Par François Jarraud
Devant la FCPE, l’école de Mélenchon a du mal à rejoindre celle de Hollande..…
Défi ou marronnier ?
Flash spécial : Une école juive attaquée à Toulouse : 4 morts
Présidentielle : Les vrais choix des enseignants (sondage)
Formation des maîtres : Le gouvernement persiste et signe l Evaluation des enseignants : Chatel passe en force l Un appel pour relever le défi du socle l ECLAIR : Inspecteurs et chefs d’établissement contre « une rémunération discriminatoire » l Les médecins scolaires obtiennent une revalorisation l Les pays développés vont améliorer la carrière des enseignants.
Les lycéens franciliens décernent leur prix littéraire l Journée spéciale APB2 ?
Premier Forum des métiers de l’éducation l Les 17èmes rencontres de l’Orme l Les parents et l’Ecole…
Pratiques inclusives et savoirs scolaires …
9ème Congrès des enseignants documentalistes l Guerre d’Algérie : Nos cours d’histoire sont-ils prêts à l’enseigner ?
Devant la FCPE, l’école de Mélenchon a du mal à rejoindre celle de Hollande
« Jamais dans une élection il n’y a eu deux conceptions aussi différentes de l’école ». Devant les parents de la FCPE, à Paris, le samedi 17 mars, le candidat socialiste visait à opposer son projet d’école « de la réussite et de l’émancipation » à celui de Nicolas Sarkozy, « l’école de la sélection et du tri ». Mais ce qu’ont vu surtout les participants c’est la différence entre les deux candidats de gauche aussi bien dans le style que dans la forme. On retiendra enfin l’engagement de F Hollande de matérialiser un statut des délégués de parents d’élèves et de rééquilibrer les rythmes scolaires.
Samedi 17 mars, la première association de parents d ‘élèves a invité les candidats à la présidence à débattre devant elle. Tous ne sont pas venus. La FCPE se refuse à inviter M. Le Pen. Les autres candidats de droite se sont fait représenter par des représentants qui ont plutôt parlé pour eux-mêmes : C Goasguen pour le candidat UMP et Jacqueline Gourault pour F. Bayrou. Eva Joly a dominé la matinée avec une promesse de 20 000 embauches pour le système éducatif et l’idée d’une grande école commune de 6 à 16 ans.
Les interventions de François Hollande et Jean-Luc Mélenchon restent le point fort de la journée. Dans cette assemblée plutôt orientée à gauche, les deux hommes ont du répondre aux questions de la FCPE et présenté rapidement leur programme. Or à l’évidence beaucoup de choses opposent les deux candidats. A la prudence et la modération de F Hollande répond la fougue du tribun Mélenchon. Au programme détaillé et pesé à la virgule près du candidat socialiste s’opposent les coups de coeur et les à-peu-près du candidat Front de gauche.
N’hésitez pas à réagir sur les actualités qui vous interpellent, comme sur la plupart des articles du Café en vous rendant dans le forum correspondant (menu de droite). Pour pouvoir réagir, il faut préalablement s’être inscrit sur le site et être identifié. À très vite ! |
L’Éditorial de Marcel Brun
Défi ou marronnier ?
Comme à son habitude, le GFEN pose de bonnes questions. Celles des relations entre parents et école, au menu de ces cinquièmes Rencontres Nationales, pourrait s’apparenter à un serpent de mer ou à un marronnier.
Caricaturons : d’un côté, des enseignants qui ont l’impression d’être bien seuls face à des normes éducatives de plus en plus flottantes, de l’autre des parents qui suspectent les enseignants de vouloir faire leur éducation. Plus savamment dit, une norme scolaire centrée sur la transmission de la culture et des savoirs, face à une société qui élève un Veau d’Or à la consommation et à l’individu. La tentation du « chacun chez soi » pourrait donc être grande, pour ne plus se prendre la tête avec les conflits de norme : « stop aux devoirs à la maison qui transforment la cuisine en enfer » protestent les uns, « qu’on nous laisse enseigner en paix » sont tentés de répondre les autres, harassés du sentiment de ne plus pouvoir faire leur travail.
