« Alors que tout s’oppose à la tenue d’un baccalauréat en milieu d’année, il ne restait plus qu’un argument pour le ministère : il faut bien « essayer » pour savoir si cela fonctionne ou non. Les candidat⋅es au bac, déjà durement touché⋅es par les ruptures d’apprentissage liées à la crise sanitaire, déboussolé⋅es par la destruction des séries, perdu⋅es dans le labyrinthe Parcoursup, apprécieront d’être l’objet de cette nouvelle expérimentation« , déplore l’Apses, association des professeurs de SES. Elle souligne » les annulations de cours en Seconde et en Première liées à l’organisation et à la correction des épreuves et le risque très élevé d’une démobilisation des Terminales au troisième trimestre. C’est donc bien l’ensemble des élèves de lycée qui vont voir leurs conditions d’apprentissage se dégrader au nom de la réforme du bac et de Parcoursup« .