Par François Jarraud
Sylvain Broccolichi : Ce n’est pas le manque d’ambition des familles populaires qui explique les inégalités d’orientation..…
La boite noire de la classe
Rapport parlementaire sur la réforme de l’Etat (RGPP) : « on atteint des limites »… l Des enseignants pris en otage par des parents l Le rapport Grosperrin adopté l Les Rencontres PEP l Comment former les enseignants ? l Etats-Unis : Publication des tests nationaux pou r les zones urbaines.
Développer l’apprentissage jusqu’à quelles limites ? l Les sans – diplôme .
La réussite des élèves passe aussi par la formation psychologique des cadres éducatifs… l Les préfets des études ont leur vade mecum….
Gérer le patrimoine scolaire…
Une exposition-vente de dessins de presse originaux au profit des mineurs isolés étrangers en France l Qu’est ce que la loi ?.
L’APHG prépare des Etats généraux l Un rallye mathématiques transalpin l 3% de chômage.
Sylvain Broccolichi : Ce n’est pas le manque d’ambition des familles populaires qui explique les inégalités d’orientation
Vous avez tous entendu cela. « Si les jeunes de milieu défavorisé optent peu pour les filières prestigieuses c’est parce qu’ils manquent d’ambition ». Il suffirait de les inciter à sauter le pas, de les informer pour lutter contre les inégalités d’orientation. Cette idée bien rassurante, et un brin condescendante, est brisée par un remarquable article de Sylvain Broccolichi et Rémi Sinthon paru dans le numéro 175 de la Revue française de pédagogie. Leur argumentation est imparable. Ils démontrent que ces jeunes en panne d’ambition savent très bien ce qu’ils font. Et ils renvoient le ballon de la famille à l’Ecole… Sylvain Broccolichi nous explique pourquoi.
On a longtemps cru qu’une partie des décalages d’orientation étaient due à un phénomène d’auto-sélection des jeunes de milieu défavorisé. Et vous, vous dites à propos de cela que l’on a fait des « erreurs » et des « omissions ». Ce sont des mots très forts.
C’est à la hauteur des enjeux et du temps qu’on a mis pour compléter ce tableau. Ces erreurs occultaient véritablement la réalité. L’idée qui était émise, c’était que, à résultats égaux, avant la décision d’orientation, les demandes sont différentes selon les milieux sociaux. Les ambitions sont plus élevées chez les jeunes de milieu socialement favorisé. Ce n’est d’ailleurs pas une erreur. L’erreur c’est de parler de sur-sélection. Finalement on disait que les enfants de milieu populaire ont des ambitions moindres et que ça expliquait les écarts d’orientation. Ce qui est masqué c’est que quand on suit le devenir de ces jeunes de milieu populaire, ceux qui semblaient exagérément prudents en fait échouent beaucoup plus que leurs camarades de niveau apparemment à peu près identique. Cela s’explique par le fait que les chances de progresser des élèves au cours des années sont très inégales selon les catégories sociales. Ce fait là est resté méconnu d’une façon très surprenante. On l’a pourtant découvert dans les années 1980 mais on n’en a pas tiré de conséquences.
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L’Éditorial de Francois Jarraud
La boite noire de la classe
Le grave incident de l’école de Berre rappelle qu’en matière éducative tout se joue dans deux espaces largement abandonnés par les responsables du système éducatif : la confiance et la classe.
Face au comportement scandaleux des parents de l’école de Berre, l’opinion semble s’accommoder d’une réponse ambivalente qui à la fois fustige le commando de parents preneurs d’otage et lui donne raison. Tout le monde semble admettre qu’il faut déplacer l’enseignant mis en question par les parents. Ce jeune enseignant a été abandonné par son employeur, l’Etat, Luc Chatel renvoyant à la direction diocésaine, et par son institution, qui finalement ne poursuivra pas les parents. Encore une fois les acteurs, enseignants et parents, sont laissés seuls dans un face à face dont a vu les limites.
