Selon une étude du NFER (National Foundation for Educational Research) britannique, l’impact du second confinement (2021) est plus grave que celui du premier. L’étude montre que les jeunes expriment moins un sentiment de bonheur que lors du 1er confinement. Cela concerne particulièrement les filles, les enfants du primaire et les jeunes désavantagés. L’école leur a davantage manqué que lors du premier confinement. La conclusion, c’est qu’un effort doit être accompli pour la santé mentale de cette génération.
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