Par François Jarraud
Et si on aimait enfin l’école ?
« Prendre appui sur l’expertise des enseignants ». Entretien avec Nicole Geneix
Le libéralisme autoritariste
Le système éducatif français est-il dans la norme ou l’exception l Un lycée au secours d’une élève expulsable l L’agrégation de STI modifiée l L’école à bout de souffle l L’Ecole et les think tanks l Entre martinet et fer à cheval : L’école de la seconde chance l Etats-Unis : Repli sur le fondamental dans le budget 2012 l Rentrée scolaire en Libye.
Orientation : Ma voie littéraire l Comment les adolescents communiquent-ils aujourd’hui ?
Réseaux sociaux et apprentissage, amis ou ennemis ? l Portes ouvertes à Teilhard de Chardin…
Evaluation des enseignants : Les tests ne suffisent pas l Autrans 2012…
Résister dans les camps nazis.
Science in School l SES : Acheter français, un charlatanisme ? l L’histoire de la banane réécrite.
Et si on aimait enfin l’école ?
Enfin un livre grand public sur l’Ecole qui ne soit pas un pamphlet. Enfin un ouvrage qui traite de l’Ecole avec respect, connaissance, douceur et intelligence. Le livre de Nicole Geneix et Philippe Frémeaux parle du terrain, pas d’idéologies. Il donne à voir ce qui se fait réellement en classe, sans complaisance, sans excès. L’école française a ses faiblesses, nous disent les auteurs. Elle peut être dure aux plus faibles. Les enseignants ont leurs moments de doute et même de démoralisation. Mais ils connaissent aussi ces moments où ce qui a été semé prend, où l’oeil de l’élève s’allume parce que ce jour là, une attention, une situation pédagogique bien adaptée ont créé l’échange. Leur essai pourrait n’être qu’un nouveau pamphlet de présumés experts autoproclamés. Mais on est à mille lieues de la diatribe. D’abord parce que les auteurs ont fait l’effort de s’extraire des jargons, mais aussi parce qu’ils refusent manifestement d’user des armes de ceux qu’ils brocardent…
Lisez la présentation de l’ouvrage
« Prendre appui sur l’expertise des enseignants ». Entretien avec Nicole Geneix
Par son parcours personnelle d’enseignante, responsable syndicale puis directrice de l’éducation d’une ville, Nicole Geneix a vu l’Ecole sous des angles différents. Elle parle de cet enrichissement personnel et de l’Ecole.
Quelle serait, selon vous, la décision politique que pourrait prendre un nouveau gouvernement sur l’Ecole, pour amorcer la remise en confiance des enseignants, que vous semblez considérer comme déterminante ?
Difficile de répondre brièvement. Il est bien dommage qu’il n’y ait pas de disposition simple et pratique immédiatement prête à l’emploi… L’école ne peut pas tout, elle doit être épaulée par un ensemble de politiques publiques nationales et locales : service public de la petite enfance, désenclavement des quartiers qui cumulent le plus de difficultés (transports, habitat, accès à la culture, emplois…) mais elle a ses propres marges d’action.
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L’Éditorial de Jean-Louis Auduc
Le libéralisme autoritariste
Quelle philosophie peut bien sous-tendre les actuels discours et décisions présidentiels concernant l’école ? A bien regarder les textes publiés et les discours prononcés, je n’en vois qu’une : le libéralisme autoritariste, c’est-à-dire l’essai de fusionner une fausse liberté pour les personnels avec une démarche autoritaire bien réelle.
Lorsqu’on observe attentivement le discours du président de la République de début janvier, le décret sur la gouvernance et les projets concernant l’évaluation des enseignants, tout concourt à sacrifier la liberté pédagogique des personnels et des établissements au profit d’une gestion administrative autoritaire du système éducatif. Ce qui compte, c’est l’administration du système et non les démarches pédagogiques visant à la réussite des élèves. La disparition de la formation initiale des enseignants, sur laquelle il n’est plus question de revenir, s’inscrivant bien évidemment totalement dans cette démarche.
Dans son discours de début janvier, Nicolas Sarkozy a été muet non seulement sur la formation des enseignants, mais aussi sur la réforme du lycée ou les dispositifs pédagogiques en direction des élèves en difficulté… Toutes ses propositions s’articulent autour d’un établissement résumé à son seul chef d’établissement et au développement de la concurrence entre établissements, alors que toutes les recherches ont bien montré l’importance d’un projet collectif et d’un travail en équipe à tous les niveaux.