Beaucoup de choses ont été écrites sur la façon dont l’école française s’est construite à coté et même contre les parents. Dans l’affaire de Berre, il est significatif que les responsables se soucient fort peu du triste état où se trouvent les enseignants de cette école ce jeudi matin. Comment après cet incident reconstruire avec les parents et les enfants une communauté éducative viable ? Visiblement on laisse se débrouiller parents et enseignants, agresseurs et agressés, avec les enfants au milieu…
Pourtant c’est bien la classe qui est au centre de tout. C’est elle qui est la boite noire des angoisses des parents de Berre. C’est aussi elle où se retrouve tout seul le jeune stagiaire. Le travail de Sylvain Broccolichi et Rémi Sinthon, évoqué dans cet Expresso, le rappelle aussi : toute réforme de l’école, toute politique de lutte contre les inégalités scolaires est vaine si elle ne se pose pas la question de ce qui s’y passe. De Berre à Paris, on préfère souvent envisager l’Ecole sous l’angle de sa gestion (des managers, des évaluations…). Or on ne sortira pas l’école de l’ornière sans poser la question de la formation et de l’accompagnement professionnel. Sans construire le consensus sur ce qu’est la classe du 21ème siècle.
Rapport parlementaire sur la réforme de l’Etat (RGPP) : « on atteint des limites »…
Peut-on évaluer la fameuse « Révision générale des politiques publiques (RGPP) » ? Les représentants de la Nation le doivent. Le rapport des députés F. Cornut-Gentille (UMP, Marne) et Christian Eckert (PS, Meurthe-et-Moselle), réalisé pour les Comités d’Evaluation et de Contrôle des politiques publiques de l’Assemblée, est une véritable bombe à fragmentation. Il nous fait entrer dans le détail des choix et surtout des motivations gouvernementales. Et comme ils prennent en exemple l’Education nationale, ils font pénétrer le lecteur derrière le paravent et donnent à voir la finalité de politiques souvent présentées sous des jours plus flatteurs. Ils réalisent un exercice qui honore la représentation nationale : évaluer sans concession une politique publique sans céder uniquement à la logique partisane. Attention, saignant.
Quel est l’objet de leur enquête ? La désormais célèbre RGPP (révision générale des politiques publiques) qui guide depuis 2007 l’action publique avec l’ambition de mieux pouvoir répondre à des questions essentielles : quels objectifs pour les politiques publiques ? Quels services garantis ? Quelles attentes du public ? Faut-il continuer à faire à l’identique ? Qui doit le faire ? Qui doit payer ? Quels scénarii de transformation pour faire moins cher et plus efficace ? Après tout, qui pourrait contester le principe de vouloir ne pas en rester à la reconduction de l’existant, surtout lorsque les politiques publiques ne parviennent pas tout à fait à faire ce qu’elles promettent ?
Des enseignants pris en otage par des parents
Si les occupations de locaux sont fréquentes dans les conflits de tous ordres qui concernent l’Ecole, ce qui s’est passé dans une école primaire privée catholique de Berre est exceptionnel. Un commando de parents a séquestré cinq femmes, la directrice, deux enseignantes et deux secrétaires, de mardi après-midi à mercredi matin. Pendant tout ce temps elles ont été enfermées, privées de leur téléphone par un petit groupe de parents. Elles n’ont été libérées que sur l’annonce officielle du remplacement de l’enseignant de CM1 de l’école, un jeune stagiaire.
« Les leçons sont un peu longues mais pas mieux structurées« , a expliqué au Monde une mère de famille, Mme Bénédicte Marcon. Elle se plaint que le nombre d’exercices donnés aux enfants est insuffisant et que « les enfants sont livrés à eux-mêmes ».
