» Il y a bien un mal français dans la conduite de nos réformes scolaires : spécialistes de combats épiques sur les modalités, nous en oublions les finalités », écrit Philippe Meirieu dans Le Monde. » ce qui fatigue l’enfant, d’abord et avant tout, c’est l’échec. Ce dont il a besoin plus que tout, c’est d’une pédagogie qui l’aide à focaliser son attention, qui lui propose des contenus de savoirs mobilisateurs, qui l’accompagne dans son travail pour qu’il en améliore sans cesse la qualité, qui valorise ses réussites et lui permette d’accéder, grâce à des médiations adaptées, aux grandes oeuvres de notre culture. Pourquoi cette précipitation technique sur les rythmes, alors que, par ailleurs, les programmes de 2008 restent en vigueur ? », demande-t-il en écho aux plaintes des enseignants. P Meirieu palide aussi pour le retour du samedi matin » occasion d’un moment de contact privilégié avec l’école et les enseignants ».
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