Par François Jarraud
L’épreuve E5 du BTS NRC invalidée en Ile-de-France
Les syndicats appellent à la grève le 27 septembre……
Le programme UMP pour l’éducation est-il socialement juste ? »
Le CSE adopte plusieurs programmes de terminale l Les départements inquiets pour la rentrée l Enseignement prioritaire : La Fcpe et le Sgen protestent l Les examens questionnés par les chefs d’établissement l Décrochage : Le faux débat de l’Assemblée nationale l Des décrets annoncés sur le règlement intérieur l Deux nouveaux diplômes professionnels l Classes prépas : Quelle ouverture sociale ?.
Henriette Zoughebi : « Les lycéens ne se sentent pas écoutés » l Un cahier de vacances pour les HEC.
Des concours pour valider le B2i et plus… l Le sevrage numérique est-il éducatif ?.
Les expérimentations en sciences et technologie au collège…
2ème Festival international des droits de l’Homme de Nantes.
Alfred : un serious game sur les phénomènes naturels l Le Concours national de la Résistance l Programmes spécifiques des sections espagnoles.
FLASH SPECIAL
L’épreuve du BTS NRC invalidée
Selon l’AFP, l’épreuve E5 du BTS NRC qui a fait l’objet de plaintes pour fraudes, est invalidée. Les candidats franciliens seront convoqués pour repasser l’épreuve le 26 dimanche 26 juin.
Les syndicats appellent à la grève le 27 septembre
Les syndicats d’enseignants devraient lancer le 10 juin un appel à une journée de grève le 27 septembre. Le mouvement entend ainsi s’opposer aux suppressions de postes et aux fermetures de classe (1500 au primaire à la rentrée). Pour le Snuipp, « les hésitations du chef de l’Etat » , qui a annoncé le 9 juin un assouplissement au primaire, s’expliqueraient par les décisions des élus mais aussi par la mobilisation syndicale.
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L’Éditorial de François Jarraud
Le programme UMP pour l’éducation est-il socialement juste ?
Lors de la « convention pour la justice sociale », le 9 juin, l’UMP a adopté des propositions « pour la justice sociale ». Plusieurs concernent l’Ecole. Sont-elles socialement justes ?
Il faut beaucoup de culot à l’UMP pour affirmer viser « améliorer l’accompagnement de la petite enfance, notamment pour les enfants de milieux défavorisés » en ouvrant les jardins d’éveil. L’UMP reconnaît que « l’éveil préscolaire des enfants est un atout pour préparer l’apprentissage de la lecture, notamment pour les enfants de milieux défavorisés ». Elle a inventé les « jardins d’éveil » qui sont des structures payantes. Ceux-ci remplacent la scolarisation dès 2 ans en maternelle qui avait l’avantage d’être gratuite pour les familles et, effectivement d’avoir un effet positif sur la scolarité des enfants. Alors que la rentrée 2011 va voir la disparition des dernières classes de 2 ans, la politique suivie par les président détourne les enfants des familles défavorisées des structures d’accueil des enfants et renforce les inégalités.
Les enfants de ces familles sont rattrapées à nouveau plus loin par une autre mesure projetée par l’UMP : les section métiers études. « Pourquoi ne pas ouvrir des classes «métiers-études» sur les modèles des classes «sport-études» pour permettre aux jeunes qui le souhaitent d’axer une partie de leur enseignement sur le monde professionnel, la découverte des métiers et les savoir-faire techniques? » demande l’UMP. Tout simplement parce que le temps accordé à l’entreprise est retiré à l’enseignement général et marginalise les jeunes qui le suivent. Il rendrait impossible la poursuite d’études dans le secondaire supérieur. Ce que propose l’ULMP c’est la relégation d’une partie des enfants par une orientation précoce. Gageons que les enfants envoyés dans ces sections métiers études seraient rarement ceux des classes supérieures…
L’idée d’établissement scolaire par classe avancée par JF Copé lors du premier « rendez-vous » de la présidentielle, est présentée elle aussi comme sociale . « Il s’agit d’en finir vraiment avec la carte scolaire et d’instaurer une vraie mixité sociale à l’école » en regroupant les enfants par classe et non par secteur. En augmentant les ruptures à l’intérieur du système éducatif, elle augmenterait les difficultés des élèves les moins à l’aise à l’école. En introduisant une nouvelle rupture en fin de 5ème elle faciliterait la mise en place d’une pré orientation dès la 4ème vers les classes métiers études. C’est semble-t-il son réel objectif.