Convoqués comme experts dans le débat, les universitaires sont-ils légitimes ? Voilà qu’ils refusent les clivages trop simplistes : non, les parents les plus pauvres ne se désintéressent pas de la scolarité, ils ne savent juste pas comment faire, ne comprennent pas toujours ce qu’on attend d’eux, et se résignent à l’impuissance des fatalités lorsque ça devient difficile. Oui, les « devoirs » sont nécessaires aux apprentissages, le tout est d’en faire un objet de pensée pour savoir ce qu’on peut donner à faire, où on doit apprendre à le faire, et ce qui est légitime d’attendre à chaque âge, en fonction des savoirs qu’on veut transmettre. Bon, le problème, avec les universitaires honnêtes, c’et qu’ils ne désignent pas d’emblée les coupables, d’un camp ou de l’autre…
C’est de la salle, en pleinière, qu’une voix anonyme change de grille d’analyse : « mais vous ne voyez pas que certains ont intérêt à la perpétuation de ces antagonismes, de ces exclusions, de ces inégalités ? ». Sans doute pressée de reprendre la Bastille, elle définit une autre « lutte des classes », renvoyant parents et enseignants des classes moyennes à leurs responsabilités. La salle, composée d’enseignants engagés, mais aussi de travailleurs sociaux, d’étudiants ou de salariés des collectivités territoriales, opine : quand les inégalités sociales sont si flagrantes, l’Ecole peut-elle suffire ?
Pourtant, tous les ateliers proposés donnent des exemples de projets, de démarches, d’expériences qui tentent de soulever les montagnes, avec toujours la même conclusion : c’est parce que je te présume capable que tu le deviens… Peut-on, au-delà des anathèmes, appliquer la maxime aux enseignants ? « Faut-il encore qu’on leur en donne les moyens », avec les postes et la formation, demandent les syndicats. « Faut-il aussi qu’ils osent en faire un défi collectif » a aussi répondu le président du GFEN, et que la Nation « se ressoude autour de l’Education-promesse d’avenir »…
Bon, c’est en marche, non ?
Comment ça, « pas sûr » ?…
Ah ce que vous pouvez être négatif…
Marcel Brun
Dossier : Les 5èmes Rencontres du GFEN
Flash spécial : Une école juive attaquée à Toulouse : 4 morts
Ce matin à 8 heures un homme en scooter a tiré sur les enfants et les parents devant l’école Ozar Hatorah de Toulouse. L’attentat a fait 4 morts dont 3 fillettes de 3, 6 et 8 ans et 5 blessés. D’après La Dépêche qui est sur place parmi les victimes se trouveraient un professeur de religion et ses deux enfants. L’établissement, réputé pour ses résultats, est une cité scolaire (collège et lycée). Il comprend une synagogue et un internat.
Le procédé utilisé est exactement le même qu’à Montauban et Toulouse : un homme en scooter qui tire avec la même arme. Le ministre de l’intérieur a demandé aux préfets du sud-ouest d’établir une protection des établissements juifs. Il vient de reconnaitre des « similitudes » avec les attentats du 11 mars à Toulouse et du 15 mars à Montauban contre des parachutistes de retour d’Afghanistan. Depuis ces dates rien ne semble avoir été fait pour protéger les établissements juifs.
Une minute de silence aura lieu dans les écoles et les établissements scolaires mardi à 11h. Des consignes de sécurité sont actuellement prises par les établissements juifs.