Pour Yann Diraison, délégué général chargé des relations humaines au Secrétariat général de l’enseignement catholique, interrogé par le Café, « on est hors limite. On est face à une intransigeance absolue des parents » avec un enseignant « qui n’a pas le profil attendu par ces parents là ». « Ce ne sont pas les parents qui décident des enseignants », affirme Y Diraison. Mais de fait l’enseignant est retiré de l’école et un remplaçant a été nommé sur le poste. L’enseignement catholique n’envisage pas de porter plainte. L’école rouvre ce matin. Le jeune enseignant poursuivra son stage dans une autre école.
Le rapport Grosperrin adopté
La Commission des affaires culturelles et de l’éducation de l’Assemblée nationale a adopté mercredi 7 décembre le rapport de Jacques Grosperrin sur la formation des enseignants. Pour ce dernier, « le dispositif actuel de formation des enseignants étant largement critiqué, les propositions approuvées par la mission visent à « réformer la réforme », en améliorant la formation pédagogique et professionnelle des futurs enseignants. Parmi celles-ci ne figurent plus de propositions relatives à la suppression des concours de recrutement ».
Un point de vue qui n’est pas partagé par l’opposition qui a voté contre ce texte. POur le PS, J Grosperrin « après avoir retiré les propositions litigieuses les a réintégrées dans le corps de la 2ème version du texte ». Le PS dénonce la suppression de l’agrégation, le remplacement du concours par le master et le recrutement des enseignants par l’établissement ».
Les Rencontres PEP
Les PEP, le premier propriétaire de centres de vacances français et un important acteur pour l’accompagnement d’enfants et d’adolescents, inaugure aujourd’hui à Paris ses premières Rencontres. Du 8 au 10 décembre les questions des loisirs, de la laicité, du handicap, de la parentalité seront abordées devant plusieurs centaines de délégués.
Comment former les enseignants ?
En Belgique, la formation des enseignants est un objet de débat. C’est ce que nous apprend la lettre d’information de la communauté française. Le 27/01 à Bruxelles et le 31/01 à Namur sont organisés 2 forums-débats ayant pour objectif la validation des résultats de l’évaluation de la formation initiale des enseignants. Les chercheurs du Centre d’études sociologiques des Facultés universitaires Saint-Louis présenteront leur analyse des résultats de l’évaluation. Ce sera l’occasion d’y réagir et d’y apporter des nuances avant finalisation du rapport.
Etats-Unis : Publication des tests nationaux pou r les zones urbaines
IL y a peu de progrès et de changements dans les résultats scolaires grandes zones urbaines américaines. Mais l’office fédéral d’études sur l’éducation, le NCIS, publie deux gros volumes sur l’évolution du niveau en lecture et en maths dans les zones urbaines. Ces résultats très attendus participent du mode de gouvernance du système éducatif basé sur l’évaluation publique des résultats scolaires évalués à partir de testes nationaux à l’image de ce que le ministère a mis en place au Ce1, cm2 et au collège. Aux Etats-Unis cela concerne le Cm1 et la 4ème.
Développer l’apprentissage jusqu’à quelles limites ?
Dans un nouveau numéro de Bref, le Céreq donne largement la parole à Alain Griset, président de l’Assemblée permanente des chambres des métiers et d’artisanat sur le développement de l’apprentissage. Celui-ci milite pour un transfert massif de jeunes des lycées professionnels vers les CFA. « Permettez-moi, à titre d’exemple, de faire état de ce qui se passe dans ma région : le conseil régional du Nord-Pas-de-Calais, qui s’investit beaucoup dans l’apprentissage, nous a demandé de construire un centre de formation sur le même site qu’un lycée professionnel, côte à côte, avec des parties communes pour la restauration, le foyer des apprentis ».