Si l’on en croit PISA, la France se caractérise par sa très forte inégalité sociale dans l’accès à l’éducation. La part des élèves en échec scolaire grave progresse et atteint 20% en même temps que celle des élites augmente lentement. Autrement dit le système éducatif est en train d’éclater entre un système élitiste accueillant les enfants des bonnes familles et des écoles populaires où les difficultés s’accumulent. Les remèdes à cette situation sont connus : investir dans le pré-élémentaire, faire tronc commun sur la plus grande partie du parcours. Les choix de l’UMP se situent exactement à l’inverse de cette politique en affaiblissant le pré-élémentaire, qui était un des points forts de notre système, et en revenant aux filières parallèles dans el premier cycle du secondaire disparues depuis 1975. Le programme UMP aggraverait les inégalités scolaires et ramènerait la France à la situation des années 1970, où seulement un jeune sur 4 accédait au bac.
Novembre 2010 le Rendez-vous UMP
Le CSE adopte plusieurs programmes de terminale
Le conseil supérieur de l’éducation (CSE) s’est réuni le 9 juin pour l’adoption des programmes de terminale. Plusieurs programmes ont reçu des votes majoritairement positifs. C’est le cas du programme de physique – chimie a reçu 25 voix favorables (Unsa Sgen Fcpe) contre 21 (Fsu), d’histoire-géographie en ES et L (27 pour 19 contre), de celui d’informatique et sciences du numérique (20 pour 17 contre). Pour Claire Krepper, du Se-Unsa, le programme de physique-chimie « constitue une nouvelle approche de la discipline, tournée vers la résolution de problèmes. Les remontées du terrain montre des inquiétudes et il faudra un véritable accompagnement enterme de formation » pour sa prise en main.
Le programme de SVT a obtenu autant de voix positives que négatives.
Les autres programmes ont été rejetés par le CSE. Celui de maths en série S est refusé par 27 contre. Ce programme s’appuie sur les TICE. Le programme d’histoire-géo en série S est également refusé par 24 voix contre faute, selon C Krepper, de certitude sur son implantation. Le programme de SES, malgré l’effort d’adaptation aux critiques formulées par l’Apses, est rejeté par 16 voix négatives contre 10. C’est el cas aussi du programme de Droit et grads enjeux du monde contemporain (30 contre) qui a semblé comme trop juridique, « trop notionnel et trop lourd ».
Les départements inquiets pour la rentrée
« Unanimes pour craindre une rentrée scolaire perturbée et difficile », les départements de FRance ont écrit le 9 juin à Luc Chatel pour lui demander une négociation sur les moyens déployés à la rentrée. Après l’Association des maires de France, l’Assemblée des départements souligne l’écart entre les suppressions de postes en collège (- 4800) et l’arrivée de 40 000 élèves supplémentaires.
« Nous remarquons d’ores et déjà que la plupart des dotations horaires globales (DHG) pour 2011/2012 ne sont pas adaptées aux besoins des collèges, au point que dans beaucoup d’académies, les conseils d’administration des collèges sont nombreux à rejeter les propositions de DHG formulées. A l’image de ce qui se passe dans le primaire, notamment dans les départements ruraux, la situation risque de devenir très rapidement intenable dans certains établissements », écrit Claudy Lebreton pou rl’Assemblée des départements.
Enseignement prioritaire : La Fcpe et le Sgen protestent
« L’absence de tout dialogue en ce domaine et la brutalité des décisions prises signent « le dépôt de bilan des Zep » voulu par le président Sarkozy », écrit le Sgen-Cfdt après la confirmation de l’extinction des RAR à la rentrée 2011. « Le Sgen-CFDT ne peut que condamner la généralisation du programme Eclair à l’ensemble des RAR sans aucune évaluation des résultats et du bien fondé de ce dispositif créé pour lutter contre la violence, quoi qu’en dise le directeur général », poursuit le syndicat, faisant allusion aux propos recueillis par le Café le 9 juin.
« Quand donc se décidera-t-on à faire décider par le Parlement, dans un débat transparent et contradictoire, les mesures qui régissent l’Education nationale ? Ainsi, un ministre de l’Education nationale peut décider, seul et en catimini, de rayer d’un trait de plume le dispositif de l’éducation prioritaire », s’indigne également la FCPE.
Les examens questionnés par les chefs d’établissement
« Si les personnels de direction, chefs de centre d’examen, sont résolus à lutter contre la fraude, si difficile que cela soit dans les conditions où ils se trouvent, le SNPDEN-UNSA souligne que l’évolution prévisible des techniques posera inexorablement la question de la forme des examens : il devient nécessaire de cesser de contourner constamment cette question« . Le premier syndicat de chefs d’établissement souligne que les épreuves longues rendent le passage aux toilettes obligatoire et qu’on peut avec un smartphone y tricher ou que les calculatrices personnelles sont devenues incontrolables.
Décrochage : Le faux débat de l’Assemblée nationale
L’Assemblée nationale a longuement débattu le 9 juin de la proposition de loi socialiste sur la lutte contre le décrochage scolaire. Un débat qui a eu l’avantage de faire apparaitre des chiffres sur le décrochage mais n’a pas réussi à faire l’unanimité sur les moyens.
