Par François Jarraud
La nouvelle exposition Arthus Bertrand : Des posters pour protéger la forêt…
Pourquoi aimons-nous les posters d’Arthus Bertrand ?
Les cantines scolaires prises en otage par l’UMP ? l Dérapage à Poussan l L’ESPER réagit sur la laïcité l Collège : Le Snes dit non à l’école du socle l Le Snuipp donne rendez-vous le 18 mai l Guyane : Un enseignant interdit d’entrer dans un lycée.
Scolariser les élèves handicapés mentaux ou psychiques.
Mise en boîte : Dans la peau d’un chercheur.
Tout sur métiers de l’éducation à l’UPEC.
Rencontres numériques du ministère de la Culture…
La Cour de Cassation contre l’appel aux mères porteuses.
Philosophie : Un festival à Langres l Langues : Didactique des langues et théâtre.
La nouvelle exposition Arthus Bertrand : Des posters pour protéger la forêt
Mercredi 6 avril, Luc Chatel et Yann Arthus Bertrand présentaient l’édition 2011 de l’exposition de posters pédagogiques de l’ONG GoodPlanet.
« Vivre fraternellement comme une forêt et debout comme un grand arbre ». La formule de Yann Arthus Bertrand pourrait résumer le développement durable. La forêt est le thème de la nouvelle collection de posters pédagogiques de l’association GoodPlanet, fondée par Yann Arthus Bertrand. Et cette année encore, le ministère de l’éducation nationale, le CNDP sont partenaires, parmi d’autres, de cette édition.
Les 20 posters abordent différents thèmes relatifs à la forêt. On découvre les grands types de forêts, l’économie forestière mondiale, les autres ressources et globalement ce qu’est l’écosystème forestier et la déforestation. Le jeu d’affiches permet de monter une exposition grâce aux conseils qui sont prodigués pour mettre en scène les affiches. Il est tiré à 65 000 exemplaires ce qui permet à chaque école et établissement de retirer un jeu d’affiches au CRDP ou CDDP. Quelques fiches pédagogiques, plutôt d’information, sont disponibles sur EduScol.
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L’Éditorial de François Jarraud
Pourquoi aimons-nous les posters d’Arthus Bertrand ?
Chaque année les écoles se ruent sur l’exposition de Yann Arthus Bertrand et font de cette proposition officielle un succès. Est-il vraiment mérité ? Quels ressorts mobilisent ainsi les enseignants ?
Peut on critiquer les idoles ? Yann Arthus Bertrand appartient à cette catégorie si l’on en juge par le succès de ses expositions pédagogiques. Osons quand même l’exercice. On est toujours frappé quand on observe ses posters par le grand écart entre l’image et le commentaire qui l’accompagne. Cette année encore ça commence fort avec le premier poster titré « 115,5 m c’est la hauteur.. d’un séquoia » mais illustré par un eucalyptus. Le 4ème montre un temple cambodgien envahi mais le commentaire parle des influences humaines sur la géographie forestière. Le dernier ours c’est le dernier poster qui parle de coupes illégales en montrant des ours… On le voit bien chaque image est choisie indépendamment du commentaire par la force même qui l’anime. Pour dire les choses plus clairement, c’est le contraire du document illustrant une leçon. On ne peut que rarement tirer de l’observation de l’image les informations scientifiques qui l’accompagnent. Les commentaires eux-mêmes sont plus descriptifs ou informatifs qu’explicatifs. Un bon schéma sur l’écosystème forestier de la taïga ,par exemple, serait plus efficace que telle ou telle image. Les hommes sont peu présents dans l’exposition et le devoir de solidarité, qui est une des composantes essentielles de l’idée de développement durable, est largement dépassée par la dimension écologique. Enfin le boss lui-même, Arthus Bertrand, n’en est pas à une approximation ou une exagération près dans ses déclarations. Du style de celles qui poussent les élèves à s’enfermer dans une vision apocalyptique qui est exactement le contraire de l’idée de développement durable.
Et pourtant ça marche. Evidemment la conscience écologique des enseignants y est pour beaucoup. Inutile de développer cette dimension de leur citoyenneté. La force des photos aussi. Ces meilleures photos d’une dizaine de photographes renommés ont une puissance incontestable. C’est même elle qui nuit parfois au message. Tout le monde regarde le crocodile, pas la mangrove. La qualité artistique de l’exposition est d’autant plus appréciée que l’Ecole et ses manuels lui donnent une place qui n’est pas exagérée… Masi ce que les collègues de Chaptal ont avancé comme argument principal c’est la place du professeur dans le happening créé par l’exposition Arthus Bertrand. Avec cette exposition ils trouvent l’occasion de partager une émotion avec les élèves, alors que l’Ecole refoule généralement les sentiments. L’exposition leur permet de sortir du cadre disciplinaire pour faire passer un message humaniste qui les installe dans une dimension éducative. Visiter avec sa classe l’exposition Arthus Bertrand c’est passer de l’habit du prof à celui de l’adulte bienveillant. Un exercice pas facile généralement mais qui bénéficie ici de la communion de vision écologique. Yann Arthus Bertrand amène de l’humanité dans les écoles.
