Par François Jarraud
Les manuels scolaires véhiculent-ils des images sexistes ?..…
A quand une ministre de l’Education nationale ?
Luc Chatel visite « l’école du futur » l Hollande : Négociations annoncées sur la revalorisation l Chronique de la carte scolaire l Lecture inadaptée : Sanctions contre un professeur des écoles l EELV : Les débats sur l’éducation.
La difficile insertion scolaire des élèves primo arrivants non francophones l Orientation : Mon APB : C’est aussi sur Facebook ! .
Faire l’expérience de la poésie. Entretien avec Lysiane Rakotoson l Les 17èmes rencontres de l’Orme ….
L’international au colloque de l’ AFAE …
Question sur les banlieues l Doit-on ficher toute une population ?
La semaine des maths l Géo : La ville autrement l Les Enfants de la zique.
Les manuels scolaires véhiculent-ils des images sexistes ?
Papa fume sa pipe dans son fauteuil et maman fait la vaisselle. Cette image traditionnelle des manuels scolaires est-elle encore dominante actuellement ? Oui, si l’on en croit Sabrina Sinigaglia-Amadio, sociologue à l’Université de Lorraine, qui a effectué pour la Halde, en 2008, une étude sur la discrimination dans les manuels scolaires. Elle nous en montre l’importance et donne des pistes pour s’en affranchir.
Peut-on dire que nos manuels scolaires soient sexistes ?
Depuis la fin des années 1970, plusieurs études ont mis en évidence ce phénomène. Celle que j’ai réalisée avec mes collègues psychologues et juristes pour la Halde en 2007-2008 fait le même constat. Pourtant les manuels sur lesquels nous avons travaillé sont sortis après la loi sur l’égalité professionnelle de 2001 et celle sur la parité de 2005. S’il y a quelques améliorations, d’une façon générale on a toujours une représentation stéréotypée de la place des femmes dans les manuels scolaires. Elle reste centrée dans l’espace domestique, en lien avec les enfants, la famille. La réalité de la diversité professionnelle des carrières féminines n’est pas présentée dans les manuels. Par exemple, dans le monde médical, tel qu’il est vu dans les manuels, dans 99% des cas le médecin est un homme et s’il y a un infirmier, c’est une femme. Cela alors que les universités de médecine comptent entre 60 et 70% de filles en premier cycle. L’image de l’homme dans son fauteuil fumant sa pipe et de la femme s’occupant de la maison et des enfants est toujours présente dans les manuels. Les manuels qui ont évolué sont marginaux.
Le dossier Journées des femmes 2012
L’affiche du dossier à mettre en salle des profs
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A quand une ministre de l’Education nationale ?
Alors que l’éducation nationale est le ministère le plus féminisé, comment expliquer qu’aucune femme n’y ait jamais accédé ?. La rue de grenelle est-elle condamnée aux Jules (Ferry) ou pourrait-on avoir une ministre de l’éducation nationale après 2012 ?
En ce mois de mars où on ‘’fait leur fête aux femmes’’, on peut remarquer qu’aucune d’entre elles n’a encore été « ministre de l’Education nationale ». Il y a certes bien eu une « secrétaire d’Etat chargée de l’enseignement » ( Michèle Alliot-Marie ) nommée le 20 mars 1986, mais « auprès du ministre de l’Education nationale » ( René Monory ) ; il y a même eu une « ministre déléguée de l’enseignement scolaire » ( Ségolène Royal ) nommée le 4 juin 1997, mais « auprès du ministre de l’Education nationale » ( Claude Allègre ). Il y a même déjà eu ( et c’est assez paradoxal a priori ) des femmes ministres de plein exercice pour l’enseignement supérieur : Alice Saunier-Seïté en premier, nommée « ministre aux universités » le 29 mars 1977.
Il y a surtout déjà eu ( et c’est encore plus paradoxal a priori ) des femmes ministres dans des fonctions à l’évidence éminemment plus ‘’régaliennes’’ que l’Education nationale. Edith Cresson est devenue « Premier ministre » en mai 1991, Elisabeth Guigou, « Garde des Sceaux, ministre de la Justice » en juin 1997. Michèle Alliot-Marie a été nommée « ministre de la Défense » en mai 2002, « ministre de l’Intérieur » en mai 2007, « ministre de la Justice, Garde des Sceaux » en juin 2009, « ministre des Affaires Etrangères » en novembre 2010. Mais l’Education nationale ( qui est le ministère qui emploie le plus de femmes ) n’a pas encore eu une femme pour ministre, en dépit des évolutions et des nominations qui ont eu lieu ailleurs… Comment expliquer cette anomalie voire ce mystère ?