« Entre juin 2010 et mars 2011, quelque 250 000 jeunes ont été touchés par le fléau du décrochage, dont 72 000 sont suivis par les missions locales, les 180 000 élèves restants ayant quitté le système scolaire sans diplôme et sans information sur leur situation – des jeunes que nous avions perdus de vue », a précisé Luc Chatel. « Le travail que nous avons engagé permet dorénavant de les connaître, donc de les contacter et de traiter leur cas individuellement ».
La proposition de loi socialiste visant à lutter contre le décrochage scolaire appelle tout simplement à la suppression de la loi Ciotti. Elle repose sur trois mesures. « La première propose l’allongement de la durée de la scolarité obligatoire en l’anticipant (article 1er). La seconde met en place un dispositif de continuité éducative pour les élèves exclus, de façon temporaire, d’un établissement (articles 2 à 5), qui pourra s’appuyer sur la poursuite de l’intervention des enseignants du réseau d’aides spécialisées aux élèves en difficulté (RASED) dans les collèges (article 6). Enfin la dernière abroge la loi n° 2010-1127 du 28 septembre 2010 visant à lutter contre l’absentéisme scolaire, au contenu aussi inutile que stigmatisant (article 7) ». Le projet abaisse l’âge de la scolarité obligatoire à 3 ans. Il prévoit la création de « cellules de veille éducative » dans tous les établissements scolaires. « La prévention du décrochage doit en effet être centrée sur l’établissement scolaire et l’équipe éducative, en y associant les familles dont cette équipe doit être le partenaire privilégié ».
Luc CHatel a vivement défendu la loi Ciotti, qui supprime les allocations familiales aux familles des enfants absentéistes. « Les chiffres sont là, incontestables, attestant que le dispositif fonctionne puisqu’il remplit sa première mission : celle de ramener les élèves à l’école. Depuis le 24 janvier dernier, on dénombre, sur l’ensemble des académies, 27 917 premiers avertissements adressés aux familles par les inspecteurs d’académie, directeurs départementaux de l’éducation nationale. À la suite de ces 27 917 signalements, l’immense majorité des élèves est retournée à l’école puisque nous n’avons dû opérer qu’auprès de 6 280 d’entre eux un deuxième signalement, celui-ci n’ayant lui-même fait l’objet que de 51 suspensions effectives d’allocations familiales dans l’ensemble des départements ». Ces chiffres révèlent surtout que la loi Ciotti est inapplicable. Le nombre d’élèves absentéistes au sens dela loi est très supérieur aux chiffres fournis.
Quelle efficacité pour la loi Ciotti ?
Absentéisme, statistiques et tutti Ciotti
Des décrets annoncés sur le règlement intérieur
Lors du débat sur le décrochage scolaire, Luc Chatel a affirmé avoir signé deux décrets sur le réglement intérieur qui entreront en vigueur à la rentrée. » À la suite de ces préconisations, j’ai décidé de remettre la règle au cœur de l’école, de limiter à moins de huit jours la durée des exclusions temporaires et de réduire le nombre des exclusions définitives en créant une mesure de responsabilisation, prenant la forme d’activités d’intérêt général. Je viens de signer deux décrets à cet effet et cette réforme entrera en application dès la rentrée 2011. »
Deux nouveaux diplômes professionnels
Le B.O. du 9 juin annonce la création du bac pro « façonnage de produits imprimés » et du CAP « Transport fluvial ». La première épreuve entre en application e n 2014, la seconde en2013.
Certificat d’aptitude professionnelle
Classes prépas : Quelle ouverture sociale ?
Le B.O. du 9 juin publie une circulaire demandant aux classes prépas d’atteindre 30% de boursiers. « Le taux de 30 % d’étudiants boursiers en CPGE, fixé par le président de la République pour la rentrée 2010, et non encore atteint dans certains établissements, demeure un objectif primordial : il s’impose à tous les établissements et pour chaque grande filière de formation. Il convient de poursuivre et d’amplifier les efforts, afin que les CPGE soient pleinement représentatives de la diversité », affirme la circulaire. Un bel objectif mal servi par les termes de la circulaire qui ne fixe ni quota ni discrimination positive et dont le critère est flou :le premier degré de bourse (taux 0) correspond aux revenus des classes moyennes.