Tout cela est-il efficace pour faire passer le message du développement durable ? Ce n’est pas sur. L’exposition parasite plutôt l’exercice raisonnable qui veut envisager la construction d’un avenir où croissance économique et souci écologique cohabitent. Elle renforce les stéréotypes et les idées toutes faites. Elle oppose homme et « nature » quand le développement durable les inscrit en perspective. Mais elle nous donne une ivresse sensuelle et communautaire qui vaut un grand merci.
Les cantines scolaires prises en otage par l’UMP ?
L’UMP met Luc Chatel en première ligne en demandant que les cantines scolaires cessent de respecter les interdits religieux.
C’est NKM qui a ouvert la guerre du hachis Parmentier. Le 4 avril sur France Inter, Nathalie Kosciusko-Morizet, ministre de l’écologie, a dénoncé « des enfants de 6 ans qui refusent de manger du hachis Parmentier à la cantine sous prétexte que le boeuf n’a pas été égorgé comme il est prescrit rituellement ». Cette contribution au débat « sur la laïcité » mené par l’UMP montrait la méchanceté de ces parents qui affament leurs propres enfants. Le débat devait tourner court grâce à une enquête d’Arrêt sur image démontrant que dans les propos ministériels étaient pour le moins aventureux.
La question des cantines est relancée le 6 avril par des propos de Claude Guéant. Selon AP, dans le Figaro magazine, le ministre de l’intérieur déclare : « Il n’est pas possible qu’un usager du service public, un élève ou ses parents, exige que le service public s’adapte à sa pratique religieuse. Si un élève a un problème religieux avec la consommation de telle ou telle viande, il est normal qu’on lui propose un menu adapté, par exemple sans viande ». En clair les enfants qui refusent de manger du porc devront se passer de viande ou de repas. Le ministre, chargé de préparer des textes réglementaires suite au débat « sur la laïcité », donne à penser que des instructions devraient interdire les repas sans porc dans les cantines scolaires.
La réaction des parents. Interrogé par le Café, Jean-Jacques Hazan, président de la FCPE, juge sévèrement ces propos. « Il n’y a pas de limite à l’organisation de la défiance et de la ségrégation », nous dit-il. « Que doit-on faire le Vendredi saint ? Guéant compte-il changer aussi le calendrier catholique ou s’arrêtera-t-il à la porte d’une religion ? Ca ressemble à un mauvais film de préparation de vraies guerres de religion. Demander aux gens de s’assimiler pour avoir un droit à l’intégration. Quel programme ! Ca ressemble au programme d’un parti dont nous n’acceptons pas les membres à la FCPE ». Le président de la FCPE demande aussi « que doit-on faire avec els agents de service et de cuisine qui sont musulmans ? Doivent-ils enlever leur charlotte et leur masque durant le travail ? »
Luc Chatel en première ligne. En s’attaquant ainsi à la restauration scolaire et à l’alimentation des enfants, Claude Guéant pousse Luc Chatel sur le front. On ne comprendrait pas que le ministre de l’éducation nationale laisse dire. La gestion des cantines relève généralement des collectivités locales. Mais leur réglementation est nationale.
Un élément clé de la scolarisation
Dérapage à Poussan
La mère d’un élève du collège Via Domitia de Poussan (Hérault) s’est vue mardi refuser l’entrée dans l’établissement au motif qu’elle portait un fichu, rapporte le Midi Libre. Il précise, photo à l’appui qu’il s’agit d’un voile à fleurs ne cachant absolument pas le visage. « Je n’ai rien compris. J’ai d’abord été surprise, puis vexée. Je me suis soudain sentie clairement discriminée. Non seulement il ne s’agit pas d’un voile intégral, encore moins d’une burka puisque j’étais en jean, mais en plus je suis déjà entrée au collège avec ce voile », raconte Fatima Ouhamma, la mère.
La principale s’enfonce. Les réactions de la principale sont pour le moins surprenantes. « Je la soupçonnerais presque de l’avoir fait exprès » répond-elle aux questions du journaliste du Midi Libre. « J’ai proposé à cette maman de passer par une porte indépendante située à l’arrière du collège et réservée aux professeurs pour éviter de traverser la cour et de croiser les élèves », ajoute-elle.
