LE FAIT DU JOUR
Mobilisation réussie
ÉDITORIAL
Après la manif…
LE SYSTEME
Le ministère organise la fin des Rased l SMA : La bataille de Paris l Rennes remplace les COpsy par des enseignants l Darcos : Les sciences dans le tronc commun du lycée l Le plan Besson devrait proposer l’intégration des TIC dans les examens l ZEP : Le rapport Longuet l L’UMP lance la traque aux enseignants non affectés l Zimbabwe : Le système éducatif en danger selon l’Unicef.
L’ÉLÈVE
Dès 3 ans, les filles devancent les garçons l En cas de pandémie.
LA CLASSE
Les directions et la crise de l’Ecole l Taoufik doit revenir.
LA RECHERCHE
Les 16-18 ans en Europe.
CITOYENNETE
La compagne d’un sans-papiers s’immole.
LES DISCIPLINES
Les Clionautes demandent des TICE en histoire-géographie l Des sociologues appellent au maintien des SES l Les documentalistes demandent un module l Le Snep dénonce des programmes rétrogrades en L.P..
LES TICE
Faille dans Flash Player.
Le fait du jour
Mobilisation réussie
32 000 selon la police, 80 000 selon les organisateurs, la manifestation du 19 octobre a été un succès. On notait particulièrement de nombreux enseignants des Rased, premières victimes des suppressions de postes, une très bonne représentation des enseignants du premier degré et de nombreux parents.
Le micro trottoir réalisé par le Café montre que les manifestants venaient pour un autre budget, mais aussi en réaction au « mépris » du ministre envers eux. Les propos tenus sur la maternelle ont contribué à la mobilisation. Les parents se disent inquiets de voir disparaître la maternelle ou de voir les conditions d’enseignement se dégrader.
A l’issue de la manifestation, les syndicats de la Fsu ont demandé au ministre de prendre en compte cette mobilisation. « Le SNUipp demande solennellement au ministre de l’Education Nationale de prendre la mesure de ce mécontentement et du trouble que provoque sa politique dans les écoles et d’ouvrir au plus vite de véritables négociations… C’est le métier et l’engagement quotidien des enseignants au service des élèves qui sont décriés et dévalorisés » estime le syndicat.
Le Snuipp reproche au ministre son action contre les rased, la proposition de loi sur les Epep, les attaques contre la maternelle. « Les enseignants des écoles ne se sont jamais sentis autant méprisés par leur ministre. Ils n’ont jamais connu autant de simulacres de discussion. Ce sont les fondements de l’école publique qui sont remis en cause. La limite de l’acceptable est largement dépassée ».
Le Snuipp menace s’il n’est pas entendu. « Dans le cas contraire, le SNUipp proposera à ses partenaires de donner une ampleur inédite aux suites de l’action, notamment en appelant à une journée de grève unitaire dans l’Education Nationale en novembre ». Les organisateurs ont décidé de se revoir mercredi 22 pour décider des suites à donner au mouvement.
Un sondage IFOP réalisé pour Ouest France avant la manifestation la créditait d’un large soutien : 69% des Français la trouverait « justifiée ».
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Après la manif…
La manifestation du 19 octobre a-t-elle fait bouger le rapport de forces ? Quand elles sont réussies, ce qui incontestablement, est le cas de celle du 19 octobre, les manifestations ont déjà plein d’effets heureux sur leurs participants. Elles permettent de se retrouver, de renouer des liens, de prendre conscience de son nombre. Ce sont de petites équipes qui reviennent dans les établissements plus soudées, renforcées dans leurs revendications et dans le sentiment qu’il est possible de faire bouger les choses. Localement les relations dans les établissements en sont affectées. A titre d’exemple, le dévouement constaté des amis de Samy Benmeziane, très présents dans le cortège, devrait porter ses fruits en région nantaise…
La manifestation a su mobiliser de nombreux parents affectés par les suppressions de postes. D’autant que si le discours sur les économies et le déficit public pouvait être audible il y a quelques jours, les milliards mobilisés en quelques heures pour sauver le système bancaire,la nécessité de refaire le budget vont rendre incompréhensibles les restrictions budgétaires. Il va falloir beaucoup de pédagogie à X. Darcos pour expliquer que rien n’a changé…
Sur d’autres points la manifestation n’a pas rendu les choses plus claires. C’est le cas par exemple de la réforme du lycée. Si l’on a bien vu quelques cortèges représentant telle ou telle discipline, ils ne sauraient se revendiquer de l’ensemble de la manifestation. Les divergences syndicales sur ce terrain n’ont pas miraculeusement disparu sous le trottoir parisien.
Dans quelques jours les organisateurs vont se revoir pour décider des suites à donner au mouvement. Ils seront certainement en situation de faire payer un certain prix à X. Darcos s’il maintient ses projets.
