Par François Jarraud
Les enseignants du secondaire favorables à l’allongement de leur présence dans l’établissement ?……
Les enfants immigrés sont-ils condamnés à l’échec scolaire ?
Masters en alternance : bricolage ou solution ? l Agrégation d’histoire : Pas de nouvelle épreuve l Le Sgen fustige les fausses expérimentations de l’Education nationale l Education artistique : Quelle place pour les collectivités locales ? l Tsunami anti-prof en Angleterre.
Sophie a 50 ans ! l Festival Expresso de la presse jeune
Universcience met en place un grand pôle de ressources numériques l « Défi sans écrans » : une solution à quel problème ? l Collège : Banque de situations d’apprentissage pour la compétence 3 (maths).
Colloque de l’ANCP les 30-31 mai…
Les SVT face aux compétences l L’OCDE crée l’indice Vivre mieux.
Les enseignants du secondaire favorables à l’allongement de leur présence dans l’établissement ?
Selon un sondage CSA réalisé pour le Snes, une courte majorité d’enseignants ne serait pas défavorable à l’allongement de la présence dans l’établissement.
Réalisé en avril dernier, le sondage du Snes affirme généralement le refus des réformes. Ainsi les enseignants rejettent l’évaluation par le chef d’établissement (64%), l’autonomie des établissements (76% pour les programmes par exemple) et l’approche par compétences. Mais 60% des enseignants accepteraient un allongement du temps de travail en échange d’une contrepartie en salaire ou en horaire d’enseignement.
Dans l’oeil du cyclone. Cette information est moins anodine qu’il n’y paraît. Alors qu’on attend le rapport sur les rythmes scolaires elle ouvre une voie nouvelle. L’allongement de la présence des enseignants du secondaire dans leur établissement fait partie des idées qui circulent au sommet. La tentation doit être forte d’avancer sur un chemin qui allègerait nettement le budget. D’après le sondage la majorité des enseignants y mettent des conditions et une forte minorité s’y oppose. Ce peut être par exemple le cas des enseignants qui travaillent dans la formation. Si on veut avoir des enseignants plus présents il faudra commencer par envisager de les payer réellement…
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L’Éditorial de François Jarraud
Les enfants immigrés sont-ils condamnés à l’échec scolaire ?
Les propos de Claude Guéant n’en finissent plus de susciter des réactions. Qu’en est-il vraiment de la réussite scolaire des immigrés ?
Dimanche 22 mai, le ministre de l’intérieur a déclaré : « Contrairement à ce qu’on dit, l’intégration ne va pas si bien que ça : les deux tiers des échecs scolaires, c’est l’échec d’enfants d’immigrés ». Avant de préciser le 24 mai : « Ces chiffres sont tout simplement ceux que donnent tant l’Insee que l’Ocde ».
Les propos ministériels ont vivement choqué. Le Se-unsa estime que « sans doute obsédé par la course à l’échalote engagée avec le Front national, le ministre de l’Intérieur dépasse les bornes. Les chiffres avancés ne s’appuient sur aucune réalité statistique. Pointer ainsi du doigt, non seulement les immigrés, mais aussi leurs enfants, est indigne d’un ministre de la République ». La Fcpe parle de « statistiques loufoques » et évoque des boucs émissaires responsables de tous les maux de la société. Pour le Snuipp, « cette politique de mise à l’index des familles immigrées est indigne d’un ministre de la République. Elle est également diffamante. Les études sociologiques démontrent qu’à conditions sociales égales, les enfants d’immigrés réussissent aussi bien voire même mieux que les enfants français d’origine ». Enfin le Sgen Cfdt estime que « les propos du ministre de l’intérieur sont beaucoup plus graves… car ils témoignent d’une xénophobie, d’un communautarisme de plus en plus assumé et revendiqué ». Il est vrai que dans plusieurs pays européens de tels propos vaudraient licenciement pour un simple gardien de la paix.
Puisque le ministre s’abrite derrière l’OCDE, observons ce que celle-ci nous dit sur la réussite scolaire des immigrés. Le document ci-dessous, extrait de Pisa 2009, éclaire le rapport entre origine étrangère et réussite scolaire. On peut y lire qu’en effet, en France, les résultats scolaires des enfants immigrés sont moins bons que les nationaux. La France fait partie des pays où l’écart est le plus fort, ce qui semble donner raison à Claude Guéant, du moins si on oublie la composition sociale propre aux familles immigrées.