Formation des maîtres : Le gouvernement persiste et signe
Le ministère de l’éducation nationale et le ministère de l’enseignement supérieur ont présenté le jeudi 15 mars aux organisations syndicales un projet d’arrêté « fixant le cahier des charges de la formation des professeurs, documentalistes et conseillers principaux d’éducation. ». Même s’il évoque à plusieurs reprises dans le texte, les « instituts universitaires de formation des maîtres » , montrant ainsi le caractère purement idéologique et revanchard de la loi Grosperrin votée par l’Assemblée Nationale il y a quelques semaines ( et heureusement bloquée par le Sénat) qui visait à totalement les faire disparaître de tous les textes réglementaires, cet arrêté synthétise tous les dangers de la mastérisation dénoncés dans les différents rapports concernant cette question et ne peut qu’accentuer la crise de recrutement que nous connaissons actuellement.
Présidentielle : Les vrais choix des enseignants
Les enseignants ont des positions nuancées sur les changements à apporter à l’Ecole. C’est le principal enseignement du sondage réalisé par Le Café pédagogique auprès de ses lecteurs. Les 12 et 13 mars, 1050 personnels de l’éducation nationale ont répondu à une quarantaine de questions reprenant les principales propositions des candidats à la présidence de la République. Si les enseignants sont très déterminés sur certains points, ils sont prêts à accepter des évolutions à condition qu’un vrai projet se dessine pour l’Ecole. Cette position tout en nuances donne des possibilités inattendues à une nouvelle équipe, à condition qu’elle ne soit pas sarkozienne…
Quel échantillon ? Nous avions prévu d’arrêter le sondage au premier millier de réponses complètes et validées ce qui a été atteint en moins de 48 heures avec 1050 réponses. N’ont pu se prononcer sur Internet que des lecteurs authentifiés sur le site du Café pédagogique, chacun ne pouvant se prononcer qu’une seule fois. L’échantillon est-il représentatif ? Ces 1050 personnes comprennent 81% d’enseignants, 9% de personnels de direction et 10% de cadres, formateurs etc. 36% enseignent dans le primaire, 29% en collège, 19% en lycée, 6% en L.P. On retrouve dans les réponses un éventail politique assez ouvert et des choix pédagogiques variés (par exemple 15% pour la revalorisation Sarkozy et 23% pour l’orientation précoce ce qui tend à valider la qualité de l’échantillon. Certaines questions, toujours issues des programmes des candidats, ne concernaient que certains niveaux. Enfin des questions ouvertes sur les changements attendus étaient proposées à tous et ensuite par niveau d’enseignement.
Evaluation des enseignants : Chatel passe en force
Malgré un vote unanime des syndicats contre le projet de texte sur l’évaluation des enseignants au CTM du 15 mars, le ministère a décidé de présenter le texte au Conseil supérieur de la Fonction Publique le 26 mars. Le projet gouvernemental maintient l’évaluation des enseignants du secondaire par le chef d’établissement.
Un appel pour relever le défi du socle
Peut-on encore sauver le socle commun ? Pour le Sgen, le Se-Unsa, les CRAP et Education & Devenir, l’enjeu est trop grand pour ne pas le faire. Les quatre organisations lancent le 19 mars un appel aux candidats à la présidence de la République où ils leur demandent de « relever le défi du socle commun ». « Pour cela il faudra redéfinir les contenus du socle en y adaptant les programmes… (et) les modes d’évaluation ». L’Afev, la Fcpe, la Cfdt, la Ligue de l’enseignement, l’Ozp, l’Unsa sont aussi signataires de cet appel.
ECLAIR : Inspecteurs et chefs d’établissement contre « une rémunération discriminatoire »
Dans un communiqué, le Snpi Fsu et le Snupden Fsu invitent leurs membres, inspecteurs du premier degré et chefs d’établissement, à refuser de répartir la part modulable de l’indemnité ECLAIR, versée dans certains établissements prioritaires, de façon différente selon les enseignants. Ils considèrent que le décret met en place une rémunération inégale, « discriminatoire et discrétionnaire » des enseignants.