Mais ils gagneraient à utiliser aussi ce temps pour concevoir une vision d’avenir pour l’école française qui soit en accord avec les valeurs démocratiques. C’est cela qui peut faire d’une journée ensoleillée un printemps.
Le ministère organise la fin des Rased
Selon le Snuipp, « les inspecteurs d’académie ont d’ores et déjà reçu la consigne de préparer la fermeture de 3000 postes E et G entraînant la suppression d’un tiers des RASED dès cette année ». Ce chiffre de 3 000 est celui qui est inscrit au projet de budget 2009.
« Les inspecteurs d’académie », note encore le Snuipp, « sont chargés de repérer dans des écoles des postes d »enseignants partant en retraite ; certains de ces postes seraient fléchés et les maîtres E ou G seront nommés sur ces postes classe dès la rentrée 2009 ». Le syndicat s’indigne que « des mesures soient préparées dans les départements alors que le budget n’est pas encore voté, qu’aucune instance consultative au plan national comme départemental n’a été saisie et qu’aucune consultation des personnels n’a été effectuée ».
Par ailleurs il relève que la « sédentarisation » des Rased aboutit en fait à la suppression d’un type d’aide spécialisée. « Alors qu’il prétend faire de la difficulté scolaire sa priorité, le ministre supprime en réalité un dispositif qui concerne plusieurs centaines de milliers d’élèves ».
Les maîtres spécialisés étaient très présents dans la manifestation du 19 octobre. Une pétition intersyndicale a déjà recueilli plus de 35 000 signatures en faveur du maintien de ces 3 000 postes.
SMA : La bataille de Paris
« La mise en oeuvre du SMA révèle une faille récurrente qui, dans les faits, empêche les collectivités d’assumer la responsabilité qui leur a été transférée : on ne peut pas organiser un service d’accueil pour les enfants dans potentiellement 660 écoles quand on ne connaît précisément ni le nombre d’enseignants effectivement en grève, ni le nombre d’animateurs réellement mobilisables en cas de grève au sein des personnels de la Ville, ni enfin le nombre d’enfants à accueillir ». La Ville de Paris fait le bilan de ses difficultés dans l’application du service minimum d’accueil dans les écoles primaires (SMA). On se rappelle que le 7 octobre la Ville avait obtenu des chiffres surévalués de grévistes du rectorat. Le 16 octobre elle avait été incapable de trouver les animateurs en nombre suffisant en 48 heures.
« Il est maintenant établi que le SMA ne peut pas être mis en oeuvre dans des conditions maîtrisées et dans un cadre assurant strictement la sécurité des enfants, ce qui constitue notre responsabilité première » estime la municipalité. « La Ville de Paris refuse de faire courir le moindre risque aux élèves de la capitale et n’appliquera donc pas le SMA, lors des prochains mouvements de grève dans l’éducation nationale à Paris ».
Xavier Darcos a réagi à cette annonce et invité le maire « à ne pas céder à l’aveuglement idéologique et à retrouver le sens républicain dont il avait su faire preuve jusqu’à ce jour ».
Rennes remplace les COpsy par des enseignants
Selon le Sgen, le rectorat de Rennes a entrepris de nommer sur des postes de conseillers d’orientation psychologues (COpsy) non occupés des professeurs remplaçants disponibles. Le syndicat rappelle que la fonction de COpsy « requiert une formation préalable en psychologie » que les enseignants n’ont pas et déplore « une grave atteinte à la qualité du service public ».
Darcos : Les sciences dans le tronc commun du lycée
Sur TF1, Xavier Darcos a confirmé la maintien des sciences dans les enseignements du tronc commun en seconde. Celui-ci comprendrait « évidemment du Français, des Mathématiques, de l’Histoire et Géographie, deux langues vivantes, des Sciences expérimentales et de l’éducation physique ».
Cette déclaration confirme les dernières informations sur la réforme du lycée mais n’eclairent ni le volume horaire ni le suivi en cycle terminal.
Sur le Café la réforme du lycée
Le plan Besson devrait proposer l’intégration des TIC dans les examens
Chargé par le président de réfléchir à un Plan de développement de l’économie numérique, Eric Besson devait faire connaître ses décisions le 13 octobre. La tempête financière l’en a empêché et c’est le 21 octobre qu’il doit présenter son plan. Le Journal du Dimanche en publie une version provisoire datée du 7 octobre.
Selon elle, le Plan viserait, entre autre, à « accroître les usages du numérique dans l’enseignement scolaire ». Il proposerait 4 leviers. D’abord l’amélioration de l’équipement dans les écoles primaires grâce à un programme de recyclage d’ordinateurs (« Ordi 2.0 »), une proposition de l’association Renaissance numérique. S’y ajouterait, selon Le Figaro, l’achat de petits PC pour l’éducation, à l’image du Classmate que le Portugal vient de choisir pour équiper toutes ses écoles.