On mesure le trouble généré par la campagne de l’UMP. La loi sur la burqua ne concerne que le voile intégral et n’entre en application que le 11 avril. Mais les dégâts dans l’opinion commencent déjà. Déjà toutes les mamans ne se valent pas. Et les enfants ?
L’ESPER réagit sur la laïcité
« Les amalgames délibérément entretenus doivent être dénoncés : ils nourrissent la montée des obscurantismes, des stigmatisations et des racisme », écrit L’Esper, une structure qui réunit 37 organisations de l’économie sociale agissant dans le domaine de l’Ecole. Sont membres de L’Esper par exemple les CEMEA, la FCPE, la MAIF, la FSU,la JPA ou la Ligue de l’enseignement.
« Dans la transmission des valeurs découlant du principe de laïcité, les membres de L’ESPER rappellent le rôle essentiel de l’Ecole de la République. Ils soulignent que chaque attaque à son encontre est un coup porté à l’éducation à la citoyenneté, à la formation d’esprits critiques, et donc au vivre-ensemble et à la cohésion sociale ».
Collège : Le Snes dit non à l’école du socle
A l’issue du colloque organisé par le SNES, le SNEP et le SNUPDEN les 5 et 6 avril, le SNES a publié un appel qui exige « l’ancrage du collège au second degré » et demande des négociations avec les conseils généraux à propos des locaux scolaires.
Le SNES demande que » soient respectés trois principes : ancrage du collège au second degré dont il est la première étape ; recherche absolue de la mixité sociale dans tous les établissements ; garantie à tous d’une poursuite de la scolarisation au-delà du collège dans le cadre de la prolongation de la scolarité obligatoire à 18 ans ». Si le syndicat veut « améliorer l’articulation entre premier et second degrés », c’est « dans le respect des spécificités de chacun de ces deux ordres d’enseignement : à l’opposé de toute forme de prolongation du premier degré ». Le Snes réagit ainsi aux promoteurs de « l’école du socle » qui réunirait école et collège. Le Snes demande aussi que s’ouvrent « avec l’État et les Conseils généraux, une négociation en vue de l’établissement d’un cahier des charges des locaux nécessaires et indispensables pour un collège permettant une meilleure intégration scolaire, la réussite et le bien-être de tous ». Le syndicat fait aussi un pas en acceptant de discuter sur « les possibilités de reconnaître et/ou d’intégrer dans les services des enseignants les tâches et missions de concertation, de travail en équipe et d’encadrement d’activités liées à leur enseignement ».
Interrogé par le Café, Roland Hubert, co-secrétaire général, revient sur l’articulation entre primaire et collège. « Il y a une autre façon de lutter contre la rupture entre collège et école que de réunir les deux. Ce qui nous gène dans l’idée d’école du socle c’est bien sur d’abord le socle lui-même. Mais on s’étonne aussi des présupposés. Rien ne prouve que le fait de mettre des enseignants polyvalents ou bivalents améliore la réussite des élèves. De quels élèves parle -t-on ? Ceux qui quittent l’école primaire avec difficultés ont tous eu des enseignants polyvalents. Donc le lien de cause à effet reste à démontrer ». Pour Roland Hubert,le rôle de l’Ecole c’est t aussi « de donner le smoyens d’affronter les ruptures. L’accrochage disciplinaire le permet ».
Tous les élèves en lycée ? L’appel demande « une garantie à tous d’une poursuite de la scolarisation au-delà du collège » et la prolongation de la scolarité obligatoire jusqu’à 18 ans. Pour R Hubert, « l’allongement de l’obligation scolaire est normale compte tenu des enjeux d’une société plus complexe ». Mais « cela ne veut pas dire tous les élèves en enseignement général ».
La place des collectivités locales. Pour R Hubert, « il faut des locaux adaptés à la pédagogie. On aimerait que le ministère fasse un cahier des charges des établissements précisant la qualité des locaux et des équipements nécessaires à la pédagogie ». Les inquiétudes du syndicat se portent particulièrement sur l’EPS et les arts. « Le livret de compétences « fragilise » ces enseignements.
Le Snuipp donne rendez-vous le 18 mai
« L’école au régime sec, ça suffit ! », écrit le Snuipp. Le syndicat » appelle les enseignants et les parents à venir le lui dire de plus près le 18 mai prochain. Il propose à tous les acteurs de l’éducation du faire du 18 mai une journée de rendez-vous pour l’école devant le ministère. Des délégations de chaque département rappelleront de vive voix qu’il est urgent de redonner des moyens et des couleurs à l’école ».
