A quelques jours de la présentation du plan numérique de V. Peillon, s’il est un responsable territorial qui a son mot à dire sur le déploiement des TIC dans l’institution scolaire c’est bien le conseil général des Landes. Pierre-Louis Ghavam a piloté , avec le président du Conseil général des Landes, Henri Emmanuelli, une politique très incitative et résolument pionnière depuis 2001. Cette expérience unique lui permet d’analyser les difficultés des TICE. Certes il y a les relations difficiles avec l’institution scolaire et les longs frottements avec elle durant plus de 10 ans. Il y a « le manque de vision » des chefs d’établissement. Mais il y a surtout « le manque de relations probantes entre les utilisations du numérique et les améliorations des résultats scolaires ». Voilà qui interroge autrement le plan numérique.
Le Conseil général des Landes est un département pionnier dans l’utilisation des TICE. Combien a-t-il investi pour leur développement ? Actuellement, après une décennie, quel est le poids du numérique éducatif dans le budget 2013 du Département ?
Pour 37 collèges, et environ 17 000 élèves, le budget 2013 consacré à l’Education est de 36,7 m€, dont 1,8 m€ consacré au numérique éducatif. Mais sur un budget primitif et une année unique, votre question n’a – pardon – pas beaucoup de sens. Pour mettre en place des infrastructures et des réseaux numériques comme dans les collèges landais, il me semble qu’il est nécessaire de regarder sur une période plus longue, et, de consulter les comptes administratifs, c’est-à-dire les dépenses effectives.
En étudiant les données du Ministère de l’Intérieur (sur 100 départements) (1), j’observe que le Conseil général des Landes a été 1er Département d’Aquitaine en dépenses globales en €/habitant sur 7 années sur 8 (2nd en 2006) et dans les dix premiers de la métropole, entre 2003 et 2010.
Le poids des aménagements et équipements autour du numérique, dans les Landes, a été très important dans la décennie 2000-2010. En consultant cette fois-ci, les chiffres du Ministère de l’Education nationale (2) , entre 2001 à 2008, période de mise en place et développement de l’opération « un collégien, un ordinateur portable », vous observerez que le Conseil général des Landes est l’un des neuf Départements de métropole ayant réalisé le plus d’investissements pour ses collégiens avec 8 450 €/collégien ; le second département, la Gironde, est 4 990 €/ collégien.
Ceci me permet de rappeler, quoiqu’en disent certains à l’inspection pédagogique régionale, que les cinq départements de l’académie de Bordeaux ne sont, ni uniformes, ni égaux dans leurs engagements aux côtés de l’Éducation nationale.
Une des particularités du Conseil général des Landes est de doter depuis douze ans maintenant les enseignants et deux niveaux de collégiens d’outils nomades, de ressources logicielles, de doter les EPLE de matériels de visualisation collective et de réseaux communicants, et de personnels chargés de leur entretien. Une seconde particularité est d’investir davantage que ses voisins aquitains dans l’Éducation, tout en construisant cinq nouveaux collèges et en rénovant via la caisse d’investissement les bâtiments qui en ont besoin (60 m€).
Vu de l’Hôtel du Département, sis à Mont-de-Marsan, que chaque collectivité puisse mener une politique originale et choisir ses priorités est plus que naturel ; c’est précisément un principe, un des fondements de la décentralisation. Si elles devaient toutes se ressembler, les collectivités n’auraient pas de raison d’exister ! Le Conseil général, qui ne remet nullement en cause les prérogatives de l’Etat rappelées dans le code de l’éducation, demande depuis plus d’une décennie aux acteurs régionaux et locaux de l’Éducation nationale, qu’ils veuillent bien accompagner les enseignants landais, les équipes de vie scolaire, les chefs d’établissements, dans le cadre des politiques numériques qu’il a mis en place, en tenant compte des deux particularismes que j’évoquais il y a un instant.
Le ministère va lancer une « stratégie pour le numérique ». Quelle est votre expérience des relations Etat – collectivité territoriale jusque-là ?
