Par François Jarraud
Réformes en cours : le SGEN prend position …
Compétences (sentiment de)
Les résultats des évaluations de CM2 l Le Comité stratégique des langues est installé l Luc Chatel assume Pôle Emploi l Quelles motivations pour les désobéisseurs ? l Salaire : Les syndicats réduits à la pétition l Besançon : L’Inspection académique occupée l Angleterre : La justice mobilisée pour affermir l’autorité des enseignants
Les plaintes sur les emplois du temps ne sont pas recevables.
Mon Ecolycée : Comment développer « l’éco-citoyenneté » dans les lycées franciliens ?
Envie de savoirs.
Ouverture du colloque Snes sur le collège l La formation tout au long de la vie en Europe…
Laïcité : Ce qui pèse sur l’Ecole.
L’APBG mobilise contre le programme de terminale S l Etre professeur documentaliste aujourd’hui l Les Imaginales
Réformes en cours : le SGEN prend position
Pour Thierry Cadart, secrétaire général du SGEN-CFDT, il était temps de faire connaître à la presse les positions du SGEN sur les grands chantiers de l’éducation nationale : formation des maîtres, socle commun, situation des personnels précaires et école numérique.
En présence de Michel Rocard, la conférence de presse du lundi 4 avril avait pour objectif d’affirmer clairement les positions du syndicat sur 4 chantiers de l’éducation nationale et de souligner des changements politiques nécessaires.
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L’Éditorial de Marcel Brun
Compétences (sentiment de)
C’était hier, dans une très sérieuse journée d’étude organisé au CNAM par la revue « Recherche et formation », qui tente de faire des ponts entre deux univers qui se cherchent. On y parlait de « référentiels en formation ». Rien qui vous parle spontanément, collègues ? Erreur funeste. On y débattit notamment, certes avec le recul qui sied aux universitaires, d’un phénomène qui modifie en profondeur l’activité ordinaire des classes : l’évaluation référée à des référentiels de compétences.
« Un référentiel, c’est un outil pour mesurer la réalisation de la tâche plutôt que comprendre ce qu’il y a à apprendre », avança J.-C. Coulet, de Rennes 2. “Avec le risque d’une photographie statique plutôt qu’une information sur un processus dynamique, changeant”. Alors que, comme l’avait dit M. Crahay, former, enseigner, c’est travailler les tensions, les dilemmes, en prenant en compte les croyances des uns et des autres. “Le référentiel est du côté du prescrit, et c’est une des sources du malaise, quand les pouvoirs cherchent à l’imposer aux enseignants et aux formateurs” ajouta Y. Lenoir (Sherbrooke). Il est vrai que les référentiels (d’évaluation d’élèves ou de compétences professionnelles…) peuvent avoir plusieurs rôles, a précisé N. Postiaux (Bruxelles) : être le fer de lance d’une réforme, un outil pédagogique pour comprendre les apprentissages, ou même un instrument pour forcer la modification des pratiques…
Et quand les professionnels sont sommés de s’en servir sans avoir le temps et l’accompagnement pour les mettre à leur main, rien d’étonnant à ce que se déclenchent des réactions et des résistances qui font parfois finir les référentiels de compétences dans des armoires… « Quand ils n’ont pas été suffisamment négociés, qu’ils ne prennent pas en compte le « travail réel », « on ne s’y reconnaît pas » dit C. Chauvigné. Surtout quand le métier évolue vite sous la pression de la société ou du marché. La norme professionnelle, nécessaire, risque de se transformer en normalisation, en recherche de « bonnes pratiques » hors-sol. « Lorsqu’on découpe les compétences, le professionnel ne reconnaît plus la situation d’apprentissage et la nature de ses difficultés, souvent à explorer du côté de l’histoire des disciplines et des savoirs » a poursuivi S. Vanhulle.
