Par André de Peretti et François Muller
« Sans doute, il importera à longue échéance d’organiser des initiatives et des recherches qui permettront de réorganiser de manière plus souple et plus vivante, moins « jacobine » et moins « identitaire » , les différents parcours d’enseignement et de formation offerts ou imposés aux élèves. Mais en attendant, pour le présent, il est indispensable d’ organiser la sortie immédiate du master 2 de jeunes collègues qui n’ont bénéficié d’ aucune formation professionnelle ». Et c’est à cet objectif que nous invitent François Muller, coordonnateur » innovations et expérimentations » de l’académie de Paris et André de Peretti. L’enjeu est simple : permettre, en attendant mieux, la survie des établissements mis devant un défi inattendu.
A côté d’une liste de références et d’ouvrages indiqués aux débutants , et qui sont de nature à les aider, nous souhaiterions proposer quelques éléments de réflexion cette fois à l’attention de celles et ceux qui se destinent ou sont désignés comme tuteur ou encore accompagnateur, formateur mais aussi directeur pour ces enseignants débutants.
Certains d’entre vous hésitent à accepter ce rôle de tuteur d’enseignants débutants ; nous pensons cependant que votre action peut être positive, voire indispensable. Et nous voudrions attirer votre attention sur un certain nombre d’objectifs, tout aussi importants pour les débutants que pour vous.
Préparer la prise de fonction
Il importe évidemment d’offrir les meilleures chances d’efficacité aux prises de fonction des nouveaux enseignants, malgré les difficultés pratiques pour assurer un bon départ à leur développement professionnel dans le cadre de l’organisation apprenante de notre système scolaire.
Ce développement professionnel de tous les enseignants, comme l’appellent nos cousins québécois, nous, Français avons tendance à en réduire la problématique à la seule « formation professionnelle »; il s’agit de se placer non sur la seule répétition de pratiques habituelles ou anciennes, minimisant la responsabilité professionnelle de chacun des tuteurs et leur créativité dans l’accompagnement des jeunes ou moins jeunes.
Il s’agit en effet non seulement de proposer un inventaire des pratiques mais aussi d’affermir les réflexion d’approfondissement sur le métier au cours d’ échanges avec les accompagnateurs ; il ne saurait s’agir de proposer aucunement une simple formation à bon marché concédés aux jeunes débutants.
Sans doute, il importera à longue échéance d’organiser des initiatives et des recherches qui permettront de réorganiser de manière plus souple et plus vivante, moins « jacobine » et moins « identitaire » , les différents parcours d’enseignement et de formation offerts ou imposés aux élèves.
Mais en attendant, pour le présent, il est indispensable d’ organiser la sortie immédiate du master 2 de jeunes collègues qui n’ont bénéficié d’ aucune formation professionnelle ni d’éléments concrets de la formation pratique, pour prendre en responsabilité la conduite d’une ou plusieurs classes, dans des conditions qui vont poser des problèmes non seulement aux élèves eux-mêmes, mais aussi à l’école et à l’établissement.
Dans le difficile changement de scénario actuellement en cours (suppression des IUFM, disparition de stages d’observation, de modules de formation professionnelle,), la formation est replacée directement sur le terrain concret de la classe. Nous sommes donc obligés à penser à de nouveaux scénarios où la découverte de processus et de procédures d’enseignement par le débutant demandera le soutien d’échanges avec un tuteur au moins, en vue de lui permettre des adaptations. Une telle démarche d’expérimentation , dans la classe, dans l’établissement, implique que le débutant puisse communiquer ce qu’il constate, ce qui l’intrigue, ce qui l’affecte ; qu’il puisse réfléchir avec un collègue plus ancien sur un certain nombre de dispositions à prendre ou d’outils à utiliser. Ces échanges lui permettront de saisir que son enseignement n’est pas automatique, qu’il rencontre des phénomènes complexes, qu’il est bon de transformer ces moments d’expériences en une expérimentation analysée avec l’accompagnement d’un collègue.
