La perception du prix juste par les Français
En l’espace de moins d’une dizaine d’années, les consommateurs ont subi, dans leur rapport aux prix, les effets du passage à l’euro, de la flambée de l’immobilier, de l’envolée du prix de l’énergie, de la brusque hausse des prix des produits alimentaires, puis de la décrue d’un certain nombre de prix qui s’étaient envolés. Au-delà des tensions inflationnistes, la dynamique des prix a été également marquée par la complexification des politiques tarifaires des entreprises, notamment grâce aux apports des technologies de l’information et de la communication. Du « yield management » aux divers avantages associés aux programmes de fidélisation, elles sont à l’origine d’un accroissement de la variabilité des prix, pour une même catégorie de produits, en fonction du moment, du lieu, des variétés, et des profils des consommateurs.
Dans le commerce de détail – en partie en réaction à la loi Galland – les enseignes ont de plus en plus recours aux promotions pour entretenir leur image-prix. Le développement du commerce électronique a fait naître de nouveaux concepts de distribution affichant des prix souvent très compétitifs par rapport à ceux pratiqués dans les magasins : « cyberdiscounters », sites de ventes événementielles (ventes privées), plateformes d’échanges entre particuliers utilisées par des professionnels… La loi de modernisation de l’économie (LME), votée durant l’été 2008, apporte la sécurité juridique aux promotions de déstockage et autorise les enseignes à pratiquer des soldes durant deux semaines en dehors des périodes officielles… Au total, la proportion d’achats réalisés à « prix barrés » s’accroît, au point de poser la question du fondement du prix qui est barré… Ajoutons, la montée en puissance de la « gratuité », par la voie des contenus accessibles (légalement ou non) sur Internet, du boom de la presse gratuite et de la multiplication des forfaits illimités, et nous aboutissons à l’image d’un contexte extrêmement évolutif, susceptible d’avoir brouiller les représentations que les consommateurs se font de ce qu’est un prix et de ses fondements. Au total, ce qui est susceptible d’être remis en cause est l’idée selon laquelle chaque bien et service est caractérisé par une valeur immanente dont le prix – nécessairement unique – doit être le reflet fidèle.
http://www.credoc.fr/pdf/Rech/C254.pdf
Ce que font les marques de luxe sur l’iPhone
Horlogerie, joaillerie, mode, automobile… les marques de luxe se sont appropriées l’iPhone qu’elles considèrent comme un moyen de toucher une clientèle aisée. Les catégories aisées sont en effet sur-représentées parmi les possesseurs du smartphone d’Apple. Voici quelques exemples d’applications originales développées pour ces acteurs à travers le monde.
http://www.journaldunet.com/ebusiness/marques-sites/luxe-sur-iphone
Comment le lion de Peugeot a traversé les siècles
Peugeot a dévoilé sa nouvelle image de marque pour les 10 prochaines années. Depuis la création de la société familiale, en 1810, son logo a connu de nombreux relooking pour accompagner la transformation de la société. L’évolution en images.
http://www.lexpansion.com/diaporama/comment-le-lion-de-peugeot-a-traverse
Comment orchestrer les messages, les canaux et les
pays
Le marketing Internet n’est désormais plus un « média émergeant ». C’est un moyen de communication très prisé et très attractif, aussi bien pour les entreprises, les responsables marketing que pour les consommateurs. La diversité de ses usages et la nature fondamentalement multimédia d’Internet doivent cependant nécessiter de la part des professionnels un choix rigoureux quant à son utilisation pour promouvoir leur entreprise, leurs produits et leurs services.
Le marketing Internet partage les mêmes tâches, priorités et messages que les outils classiques de marketing. Ses spécificités sont sa capacité à toucher des publics très diversifiés, et la façon dont les messages sont diffusés. Internet offre la possibilité unique de suivre en temps réel les interactions avec les clients et les prospects.
La nature interactive d’Internet donne aux professionnels du marketing un accès sans précédent aux informations consommateurs et par conséquent la possibilité d’adapter leurs messages à chaque cible. Le vrai défi, comme pour le marketing en général, consiste à s’assurer de la totale cohérence des messages.
Le marketing en ligne et le marketing « traditionnel » doivent être intégrés l’un avec l’autre. Ils peuvent bénéficier de leurs potentiels mutuels, en s’organisant avec les mêmes objectifs et en donnant les mêmes priorités aux messages.
Le marketing multicanal fait référence aux moyens par lesquels les entreprises coordonnent et exploitent leurs actions en ligne, leurs e-mails, leurs documents, leurs flux RSS et leurs autres canaux de communication, pour répondre à leurs objectifs de marketing et de communication : image de marque, notoriété, interactions clients ou prospects, génération de contacts, etc. L’une des opportunités uniques qu’offre le marketing Internet est qu’il permet aux destinataires d’agir sur les informations et les messages qu’ils reçoivent.