E. Besson recommanderait également d’inclure des épreuves utilisant les TIC dans les examens de façon à contraindre les enseignants à les utiliser en classe. Cette proposition rejoint des vœux déjà formulés par l’Inspection de maths. Le troisième levier concerne le développement des ENT. Enfin, le plan demande la création d’une « plateforme d’identification et de présentation des ressources, des usages et des bonnes pratiques ».
On relève encore, concernant l’éducation, deux idées plus originales et intéressantes. E. Besson souhaite obtenir un financement des serious games. Il pense notamment à des applications dans le domaine scolaire. Enfin il estime nécessaire de développer la recherche sur les tice. Avec peut-être l’ambition de pouvoir suggérer un plan plus efficace pour l’Ecole…
Renaissance numérique dans le Café
Renaissance numérique dans le Café
La mission e-educ dans le Café
Dans le Café, le dossier sur le jeu sérieux
ZEP : Le rapport Longuet
Gérard Longuet a remis au Sénat un rapport sur « l’éducation prioritaire dans les académies de Créteil et Versailles ». Le sénateur a visité deux établissements et rencontré les recteurs. Il en déduit que « l’enchevêtrement des compétences entre le préfet et le recteur (dans le pilotage de l’éducation prioritaire) peut conduire à s’interroger sur l’efficience des actions menées ».
L’UMP lance la traque aux enseignants non affectés
Le député UMP Eric Ciotti a déposé une proposition de résolution demandant la création d’une commission d’enquête relative aux enseignants non affectés. Selon lui « aucune étude ne semble pouvoir identifier et chiffrer clairement le nombre d’enseignants concernés » ce qui justifie cette enquête.
Zimbabwe : Le système éducatif en danger selon l’Unicef
« Le système éducatif actuel est en péril du fait du bas niveau des salaires, de l’absentéisme des enseignants et des écoliers et des problèmes liés aux transports et à l’alimentation » a déclaré un porte –parole de l’ONU. Alors que dans l’hémisphère austral les examens approchent, un tiers des écoliers seulement serait en classe et 40% des enseignants.
La crise politique dans le pays, les crimes ethniques ont enfoncé le Zimbabwe dans la ruine et l’hyperinflation (213 millions de $ en un an !).
L’hyper inflation au Zimababwe
Dès 3 ans, les filles devancent les garçons
Selon une étude menée par le Dr Kirstine Hansen,Institut d’education de Londres, dans le cadre d’une étude de cohorte (« Millenium Cohort Study ») établit que dès l’âge de 3 ans, les filles apprennent mieux que les garçons.
A l’âge de 5 ans elles auraient deux mois d’avance sur les garçons, par exemple en vocabulaire. Si les filles réussissent mieux qu’eux à l’école c’est peut-être parce qu’elles sont déjà meilleures avant de commencer l’école.
L’enquête montre aussi que les enfants dont les parents travaillent obtiennent de meilleurs résultats.
En cas de pandémie
Que se passe-t-il si une épidémie de grippe aviaire se répand en France ? « Le Guide de la vie quotidienne en cas de pandémie » a tout prévu. Bien sur, les écoles ferment. Mais « pendant la fermeture des établissements scolaires et d’enseignement supérieur, la continuité pédagogique sera maintenue : au niveau national, grâce à l’enseignement à distance avec le Centre national de documentation pédagogique (CNDP) et le Centre national d’enseignement à distance (CNED) et grâce à des programmes pédagogiques diffusés sur France 5 et Radio France; au niveau local, un ou deux enseignants assureront des permanences dans chaque établissement. Ils serviront d’intermédiaire, par Internet ou par téléphone, entre les élèves et leurs enseignants, pour le suivi et l’aide aux devoirs et exercices ».
La classe
Les directions et la crise de l’Ecole
La crise de l’Ecole va-t-elle être résolue par les chefs d’établissement ? C’est ce qu’on entend rue de Grenelle, où on envisage l’installation de véritables chefs d’établissement dans le primaire, à l’OCDE, où on vient de publier une importante étude sur la redéfinition de leur rôle. Pourtant ces projets ont du mal à convaincre…
Pour en savoir plus, le Café a interrogé D. Nusche, co-auteur de l’étude de l’OCDE, Yves Dutercq, chercheur au Centre de recherche en éducation de Nantes et Gilbert Longhi, un proviseur particulièrement actif et innovant.
Taoufik doit revenir
Elève au lycée Louis Girard de Malakoff (92) Taoufik a obtenu son BEP mécanique en 2006 et une partie de ses épreuves du bac en 2008. Car en avril, il a été arrêté par la police puis expulsé vers le Maroc. Des enseignants, des camarades se mobilisent, à l’image d’Elise Brultey, son professeur de Lettres Histoire. Le collectif organise le 22 octobre une seconde manifestation devant le ministère de l’immigration.