Il doit pouvoir ressentir qu’il n’est pas laissé seul dans l’indifférence, par les autres membres du corps enseignant. Cette confrontation analysée et croisée avec l’un d’entre eux, avec plusieurs d’entre eux, sera essentielle dans le processus de sa formation professionnelle.
Car un enseignant débutant peut parfois commencer à enseigner dans un milieu déjà complexe, compte tenu des catégories d’élèves. Il peut en résulter des difficultés de relations et un risque de dégradation de l’ambiance de travail. Il est important d’inverser ces difficultés par un soutien apporté à ce que va être amené à entreprendre un nouvel enseignant.
Notre propos par cette lettre est d’analyser les dispositifs qui peuvent prévenir les risques de situations difficiles ; nous souvenant de ce que Piaget proposait, donner à chaque personne des chances de réussir pour comprendre, et non seulement de comprendre pour réussir.
Des ressources, des outils pour une véritable ingénierie pédagogique
La responsabilité du tuteur ou accompagnateur est évidemment de faire connaitre au jeune collègue une gamme d’outillages pratiques et d’instruments didactiques qui peuvent faciliter son travail auprès de ses élèves , mais aussi assurer l’organisation des relations dans la classe, en vue de permettre les progrès des élèves dans une ambiance studieuse pour leur ensemble. Il appartiendra par la suite de faire expérimenter des instruments diagnostiques ou réflexifs .
En premier lieu, il peut être utile de rappeler aux débutants l’opportunité de disposer sous leur main de mementos ou de check-lists leur permettant de choisir des possibilités variées d’enseignement ainsi que de prévoir des adaptations en fonction des questions que pourraient poser les élèves (1) . Il est peut être également intéressant d’aider tout jeune enseignant à se situer personnellement par rapport à la variété des pratiques d’enseignement (2) , au moins en hypothèse de choix pédagogiques à vérifier et à modifier dans leur usage.
Les tuteurs pourraient également renseigner les débutants sur l’utilisation de moyens audio-visuel et numérique (« Gérer sa classe », « prépaclasse » ; Cap Canal, CNED) et portfolio numérique pour les élèves, à des fins d’auto-formation, en les aidant à tenter des expérimentations, pour éviter une monotonie dans la classe. Quitte à s’en dégager plus tard, voire à se tester à la création d’autres moyens, pour assurer une variété originale dans leurs interventions et éviter la monotonie dans leurs classes.
Il importe , qu’au moins pour assurer ses trois première semaines, le débutant ait suffisamment préparé ses premières interventions, avec des possibilités de variété, en sorte de ne pas être pris au dépourvu ; et à cet effet, il lui sera utile d’avoir essayé de se construire un petit dossier d’enseignement avec des propositions concrètes qu’il aurait rédigé, des références à utiliser, des exercices proposables jour après jour, ainsi que des recommandations de lecture pour ses élèves.
Il serait également sage que chaque tuteur indique aux débutants d’autres personnes susceptibles de les aider, notamment des jeunes retraités, des associations (3) en dehors de leur établissement (comme par exemple les ressources du Café pédagogique, le réseau TED, Aidoprofs, le dispositif d’ Accompagnement personnalisé à Paris, les AROEVEN, les vidéo et sites des associations pédagogiques et disciplinaires et autres).
Les invitations à la réflexion et à l’organisation
Les tuteurs solliciteraient utilement au cours du temps la réflexion des jeunes débutants sur ce qu’ils constatent par rapport à leur classe et par rapport à eux-mêmes. Il peut être utile à l’enseignant de ne pas rester à une situation d’isolement de lui-même face à des élèves et de chaque élève face à lui.
Il s’agira d’une réflexion sur les gestes utiles (4) mais aussi sur la nécessaire organisation du travail dans la classe : car enseigner, c’est organiser les rapports des élèves entre eux, vis-à-vis de l’enseignant, mais également à l’égard de la discipline.
