Par François Jarraud
Burnout, tension au travail : L’évolution du métier interrogée..…
L’apprentissage ? Chiche !
Une grève plus suivie que prévue l Les transports scolaires interdits dans 11 départements l Evaluation des enseignants : Les inspecteurs d’académie refusent leur instrumentalisation l Des EVS font condamner l’Education nationale l Evaluation des enseignants : L’ICEM s’engage l Quelle vie après la Segpa ? l Les pensions, un défi pour les enseignants européens.
Les jeunes, l’école et leur alimentation l Les métiers de l’électronique.
Socle et programmes : La confusion l Le silence…….
Anne Barrère aux 5 à 7 de l’IREA …
Où va la Corée ? l Nucléaire : Quand les missiles vont au fossé.
Partages, triangles et gaz sur Culture Math l SES : La crise vue par Krugman l STMG : Le séminaire national en ligne l BTS Tourisme.
Burnout, tension au travail : L’évolution du métier interrogée
Le métier d’enseignant est-il en train de devenir un métier à risque ? Avec un enseignant sur quatre souffrant d’un excès de tension au travail, l’enquête du Carrefour santé social publiée le 30 janvier, montre un taux élevé qui éloigne les enseignants des cadres.
Selon l’enquête du carrefour santé social (CSS), un organisme regroupant la MGEN et les syndicats Unsa, Sgen et Fsu, sur les risques psychosociaux, de l’épuisement professionnel et des troubles musculo-squelettiques, la situation sanitaire des enseignants et des administratifs de l’éducation nationale pose problème. L’enquête a été réalisée par Internet. Elle a impliqué plus de 5 000 personnels de l’éducation nationale, essentiellement des enseignants, avec un échantillon un peu plus féminin que la moyenne réelle de ce ministère.
Un prof sur quatre en tension au travail. L’étude s’est intéressée en premier lieu aux situations de jobstrain, tension au travail, une « situation à risques pour la santé om les exigences du travail sont importantes, la demande psychologique forte et où les ressources disponibles dans le travail pour y faire face sont insuffisantes, la latitude décisionnelle faible ». Un personnel de l’éducation nationale sur quatre (24%) en souffre, un taux qui est supérieur au taux moyen des salariés français (23%) et le double de celui des cadres. Cette proportion ne varie pas selon l’âge ou le sexe. Par contre elle est plus forte chez les CPE, les administratifs et les enseignants des écoles et des collèges. L’étude montre aussi de fortes différences entre académies : par exemple les taux sont plus élevés en Nord-Pas-de-Calais et dans l’académie d’Orléans Tours.
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L’Éditorial de Monique Royer
L’apprentissage ? Chiche !
L’apprentissage remède au chômage ? La solution du Dr Miracle, la potion magique ? La proposition tient dans l’idée que l’entreprise peut former aussi bien voire mieux que l’école. Elle dessert tout autant l’apprentissage que l’enseignement professionnel en trainant derrière elle des idées reçues et une représentation fausse des métiers, des compétences qu’ils nécessitent. On oublie souvent aussi que l’apprentissage concerne des diplômes de tout niveau et s’adresse à des apprenants de profils fort différents, à ceux qui se sentent à l’étroit dans une salle de classe, à ceux qu’une rémunération permet de poursuivre des études, par exemple ; une hétérogénéité des situations qui réclame autre chose qu’une réponse au premier degré.
La formation par apprentissage ce n’est pas seulement un contrat de travail laissant supposer qu’un apprenti est un salarié pas cher, une variable amoindrissant la masse salariale. Elle est aussi une formation par alternance pour laquelle une pédagogie adéquate favorise, ou devrait favoriser, un lien nourri entre savoirs acquis en classe et compétences mises en œuvre en entreprise, le tout dans le cadre d’un diplôme.
Le système dual allemand délègue la formation à l’entreprise. C’est le cas par exemple de l’entreprise BSR visitée lors d’un voyage d’étude organisé par le Ciep. Un atelier école forme dans un premier temps les apprentis aux gestes professionnels puis des temps de plus en plus long en atelier les mettent en situation réelle. Une sélection rude et une formation tournée vers un métier particulier offrent un bon taux d’insertion professionnelle. Oui mais quel est le devenir de ces jeunes, quelle évolution leur est promise ? C’est le danger que guette l’apprentissage si l’adéquation parfaite entre les métiers et la formation est visée. Que seront les métiers de demain ? Quelles compétences demanderont- ils ?