M Griset souhaite que les CFA deviennent des centres de formation ouverts aux demandeurs d’emploi et aux étudiants en échec. « S’il y a plus d’apprentis, il y aura moins de jeunes en lycées professionnels. Il faut, par exemple, étudier l’idée qu’un jeune puisse sortir d’un lycée pro fessionnel avec le bac et continuer vers le niveau III en apprentissage. De même, il faudrait qu’un jeune inscrit à l’université puisse passer, en parallèle, un CAP. Pourquoi ne pas inciter les jeunes qui ont fait une première année d’université sans succès ou sans projet professionnel à rejoindre l’artisanat ». Ainsi se confirme le schéma d’un apprentissage tiré vers le supérieur au détriment de sa fonction d’insertion initiale. « L’alternance dans l’enseignement supérieur mérite d’être développée à la condition qu’elle s’abreuve à d’autres sources que celles qui sont dédiées au développement de l’alternance en direction des jeunes les plus en difficulté. Pourquoi ne pas envisager deux types de systèmes afin de développer l’alternance dans ces deux champs de formation qui aujourd’hui se concurrencent en matière de financement ? », demande le Cereq.
Les sans – diplôme
L’Insee se penche sur une catégorie mal connue : les jeunes sans diplôme. « « La population des personnes sans diplôme est majoritairement masculine… Un homme a 1,6 fois plus de risques qu’une femme de sortir du système scolaire sans diplôme. Cette différence de genre découle notamment des meilleures performances scolaires des filles. La majorité de ces personnes ont quitté l’école sans aucun diplôme (62,3 %) alors qu’un tiers a obtenu le diplôme national du Brevet (BEPC). Les non-diplômés sont aussi plus souvent de nationalité étrangère (8,3 %) ou de nationalité française avec au moins un parent de nationalité étrangère (23,1 %) que ceux sortis avec un diplôme (avec des proportions respectives de 3,3 % et 12,3 %). Les individus sans diplôme sont issus de milieux sociaux moins favorisés que les autres aussi bien en termes de capital économique qu’en termes de capital culturel. Ils ont 2,4 fois plus de chances d’avoir un père ouvrier. Parallèlement, ils ont 2,4 fois plus de chances d’avoir une mère n’ayant aucun diplôme ».
L’étude reconstitue les parcours scolaires des futurs non diplômés. Elle montre des parcours très différents avec deux groupe simportants : ceux qui décrochent au lycée viennent de milieu a&ssez favorisé et ceux qui ont redoublé au primaire et ne vont guère plu sloin que le collège, avec une un investissement scolaire des familles peu important et une origine sociale plus modeste. Un troisième groupe est constitué de garçons qui font un parcours long marqué par des redoublements et qui échouent en CAP avec là aussi un milieu social défavorisé. L’étude met donc l’accent sur le redoublement au primaire comme élément signant une future sortie sans diplôme.
La réussite des élèves passe aussi par la formation psychologique des cadres éducatifs…
« On doit mettre l’accent sur les compétences interpersonnelles autant chez les enseignants que chez les supérieurs. On devrait les intégrer au référentiel de compétences » estime Michelle Perreault, une chercheuse de l’Université de MOntreal. Elle publie une étude sur les conditions qui favorisent de bonnes relations entre enseignants et élèves.
La santé psychologique des enseignants est primordiale. « La santé psychologique au travail est la variable la plus importante et la plus constante. Elle est excellente quand l’individu ressent beaucoup de bienêtre et peu de détresse dans son emploi. «Un enseignant qui se perçoit en bonne santé psychologique entretiendrait des liens plus chaleureux et moins conflictuels avec les élèves ordinaires et à risque», déclare M Perreault. « Le soutien des parents influera positivement sur les liens avec les élèves ordinaires, tandis que l’appui de la direction améliorera les rapports avec les élèves à risque, montre M Perreault. « Le soutien a un effet de contagion: plus l’enseignant est appuyé, plus il appuiera ses élèves à son tour. Il n’y aura pas nécessairement moins de conflits, mais il y aura plus de chaleur dans la relation ».
La chercheuse fait deux propositions. Les écoles devraient développer « une culture de la santé… Il s’agirait de privilégier une reconnaissance des talents et de la créativité du personnel, un regard positif inconditionnel sur chacun, une possibilité de participer aux grandes décisions et une meilleure gestion des conflits ». L’autre proposition c’est de baisser le nombre d’élèves en classe car les classes nombreuses augmentent le risque de conflit.