Il est efficace de suggérer de prendre appui sur les élèves, de les associer de façon responsable à leur travail d’acquisition des savoirs de les mettre en situation de coopération entre eux, soit dans des binômes, soit dans des trios, soit dans des groupements plus importants autour de leaders, pour l’atteinte des objectifs que vous leur proposez. Le travail d’organisation de l a classe doit être envisagé : sera-t-il possible, pour vous, éventuellement, de mettre des élèves en coopération entre eux dans des binômes, dans des trios, dans des groupements plus importants,
Il importe que l’enseignant évite que les élèves ne s’en remettent toujours à son intervention, mais qu’ils puissent contribuer à la mise au point avec lui d’informations ou d’idées ; car il lui convient, avec votre conseil, d’éviter de se laisser isoler dans son rôle de détenteur absolu des savoirs et dans la création de dépendance, contradictoire avec l’apprentissage responsable dans les disciplines.
Dans cette perspective, on peut suggérer qu’après un court exposé, l’enseignant débutant demande aux élèves de réfléchir par deux, ou par trois, pendant un temps donné, pour ensuite que de chaque binôme ou trio question ou réponse soit faite, et que ce ne soit pas simplement le produit de la spontanéité de certains élèves. Une organisation, comme un organisme, doit résulter d’une cohésion par les relations, selon leurs différences entre les éléments, mais non de leur émiettement. Une place et un rôle responsable pour chaque élément, pour chaque élève, peut être progressivement mis en place, établissant une solidarité dans la classe.
A cet effet, rappelons qu’il y a une réelle pluralité de rôles possibles auxquels l’enseignant peut avoir recours pour que l’organisation de classe soit réellement apprenante, (5) , : il n’y a pas que des délégués élèves qui soient utiles pour la classe ! Certains élèves peuvent aider à la distribution des documents, à la gestion du tableau et des affichages, à des recherches en CDI , à dessiner au tableau, à aider un camarade ou une petite équipe etc… Une classe marche si des élèves apprennent des autres, avec les autres, pour les autres, comme par soi et pour soi, et sûrement pas contre les autres.
Nous avons pu souvent utiliser la métaphore du colibri (6) ; cet oiseau au long bec pointu peut retirer des fleurs un nectar sans les abîmer, tout simplement par une approche sans pression excessive et sans retrait non moins excessif : alternant présence et distance, comme il se doit pour l’enseignant vis-à-vis de sa classe et de chaque élève.
Des moments importants de l’activité du débutant ? L’exemple de l’accueil
Le domaine de l’accompagnement du tuteur ne se limite pas uniquement à des réflexions générales, mais peut porter sur des moments importants de la vie scolaire, notamment l’accueil des élèves ou l’entrée de l’enseignant dans sa classe.
Est-il utile qu’il entre après ses élèves, ou avant, ou en même temps ? Avant qu’il entre, faut-il organiser les tables, selon quel modèle ? Il y a lieu d’échanger avec leur tuteur sur les manières de « préparer sa classe », et ici sa salle : dans la disposition des tables, l’habillage des murs, les affichages obligatoires (7) ou inattendus.
Sur le plan de l’accueil, convient-il, au plan de l’établissement, que le débutant entre seul dans la classe, ou peut-il être introduit par un tuteur ou pour un chef d’établissement ? Ou non ? La phase de testing, si ce n’est de bizutage, par les élèves, et par les parents aussi, est réelle. Il peut être utile d’évoquer de façon favorable, la façon dont l’enseignant va être mis en position de testing par les élèves des classes où il interviendra, en évitant toute surprise ou appréhension, toute ironie ou impatience.
Dans la présentation de l’enseignant, le fait qu’il soit débutant n’est pas nécessairement à mentionner : il peut suffire qu’il soit présenté comme « nouveau ». Il est souhaitable bien sûr que chef d’établissement et collègues fassent attention à ne pas placer le « nouveau » dans une classe à la réputation déjà sulfureuse.