La recherche
Les 16-18 ans en Europe
Sur la thématique obligée de l’orientation, dans le cadre de la présidence française de l’union européenne, le CNDP avait choisi d’organiser les 16 et 17 octobre un colloque européen focalisé sur les 16-18 ans et notamment sur ceux qui quittent le système scolaire sans qualification. Comment l’action publique, en France et en Europe, traite-t-elle cette question cruciale, alors que la réduction de ces sorties est inscrite dans les objectifs de Lisbonne à l’horizon 2010 ?
Durant ces deux journées, les tables rondes se sont succédées donnant la parole à de nombreux spécialistes. Nous n’en retiendrons qu’un seul ici. Pour donner une image des performances du système éducatif français, le sociologue Roger Establet commente quelques-unes des statistiques d’insertion. En France, le poids de l’élite scolaire (maîtrisant des compétences élevées) est très moyen par rapport aux autres pays européens, et le poids des élèves très faibles, qui ne maîtrisent pas les compétences de base, a tendance à augmenter. Selon Roger Establet, l’équité et l’efficacité sont les deux grandeurs qui doivent diriger toute réflexion sur l’école et l’exemple finlandais montre que c’est possible. Il estime que « le redoublement est une catastrophe » et que la volonté de sélection précoce augmente les taux d’échec : « l’élitisme joue contre l’élite ». Mais pour Roger Establet, il faut vouloir le collège unique et il n’est pas du tout sûr que les Français le veuillent, ils ont tendance à préférer « que leurs enfants soient dans la bonne école ».
Lire le reportage de F. Solliec
Citoyenneté
La compagne d’un sans-papiers s’immole
Josiane Nardi est décédée à l’hôpital du Mans. Elle s’est immolée par le feu samedi 18 octobre devant la maison d’arrêt du Mans où son compagnon, un Arménien, attendait son expulsion.
Les disciplines
Les Clionautes demandent des TICE en histoire-géographie
L’association des Clionautes, qui regroupe des enseignants d’histoire-géographie utilisateurs des Tice, réagit à la réforme du lycée en demandant » la présence, pour tous les élèves en cycle terminal d’un enseignement d’histoire-géographie à finalité de formation du citoyen ».
Pour les Clionautes » la réforme du lycée doit s’accompagner des moyens matériels et humains à même de favoriser l’utilisation des TICE dans l’enseignement en général et en histoire-géographie en particulier ».
Des sociologues appellent au maintien des SES
« Au-delà du cas des S.E.S, la réforme qui se prépare, indépendamment de ses effets prévisibles d’accentuation des inégalités sociales, annonce la destruction des conditions nécessaires à une formation intellectuelle rigoureuse. Mais la tentative d’éradication des S.E.S, pour partie manifestement revancharde, est emblématique de cette attaque contre les enseignements indispensables à l’éducation de citoyens autonomes, et qui sont accusés (quel aveu !) de former des esprits critiques ». S. Beaud, KL. Boltanski, P. Combemale, M. Lallement etc. signent une tribune sur Mediapart pour attirer l’attention sur le destin des SES.
Sur le Café, le dossier réforme du lycée
Les documentalistes demandent un module
« Depuis de nombreuses années, la FADBEN revendique la reconnaissance et la formalisation des contenus d’enseignement qui relèvent de leur domaine de spécialité, à savoir l’information-documentation » écrit l’association dans un « manifeste ».
« Aujourd’hui, la FADBEN propose de créer un enseignement à la culture de l’information sous la forme d’un module cohérent, inscrit dans les cursus de tous les élèves de la 6ème à la Terminale, basé sur une progression et une évaluation définies des apprentissages ». L’association entre ainsi dans le débat sur la réforme du lycée.
Le Snep dénonce des programmes rétrogrades en L.P.
« A partir de sous-entendus problématiques sur les caractéristiques des élèves entrant dans la voie pro (tous en échec ? tous violents ?, etc.), le texte reprend une conception largement remise en cause par tous les chercheurs qui ont travaillé sur les élèves en difficulté scolaire ou sur les élèves des quartiers difficiles (voir les travaux du groupe Escol, voir les analyses faites sur ce qui marche en éducation prioritaire) : il faudrait donner la priorité, en seconde dans le texte, aux objectifs méthodologiques ». Dans une lettre ouverte sur le sprogrammes du professionnel, le Snep dénonce une vision rétrograde des élèves et de la pédagogie à utiliser.
les tice
Faille dans Flash Player
Selon Secuser, plusieurs défauts de sécurité affectent Flash PLayer. Un correctif est disponible et doit être téléchargé.
le Cafe
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