Prenons le contre-pied de ce modèle et disons chiche, l’apprentissage est une voie à valoriser. Imaginons des formations par apprentissage organisées autour de la pédagogie de l’alternance qui repose sur le principe d’une analyse des compétences et d’une contextualisation des savoirs. Le retour au CFA débute par une phase de mutualisation et d’analyse qui permet d’échanger autour de l’expérience et de collecter les éléments qui enrichiront le cours d’exemples vécus. Pour chaque période en entreprise, des activités sont prescrites en lien avec le référentiel de formation.
Dans ce modèle, le rôle du maître d’apprentissage est celui d’un tuteur qui veille à ce que les activités prescrites par le CFA soient mise en œuvre. Cette fonction d’accompagnement nécessite une formation dont l’utilité va au-delà du rôle d’encadrement de l’apprenti, elle offre aussi méthodes et outils pour encadrer une équipe. De même, les connaissances acquises en centre de formation sont utiles pour l’entreprise : s’attarder à comprendre ce que l’on fait, à analyser les dysfonctionnements petits ou grands n’est qu’une perte de temps apparente.
Dans la proposition présidentielle, craignons que ne soit oubliée toute l’habileté pédagogique qu’il faut mettre en œuvre pour que le lien entre entreprise et centre de formation devienne réellement source d’apprentissages mutuels. La réticence des employeurs tient sans doute à cela. Déléguer l’éducation aux entreprises c’est simplement oublier qu’elles aussi ont besoin de l’éducation pour enrichir leurs compétences.
Monique Royer
Une grève plus suivie que prévue
A coup sur c’est une mauvaise surprise pour Luc Chatel. On attendait une participation modeste au mouvement du 31 janvier. Or les chiffres ministériels reconnaissent 13% de grévistes déclarés au primaire soit 2% de plus que pour le mouvement du 15 décembre. Ce jour là le mouvement national lancé par une large intersyndicale avait réuni la moitié des enseignants selon les syndicats. Or le 31 janvier, le Snuipp est le seul syndicat important du primaire à appeler et il n’a déposé de préavis que dans 52 départements.
Il faut donc s’attendre aujourd’hui à une mobilisation forte dans le primaire et le secondaire. Le Snuipp annonce de 40 à 65% de grévistes dans 52 départements : 65% dans le Cher, 60% dans le 77, 55% dans le Nord, le 93 et le 92 par exemple. Dans le secondaire, le Snes, le Snep, le Snuep, Fo, Sud et Snalc participent au mouvement. Ils n’ont pas donné d’évaluation.
Comment expliquer le taux de participation s’il est effectivement en progression ? Le mouvement a lieu contre les suppressions de postes et la réforme de l’évaluation des enseignants. La publication des premières mesures de carte scolaire a du jouer sur la mobilisation. Les échéances politiques auraient-elles regonfler le moral des enseignants ? Il faudra aussi surveiller l’effet des déclarations de N Sarkozy sur les lycées professionnels.
Les transports scolaires interdits dans 11 départements
Selon Bison Futé, les transports scolaires sont interdits dans 11 départements le 31 janvier. L’épisode nuageux situé sur l’ouest et le centre devrait apporter 5 à 10 cm de neige en pleine. Les transports scolaires sont interdits dans le Cantal, le Puy-de-Dôme, l’Ille-et-Vilaine,, la Mayenne, le Maine et Loir, la Vendée, le Cher, l’Indre, l’Indre et Loire. Ils sont aussi interdits sur une partie d ela Loire Atlantique (sur les secteurs suivants : Guémené-Penfao, Châteaubriant-Nozay-Derval, Ancenis, Sèvre, Maine et Goulaine, Loire-Divatte, Vallet, Clisson, Aigrefeuille ainsi que les cars à destination de Redon au départ de Blain et Pontchateau) et de l’Orne (seuls ceux des centres scolaire de Gacé, Rémalard, Le Theil sur Huisne et La Ferté Bernard seront réalisés dans le cadre du Service Adapté aux intempéries).
Evaluation des enseignants : Les inspecteurs d’académie refusent leur instrumentalisation
« Le mécontentement est très fort », nous a confié Robert Prospérini, secrétaire général du Syndicat des Inspecteurs d’académie SIA). Son organisation appelle au boycott des réunions organisées par la Directrice des ressources humaines du ministère de l’éducation nationale, Mme Théophile. La cause de la colère c’est la convocation des doyens des inspecteurs (IEN et des IPR ) pour participer à un séminaire sur la « Mise en place de l’accompagnement de la réforme nouvelle gouvernance ; appréciation de la valeur professionnelle des enseignants ».