Que ferez-vous en ces perspectives et objectifs, tuteurs, au moment de la rentrée scolaire ? Comment pourriez –vous participer à la phase d’accueil des élèves ? Eventuellement, peut-on concevoir qu’il y ait pour le débutant et vous un temps d’accueil des classes qui pourrait durer trois jours ? Pour opérer l’intégration du débutant à l’équipe enseignante, à son travail, la participation au devoir collectif de réussir l’accueil et l’installation symbolique des élèves est efficace.
Un dispositif solidaire et professionnel de travail
Ce qui est en jeu dans la relation entre tuteur et accompagné, comme au sein des groupes d’enseignants, c’est bien la solidarité professionnelle; il sera donc utile que puissent être partagés des projets communs, des réflexions sur les problématiques de travail, sur le suivi des élèves, mais aussi sur des aspects plus cachés du métier : dans certaines écoles, l’équipe enseignante se donne des temps de « partage des doutes et des difficultés », pour trouver des solutions, des médiations, des apaisements, quand il le faut. Cela peut être important avec des débutants.
Dans le cadre de cette solidarité professionnelle, il faut inclure la présentation aux débutants des ressources du CDI ou de la BCD à l’école : une réunion entre débutant et tuteur permettrait de faire repérer au jeune débutant des ouvrages pratiques pour son enseignement, ainsi que d’analyser avec lui les ressources existantes pour telle ou telle conduite, en vue d’assurer une participation en partage aux projets et aux soucis de l’équipe.
Il serait souhaitable que les débutants soient invités par vos soins de tuteur à rencontrer d’autres enseignants, à découvrir d’autres disciplines, d’autres niveaux, de sorte à pouvoir apercevoir d’autres styles d’enseignement, d’autres ambiances de classes, et ainsi enregistrer des observations concrètes. Ce travail de connaissance de la mise en application de savoirs scientifiques par d’autres collègues peut être, pour eux, à la source de pratiques ou d’innovations adaptées et ajustées.
La solidarité entre enseignants est d’autant plus nécessaire qu’il s’agit d’évoluer, dans notre pays, vers un modèle de formation par l’expérience, sans préparation, soutenue seulement par une observation externe perlée.
Plus que jamais, il devient nécessaire, en ces circonstances, compte tenu de la rapidité des évolutions des connaissances, d’ inviter les jeunes débutants à s’intéresser de prés à l’organisation de l’enseignement et de ses établissements, ainsi qu’à ses alternatives : à propos des durées de temps, ou sur les espaces, sur les partenariats entre collègues comme sur les partenariats avec d’autres instances culturelles, artistiques ou scientifiques à l’extérieur, sur les convergences, sur les groupements.
Pourquoi ne pas créer dès le début des phases de regroupement entre deux classes, pas forcément de même niveau, et mises en sous-groupes, comme cela a été organisé avec succès de nombreuses fois jusqu’ici dans notre système scolaire ?
Il faut aussi penser à intégrer les débutants dans des groupes de travail, voire dans des groupes d’analyse de pratiques, centrés sur une problématique non seulement entre pairs, mais aussi avec des anciens (sinon ex-pairs), dans une formation continuée, dans une co-formation au long cours à promouvoir.
Car il devient urgent de construire, sans méconnaitre les expériences antérieures, de nouvelles modalités professionnelles, concernant l’organisation de la classe, les rôles impartis aux élèves et les solidarités entre tous.
Donner de la valeur
Les derniers conseils énoncés viseraient la prudence à pratiquer en évaluation, cela très tôt dans le travail engagé avec les élèves : éviter d’utiliser le mot de faute, ne pas mettre des « notations » à chaque instant de la classe, mais réserver dans l’emploi du temps des moments spécifiques consacrés à l’évaluation, dans un échange plus apaisé avec les élèves. Il faut aussi que le débutant prenne attention aux conditions de travail des élèves hors de la classe, ainsi qu’aux facilités ou non que certains peuvent avoir, non pour séparer ces élèves, mais pour essayer de les faire s’entraider.