La solution ? Mieux comprendre le travail réel de l’enseignant. Mais on en est loin. On culpabilise ceux qui « n’y arrivent pas », coincés entre le déclaratif de la réussite de tous et la discrimination persistante. Alors, se demanda avec malice P. Mayen, le plus important n’est-il pas que ceux qui travaillent « arrivent à faire quelque chose » de ces nouvelles listes et injonctions, dans l’ordinaire des situations de travail ? « Les compétences, c’est ce qui vient à la fin, lorsqu’on s’est mis en activité, pour agir et penser, en transformant la situation. Pas l’inverse. Sinon ça tourne à vide. Ce qui est important, c’est de pouvoir faire face aux imprévus, aux variations, aux incidents ». Y compris en s’appuyant sur l’histoire du métier, qui travaille ces questions depuis des lustres, qui parfois discute sur les manières de faire, mais qui tente de se débrouiller pour faire, malgré tout, comme on peut, en osant bricoler, braconner entre l’idéal et le possible, qu’on soit débutant ou chevronné.
Parce qu’à la fin, le pire serait l’empêchement d’agir, le blocage devant l’idéal impossible, qui glace et pétrifie. Parce qu’en fait, l’essentiel de la compétence à agir ne serait-il pas dans le sentiment qu’on en a, qu’on soit enseignant, élève, travailleur ou simplement humain ?
Marcel Brun
Les résultats des évaluations de CM2
Citius, Altius, Fortius… Le ministère publie les résultats des évaluations de CM2 2011.
Réalisées en janvier, les évaluations nationales mesurent des compétences de base en français (lecture, écriture, vocabulaire, orthographe, grammaire) et en maths (numération, calcul, géométrie, grandeurs et mesures, gestion de données). Les résultats montrent une progression sensible du niveau en maths, avec seulement 10% des élèves ayant des acquis insuffisants, et une stabilité en français avec 7% des élèves dans le même cas.
Des évaluations politiques ? Pour Luc Chatel, interrogé par Le Figaro, « les derniers résultats portant sur l’examen de CM2 datant de janvier montrent un léger frémissement en mathématiques. 38% des enfants ont des acquis «très solides» dans cette matière, contre 35% l’an dernier. Et ils ne sont plus que 7% à avoir des acquis «très fragiles» contre 10% l’année dernière. Les académies de Lille, la Réunion ou Créteil, plutôt en dessous de la moyenne nationale il y a un an, ont chacune progressé de plus de deux points. C’est bien la preuve que notre recentrage sur les fondamentaux, français et mathématiques, à l’école primaire est en train de payer ». Ainsi le ministre n’a pas tardé à trouver une utilisation à ces évaluations en leur faisant dire ce que chaque administration productrice de données souhaite entendre…
C’est justement la question de leur utilité qui se pose. Très contestées en 2008, où le taux de remontée était faible, les évaluations sont encore rejetées par certains enseignants et par les parents de la Fcpe. En janvier dernier, Jean-Jacques Hazan, président d ela FCPE, nous disait : « Ces évaluations, par leur calendrier, leur contenu et leur notation sont inutiles et même déstabilisantes pour les élèves. Parce qu’il n’est pas acceptable que des enfants soient évalués sur des choses qu’on ne leur a pas encore enseignées ». Sur ce terrain quelques aménagements ont été faits comme la possibilité de noter les réponses partielles, ce qui est un pas vers une évaluation formatrice. Mais les parents de la Fcpe veulent une refonte plus importante des évaluations sans qu’on sache si elle sera mise en place en 2012.
Une forme contestée. Cela d’autant plus que la forme des évaluations est contestées par de nombreux acteurs. Nathalie Mons a résumé la situation ainsi : « Le Ministère se heurte actuellement au refus d’un dispositif dont les objectifs politiques ne sont pas clairs. S’agit-il d’une évaluation diagnostic ? Elle doit alors concerner tous les élèves en début d’année. S’agit-il d’une évaluation bilan qui donne une photo des acquis des élèves à un palier particulier du système éducatif ? Il est alors préférable qu’elle soit conduite en fin d’année et pour des raisons de coût sur un échantillon représentatif d’élèves et d’établissement. Le dispositif actuel est un mélange des deux qui n’a pas de sens statistiquement parlant ».
Pour quel usage ? N Mons a pu montrer que derrière les évaluations diagnostics existe un modèle de gouvernance de l’Ecole. C’est ce modèle que rejettent des enseignants « Quelle utilisation sera faite des chiffres collectés ? … Quelles garanties a-t-on sur les risques de comparaison, de mise en concurrence, de classements d’école ? » A la différence, par exemple de l’Angleterre ou, en France des indicateurs des lycées, le ministère ne publie que des résultats départementaux. