« La profusion de documentation diffusée depuis la création du « conseil d’évaluation de l’école » (Loi « confiance » de juillet 2019) pourrait laisser penser que les personnels sont impliqués de fait dans le processus local qui devrait conduire, sur 5 ans, tous les établissements à être évalués, via une « autoévaluation » suivie d’une « évaluation externe » . En réalité, il n’en est rien : aucune disposition réglementaire ou législative ne permet d’imposer la participation des collègues à un processus qui a certes, pour objectif final de contraindre l’exercice de leurs missions en alimentant le projet d’établissement et le contrat d’objectifs, mais dont les modalités, le calendrier et les étapes n’ont pas de fondement juridique … », écrit le Snes Fsu de Lille. « La mise en place éventuelle d’un « comité de pilotage » et de commissions ou GT thématiques, suggérée pour engager les équipes dans la démarches n’est pas obligatoire, et la participation des collègues ne relèvent que du volontariat. »
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