Evaluer c’est bien étymologiquement, éthiquement, faire sortir les valeurs, c’est aussi éclaire, alerter, encourager, motiver les élèves. En aucun cas, évaluer ne se réduirait à sanctionner des erreurs, immoralement taxées de « fautes » : c’est-à-dire se laisser aller bousculer, à crisper des élèves, à marquer de la nervosité, à déprimer certains au profit de quelques-uns. Evaluer, c’est encore mieux que note : coter des progressions ou des acquisitions faites ou possibles. C’est offrir des chances adaptées, variées, renouvelées, de réussite aux efforts et améliorations demandées de façon ajustée à chacun ; afin que soit préservée, améliorée son image de lui-même.
Chers tuteurs, la responsabilité qui vous est confiée est à la fois pleine d’intérêt, mais aussi lourde de difficultés ; elle est indispensable pour le jeune débutant. Elle suppose en contrepartie une reconnaissance de la part de vos collègues, mais aussi de la part des responsables de l’Institution scolaire ; il va de soi que la complexité de la mission qui vous est impartie suppose que vous soyez vous-mêmes aidés au cours de séminaires qui pourraient être organisés entre vous, et sans doute avec d’autres collègues universitaires, en vue de mise au point et de soutien réciproque. Il serait également utile qu’un certain nombre d’ouvrages pédagogiques et de la littérature professionnelle soit mis à votre disposition.
Nous vous renvoyons aux ouvrages que nous avons produits dans le souci d’une ingénierie de l’enseignement, comme par exemple Mille et une proposition pour conduire sa classe, Contes et fables pour l’enseignant moderne, l’Encyclopédie de l’évaluation, ou encore le « Manuel de survie à l’usage de l’enseignant, même débutant », Prix Louis Cros. Notez également en ligne les milliers de pages disponibles à partir du site « diversifier », http://francois.muller.free.fr/diversifier/index.htm
Pour terminer, donnons-nous rendez-vous dans un an dans un colloque entre tuteurs et jeunes débutants pour faire le point sur ce dispositif. Comme le proposait déjà André, dans Organiser des formations, p. 187.
André de Peretti et François Muller
Le site de F Muller « Diversifier »
http://francois.muller.free.fr/diversifier/index.htm
François Muller dans le Café
Forum de l’innovation
http://cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2010/02/Forum_[…]
Innover c’est « travailler à une véritable pédagogie de l’empowerment ?
http://cafepedagogique.net/lemensuel/laclasse/Pages/2008/[…]
Notes
1 On pourra consulter par exemple « Check-list pour la préparation et la conduite d’un enseignement, in Organiser des formations, André de Peretti, éd. Hachette, 1991, p.114 ; en faisant éventuellement cocher, ce qu’un nouveau collègue, qui lui parait utile de prendre en compte, dans sa préparation. Il est important que l’expérience directe du métier ne s’effectue pas sans repères, ni sans choix marquants.
2 Voir organiser des formations, p. 116, notamment si le tuteur dispose d’une cartographie possible des pratiques, comme par exemple la « grenade des pédagogies »
http://francois.muller.free.fr/diversifier/les_8_paradigmes.htm
4 Voir Dominique BUCHETON, Le développement des gestes professionnels dans l’enseignement du français – Un défi pour la recherche et la formation, éd. De Boeck, 2008 et Christian ALIN, La Geste Formation, Paris, 2008
5 Voir la matrice des fonctions susceptibles d’être déléguées aux membre d’un groupe, in Encyclopédie de l’évaluation, p. 64 sq, et aussi, Liste des rôles consultable, in Mille et une propositions, ESF, p. 95 sq. ou
http://francois.muller.free.fr/encyclopedie/roles.htm
6 La métaphore du colibri, Contes et fables pour l’enseignant moderne
7- Voir page sur les dispositifs d’espace de classe, puis d’affichage sur