Notre expérience, vous l’avez compris, est celle d’une collectivité parmi les cinq autres que compte l’Aquitaine. Le Rectorat affectionne la Région, parce qu’en Aquitaine leurs deux territoires se superposent exactement et qu’un projet conjoint est – sur le papier – plus lisible, plus facile à mettre en œuvre et à accompagner. Je veux dire par là que, depuis la genèse de l’opération « un collégien, un ordinateur portable », il y avait au sein des services du Rectorat, des difficultés philosophiques et méthodologiques à accompagner sur le terrain la mise en pratique du principe même des lois de la décentralisation… lorsqu’une collectivité osait prendre une initiative. Mener, dans les Landes, quelque chose de « spécifique » de ce qu’ils ne pourraient promouvoir, accompagner, suivre ou généraliser ailleurs en Aquitaine ne faisait pas partie des « possibles envisageables ». Le pilote se devait être à l’Education nationale, les moyens et l’intendance dans les collectivités territoriales.
Une décennie plus tard, en décembre 2011, pour tenter de mettre fin à ces difficultés le Conseil général et le Rectorat ont cosigné une convention quadriennale (3). Schématiquement, cette convention, dont l’écriture et les validations chez chaque partenaire ont pris plus de six mois, détaille que le Département maintiendra ses moyens matériels et humains dans les collèges, si l’Etat accompagne, forme, incite, impulse, encourage les enseignants et leurs équipes de direction dans les pratiques numériques, et, associe la collectivité à la gouvernance en toute transparence, etc.
En octobre 2012, une mission d’inspection de quatre IGEN a visité, à la demande du Président Henri Emmanuelli, les 37 collèges landais et leur rapport paru fin avril a relevé des problèmes de pilotage et de gouvernance sur la décennie écoulée, vous vous en étiez fait l’écho (4) . J’observe avec intérêt que cette contractualisation, doublée d’une forte pression interne mais distanciée de l’IGEN, contribue depuis la rentrée de septembre 2013 à améliorer les rapports entre les deux partenaires, les projets à l’étude, les visites communes d’établissements, etc. La déclinaison aquitaine d’un document, qui préexistait déjà depuis 2009 dans l’académie d’Aix-Marseille, appelé « l’Etat des TICE » (5) est en cours de réalisation par l’inspection pédagogique régionale et le Conseil général souhaite qu’il puisse être présenté sous quinzaine au comité de pilotage stratégique, puis à l’ensemble des enseignants et chefs d’établissements landais.
C’est important, car la Convention seule n’avait eu aucun effet la première année. Et s’il est un peu trop tôt pour juger de la sincérité de la conversion, l’Institution prépare quelques changements de gouvernance qui iraient dans le sens d’un meilleur accompagnement des établissements, par le Directeur académique naturellement, mais également par une plus forte implication des corps d’inspections régionaux sur le terrain.
Si les propositions de changement de pilotage, dont nous avons eu écho, sont validées par le Recteur et deviennent effectives, tous les outils d’une gouvernance numérique partagée seraient alors en place entre les deux partenaires : comités de pilotage stratégiques, comités de pilotage pédagogiques, IPR référents travaillant en liaison avec le Directeur académique et le Délégué Académique du Numérique (DAN), plans de formations dédiés et adaptés aux particularismes landais. Nous pourrions alors avoir à la rentrée prochaine, un pilotage plus fin territorialement, et qui irait bien plus loin que celui proposé par le Ministre aux Recteurs. En appui du DAN mis en place début juin dans toutes les académies, il se dessinerait peut-être une structuration s’appuyant sur un IA-IPR référent dans le département, ainsi que des IA-IPR désignés pour accompagner et suivre un certain nombre d’établissements au sein d’une même ZAP. J’emploie le conditionnel, car rien n’est encore décidé ni validé, mais si l’Académie devait s’orienter vers une logique d’accompagnement davantage tournée vers un suivi régulier des établissements en tenant compte des spécificités locales, alors cela pourrait répondre à nos attentes et à celles formulées par l’Inspection générale.