Une semaine dans la tasse de l’Expresso
Les articles les plus lus cette semaine dans L’Expresso
Chatel avance ses idées en matière d’évaluation des enseignants
Avec le fameux document publié par le Café dès le 7 juin
La triche, les portables et la RGPP
Suppression des RAR : Le ministère confirme
Mutations : Les portes de sortie
Journées de l’innovation : Le retour de l’innovation fêté par le ministère
Innovation : Comment la pédagogie de projet peut donner du sens à la réforme du lycée
Les professionnels des TIC formeront les professeurs à la culture numérique
Innovation : Une tablette comme médiateur
Olympiades des maths 2011 : Un grand cru mais sans surprise
Luc Chatel signe avec Facebook contre le cyber-harcèlement
Henriette Zoughebi : « Les lycéens ne se sentent pas écoutés »
Entre mars et mai, Henriette Zoughebi, vice-présidente du conseil régional d’Ile de France chargée des lycées, s’est rendue dans 15 établissements (publics, privés, agricoles) pour y rencontrer quelque 2 000 lycéens et les écouter parler de leurs situations et de leurs projets. Un de ses constats rejoint les résultats de la consultation de 2000 : les lycéens ne se sentent pas vraiment écoutés.
Un cahier de vacances pour les HEC
Les maternelles avaient déjà le leur. Voilà maintenant les prépas HEC dotées d’un cahier de vacances publié par L’Etudiant…
Des concours pour valider le B2i et plus…
Le B2i ça sert à chanter ? Les TICE à découvrir la société ? Le groupe ? Soi-même ? Jeudi 9 juin l’Onisep et le Syntec remettaient les prix du concours « Découvrez les métiers de l’informatique et validez le B2i ». Une appellation qui rend mal compte de ce qu’ont vécu ces collégiens et lycéens , entraînés dans un projet collectif qui amis en valeur leurs qualités humaines et pas seulement numériques et qui leur a fait prendre contact avec la « vraie » vie, celle des métiers du numérique.
Le sevrage numérique est-il éducatif ?
« Les expériences de sevrage numérique sont d’abord des opérations de communication et séduction. Utilisant les mêmes procédés médiatiques elles agitent volontairement l’idée de mise à distance pour faire prendre conscience de la présence », écrit Bruno Devauchelle sur son blog. « En soi cela peut sembler une bonne chose. Mais la difficulté est de passer de la séduction de l’idée à l’appropriation de l’idée. Les expériences de ce type s’emparent surtout des réactions à chaud des participants mais ne proposent que rarement voire jamais une analyse en profondeur. Les initiatives de formation des adultes et des jeunes tentent d’aller dans un autre sens et d’intégrer cette mise à distance au sein même des pratiques des ces outils… L’urgence éducative, dans notre monde actuel, est de travailler non pas à la seule recherche du sens, mais surtout à sa permanente construction par les sujets. »
Défi sans écran une solution à quel problème ?
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Les expérimentations en sciences et technologie au collège
Comment se passe le déploiement de l’enseignement intégré des sciences et de la technologie, officiellement recommandé par le ministère ? La Note n°4 du CREN publie une étude d’Isabelle Harlé et Xavière Lanéelle qui explique que sa diffusion se heurte à des résistances professorales. « Tout en adhérant aux objectifs officiels des expérimentations (introduire les élèves à la culture scientifique et technologique, valoriser les choix d’orientation vers des filières technologiques), les enseignants rencontrés se montrent prudents : les expérimentations soulèvent des questions vives relatives à l’extension de leurs spécialités, à la réduction des volumes horaires et des postes », relèvent les auteurs. Si l’interdisciplinarité implique décloisonnement des savoirs et des disciplines, circulation de l’information, intégration de l’équipe enseignante, transparence des pratiques, elle agite également le spectre de la bivalence, de la suppression de certaines options ou spécialités ».
2ème Festival international des droits de l’Homme de Nantes
Du 14 au 19 juin, Nantes accueille le 2ème Festival international des droits de l’Homme. Pour sa seconde édition, il propose aux élèves et étudiants pendant une semaine, un temps de rencontre et de débat unique entre réalisateurs, monde associatif et grand public autour de projections de films documentaires de l’année écoulée. Un tarif spécial scolaire est prévu.
Alfred : un serious game sur les phénomènes naturels
Destiné aux enfants de 9 ans, Alfred est un jeu gratuit sur les phénomènes naturels. Il permet de découvrir des phénomènes naturels : météorite, feux follets, ultrasons etc. En parcourant le jeu, les enfants engrangent de nombreuses informations sur la faune et la flore. Le jeu est produit par Radio Canada et un Fonds canadien de télévision.
Le Concours national de la Résistance
Pour l’année 2012, le jury national a arrêté le thème suivant : « Résister dans les camps nazis ». « On présentera les différentes formes qu’a pu prendre cette résistance et les valeurs qu’en transmettent les déportés par leurs témoignages ».
Programmes spécifiques des sections espagnoles
Deux textes publiés au B.O. du 9 juin fixent le programme des épreuves spécifiques du bac dans les sections espagnoles et les romans espagnols actuels au programme des épreuves spécifiques dans les sections espagnoles pour les sessions des années 2012, 2013 et 2014.
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