L’approche comptable est le seul critère mis en avant concernant les personnels et sous-tend les propositions concernant l’enseignement professionnel. De manière autoritaire et sans tenir compte des expériences extrêmement intéressante des « périodes de formation en entreprise » menées dans la voie professionnelle, il s’agit avec l’obligation d’une année d’apprentissage dans les cursus des diplômes professionnels de supprimer 50% des enseignements pendant un an. Autant de postes à supprimer !
Le décret sur la gouvernance du système éducatif est la mise en application de cette logique du triomphe de l’administratif sur le pédagogique. En éloignant le centre de décisions des réalités du terrain, des acteurs des collectivités territoriales, c’est une gestion autoritaire des moyens du système éducatif qui s’annonce. Bien loin de favoriser l’autonomie, il s’agit là sous l’égide d’un responsable nommé par le ministre sur des critères peu transparents et révocable par lui (dont il faut rappeler que depuis le début 2011, il n’est plus obligatoire qu’il ait été universitaire !) d’organiser un système encore plus rigide qu’aujourd’hui.
Il y a une parfaite cohérence dans la volonté de voir les futurs enseignants recrutés directement par le chef d’établissement sans avoir passé un concours de recrutement comme le proposait le rapport Grosperrin et la disparition du corps des Inspecteurs d’académie recrutés par concours sur leurs compétences. On préfère le renforcement du pouvoir des Recteurs choisis et nommés par le ministre et /ou le Président de la République sur des critères plus politiques que pédagogiques que celui des recrutés par concours qu’étaient les IA-IPR-DSDEN.
Quant à l’évaluation des enseignants par les chefs d’établissements, les débats actuels montrent qu’il s’agit plus d’une évaluation administrative que pédagogique, ce qui ne correspond pas aux besoins actuels de notre système éducatif où les enseignants n’ont pas besoin d’être formatés, mais d’être formés.
Oui, l’école française a besoin d’être profondément transformée ! Ce serait une grave erreur de penser qu’elle gouvernance administrative resserrée pourrait suppléer la disparition de toute formation des enseignants. Une telle démarche ne peut que se traduire par un autoritarisme renforcé vis-à-vis des personnels et ne sert en rien la réussite des élèves. Au cœur du métier enseignant, il y a la nécessité de permettre aux élèves de tirer profit des apprentissages scolaires. Cela passe avant tout par une véritable formation initiale et continue des enseignants; une facilitation de projets pédagogiques d’équipe au niveau de l’établissement, des différents niveaux, de la classe, de la discipline; une valorisation des démarches pédagogiques innovantes transférables. Autant de démarches qui tournent le dos au libéralisme autoritarisme qui tend à se mettre en place.
Jean-Louis Auduc
Le système éducatif français est-il dans la norme ou l’exception ?
La publication d’un nouveau numéro d’Education & Formations, une revue ministérielle, apporte de nouveaux éclairages comparatifs entre le système éducatif français et ceux des autres pays de l’OCDE. De la centaine de pages de ce numéro se dégagent trois chapitres qui mettent en valeur les spécificités de l’Ecole française.
L’école française se distingue par la baisse de son financement. Luc Brière et Marguerite Rudolf (DEPP) confirment les analyses de l’OCDE. « Comparée aux autres pays de l’OCDE », écrivent-ils, » la France présente une dépense d’éducation rapportée au PIB, tous niveaux confondus, proche de la moyenne OCDE (6,0 % contre 5,9 %). Néanmoins, par rapport au milieu des années quatre-vingt-dix, le poids des dépenses d’éducation dans le PIB a reculé de 0,6 point en France alors que, pour la moyenne des pays de l’OCDE, ce même ratio a augmenté de 0,2 point ». Si la France reste dans la moyenne de l’OCDE pour son financement, elle se distingue par une évolution à rebours des autre spays de l’OCDE.
Une autre distinction se voit dans le rapport avec les parents. Au terme d’une analyse assez fine des rapports entre parents et enseignants au collège, la comparaison avec les autres pays européens montre que la France fait partie des pays où les parents ont le moins de droits.
Dans la lutte contre les inégalités, les auteurs distinguent des modèles successifs. « D’un modèle ou d’un âge à l’autre, la préoccupation politique de démocratisation et de lutte contre les inégalités sociales d’accès au savoir et à la culture recule, tandis que s’affirme, notamment au travers des métacatégories d’« élèves à risque » et de « besoins éducatifs particuliers », une logique d’adaptation des systèmes éducatifs à la « diversité » des individus, de leurs « talents » et « besoins », qui renoue avec une problématique de « mobilisation des réserves d’aptitudes » et avec une lecture individualiste et essentialisante des difficultés (ou de la réussite) scolaires », écrivent D FRandji et JY Rochex. Sur ce point la France ne se distingue plus des autres.