Sinon, pour revenir à l’actualité de votre question, la gouvernance territoriale entre le Rectorat et les collectivités sur un modèle contractuel ou conventionnel, semble effectivement appropriée. Même si, dans la pratique, il faut parfois veiller à ce que chacun des deux partenaires mette en œuvre concrètement les bonnes intentions évoquées dans ces textes, pendant toute la période contractuelle. À ce titre, je recommanderais aux collectivités qui prochainement prendront cette voie, d’être extrêmement précises dans leurs demandes et fermes dans le respect des livrables dans le calendrier imparti. Chez nous c’est la rédaction de l’Etat des Tice, qui bien qu’inscrite dans la convention, a mis un peu de temps à être comprise, intégrée puis mise en chantier…
Autre point notable dans cette note aux Recteurs (6) , la désignation d’un Délégué Académique au Numérique. Je pense que, pour les collectivités cela devrait contribuer à leur simplifier la vie et les échanges. La désignation d’un DAN, exerçant ses missions à temps plein, va dans le bon sens. Je remercie Monsieur Siné d’avoir insisté sur le non-cumul de fonctions pré-existantes avec un certain nombre de postes précisés dans l’annexe de la note, car trop souvent l’IPR exerçant les missions de CTICE n’était pas à plein-temps sur cette mission et continuait à effectuer des inspections dans sa discipline, tout en siégeant à des jurys de concours de recrutement, ce qui le rendait indisponible pendant de longues périodes en fin d’année.
Les Landes investissent beaucoup dans l’entretien du matériel, un point noir ailleurs. Attendez-vous un soutien financier de l’Etat sur ce point ? Sur d’autres ?
Concernant les aspects proprement financiers de la compensation du transfert de compétences précisée aux articles 12, 13 et 14 du projet de Loi actuellement en discussion au Parlement, oui, le Président du Conseil général des Landes est sur une position identique à celle de l’Association des Régions de France. Et, comme les Présidents de Région qui ont fait leurs comptes, nous avons estimé le surcoût de ces nouvelles charges dans les collèges landais, à approximativement 1 million d’euros en année pleine.
Nous ne l’avons qu’estimé, car la formulation de l’article 13 de la loi est tellement vague, qu’il peut laisser le champ à quelques interprétations différentes ou questionnement concernant la maintenance qui n’est pas l’assistance aux utilisateurs, ou mieux encore la partie logicielle : « Le département a la charge des collèges. Il en assure la construction, la reconstruction, l’extension, les grosses réparations, l’équipement et le fonctionnement. À ce titre, l’acquisition et la maintenance des infrastructures et des équipements, dont les matériels informatiques et les logiciels prévus pour leur mise en service, nécessaires à l’enseignement et aux échanges entre les membres de la communauté éducative sont à la charge du département. ». En extrapolant on pourrait d’un coté défendre que les ENT sont entrés en catimini dans la Loi (sous le vocable ‘logiciels nécessaires aux échanges entre les membres de la communauté éducative’) et de l’autre comprendre, a minima, qu’il s’agit simplement d’un serveur de messagerie. Mais ni le projet, ni le budget ne sont dans les deux exemples, les mêmes.
Le Ministre ayant déclaré la semaine dernière au Sénat que les effectifs des Directions informatiques des rectorats seraient maintenus après la mise en place de la réforme, mais non transférés, l’ensemble de ces points converge pour appeler à une nécessaire clarification des articles 13 et 14.
Le rapport de l’IG souligne la mauvaise coordination entre académie et collectivité territoriale. Partagez-vous cet avis ? Que peut-on faire sur ce point ?
Lorsque je vous ai répondu tout à l’heure et j’ai déjà partiellement répondu à cette question. Cela n’aurait pas de sens de m’étendre davantage sur les années passées. Le rapport de l’IGEN (7) existe, il est public, d’une certaine façon, il clôt la décennie 2001-2011 jusqu’à la signature de la convention quadriennale de 2011. Depuis lors, tous les problèmes ne se sont certes pas volatilisés – qui le croirait – mais nous entamons une nouvelle phase contractuelle, conventionnelle, avec un nouvel état d’esprit de part et d’autre. Parce que les choses ont été écrites, que la parole de l’Etat est engagée, le Président du Conseil général veille scrupuleusement au respect et à l’application de cette convention ; j’imagine que le Recteur de l’académie fait de même pour les engagements du Département.