Pour le SIA, ce séminaire a tourné à « la manipulation psychologique« , « une instrumentalisation ». Les inspecteurs ont été d’emblée affranchis : il ne s’agissait pas de critiquer la réforme de l’évaluation mais « d’apprendre à la présenter de la façon la plus acceptable possible ». Et pour cela Mme Théophile avait fait appel à un intervenant extérieur à l’Education nationale qui leur a appliqué la méthode SWOT (Strength, Weakness, Opportunities, Threats)…
Transformés en cobayes de la nouvelle gouvernance, les inspecteurs n’ont pas apprécié la leçon de MMe THéophile. « La question de l’efficacité du système éducatif et de la réalité des acquis des élèves, celle de l’évaluation formative des enseignants passe à la trappe de l’idéologie et d’une hiérarchie caporalisée dans les actes. Cette action n’est pas une caricature, mais bien la pose d’une première pierre », estime le SIA. « On essaye d’appliquer à l’éducation nationale des méthodes d’entreprise », a protesté auprès du Café R Prospérini. « Tout ce qui est pédagogique, et qui relève du conseil et de la liberté, doit être soumis à la hiérarchie. Nous sommes très en colère ».
Des EVS font condamner l’Education nationale
Selon l’AFP, 43 Employés de vie scolaire (EVS) ont obtenu devant les prud’hommes de la Sarthe des indemnités allant de 10 000 à 15 000 euros. Embauchés en « contrat d’avenir » ils n’avaient pas reçu de formation ni de contrat définitif. Cinq autres, en CUI, ont obtenu à Saint-Nazaire 3500 euros et la requalification de leur contrat en CDI.
Evaluation des enseignants : L’ICEM s’engage
Réagissant à la réforme de l’évaluation des enseignants, l’Icem Freinet propose ses propres « repères ». Premier répère pour l’Icem, « organiser des situations d’évaluation régulières et bienveillantes, dans un esprit de formation, d’accompagnement et de refus du jugement moral ». L’Icem appelle aussi à séparer évaluation et salaire et à « proposer d’abord l’évaluation sous l’angle du travail en équipe ».
Quelle vie après la Segpa ?
Raphaël, Sabrina, Stéphanie et Laura étaient en Segpa en 1995. Que sont-ils devenus ? France 2 présente mardi 31 janvier à 22h55 un documentaire sur le devenir de ces jeunes après leur CAP.
Les pensions, un défi pour les enseignants européens
Lundi 30 janvier le mouvement de grève a été largement suivi chez les enseignants belges du primaire et du secondaire. Au coeur de leur mouvement les nouvelles conditions de retraite imposées par le gouvernement. Il faudra partir à 62 ans avec 40 années d’ancienneté pour toucher une pleine retraite alors qu’il y a seulement quelques jours on promettait encore un retrait progressif de l’emploi. Selon les syndicats seulement un tiers des enseignants rempliraient les conditions demandées.
En Angleterre, une grande grève a eu lieu en novembre mais le gouvernement vient de briser le front syndical. Un syndicat, l’ATL, a accepté un accord avec le gouvernement. Il estime avoir obtenu des avancées. Les autres syndicats, représentant 80% de la profession (NASUWT, NUT etc.) refusent tout accord. Le gouvernement impose une augmentation de 50% des charges et la retraite à 68 ans…
Les jeunes, l’école et leur alimentation
Le rapport à l’école influence-t-il l’alimentation des jeunes ? Oui affirme un nouveau numéro de « Jeunesses, études et synthèses », la revue de l’INJES (n°7). Il établit que la proportion d’enfants en surpoids est le double chez les enfants d’ouvriers (15%) par rapport aux enfants de cadres (8%). « La variable qui explique le mieux les différences de poids… est l’origine sociale » note l’Injes. Mais l’obésité est aussi en lien avec me sorties précoces du système éducatif.
Pire. Si « les jeunes ont intériorisé l’idée que leurs comportements alimentaires ne sont pas conformes aux normes sociales… cette volonté éducative pourrait être la source d’une identification négative avec une présupposée conduite alimentaire à remodeler ».
