Le mobile est l’endroit le plus naturel pour faire du
social media
Des speakers venant de tous les horizons (annonceurs du secteur des Fast moving consumer goods , entreprises des NTIC comme Microsoft, pure players des social media comme Facebook ou Twitter…) devant 1 200 auditeurs de tous les pays… Ils étaient (tous) là, les 22 et 23 novembre, pour prendre la mesure de l’incroyable mutation qui se profile : celle des mobile et social media. Le marketing mobile sur smartphone, et désormais les tablettes, associé aux réseaux sociaux, est en train de changer profondément la consommation, notamment celle des médias, les modèles économiques et surtout la relation à la marque. Emarketing.fr revient sur ces deux journées d’échanges avec Philippe Rodriguez, vice-président d’EBG et ceo de Mixcommerce. Rappelons que l’EBG est un think tank européen regroupant 550 entreprises et 120 000 professionnels et qui réfléchit sur des sujets comme l’Internet, les nouveaux médias, le marketing interactif.
http://www.e-marketing.fr/Breves/Conference-EBG-Les-enjeux-du-marketing-mobile
Culture pub : les ressorts créatifs
En se pliant à certaines conventions de secteur, les marques prennent le risque de se couper d’une nouvelle source d’inspiration. Voilà pourquoi il est bon de s’interroger sur les bénéfices que pourrait amener un changement d’axe de création lorsque l’on est dans un secteur donné. N’est-il pas judicieux de changer de ressort créatif pour créer la différence et générer à nouveau de l’impact et de la surprise auprès de cibles diverses ? C’est tout l’intérêt de la nouvelle typologie que nous vous soumettons. Elle répertorie les différents formats créatifs disponibles, entourés de leurs avantages et leurs inconvénients.
http://www.ipsos.fr/ipsos-asi/actualites/2011-11-29-culture-pub-ressorts-creatifs
Cloud mobile, l’atout des commerciaux nomades
Le cloud computing s’installe de plus en plus dans le panorama des entreprises. Associé aux terminaux mobiles actuels, ce concept, baptisé cloud mobile, transforme le travail de vos équipes, commerciaux nomades en première ligne. BearingPoint dresse le bilan.
http://www.actionco.fr/Breves/Cloud-mobile-l-atout-des-commerciaux-nomades
Construire un plan d’actions commerciales
Il y a différentes méthodes pour piloter la performance commerciale de l’entreprise. Par exemple, celle du « rétroviseur » qui consiste à regarder ce qui a eu lieu et à en tirer les enseignements, voire, éventuellement, les conséquences. Par manque de temps, plus que par volonté, c’est généralement la méthode qui a tendance à s’imposer naturellement dans les entreprises. Si elle ne réclame aucune action formelle de départ, elle démontre a postériori le constat du fait accompli… L’autre grande méthode consiste à piloter le commerce à l’aide d’une longue-vue et, autant qu’il en est possible, à « prévoir », avant qu’ils n’arrivent, les événements, à estimer les acteurs, les moyens, les méthodes et les actions qui seront nécessaires pour optimiser le développement de l’entreprise et mener dans les meilleures conditions la réalisation des projets, du chiffre d’affaires et des marges brutes nécessaires à toutes entreprises. C’est tout l’objet de la vision stratégique de l’entreprise et des plans d’actions qui lui sont associés. Cette méthode a au moins le mérite de pouvoir comparer l’estimé de l’existant et de porter rapidement des correctifs en cas de dérive.
http://www.netpme.fr/strategie-management/2145-construire-plan-d-actions
Comment le digital révolutionne la relation client
Avec l’avènement du digital, nos clients disposent d’une nouvelle batterie d’outils d’écoute de leur clientèle. Qu’il s’agisse de recueil d’avis de consommateurs, d’analyse des retombées en ligne ou d’audit d’e-réputation, les marques ont largement matière à analyse parmi toutes les données ainsi glanées à partir de sources publiquement accessibles tels que les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter, les forums, blogs et micro-blogs, sites d’e-commerce, etc. On mise ainsi sur les algorithmes et la technologie pour extraire de l’information et l’organiser de manière automatisée. Il s’agit là d’une approche complémentaire aux études classiques. D’un côté, le balayage du Web fait montre de son efficacité en termes de quantité et de granularité dans ce qui est remonté ; une écoute tous azimuts sur le web, clients, prospects et déçus confondus, pas forcément identifiables en tant que tels. De l’autre, les méthodes d’études permettent une meilleure visibilité et qualité de segmentation ; une écoute plus ciblée qui axe les recherches avec une pertinence accrue (analyse des profils des personnes, des moments des interactions…).