Mais le document accuse surtout le gouvernement dans lequel siège C Guéant. Il montre que ces résultats sont indépendants du nombre d’immigrés. Avec le même nombre, le Royaume-Uni, par exemple, obtient un écart scolaire beaucoup plus faible. Mais il est vrai que c’est un pays où les propos de Claude Guéant ne seraient pas admis dans la police… Enfin le graphique montre aussi que dans 9 des pays de l’OCDE les résultats des enfants immigrés sont meilleurs que ceux des nationaux. C’est le cas par exemple en Australie.
Il n’y a pas une fatalité qui pousserait les enfants immigrés à l’échec scolaire. Leur réussite scolaire varie selon les pays indépendamment de leur nombre. L’OCDE montre que ce sont les systèmes éducatifs qui créent la différence. L’honneur et l’intérêt de la France ce serait d’essayer d’aller vers les résultats britanniques ce qui supposerait une autre politique d’éducation prioritaire et de ne pas flatter les préjugés racistes. Si en France les têtes brunes réussissent statistiquement moins bien que les têtes blondes ce n’est pas parce qu’elles sont sombres. C’est aussi la faute à Guéant.
Masters en alternance : bricolage ou solution ?
Pour les syndicats la formation des enseignants par un master en alternance ne répond pas aux besoins.
« L’engagement du président en janvier d’améliorer la formation des enseignants et de la remettre sur le métier n’est pas tenu », nous dit Sébastien Sihr, secrétaire général du Snuipp. « Ce nouveau dispositif est loin de répondre aux principes de l’alternance qui doivent guider une professionnalisation de qualité. Celle-ci nécessite des allers-retours construits entre théorie et pratique, avec un accompagnement fort par des équipes de formateurs. Il n’en sera rien. Tout donne à penser que les stagiaires seront plutôt jetés dans l’arène. Ce dispositif est avant tout guidé par la volonté de nouvelles économies budgétaires. En effet, il va permettre d’utiliser les étudiants comme une variable de remplacement pour pallier le manque de postes, sur un coût bien inférieur à la rémunération d’enseignants remplaçants titulaires. Ce choix va se traduire par l’introduction de la précarité au sein des écoles. Ces masters ne sont pas au service de la formation et des besoins des stagiaires. Ils ne constituent pas la bonne réponse ni pour la formation ni pour le remplacement des enseignants ».
« Moitié économies, moitié embrouilles ». Pour Christian Chevalier, secrétaire général du Se-Unsa, « une alternance digne de ce nom recouvrirait une tout autre réalité. Elle impliquerait que l’étudiant passe près de la moitié de son année en stage. Elle demanderait également un accompagnement du stagiaire pendant sa mise en situation. Ce sera loin d’être le cas et les étudiants se retrouveront projetés sur le terrain. Encore une fois, la tentative d’habillage ne saurait masquer l’approche budgétaire de la mesure. En effet, ce dispositif permettra aux Recteurs de faire coup double. En premier lieu, ils pourront pallier la pénurie chronique de remplaçants. Dans le même temps, cerise sur le gâteau, ils réaliseront de substantielles économies puisque les étudiants coûteront entre 10 et 50% de moins qu’un contractuel ou un remplaçant en titre ».
« Les deux ministres ne veulent absolument pas rouvrir le chantier de la formation des enseignants, contrairement aux annonces du Président de la République en janvier : ce serait, à rebours des décisions qu’ils ont prises depuis l’an dernier, reconnaître qu’enseigner est un métier qui s’apprend », écrit le Snes. « Ils font au contraire le choix, à travers ce dispositif de « masters en alternance », de précariser encore plus les étudiants qui se destinent à nos métiers, et paradoxalement, de réduire le niveau de recrutement ! »
La professionnalisation par l’alternance vantée par Luc Chatel
Agrégation d’histoire : Pas de nouvelle épreuve
Les candidats à l’agrégation d’histoire n’auront pas à recomposer après le bruit fait autour d’un document donné en médiéval. « Si le ministère comprend tout à fait que cette situation puisse faire réagir ceux qui enseignent et aiment l’histoire, il apparaît qu’en l’espèce l’égalité de traitement a été maintenue entre tous les candidats et que l’épreuve n’était pas hors programme », écrit le ministère. « Par conséquent, il n’existe aucun motif qui puisse conduire, en droit, à l’organisation d’une nouvelle épreuve, à quelques semaines du début des oraux d’admission ».