Les médecins scolaires obtiennent une revalorisation
Le CTM du 15 mars a adopté une revalorisation des médecins de l’éducation nationale. Selon leur syndicat Unsa, « une étape majeure a été franchie ». Les textes « amorcent le début d’un processus de renouveau de la médecine scolaire ».
Les pays développés vont améliorer la carrière des enseignants
Réunis aux Etats-Unis à l’invitation de l’OCDE et du ministre de l’éducation des Etats-Unis, les ministres de l’éducation et les représentants syndicaux ont travaillé ensemble sur l’évolution du métier enseignant. Selon l’OCDE, ministres et syndicats sont arrivés à des accords qui portent généralement sur la revalorisation des enseignants. Ainsi en Belgique la carrière des enseignants sera revue. Au Danemark et en Estonie aussi. En Allemagne un accord avec les syndicats se négocie. En Pologne c’est leur formation qui est réformée. En Finlande l’intérêt se porte sur l’utilisation des nouveaux médias sociaux en classe. Et en France ? Apparemment rien…
Les lycéens franciliens décernent leur prix littéraire
Un millier de lycéens et apprentis de toute l’Ile-de-France sont venus le 16 mars remettre leurs prix littéraires au Salon du Livre à Paris. L’initiative de la région Ile-de-France vise à rapprocher les jeunes du livre par l’intermédiaire des auteurs. Pour les enseignants c’est aussi un nouveau moyen de travailler à la fois l’orientation et l’expression écrite et orale.
Sur la grande scène du Salon du Livre, les huit auteurs sélectionnés sont interrogés par deux lycéens. Il y a là Patrick Bouvet pour Open space, Sorj Chalandon pour Retour à Killybegs , Claudine Galéa pour Le corps plein d’un rêve, Gilles Rochier pour TMLP, ta mère la pute, Christian Garcin pour Des femmes disparaissent, Yves Ravey pour Enlèvement avec rançon, Jean-Michel Espitallier pour Cent quarante-huit propositions sur la vie & la mort, et autres petits traités et Pierre-Oscar Levy pour Château de sable.
Devant la scène des centaines de lycéens qui soutiennent leurs camarades et réagissent aux réponses des auteurs. Depuis la rentrée, 40 classes de toute la région se sont portées volontaires. Chaque classe a étudié 5 livres. Ils ont rencontré les auteurs et préparé ces rencontres. Ils ont ensuite voté individuellement pour sélectionner les huit gagnants.
Journée spéciale APB2
Lycéen, vous avez entré vos voeux dans APB. Il reste maintenant à faire des choix définitifs en fonction des réponses des établissements. L’Etudiant organise le 21 mars deux tchats pour vous aider à hiérarchiser vos demandes. Vous pouvez poser dès maintenant vos questions.
Premier Forum des métiers de l’éducation
L’Institut Universitaire de Formation des Maîtres (IUFM) de l’Académie de Créteil et les 4 universités de l’académie (Paris 8, Paris 13, UPEC, UPEMLV) organisent le 21 mars de 10h à 19h au Parc Floral de Paris (Pavillon des Cyprès) le premier forum des métiers de l’éducation et de l’enseignement.
Dédié aux étudiants désireux de découvrir l’ensemble des formations amenant aux métiers de l’enseignement et de l’éducation, ce forum est l’opportunité de se renseigner sur la formation la plus adaptée à son projet professionnel et sur les différentes modalités d’apprentissage. Des conférences sur le thème de l’éducation auront lieu tout au long de la journée et des professionnels de l’orientation seront également présents pour répondre aux différentes questions sur les cursus, le degré d’enseignement ou encore modalités d’inscriptions.
Les 17èmes rencontres de l’Orme
Le Café pédagogique sera partenaire des 17èmes rencontres de l’Orme qui se tiendront à Marseille les 21 et 22 mars 2012, sur le thème des ressources numériques. Mais, au-delà des tables rondes qui traiteront de leurs contenus, de leur accès et de leur adaptation aux apprentissages, ces rencontres veulent être aussi être un lieu de formation, d’animation et d’échanges pour des acteurs très divers, des enseignants aux industriels et aux collectivités territoriales.