http://www.ipsos.fr/ipsos-loyalty/actualites/2011-12-01-comment-digital-revolutionne
Pour séduire les ados, privilégiez le web… et
notamment Facebook, Google et Youtube
Pour communiquer avec les ados, une marque doit d’abord passer par internet. C’est l’un des enseignements de l’étude TNS Sofres « Teens Research Unlimited »). Les teenagers français (1012 interviews réalisées) sont désormais davantage accros au web (cité en premier par 55% d’entre eux) qu’à la TV (42% tout de même). C’est leur première source d’information (pour 68% d’entre eux).
http://lentreprise.lexpress.fr/marketing-et-vente/pour-seduire-les-ados-privilegiez-le-web
E-commerce en France, les comportements des
acheteurs et les sites gagnants
Chaque trimestre, les chiffres du commerce en ligne en France affichent des croissances insolentes. On compte désormais près de 20 millions de Français qui achètent en ligne et pour la période de Noël, ce sont pas moins de 7 milliards d’euros qui devraient être dépensés sur les sites marchands. Pour 2011, le chiffre d’affaires de l’e-commerce devrait dépasser les 37 milliards. Mais au-delà des données brutes, il serait intéressant de se pencher sur les motivations, les choix et les processus d’achats des cyber-acheteurs. C’est à cette question qu’a tenté de répondre Pricewaterhousecoopers à travers une vaste étude menée dans sept pays entre août et septembre dernier. 7000 web-acheteurs (uniquement de produits, pas de services) de 18 ans et plus ont ainsi été interrogés aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en France, aux Pays-Bas, en Allemagne, en Suisse et en Chine. Le premier enseignement de cette étude, relativement étonnant, souligne que la France dispose encore d’un réservoir très important de cyber-acheteurs. En effet, 23% des sondés affirment avoir acheté en ligne pour la première fois l’année dernière. Ce flux constant de primo-acheteurs démontre la capacité de progression encore forte du marché.
http://www.zdnet.fr/actualites/e-commerce-en-france-les-comportements-des-acheteurs
Les dix tendances marketing direct à suivre
La rédaction de Marketing direct magazine a sélectionné pour vous les dix innovations qui ont émergé en 2011. Une petite piqûre de rappel pour tous ceux et celles qui veulent être incollables sur le sujet et être « dans le coup » en 2012.
http://www.e-marketing.fr/Breves/10-tendances-marketing-direct-a-suivre-42932.htm
Le consommateur en a marre de la fin planifiée des
produits
Le « consommateur battant » est un consommateur hyperactif qui, par nécessité ou par jeu, s’est mis à comparer et à tout remettre en cause : les marques, leurs supposées innovations, les prix. Il s’est mis à fréquenter les circuits alternatifs, à arbitrer lui-même… Il s’est approprié les marques. Les 30-40 ans nous disent qu’ils ont toujours connu la crise. Et une partie croissante de la population a une réelle nécessité de compter ses dépenses. La vraie pauvreté monte en France. La classe moyenne, qui concentre l’essentiel de la pression publicitaire et des actions marketing, raisonne de plus en plus comme les classes inférieures.
http://lentreprise.lexpress.fr/marketing-et-vente/le-consommateur-en-a-marre-de-la-fin
Les fans sont de meilleurs ambassadeurs que les
marketeurs
Le terme « splinternet » fait référence au fait que l’expérience digitale est divisée en quatre canaux d’interaction : le Web, les réseaux sociaux, le mobile et la vidéo. Pour aider les professionnels du marketing à savoir sur quel canal ils doivent concentrer leur stratégie, nous avons créé le « splinternet engagement index ». De cette façon, nous avons étudié le degré d’engagement – moyen ou fort – des consommateurs sur chacun des canaux. L’engagement moyen consiste, par exemple, à téléphoner et envoyer exclusivement des SMS via un mobile. L’engagement fort consiste à utiliser d’autres applications, consulter la météo, écouter de la musique, surfer sur les réseaux sociaux. Pour mesurer le niveau d’engagement des consommateurs, nous avons répertorié huit activités pour chaque point de contact (Web, social, mobile, vidéo). Nous avons ainsi pu définir le degré d’activité des consommateurs européens à l’occasion d’une étude réalisée en 2011.
http://www.relationclientmag.fr/Breves/Les-fans-sont-de-meilleurs-ambassadeurs