Le Sgen fustige les fausses expérimentations de l’Education nationale
« Derrière le paravent de l’expérimentation présentée comme essentielle par la circulaire de rentrée, se révèle le maintien d’un mode de gouvernance archaïque et aveugle, en complet décalage avec les réalités« , écrit Thierry Cadart, secrétaire général du Sgen Cfdt, dans une lettre adressée à Luc Chatel le 24 mai. « Plus grave encore, par l’application du dogme budgétaire, il décourage les personnels et accroît chaque jour un peu plus une forme de désespérance auprès des personnels, incompatible avec toute démarche de projet et d’expérimentation réelle ». La lettre montre notamment que « l’expérimentation est utile et nécessaire à condition qu’elle soit élaborée et portée par les personnels qui la mettent en œuvre, et que le projet qui peut s’étendre sur cinq ans préserve les marges d’autonomie et de moyens nécessaires. C’est exactement le contraire de ce que met en place le ministère ».
Education artistique : Quelle place pour les collectivités locales ?
Quelle place pour les collectivités locales dans l’éducation artistique et culturelle ? « À partir d’une observation menée en Nord – Pas-de-Calais et dans les Pays de la Loire… l’étude analyse les différentes configurations et stratégies développées à l’échelon territorial », annonce une étude du ministère de la Culture réalisé epar Françoise Enel. « L’analyse des situations étudiées permet de dégager cinq configurations locales de mise en oeuvre de l’éducation artistique et culturelle : une politique intégrée, tout au moins dans son projet, même s’il peut exister des écarts entre le projet et sa réalisation ; une approche ciblée autour d’axes stratégiques identifiés ; une gouvernance multipolaire, animée par des acteurs de statuts différents ; une approche segmentée, caractérisée par la juxtaposition d’un certain nombre d’actions et de dispositifs portés par des acteurs différents, qui peuvent se trouver en situation de concurrence; une situation où l’impulsion est externe, dans des territoires où la sensibilisation à l’éducation artistique et culturelle est rythmée par la participation à des projets initialisés par des acteurs institutionnels ou associatifs extérieurs à la zone ».
Tsunami anti-prof en Angleterre
Dès la rentrée, une nouvelle législation permettra de licencier rapidement et facilement les « mauvais profs », annonce le ministre de l’éducation britannique.
Partie des Etats-Unis, la vague conservatrice n’a pas mis longtemps à traverser l’Atlantique. Une nouvelle législation donnera la possibilité aux chefs d’établissement et aux directeurs d’école de licencier en moins de trois mois les « mauvais profs », a annoncé le 24 mai le ministère de l’éducation. Pour M. Gove il s’agit de « défendre les intérêts des enfants qui souffrent quand un enseignant en difficulté n’est pas aidé ou changé ». La secrétaire général de l’Association des chefs d’établissement juge cette mesure nécessaire. Ce n’est pas l’avis de la secrétaire générale de l’ATL, un syndicat d’enseignants. « Au lieu d’aider les enseignants à devenir meilleurs on donne la possibilité aux chefs d’établissement de se débarrasser des profs qu’ils n’aiment pas ».
En France le gouvernement donne aux chefs d’établissement une place plus grande dans l’évaluation des enseignants en les chargeant des bilans de carrière.
Etats-Unis : La révolution conservatrice touche l’Ecole
Sophie a 50 ans !
La célèbre girafe en caoutchouc célèbre le 25 mai son demi-siècle. Toujours plébiscitée par les familles (la société Vuilli annonce 816.000 girafes vendues en France en 2010 pour 830.000 naissances), Sophie a bravement traversé ses cinq décennies au prix de quelques modestes opérations de relookage : les pommettes roses, les yeux agrandis style manga et quelques adaptations de morphologie lui ont permis de garder sa place dominante sur le marché des doudous.
Festival Expresso de la presse jeune
Organisé par l’association Jets d’encre, le Festival Expresso réunit 300 jeunes journalistes, lycéens , collégiens et étudiants, à Paris les 28 et 29 mai pour un concours original. En 15 heures ils auront à réaliser un numéro spécial de leur journal dans les conditions du direct. Seront présentes les équipes d’un seul collège (Descartes à Châtellerault), de trois grandes écoles, ainsi que 29 équipes lycéennes, venues généralement des lycées les plus réputés (Thiers à Marseille, le Parc à Lyon, Saint Sernin à Toulouse, Say à Paris).