Lisez la suite de la tribune de Claude Lelièvre
Luc Chatel visite « l’école du futur »
L’école du futur est forcément dans les Hauts-de-Seine ! Mardi 6 mars, le ministre de l’éducation nationale visitait l’école Robert Doisneau de Boulogne-Billancourt, une école élémentaire bilingue qui est la vitrine de la politique des langues du ministère. Mais chaque vitrine a ses reflets…
« Bienvenue à l’école du futur ! » C’est par ces mots que Luc Chatel a introduit la presse dans l’école primaire R. Doisneau de Boulogne-Billancourt. Une école qui pousse au coeur d’un nouveau quartier construit sur les anciens terrains Renault. Une école neuve au milieu d’immeubles neufs, où la cour de récréation est au coeur du bâtiment, comprenez au 3ème étage. L’école compte 200 enfants en maternelle et 190 en élémentaire.
Hollande : Négociations annoncées sur la revalorisation
Le candidat socialiste s’est engagé à des négociations sur la revalorisation des salaires des enseignants. » J’ouvrirai une négociation… Ce sera avec les enseignants que nous en discuterons », a déclaré François Hollande à l’AFP mardi 6 mars. Il rencontrait les enseignants du collège Edouard Manet de Villeneuve la Garenne (92) en lutte pour conserver des postes.
« Les marges budgétaires sont contraintes », a-t-il ajouté. « Mais je ne voudrais pas pour autant que les personnels de l’éducation, surtout les enseignants qui sont en situation d’être moins bien payés que d’autres fonctionnaires, n’aient pas la reconnaissance de leur spécificité. Nous serons dans le cadre de la réforme de l’Education ». F Hollande a promis d’engager de nouveaux moyens dans le primaire, l’éducation prioritaire et les classes charnières.
Chronique de la carte scolaire
Au fur et à mesure que se tiennent les CDEN, le mécontentement monte devant les suppressions de postes. Les rectorats rendent leurs verdicts, les 14 000 suppressions de postes annoncées pour 2012 se concrétisent. La presse quotidienne régionale rend compte des mouvements locaux de protestation qui accueillent les fermetures de classe et les coups portés aux Rased. Parents, élus, enseignants ne se mobilisent un peu partout, les petites rivières locales deviendront elles un fleuve tumultueux ?
« Comment apprendre dans une classe à 2 ou 3 niveaux avec 25 ou 27 élèves », les parents d’élèves de l’école de Castelnau de Montmiral dans le Tarn s’interrogent et se mobilisent contre la fermeture d’une classe à la rentrée. Mardi 06 mars, ils manifestaient devant l’’école. A Bain-de-Bretagne, les parents on bloqué l’accès aux classes du collège du Chêne Vert : sureffectif, vétusté, les causes de mécontentement sont multiples. D’autres actions de blocage sont prévues. A Fonsorbes, en Haute-Garonne, les parents d’élèves de la FCPE annoncent qu’ils occuperont l’école maternelle du Trépadé, jeudi 8 et vendredi 9 mars. Lundi 12mars, les parents de l’école d’Arbaud à Fos dans les Bouches du Rhône se donnent rendez-vous pour bloquer les cours et redonner de l’élan au mouvement après quinze jours de vacances. 18 classes fermées et 28 postes supprimés dans les Hautes-Pyrénées, lundi 5, parents, enseignants et élus ont voté contre les propositions de l’inspection en CDEN. Les enseignants et les parents d’élèves du lycée Charles et Adrien Dupuy du Puy en Velay ont bloqué le conseil d’administration lundi 5 mars pour protester contre les suppressions de poste. A Castelnau-Montratier dans le Lot, les parents d’élèves se mobilisent pour le maintien de 3 classes de 6e au collège.
Les parents d’élèves de Pondeilh dans les Pyrénées Atlantiques ont adressé le 5 mars à l’inspecteur pour lui demander de renoncer à la suppression de deux postes d’enseignants. A la rentrée dernière, une CLIS était ouverte à l’école, aujourd’hui, parents et enseignants s’interrogent sur cette contradiction entre ambition éducative et restriction des moyens. En Picardie, le regroupement intercommunal Fresnoy-le-Luat, Trumilly, Auger-Saint-Vincent et Rocquemont refuse la fermeture de la classe de maternelle, élus en tête. Des investissements ont été faits pour les locaux et la cantine ; des efforts pour assurer une qualité éducative totalement ignorés par l’inspection. Le conseil municipal de Beautor dans l’Aisne avait mis le 2 mars à son ordre du jour la question de la fermeture d’une classe à l’école Camille-Desmoulins. Une classe en moins plus une suppression de poste de Rased, les élus ont affiché leur refus d’une école au rabais. Le collège Vercors de Grenoble, situé en zone d’éducation prioritaire, était « mort » le mardi 6 mars. Parents et enseignants craignent de voir les effectifs de classe passer à la rentrée de 24 à 30 sous l’effet des suppressions de postes. Les professeurs et élèves du lycée professionnel Sommeiller à Annecy étaient en grève le 6 mars, mobilisés contre les regroupements de classes annoncés pour la rentrée prochaine.