La gouvernance partagée et le partenariat Etat-collectivité sont importants, s’ils peuvent avoir des effets concrets dans les collèges, auprès des professeurs, auprès des personnels en charge de la vie scolaire, auprès des équipes de direction des établissements. Il faut passer des discours, des bonnes intentions et des effets d’annonces, à des manifestations plus concrètes, aider les équipes sur le terrain à s’interroger sur la place des outils numériques déjà en place, sur les espaces et l’architecture scolaire, etc. « L’usage des technologies ne peut être efficace que s’il part d’une situation pédagogique réfléchie et pensée » martelait André TRICOT, aux rencontres du CRAP-cahiers pédagogiques à l’été 2009. Le travail de l’Education nationale est maintenant de d’engager avec les enseignants du secondaire cette réflexion.
J’aurais presqu’envie de prendre rang avec l’IG pour qu’une nouvelle mission, dans trois ou quatre ans, puisse venir faire un bilan, un suivi de la Convention… et un nouveau rapport, mais cette fois-ci avec des éléments chiffrés, une typologie des établissements, et une autre des usages des élèves.
Faut-il une réorganisation académique ? Une meilleure formation des chefs d’établissement et des corps d’inspection ?
Nous attendons qu’on nous présente officiellement la réorganisation de la gouvernance académique que j’ai évoquée, avant de la commenter.
Le chef d’établissement est une personne clé, sa formation est absolument indispensable. Les IG ont pointé en premier lieu, l’absence de réflexion et une certaine difficulté à piloter un établissement à l’heure du numérique (avec les outils numériques). Concernés au premier plan : les chefs d’établissements ; leur défaut de vision, leur manque d’imagination, leurs difficultés à ne pas envisager « les possibles » différents avec ces outils et ces ressources, leur embarras à appréhender les modifications dans le temps et l’espace.
Charge au Rectorat et à la Direction académique, qui ont pu se faire leur propre idée de cette analyse sur le terrain, lors des visites d’établissements, d’organiser dès l’année prochaine des formations, pourquoi pas avec l’ESEN, à l’attention de ce public-là pour « tenter de leur ouvrir le champ des possibles ». Car, si l’intention n’est pas réfléchie et construite intellectuellement, les usages du numérique seront… insatisfaisants pour tout le monde.
Que les chefs d’établissements aient, ensuite sur le terrain, des difficultés à impulser à mettre en œuvre certains changements, cela s’entend, mais au moins ils auront une connaissance de ce que l’on peut faire avec. Sur ce point-là, le rapport de l’IGEN vise juste : la place des outils informatiques n’est pas ou très peu réfléchie dans les établissements visités. Ils sont là, les chefs d’établissements et une partie des enseignants font avec. Au bout de douze ans, ce n’est pas exactement ce à quoi on pouvait s’attendre.
Mais attention à ne pas se tromper de débat, ce n’est pas tant le manque de culture informatique (qui existe bel et bien, mais qui peut s’acquérir s’il y a une volonté initiale et un projet) que le manque de curiosité, une méconnaissance des travaux en sciences de l’éducation de ces 30 dernières années, la recherche épistémologique sur le métier d’enseignant en 2013 et ce qui a évolué depuis l’image d’Epinal des glorieux hussards de la IIIe République. Ce dont il est question c’est une réflexion sur une probable future mutation du métier d’enseignant.
Quel est pour vous le principal obstacle à l’expansion des usages du numérique à l’Ecole ? La formation des enseignants ? La culture scolaire ? Le manque d’incitation ? Les examens ? Autre chose ?
Eh bien, je pourrais vous répondre la suite de séquences de 55 minutes, ou bien encore des bâtiments à l’architecture mal adaptée aux usages du numérique, mais peut-être vous étonnerais-je, mais pour moi c’est que le manque de relations probantes entre les utilisations du numérique et les améliorations des résultats scolaires qui est le principal obstacle à l’expansion des usages.
