« Le ministre a reconnu devant la presse que la situation du baccalauréat, notamment en raison du passage des examens de spécialités en mars, est intenable » écrit SUD éducation dans un communiqué. « Il était temps de s’en rendre compte ». Pour le syndicat qui dénonce la réforme Blanquer du baccalauréat depuis l’annonce de sa mise en œuvre, « la réforme du baccalauréat va de pair avec la plateforme de tri social Parcoursup. Elle conduit les enseignants et enseignantes à préparer à marche forcée un programme intenable en vue des épreuves de spécialité, puis à faire face à la démotivation compréhensible des élèves à compter du mois de mars en terminale ».
« Une nouvelle fois, le ministre annoncera des décisions emportant des conséquences sur la fin de l’année dans la précipitation, en début d’année scolaire. Une telle pratique traduit le mépris du ministère pour les personnels enseignants » s’agace SUD éducation. « Plusieurs scénarios semblent émerger. L’un d’entre eux correspond aux revendications de SUD éducation : une épreuve terminale en fin d’année. C’est le seul qui ne relève pas d’une usine à gaz ou d’une nouvelle dégradation des conditions de travail et d’études ; il est temps que le ministère entende les revendications des personnels ».
« Le ministre a reconnu devant la presse que la situation du baccalauréat, notamment en raison du passage des examens de spécialités en mars, est intenable » écrit SUD éducation dans un communiqué. « Il était temps de s’en rendre compte ». Pour le syndicat qui dénonce la réforme Blanquer du baccalauréat depuis l’annonce de sa mise en œuvre, « la réforme du baccalauréat va de pair avec la plateforme de tri social Parcoursup. Elle conduit les enseignants et enseignantes à préparer à marche forcée un programme intenable en vue des épreuves de spécialité, puis à faire face à la démotivation compréhensible des élèves à compter du mois de mars en terminale ».
« Une nouvelle fois, le ministre annoncera des décisions emportant des conséquences sur la fin de l’année dans la précipitation, en début d’année scolaire. Une telle pratique traduit le mépris du ministère pour les personnels enseignants » s’agace SUD éducation. « Plusieurs scénarios semblent émerger. L’un d’entre eux correspond aux revendications de SUD éducation : une épreuve terminale en fin d’année. C’est le seul qui ne relève pas d’une usine à gaz ou d’une nouvelle dégradation des conditions de travail et d’études ; il est temps que le ministère entende les revendications des personnels ».