Education & formations n°80
Un lycée au secours d’une élève expulsable
« Je veux être une prof pour tous les élèves quelles que soient leur couleur ou leur nationalité ». Lundi 9 janvier, Leila Soula, délégué CGT, et ses collègues du lycée Théodore Monod de Noisy-le-Sec, étaient en grève. Le lycée, qui compte 950 élèves, a réagi spontanément à la mise en rétention d’une lycéenne de première sans papiers. Marie-Téclaire a été arrêtée jeudi 5 janvier au guichet de la préfecture de Chartres où elle venait remplir un dossier et immédiatement mise en rétention à Rouen. Le lendemain les enseignants ont cessé les cours, choqués d’une mesure qui frappe une élève assidue et travailleuse. « On a eu d’autres cas dans le lycée », nous a confié L Soula. « Ce sont des jeunes qui veulent apprendre, qui ont échappé dans leur pays à des choses affreuses. C’est le minimum qu’ils aient droit à une instruction ». La grève, le rassemblement devant la préfecture, les interventions des élus ont payé. Marie-Téclaire a été libérée lundi, deuxième jour de grève. Deux professeurs ont fait le voyage à Rouen pour réconforter leur élève. Les cours reprennent.
L’agrégation de STI modifiée
Un arrêté publié au J.O. du 10 janvier modifie l’agrégation de STI pour la session 2013. « Les sections ci-après énumérées sont supprimées : Section mécanique, Section génie mécanique, Section génie civil, Section génie électrique », écrit le J.O. A leur place une agrégation de « Section sciences industrielles de l’ingénieur » dont les épreuves sont précisées.
L’école à bout de souffle
La pression scolaire sur les enfants est-elle trop forte ? France 5 diffuse mardi 10 janvier un documentaire de Marina Julienne qui compare cette pression entre France et Finlande. Le refus de toute sélection jusqu’à la fin du collège semble plutôt réussir aux jeunes Finlandais quand leurs camarades français sombrent dans le stress et la peur de l’échec. Diffusion le 10 janvier à 20h35 sur France 5.
L’Ecole et les think tanks
Dominique Reynié viendra-t-il défendre le type d’école défini dans le projet de Fondapol ? Face à lui, dans Rue des écoles, l’émission de Louise Tourret, un représentant de l’Institut Montaigne, de Terra nova et de la Fondation Gabriel Péri. France Culture à 15h.
Fondapol : Des propositions qui ne valent pas grand chose
Entre martinet et fer à cheval : L’école de la seconde chance
A Sarcelles, l’école de la seconde chance se situe entre les rues du martinet et du fer à cheval. Tout un symbole ! Libération publie un beau reportage sur ces lieux trop rares qui permettent de renouer le fil de l’instruction et du diplôme pour ceux qui, justement, ont manqué de chance.
Etats-Unis : Repli sur le fondamental dans le budget 2012
Le compromis budgétaire est conclu aux Etats-Unis. Les coupes budgétaires portent sur ce qui n’entre pas dans les évaluations. Ainsi le programme fédéral Teaching American History est totalement supprimé. Celui sur l’enseignement des langues, Foreign Language Assistance Program, également. Les parlementaires ont par contre restauré le programme d’aide à la lecture Striving Readers Comprehenive Literacy, et peu coupé dans les programmes scientifiques.
Rentrée scolaire en Libye
Selon l’Unicef, un million d’écoliers libyens ont repris le chemin de l’école le 6 janvier après de longues vacances de 10 mois. Les écoles ont été déminées, remises en état. 10 millions de nouveaux manuels ont été imprimés.
Orientation : Ma voie littéraire
Y a-t-il un avenir dans les lettres ? L’Onisep répond oui. Mais l’Office fait mieux en ouvrant un site révolutionnaire qui montre la richesse de la voie littéraire aux élèves… mais aussi aux professeurs.
Pour les élèves, le site permet une découverte des 200 métiers auxquels conduit la voie littéraire. Mais le noyau dur du site c’est la découverte des écoles liées à la BEL, la Banque d’épreuves littéraires. Le site permet de mieux les connaître. Que faire après une terminale L ? Il donne aussi accès à toutes les formations disponibles en lettres, par type ou par géolocalisation. Pour les professeurs, Ma voie littéraire présente la filière et propose des fiches élèves et professeur pour un parcours de découverte en classe de seconde.
Comment les adolescents communiquent-ils aujourd’hui ?