Les préfets des études ont leur vade mecum
Catégorie nouvelle et mal connue, les préfets des études sont apparus dans les établissements ECLAIR. Eduscol publie un « vade mecum » avec l’objectif de définir une fonction dont il semble bien qu’elle varie d’un lieu à l’autre.
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Gérer le patrimoine scolaire
Le développement des règles de sécurité, la variété des formules proposées à la construction publique (délégation de maîtrise d’ouvrage, contrat de partenariat public-privé…), les réformes de décentralisation : autant de facteurs qui contribuent à la complexité de la gestion des équipements scolaires. Antony Taillefait publie chez Berger-Levrault « Gestion du patrimoine scolaire ». Ce gros ouvrage apporte des réponses précises aux questions que se posent les élus, les fonctionnaires territoriaux ou académiques sur le gestion des établissements. Qui peut utiliser les locaux scolaires et dans quelles conditions ? Comment l’établissement peut-il impliquer davantage sa collectivité locale ? Comment celle-ci peut-elle responsabiliser l’établissement scolaire ? Comment se répartissent les responsabilités en cas de problème ? Comment ouvrir ou fermer un établissement scolaire ? Des questions qui interpellent les responsables au quotidien qu’il s’agisse de questions matérielles, techniques ou juridiques.
Antony Taillefait, Gestion du patrimoine scolaire, Berger Levrault 2011.
Une exposition-vente de dessins de presse originaux au profit des mineurs isolés étrangers en France
A l’occasion de ses 4O ans « France, terre d’asile » organise avec le soutien de la Mairie de Paris, et de nombreux dessinateurs, une grande exposition vente de dessins de presse originaux » France, terre d’asile ? « .
Les bénéfices de la vente seront reversés aux structures d’accueil et d’hébergement pour les mineurs isolés étrangers en France qui sont de plus en plus nombreux. 33 dessinateurs de presse emmenés par Cabu ont « planché » sur le comportement de la France à l’égard de ces étrangers et offrent à la vente 150 dessins originaux ou tirages numérotés selon un éventail de prix adaptés à toutes les bourses. L’exposition-vente se tient à la Galerie des Bibliothèques, 22 rue Malher Paris 4ème , les vendredi 9 ,samedi 10 et dimanche 11 décembre de 13h à 20h. Elle se clôturera le dimanche 11 décembre , journée mondiale des droits de l’Homme.
Qu’est ce que la loi ?
La loi doit-elle être unique ou doit-elle varier selon els catégories de citoyens ? La question est posée dans une intéressante tribune de Damien Perrotin dans Le Monde du 7 décembre. Un texte qui peut aider à amorcer un débat en ECJS.
L’APHG prépare des Etats généraux
Il ne s’agit pas que de réfléchir à la formation des professeurs d’histoire-géographie, mais aussi de demander le rétablissement de l’histoire-géographie en terminale S, des programmes « faisables » en première et plus de temps en 5ème et 4ème. L’APHG, principale association de professeurs d’histoire geographie , organise le 28 janvier des « Etats généraux » à Paris.
Un rallye mathématiques transalpin
Le Rallye Mathématique Transalpin (RMT) s’adresse aux élèves des classes des écoles primaires du CE2 au CM2, ainsi qu’aux classes des collèges de la 6ème à la 4ème. Ses épreuves sont élaborées au niveau international par des équipes italiennes, suisses, belges, luxembourgeoises et françaises, affiliées à l’Association du Rallye Mathématique Transalpin (ARMT).
3% de chômage
C’est tout près de chez nous, en Suisse. Le taux de chômage en Suisse vient de bondir de 2,9 à 3,1%. Le taux de chômage des jeunes est inférieur à 2,1%.
Article de La Tribune de Genève
le Cafe
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