Le marketing en ligne n’a pas la prétention d’être efficace à 100%. Si beaucoup de consommateurs reçoivent des e-mails présentant des offres spéciales ou des promotions de vendeurs, un très faible pourcentage se traduit par une réponse. Des enquêtes indépendantes ont démontré que de nombreux facteurs influent sur les réponses et les comportements des destinataires.
http://www.e-marketing.fr/Livres-Blancs/Formulaire.asp?IDLivreBlanc=62&iPageNum=1
L’ergonomie de 10 sites marchands pendant les
soldes
Comment se transforment les sites marchands pour mieux vendre pendant les soldes ? Véronique Renault, ergonome chez Benchmark Group (éditeur du JDN), en a analysé dix.
http://www.journaldunet.com/ebusiness/commerce/selection/l-ergonomie-de-10-sites
Profits en ligne par la personnalisation
La personnalisation des contenus est un composant essentiel de VOTRE succès. Vos clients la réclament – Vous êtes séduit – Vos concurrents la pratiquent sans doute depuis longtemps. De nombreuses études confirment que les contenus personnalisés ont un impact considérable sur les résultats des activités B2B et B2C (fidélisation des clients, conversions en ligne, chiffre d’affaires, etc.). Et sans le savoir, vous disposez déjà des données nécessaires ! Vous avez accumulé des données sur les clients, le trafic Web, les achats, les produits, les critères démographiques et les canaux. Ces données sont éclatées dans différents espaces de stockage, et leur volume et leur complexité ne cessent d’augmenter. Vous savez que l’exploitation de données agrégées vous permettrait de mieux comprendre vos clients et de leur proposer des contenus et des recommandations personnalisées. Mais vous pensez également que cet objectif est une « mission impossible » ?
Peut-être vous êtes-vous lancé dans la personnalisation il y a quelques années, avec des résultats décevants ? Force est de reconnaître que les nombreux inconvénients des « anciennes » applications de personnalisation (tâches manuelles et généralement ciblées, portée limitée, résultats décevants) entraînaient leur rapide abandon. Le paysage de la personnalisation s’est transformé : La nouvelle génération des technologies de personnalisation apporte aux présences Web une efficacité redoutable de puissance et de précision et une adéquation quasi parfaite entre les différents paramètres : offre pertinente – client demandeur – moment opportun du parcours – canal marketing le mieux adapté.
Dans les secteurs B2B/B2C, les techniques de personnalisation sont de plus en plus courantes. Elles permettent aux entreprises de répondre aux attentes de leurs clients en matière de qualité d’expérience et d’obtenir de meilleurs résultats dans un contexte de crise et de budgets incompressibles. Certains spécialistes pensent même que la personnalisation sera l’un des principaux moteurs de l’économie dans les prochaines années. « Dans moins de dix ans, l’économie mondiale sera animée par la personnalisation, martèle Bruce Kasanoff, consultant indépendant et auteur du livre Making It Personal: How to Profit from Personalization without Invading Privacy (« Personnalisation sans intrusion »). On peut en voir la preuve dans tous les secteurs. […]
http://measure.coremetrics.fr/corem/form/downloaddo
Quand les sites marchands se mettent à la réalité
augmentée
Les sites de déco sont en train de se lancer, ceux de mode ne tarderont sans doute pas à suivre. En quoi consistent ces solutions ? Quel retour sur investissement en attendre ? Après le semi-flop de la 3D, la réalité augmentée a-t-elle un avenir sur les sites marchands ?
http://www.journaldunet.com/ebusiness/commerce/realite-augmentee-et-e-commerce
Faut-il uniquement manager les commerciaux par
l’argent ?
Sommes-nous dans un rapport uniquement vénal au travail ? Il est des lieux communs contre lesquels il est difficile de s’ériger. Tels des footballeurs, les commerciaux seraient l’incarnation parfaite de la nécessité d’offrir le plus gros salaire possible pour les conserver et les inciter à réaliser ce que l’on attend de collaborateurs. Je vais essayer de défendre un point de vue différent. Il repose sur la synthèse de mon expérience (j’ai croisé plusieurs centaines de commerciaux depuis 20 ans) et de mes lectures.
http://www.actionco.fr/TribuneExpert/ConsultTribuneExpert.asp?ID_Article=47
Les commerciaux sont la pierre angulaire du service
client
Pour la quatrième année, Viséo Conseil, cabinet de conseil en gestion de la relation client, audite les services clients des entreprises. Ludovic Nodier, fondateur de ce cabinet et de l’Élection du Service Client de l’Année, remarque une nette progression de la qualité des services rendus aux clients et une meilleure gestion des différents canaux de contacts. Il évoque aussi le rôle-clé des commerciaux dans ces missions de fidélisation.
http://www.actionco.fr/Videos/Les-commerciaux-sont-la-pierre-angulaire-du-service
Bien concevoir le compte client sur son site
marchand
Quels éléments doivent figurer dans un compte client ? Comment inciter l’internaute à l’alimenter sans l’agacer ? Quelles sont les meilleures pratiques des e-commerçants ? Les conseils de Laure Sauvage, ergonome chez Benchmark Group (éditeur du JDN).
http://www.journaldunet.com/ebusiness/commerce/bien-concevoir-son-compte-client