On ne sera pas surpris d’apprendre que Facebook joue un grand rôle dans la communication adolescente. Passer son statut de « célibataire » à « en couple » vaut ban de mariage (virtuel). C’est un des enseignements d’une étude menée par Ericsson auprès de 2 000 ados américains. Le Sms, Facebook et le chat vidéo sont les outils de prédilection des ados qui passent ensuite à l’email.
Réseaux sociaux et apprentissage, amis ou ennemis ?
Le 26 janvier 2012 à Rennes, la Cantine numérique organise une table ronde autour des usages pédagogiques des réseaux sociaux. Les échanges permettront d’aborder la question suivante : « Au-delà de la diabolisation systématique, le rôle de l’enseignant n’est-il pas de donner aux élèves les outils indispensables pour qu’ils trouvent et choisissent dans ce foisonnement, l’information, l’outil adapté, à la construction de leurs connaissances ? » Laurence Juin et Jean-Michel Le Baut, enseignants, témoigneront de leur expériences variées d’utilisation en classe de Twitter, de Facebook, des blogs …
Portes ouvertes à Teilhard de Chardin
Vendredi 10 février de 17 à 20h, le lycée Teilhard de Chardin de Saint Maur (94) présente ses filières post bac. Le lycée présentera ses BTS (Banque, CGO, AM, PME/PMI, SP3S) mais aussi la Prépa HEC et sa préparation aux concours infirmiers (PCIFSI).
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
Evaluation des enseignants : Les tests ne suffisent pas
C’est un peu un pavé dans la mare que jette une nouvelle étude de la Fondation Gates. Basée sur un panel de plus d’un millier d’enseignants, 7 500 vidéos de cours et 44 000 élèves, elle établit qu’on ne peut pas évaluer les enseignants seulement en fonction des résultats aux tests nationaux. L’étude montre l’intérêt d’avoir des observateurs impartiaux, formés, qui restent plus d’un cours. Comment on les appelle ici déjà ?
Autrans 2012
C’est aujourd’hui que débutent les Rencontres d’Autrans. Le thème de cette année est « Internet pour un nouvel équilibre ». Il interroge la chaine de création des services numériques. Des ateliers montrent diverses initiatives de service spublics en ligne. Il sera question de médiation numérique, de vilel numérique et d’intelligence collective.
Résister dans les camps nazis
Pour préparer le Concours de la Résistance ou pour sensibiliser les élèves à la Journée de la Shoah, le nouveau DVD du Cercle d’étude de la déportation et de la Shoah peut être une aide précieuse. Il donne la parole à 8 déportés du ghetto de Lodz, d’Auschwitz, de Bergen-Belsen, Buchenwald, témoins ou acteurs de faits de résistance dans les camps. Un remarquable travail réalisé avec le soutien de la Fondation pour la mémoire de la Shoah et de la Ville de Paris.
Science in School
Si vous n’avez jamais pu sentir Jules César, passez votre chemin. Sinon, ouvrez Science in School, le journal européen pour les professeurs de sciences et découvrez comment faire fabriquer par les élèves le parfum que portait Jules dans l’Antiquité. Autre pratique intéressante : la découverte de l’Azolla filiculoides, la fougère d’eau, dont les propriétés de détoxification d’eaux usées peuvent être testées en classe. Un dernier article pour vous inviter à découvrir ce numéro : savez vous que les hommes et les oiseaux sont les seuls vrais bipèdes ?
SES : Acheter français, un charlatanisme ?
« Peut-on vraiment définir ce que signifie « acheter français » ? Est-ce acheter les produits d’entreprises françaises ? Ou bien n’est-ce pas plutôt acheter des produits fabriqués en France par une entreprise étrangère au lieu d’acheter des produits fabriqués à l’étranger par des entreprises françaises. On le voit bien, à cette seule observation, que ce n’est pas si facile de détecter le « made in France », écrivent dans Le Monde Jean-Luc Gaffard, Sarah Guillou, Lionel Nesta (OFCE Sciences Po). Pour eux, « le slogan « acheter français » masque le refus de voir dans la récession un phénomène global qui appelle une réponse globale à l’échelle européenne, mais aussi le refus d’envisager une politique industrielle volontariste aux dimensions nécessairement transversales ».
L’histoire de la banane réécrite
Il y a 7000 ans, des peuples de Papouasie Nouvelle Guinée cultivaient déjà des bananiers. Il y a 250 ans ceux ci arrivaient en Afrique de l’ouest. C’est toute l’histoire du bananier que des linguistes et des archéologues ont redécouverte.
le Cafe
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