« Nous avons encore beaucoup de chemin à parcourir pour convaincre les uns et les autres pour que le changement apparaisse dans les classes ». S’adressant aux cadres du ministère, le 17 janvier, à l’occasion des voeux ministériels, Vincent Peillon a repris les réformes menées à bien en 2013 et rappelé le cap.
Le ministre a affirmé avoir « toujours le soutien des plus hautes autorités de l’Etat ». Mais « la bataille que nous menons pour maintenir les moyens de fonctionnement et d’action sur certains sujets n’a pas toujours été simple cette année », précise-t-il. « Ilo y a des concentrations de moyens pas toujours au service de ceux qui en ont l eplus besoin », a déclaré le ministre faisant peut-être allusion aux CPGE. « Notre responsabilité c’est aussi de faire ce travail pas toujours de dire « plus, plus ». V Peillon a estimé que la bataille des rythmes « n’a pas été simple » mais « qu’on va y arriver ». Il a rappelé que « il ne peut y avoir de refondation de l’école sans une adhésion profonde des personnels ».
George Pau-Langevin a rappelé la nécessité pour l’Ecole de travailler avec tous ses partenaires et fixé un cap général à la réussite éducative. « Nous sommes en train de bâtir la génération de demain. De permettre aux jeunes d’enter dans le monde en ayant confiance en eux et dans les valeurs de notre pays ».