Lecture inadaptée : Sanctions contre un professeur des écoles
« Je suis choqué par la lecture à des élèves de CM1 d’un ouvrage de littérature jeunesse inadapté à leur âge », nous a déclaré mardi 6 mars Luc Chatel. Le ministre faisait allusion à la plainte de parents d’élèves d’une école de Morsang sur Orge (91). Leurs enfants ont eu à lire un extrait de Betty Cotton, un roman destiné à des adolescents de 13-14 ans. Il contient des scènes de violence et de viol. Le ministre a rappelé que la liberté pédagogique des enseignants nécessite un devoir de discernement. « Je demande au directeur départemental de l’éducation nationale d’engager la procédure nécessaire vis à vis de l’enseignant qui a pris cette décision », nous a dit le ministre.
Interrogé par le Café, Jean-Jacques Hazan, président de la Fcpe estime qu’il est « normal que les parents se plaignent ». « Il est insensé qu’on ne réfléchisse pas avant de savoir ce qu’on va donner à lire aux enfants », a-t-il ajouté. Pour Sébastien Sihr, secrétaire général du Snuipp, qui souligne la rareté des dérapages de ce genre, cette affaire aurait pu être réglée directement entre les parents et l’enseignant. « Cela montre l’importance des relations avec les familles. L’école a besoin de confiance ».
EELV : Les débats sur l’éducation
Le 30 novembre 2011, Europe écologie Les Verts organisaient une Journée sur la formation et le recrutement des enseignants. Les vidéos de l’événement sont en ligne sur Dailymotion.
La difficile insertion scolaire des élèves primo arrivants non francophones
Ils sont de moins en moins nombreux mais l’éducation nationale peine à leur trouver une place à l’école. Dans plusieurs académies comme Rennes, Poitiers, la Martinique, à peine la moitié des élèves primo arrivants non francophone strouvent une place à l’école, estime une nouvelle étude de la DEPP. Elle montre aussi la contraction de leur nombre. 39 000 en 2005 ils ne sont plus que 38 000 en 2010. « Au total, ils représentent 0,4%des effectifs scolaires. 79%d’entre eux bénéficient d’une scolarité dans une classe particulière ou d’un soutien ponctuel dans les écoles élémentaires, contre 90%dans les collèges et lycées. À ces élèves s’ajoutent près de 1 700 jeunes de plus de 16 ans pris en charge par les missions générales d’insertion (MGI) et les groupements d’établissements (GRETA). En métropole, en raison des flux migratoires et de l’attractivité de certaines régions, un tiers des académies accueille 65% des élèves non francophones. La Guyane scolarise la plus forte proportion d’élèves non francophones ».
Orientation : Mon APB : C’est aussi sur Facebook !
Le premier jeu sérieux produit par l’Education national est fonctionnel ! Réalisé pour l’Onisep, « Mon APB » apprend en jouant aux lycéens de première et terminale que l’orientation est un parcours semé d’étapes.
« Le jeu met en évidence ce que disent les professeurs, mais que les élèves ne font pas toujours« , nous avait confié en janvier Pascal Charvet, directeur de l’Onisep. Doux euphémisme ! Pour la majorité des lycéens, la réflexion sur l’orientation commence une fois la procédure APB engagée. Or l’orientation post-bac, que décide APB, mérite une réflexion en amont. C’est justement ce qu’amène à comprendre « Mon APB ». Dans « Mon APB », le lycéen devient coach. Il a à gérer un lycéen ou une lycéenne, à choisir parmi 6 profils (en S, L, ES , ou dans un bac technologique ou parmi deux filières professionnelles). Il va simuler le déroulement d’une année scolaire. Dans le jeu, l’année passe vite. Et son élève a des exigences : il faut aussi qu’il se repose, qu’elle fasse du shopping ou se distrait. Pendant ce temps là l’année passe. Si le travail scolaire est négligé, le niveau baisse. Et puis il y a les étapes d’information sur l’orientation à ne pas manquer. Ainsi manquer le salon APB, c’est dur à rattraper !
Enfin arrive le moment des voeux. Le jeu permet de simuler jusqu’à 9 voeux en optant pour des filières post bac plus ou moins sélective, en les choisissant par géolocalisation ou par catégorie. En fin de parcours le verdict tombe. Comme dans le vrai APB, si vous avez choisi des filières sélectives au delà de votre niveau, vous risquez de finir sans rien. « Le jeu sensibilise les élèves à la nécessité d’avoir une stratégie d’orientation », nous explique Pascal Charvet. « Le déroulement du jeu leur impose de faire attention au temps et aux étapes. D’anticiper aussi sur le travail scolaire. Et pour cela il les confronte à la réalité, y compris à celles du fonctionnement d’APB ». Graphiquement très réussi, le jeu est prenant. Sans cesse le joueur est face à des demandes de l’élève coaché ou des exigences liées à l’orientation. Il est récompensé par des messages ou alerté quand ça se passe mal.