Universcience met en place un grand pôle de ressources numériques
Comment mieux valoriser et mettre à disposition tous les contenus pédagogiques produits par la Cité des sciences et le Palais de la découverte ? Universcience, qui regroupe maintenant les deux entités, nous promet en effet des contenus scientifiques et techniques et des outils mis à disposition des enseignants. De quoi donner le goût des sciences, nous explique Jean-Marc Merriaux, chargé de préfigurer ce grand pôle de ressources numériques.
« Défi sans écrans » : une solution à quel problème ?
Une bonne cause peut-elle avoir de mauvais arguments ? C’est la question que pose le « défi sans écrans », lancé le 24 mai par l’Enseignement catholique. Ce dispositif qui vise l’éducation aux médias, une cause que tout éducateur partage, tend malheureusement à diaboliser le monde numérique.
Collège : Banque de situations d’apprentissage pour la compétence 3 (maths)
Eduscol met en ligne une banque d’activités mathématiques pour « aider les enseignants de mathématiques à mettre en oeuvre la formation et l’évaluation par compétences, conformément aux ambitions du socle commun« . Chaque fiche proposée décrit la situation et les consignes données aux élèves; propose des modalités de mise en œuvre; repère dans la grille de références les connaissances et les capacités mises en jeu et explicite des aides possibles pour ceux des élèves qui ne parviendraient pas à résoudre en autonomie le problème posé.
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Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
Colloque de l’ANCP les 30-31 mai
« Comment mettre en place une pédagogie spécifique à ce projet humaniste ? » interroge l’Association nationale des conseillers pédagogiques. Les 30 et 31 mai elle organise à Tours son 46ème congrès avec comme thème « la culture humaniste à l’école pour l’Europe de demain ». Le congrès vise à « proposer aux enseignants, par l’intermédiaire des conseillers pédagogiques, des outils de formation pour développer la culture humaniste dans les écoles ».
Les SVT face aux compétences
En pointe sur l’approche par compétences les SVT doivent malgré tout « affronter le défi commun » conclue Brigitte Hazard, inspectrice générale, au terme d’un rapport sur « la mise en oeuvre du socle et l’évolution d’une discipline ».
Le rapport est davantage prétexte à montrer des « bonnes pratiques pédagogiques » qu’à évaluer la réalité des pratiques de terrain. « Il s’agit de regarder comment cette discipline contribue à la validation de la maîtrise du socle commun de connaissances et de compétences et comment elle doit évoluer », écrit-elle.
Pour elle, « les sciences de la vie et de la Terre représentent une discipline qui est engagée depuis de nombreuses années dans la formation par compétences ». Mais « la mise en oeuvre du socle impose de passer de l’implicite d’une moyenne et d’une moyenne de moyennes à l’explicite des compétences. Le risque est de placer le balancier à l’opposé en atomisant les observables et d’évaluer séparément des connaissances et des capacités (voire des attitudes). Notre discipline se trouve ainsi face à un défi commun, celui de la validation des connaissances et des compétences, défi qu’elle ne relèvera pas seule ».
L’OCDE crée l’indice Vivre mieux
« Cet outil fait partie intégrante de l’Initiative « Vivre mieux » de l’OCDE qui vise à mesurer le bien-être et le progrès. L’indice permet aux citoyens de comparer leur bien-être au sein de 34 pays sur la base de 11 dimensions – logement; revenu; travail; communauté; éducation; environnement; gouvernance; santé; bien-être subjectif; sécurité; et conciliation travail et vie privée – en leur offrant la possibilité d’accorder un poids variable à chacune de ces dimensions », annonce l’OCDE. Ainsi la France, avec son PIB supérieur à la moyenne de l’OCDE, son espérance de vie, son taux de diplômés, son taux d’emploi, se situe dan sle peloton de tête du « mieux vivre ». De la même façon le taux de participation politique est supérieur à la moyenne. N’empêche seulement 51% sont satisfaits de leur vie. C’est bien en dessous de la moyenne de l’OCDE. C’est aux Pays-Bas, Danemark et Finlande que les habitants sont le plus satisfaits de leur vie et en Hongrie, Turquie, Estonie et Slovaquie qu’ils le sont le moins.
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