Guyane : Un enseignant interdit d’entrer dans un lycée
« Il est interdit à M. X, professeur certifié, de pénétrer au sein du lycée Melkior à compter de la notification du présent arrêté ». Le proviseur du lycée Melkior à Cayenne n’y va pas par quatre chemins en affichant cet arrêté sur les grilles de l’établissement. L’enseignant en question « met en cause la sérénité des élèves, perturbe gravement leurs études » selon le proviseur qui lui reproche, dans la presse locale, des manquements au devoir de réserve. Cette décision ferait suite à des incidents avec des élèves et à une gestion de classe jugée préoccupante par le proviseur.
Mais le Sgen Cfdt juge le procédé « aberrant ». »Une saine gestion des ressources humaines ne peut s’accommoder ni d’initiatives visant exclusivement à nuire, ni de voies de fait » écrit le syndicat. Le Sgen demande au recteur « de mettre fin aux irrégularités ».
Scolariser les élèves handicapés mentaux ou psychiques
Quelle accessibilité aux savoirs pour les enfants handicapés mentaux ou psychiques ? Bruno Egron tente d’apporter des réponses dans un ouvrage publié par les CRDP de Bretagne et du Pas de Calais publient. Cet ouvrage complet et pratique s’appuie sur trois compétences complémentaires : la connaissance fine des troubles, la compréhension de leur impact sur les processus cognitifs et la mise en place de situations d’apprentissage adaptées. Ce guide accompagne les équipes éducatives afin de proposer un meilleur accueil en milieu scolaire pour les enfants atteints de troubles importants des fonctions cognitives.
Mise en boîte : Dans la peau d’un chercheur
Qu’il y a -t-il dans la boîte ? Organisé par 5 institutions, le CERN, le DIP, le Ministère de l’éducation nationale, l’Université de Genève et le Physiscope, un projet pédagogique original permet à 30 classes de 4P à 6P du canton de Genève et de CE2, CM1 et CM2 du département de l’Ain (Pays de Gex) de prendre part à une activité scientifique originale.
Sans endommager une boîte et sans l’ouvrir, les élèves doivent identifier ce qu’il y a à l’intérieur le plus précisément possible. Pour cela ils mettent en action la démarche d’investigation.
Tout sur métiers de l’éducation à l’UPEC
L’Université Paris Est Créteil Val de Marne (UPEC) organise une réunion d’information sur les différentes préparations aux des métiers de l’enseignement et de l’éducation samedi 14 mai de 9h30 à 12h 30 dans les locaux de l’IAE sur le Site du mail de Mèches ( métro ligne 8 Créteil Université)
Au programme 4 tables rondes animées avec les enseignants et formateurs de l’IUFM et les responsables pédagogiques des masters sur la préparation au professorat des écoles et aux concours du secondaire (Capes, Capet, CAPLP, concours de documentaliste et CPE).
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
Rencontres numériques du ministère de la Culture
Quels rapports entre médiation et numérique dans les équipements culturels ? Alors que le numérique bouleverse les conditions de création, de diffusion et de réception / consommation des oeuvres et produits culturels, comment les équipements culturels réagissent-ils ? Les Rencontres numériques analysent des projets et des réalisations. Les rencontres ont lieu les 3 et 4 mai à Paris. Inscription nécessaire mais accès gratuit.
La Cour de Cassation contre l’appel aux mères porteuses
Le droit français ne reconnaitra pas les parents des enfants nés d’une mère porteuse. Mercredi 6 avril, la Cour a rejeté la demande d’inscription à l’état civile de deux jumelles nées d’une mère porteuse américaine. Les deux enfants, qui ont 10 ans, ont des papiers d’état civil américain désignant le couple français comme leurs parents mais la Cour a décidé de ne pas reconnaître cette filiation.
La réaction des « parents » français
Philosophie : Un festival à Langres
Luc Chatel a annoncé le 6 avril la création à Langres, patrie de Diderot et vile de son département, d’un festival de philosophie. Il souhaite en faire l’équivalent de Blois pour l’histoire ou Epinal pour la géographie. Les Rencontres auront lieu en septembre sur le thème dela vérité.
Langues : Didactique des langues et théâtre
Comment penser une didactique des langues qui relie l’expérience esthétique à la connaissance de l’autre et de sa culture ? Les communications proposées lors de cette journée présenteront des pratiques innovantes ainsi que leurs soubassements théoriques et établiront des passerelles interdisciplinaires entre la recherche en didactique des langues- cultures, la recherche en théâtre et littérature et les pratiques théâtrales. La journée d’étude aura lieu le 6 mai 2011 à l’Université Paris Est Créteil.
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