Je remercie des enseignants chercheurs, qui comme André Tricot (Université Toulouse II), plaident pour une reconnaissance et une valorisation des apprentissages non scolaires des élèves et leurs apports dans la construction d’un jeune individu. Stéphanie Roussel, dans sa thèse a montré que, laissés en autonomie, les élèves régulent mieux leur écoute d’un texte en langue étrangère sur un lecteur MP3 qu’en suivant les consignes des enseignants, sauf ceux qui ont le niveau le plus faible. La thèse de Nicole Boubée montre que les élèves ont développé des compétences documentaires de façon autonome, à l’insu de l’enseignement de la pratique de recherche documentaire qui leur est dispensée. Mais je déplore qu’il y ait peu de publications et surtout très peu de publicités sur des recherches de ce type. Le Café Pédagogique qui est un des rares médias à mettre en avant ce type de travaux, n’est naturellement pas en cause.
Ce que je retiens du travail de Rémi Thibert (8) du bureau d’Analyse et de Veille de l’Ifé qui a, en novembre 2012, constitué un recensement des recherches, c’est qu’il s’agit d’un sujet où il ne se dégage pas d’unanimité, où les échantillons et les données des recherches ne sont pas forcément significatives, et où il faut s’aventurer avec précaution. Je recommande à tous la lecture des pages 5 à 16 de cette recherche bibliographique pour tenter de se faire une opinion sur le sujet, opposants et laudateurs y trouveront matière à argument.
De surcroît, je suis partagé en fonction de l’angle sous lequel on observe les buts et objectifs poursuivis par l’extension des usages du numérique à l’Ecole. Si l’objectif poursuivi est la réussite du plus grand nombre des élèves, et singulièrement des « décrocheurs », alors les outils du numérique sont des outils qui contribuent à un enseignement individualisé, lequel porte ses fruits auprès de ce public. Il en existe sans doute d’autres, car la Finlande qui est classée dans le peloton de tête des pays pour l’étude PISA de l’OCDE est « mal positionnée » dans l’enquête de European schoolnet (9) car le pays « n’utilise presque pas les Tice », faisait remarquer Patricia Wastiau lors d’une récente intervention à Paris ; « les Finlandais sont déjà tellement outillés pour progresser en permanence et résoudre les problèmes qu’ils ne ressentent pas les besoins d’utiliser les technologies, car leur enseignement est déjà très individualisé » expliquait cette conseillère principale pour la recherche et les études à European schoolnet.
Si le but poursuivi est de suivre un effet de mode, au prétexte qu’il faut coller aux usages de la société toujours plus numérique, alors, je serais beaucoup plus réservé.
Propos recueillis par François Jarraud
Notes
1- La direction générale des collectivités locales (DGCL) du Ministère de l’Intérieur, étudie chaque année les comptes administratifs (c.-à-d. les sommes réellement dépensées l’année précédente) des départements mais aussi des régions et des communes. Ces données sont publiques :
2- La direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP) du Ministère de l’Éducation nationale, a publié en 2012, la dixième édition de sa Géographie de l’École : http://www.education.gouv.fr/cid56332/geographie-de-l-ecole.html#Données_publiques
3- Convention quadriennale Etat-CG40
http://www.landesinteractives.net/sites/default/files/2012conventionEtat_CGLandes.pdf
4- Expresso du 24 avril 2013
http://cafepedagogique.net/LEXPRESSO/Pages/2013/04/24042013Article635023867872398317.aspx
5- L’Etat des TICE
6- La note aux Recteurs cf. Expresso du 21 mai 2013
http://cafepedagogique.net/lexpresso/Documents/docsjoints/mencircuinfo.pdf
7- Le rapport de l’IGEN n°2012-148
http://cache.media.education.gouv.fr/file/2013/08/3/R_2012-148_collegien_250083.pdf
8- Dossier d’actualité n° 79 (novembre 2012) intitulé « Pédagogie + Numérique = Apprentissages 2.0 » http://ife.ens-lyon.fr/vst/DA-Veille/79-novembre-2012.pdf
9- L’enquête d’European Schoolnet http://www.eun.org/observatory/surveyofschools/