Faire l’expérience de la poésie. Entretien avec Lysiane Rakotoson
Lysiane Rakotoson enseigne les lettres et écrit de la poésie. Cette situation particulière lui confère un précieux point de vue, au sens propre, pour éclairer les réflexions et les pratiques des professeurs, pour nous apprendre à regarder, à aimer, à faire aimer la poésie. Comment écrire se demande-t-elle sur son blog, comment lire ajouterons-nous, « de telle sorte qu’il se produise une chose tout à fait rare qui s’appelle le poème et qui soit à la fois de la pensée et du corps, de la parole et du geste ? » L’école, nous démontre-t-elle dans cet entretien, a un rôle essentiel à jouer pour faire cette expérience, heureuse et formatrice.
Suite de la chronique du Printemps des poètes demain : » Pour une pédagogie de la poésie par immersion »
Les 17èmes rencontres de l’Orme
Le Café pédagogique sera partenaire des 17èmes rencontres de l’Orme qui se tiendront à Marseille les 21 et 22 mars 2011, sur le thème des ressources numériques. Mais, au-delà des tables rondes qui traiteront de leurs contenus, de leur accès et de leur adaptation aux apprentissages, ces rencontres veulent être aussi être un lieu de formation, d’animation et d’échanges pour des acteurs très divers, des enseignants aux industriels et aux collectivités territoriales.
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
L’international au colloque de l’ AFAE
« Qu’il s’agisse de la construction européenne, de l’impact des grandes enquêtes internationales de type PISA, de la circulation au-delà des frontières d’idées relatives à l’éducation – mais qui sont parfois originaires d’autres horizons politiques ou économiques – ou même des compétences nécessaires à nos élèves face à un marché du travail fortement internationalisé, des questions liées à des perspectives internationales font de plus en plus souvent irruption au coeur de nos pratiques professionnelles », écrit l’AFAE en présentation de son prochain colloque. Il se déroulera du 16 au 18 mars à Strasbourg avec comme problématique « les enjeux internationaux pour les professionnels de l’éducation ». Les inscriptions sont ouvertes. Au programme, JC Emin, JC Rouanet, JR Cytermann, etc.
Question sur les banlieues
« Ce que Clermont-Tonnerre voulait éviter avec les Juifs, vous l’aurez fait avec les banlieues : une nation dans la Nation. Des Français étrangers chez eux. » S’adressant au ministre de la Ville, la sénatrice écologiste Esther Benbassa critique la politique gouvernementale sur les banlieues.
Doit-on ficher toute une population ?
L’Assemblée nationale adopté en dernière lecture la loi « sur la protection de l’identité » qui créé une nouvelle carte d’identité à données biométriques. L’Etat aura donc en fichier les informations biométriques suivantes : la taille et la couleur des yeux, les empreintes digitales et la photographie. Pour le député JJ Urvoas, « Les données biométriques ne sont pas des données à caractère personnel comme les autres. Elles présentent en effet la particularité de permettre à tout moment l’identification de la personne concernée sur la base d’une réalité biologique qui lui est propre, permanente dans le temps et dont elle ne peut s’affranchir. À la différence de toute autre donnée à caractère personnel, la donnée biométrique n’est donc pas attribuée par un tiers ou choisie par la personne : elle est produite par le corps lui-même et le désigne ou le représente, lui et nul autre, de façon immuable. Elle appartient donc à la personne qui l’a générée et tout détournement ou mauvais usage de cette donnée fait alors peser un risque majeur sur l’identité de celle-ci ».
La semaine des maths
Du 12 au 18 mars, à l’initiative du ministère, la Semaine des maths va tenter de changer les stéréotypes sur le smaths et particulièrement auprès des filles. Eduscol nous invite à découvrir les initiatives prises dans les académies pour la semaine.
Géo : La ville autrement
Genève comme vous ne la verrez jamais ! Swisstelecom propose une cartographie dynamique des flux téléphoniques dans l’agglomération de Genève. Qui appelle qui ? Comment évoluent les flux selon l’heure ? D’une certaine façon l’espace vécu est mis à nu.
Les Enfants de la zique
Le nouveau cédérom des Enfants de la Zique est arrivé ! 18 chansons, une brochure de 84 pages pour découvrir et exploiter le CD. Le livre CD gratuit est une base d’enseignement précieuse pour l’éducation musicale mais aussi pour développer des compétences transversales.
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