Les métiers de l’électronique
Les métiers de l’électronique sont des métiers de pointe. On retrouve les professionnels de ce secteur innovant dans l’aéronautique, l’automobile, chez les fabricants de composants et d’équipements électroniques… Les diplômés bac + 5 sont très courtisés. Pour autant, les entreprises ont besoin de techniciens, en bureau d’études, production et maintenance, et d’opérateurs pour leurs lignes de production.
Ce numéro de Parcours fait le point sur les différentes filières de formations : BTS, DUT, licences professionnelles, écoles d’ingénieurs, masters. Les métiers sont regroupés en trois grandes familles : conception et développement (technicien de développement, ingénieur en électronique…), production (technicien d’essais et de tests, ingénieur qualité…), commerce et maintenance (technicien de maintenance électronique, ingénieur technico-commercial…). A noter le nouveau format d ela revue, sa charte graphique qui améliore grandement la consultation.
Socle et programmes : La confusion
» Que les évaluations nationales de français et mathématiques portent bien sur les items du socle commun et non sur les programmes de CM2. Que les items des compétences soient intelligibles et compréhensibles par tous ». Professeur des écoles, Guillaume Hamon, professeur des écoles, analyse le socle commun, les programmes de 2008 et les fameuses évaluations nationales. Il montre à quel point cette juxtaposition crée de la confusion. « Est-ce qu’il faut maîtriser toutes les compétences des programmes 2008 pour valider le socle commun ? Si c’est le cas, on constatera malheureusement, en dépit des efforts et de la bonne volonté des enseignants, que tous les élèves ne maîtriseront pas toutes les compétences des programmes 2008 et ne pourront ainsi obtenir le palier 2 du socle commun ». Et il propose une clarification.
Le silence…
« Le silence dans la classe n’est-il pas le souhait de bien des enseignants? », interroge Jacques Nimier. « Ne nous parait-il pas la condition d’un travail efficace? N’est-il pas ce qui nous demande le plus d’énergie à obtenir? Et pourtant nous savons qu’il n’assure pas l’apprentissage de connaissances! » Il nous propose tout un dossier pour faire du bruit sur ce sujet hurlant…
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Anne Barrère aux 5 à 7 de l’IREA
Mercredi 15 février, Anne Barrère sera l’invitée de l’IREA à Paris pour son ouvrage « L’éducation buissonnière ».
L’éducation buissonnière sur le Café
Où va la Corée ?
Le Monde propose un magnifique dossier interactif sur la Corée du Nord. Il permet de découvrir le fonctionnement interne d’un régime totalitaire. Il faut voir les émissions de la télévision nord-coréenne aussi bien coté JT que coté séries. Ou encore voir comment la Corée du nord fabrique et commerce…
Nucléaire : Quand les missiles vont au fossé
Voilà une affaire dont on ne connaitra jamais tous les détails. A Istres, un militaire est jugé pour un accident de la route. Son camion a versé dans le fossé. Et on apprend qu’il appartient à une unité militaire secrète. Qu’il conduisait un camion de transport de missiles nucléaires. Et qu’il roulait à 120 km / heure entre Avord (18) et Istres (13) avec son chargement…
Partages, triangles et gaz sur Culture Math
Le site national de ressources en maths invite Cédric Villani. Dans une conférence destinée aux collégiens et aux lycéens, il nous fait suivre un long fil qui part de la géométrie du plan euclidien, en passant par la théorie des nombres, la topologie, la géométrie fractale, pour nous mener à ses travaux en théorie cinétique des gaz. Puis Christine Proust parle de « Problèmes de partage : des cadastres à l’arithmétique ».
SES : La crise vue par Krugman
Le Monde interroge Paul Krugman sur la crise européenne. » La crise reste considérée uniquement comme un problème de dérives budgétaires. Ce n’est pas le cas. Ces déséquilibres existent, mais il y a aussi un écart de compétitivité et de flux de capitaux », explique-t-il. Il a aussi la solution : » Pour restaurer la compétitivité en Europe, il faudrait que, disons d’ici les cinq prochaines années, les salaires baissent, dans les pays européens moins compétitifs, de 20 % par rapport à l’Allemagne. Avec un peu d’inflation, cet ajustement est plus facile à réaliser ».
STMG : Le séminaire national en ligne
Eduscol met en ligne les productions du séminaire national des 24 et 25 janvier. On y trouvera notamment, outre les vidéos signalées déjà dans L’Expresso, les documents de tous les ateliers sur la mise en oeuvre de la réforme. A voir notamment les jeux sérieux en management.
BTS Tourisme
Le nouveau référentiel du BTS tourisme est en ligne.
le Cafe
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