazine/argent-rugby.shtml
Le rachat de Telemarket alimente les projets de
Système U
Créé en 1983, Telemarket fut l’un des pionniers de la vente alimentaire à distance. Après avoir connu le téléphone et le minitel, l’entreprise a négocié le virage internet sans que jamais pourtant les résultats financiers soient au niveau des espérances. Si la satisfaction des clients a toujours été au rendez-vous, le chiffre d’affaires n’a jamais véritablement permis à l’entreprise de prendre son envol (49 millions d’euros l’an passé). C’est sans doute la raison pour laquelle le Groupe Galerie Lafayette avait finalement revendu Telemarket à ses dirigeants en 2005. Mais cette fois la donne pourrait bien changer avec l’arrivée de Système U dans l’équation. Emmanuel Casabianca, directeur général de Telemarket évoque le déroulement de la transaction et ses espoirs pour l’avenir.
http://www.ecommercemag.fr/Article-A-La-Une/Le-rachat-de-Telemarket-alimente
Du clic au carton : les coulisses d’Amazon en images
Le géant mondial de l’e-commerce Amazon s’est imposé avec un concept efficace depuis sa création en 1994 : une boutique en ligne de produits culturels, élargie depuis à de nombreux domaines, une livraison rapide, et un algorithme de recommandation alors innovant. Mais aujourd’hui, l’entreprise, qui se veut toujours plus société hi-tech que distributeur, est un acteur très présent dans le monde physique. Un aspect que l’on oublie parfois, et que rappelle cette visite du site de logistique de Saran, qui montre les étapes de l’acheminement d’une commande, du clic au carton.
http://www.clubic.com/diaporama/photo-du-clic-au-carton-les-coulisses-d-amazon