Les parents et l’Ecole
Les points d’achoppement entre parents et enseignants ne manquent pas et c’est eux que le GFEN avait décidé d’adresser pour ses Rencontres annuelles. Le premier malentendu concerne les devoirs, comme le montre Patrick Rayou. Des exemples concrets de dialogue avec les parents, à l’occasion des réunions de parents ou au quotidien ont aussi été présentés.
Dossier : Les 5èmes Rencontres du GFEN
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
Pratiques inclusives et savoirs scolaires
Le 4ème colloque international « Ecole et handicap » se tiendra les 21 et 22 mars à Nancy. Il s’attachera à questionner les « Pratiques inclusives et savoirs scolaires : paradoxes, contradictions, perspectives ». Un important réseau de didacticiens, linguistes, psychologues, sociologues, chercheurs en science de l’éducation, professionnels de l’enseignement, du secteur médico-social et de la santé, ainsi que l’INS HEA et l’Ifé sont partie prenante de l’organisation de cette manifestation.
9ème Congrès des enseignants documentalistes
Du 22 au 24 mars, la Fadben organise le 9ème Congrès des enseignants documentaliste. Trois problématiques : comment la question technique permet-elle de penser la culture de l’information ? Quelle transformation dans le rapport au savoir ? Le numérique change-t-il la posture pédagogique du professeur documentaliste ?
Guerre d’Algérie : Nos cours d’histoire sont-ils prêts à l’enseigner?
18 mars 1962, au bord du lac Léman, les accords d’Evian sont signés et mettent fin à ce qu’on appelle encore à l’époque les événements d’Algérie. Mars 2012, le cinquantième anniversaire de ces accords interroge sur la place de ces événements en classe d’histoire.
Pour notre part, nous avons déjà indiqué qu’entre le devoir de mémoire et le devoir d’histoire et autour d’une question socialement vive, le devoir d’histoire devait s’imposer ainsi que l’intérêt à problématiser son enseignement de l’histoire. [1]
Au-delà du temps consacré par les programmes à l’étude d’un tel sujet, le vécu familial des élèves ne manquera pas d’interférer avec le cours d’histoire :
«Quand je vais aborder par exemple les divisions entre Algériens, qu’on aborde la notion des harkis, j’ai très souvent des élèves qui vont être véhéments et dire que les harkis sont des traitres» [2]
le Cafe
La semaine dernière dans le Café…
La sélection d’articles de la semaines.
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
L’Expresso directement sur votre site !
Vous nous l’avez demandé par téléphone, par courriel, par fax : comment afficher sur mon site personnel les informations quotidiennes de L’Expresso ? Le webmestre du Café vous propose deux solutions simples qui nécessitent juste le copier-coller de quelques lignes.
Vous pouvez ainsi faire bénéficier les visiteurs de votre site d’une information quotidienne et leur permettre d’être les premiers informés dans leur établissement.
Participer au Café ?
Il y a bien des façons d’aider le Café : lui manifester son soutien, lui apporter son obole, lui passer des informations. Il y a aussi écrire dans le Café. Si vous vous retrouvez dans les orientations du Café, si vous souhaitez participer à une aventure unique de mutualisation, contactez-nous !
Le Café en chiffres
Le Café pédagogique compte plus de 250 000 abonnés à ses différentes éditions. Au mois de mai 2007, nous avons reçu 611 728 visiteurs qui ont généré plus de 28 millions de hits.
Le Café à la carte
Si vous découvrez Le Café Pédagogique, sachez que vous pouvez recevoir chez vous, dès parution et gratuitement, « L’Expresso », le flash quotidien d’actualité pédagogique et toutes les éditions du Café pédagogique.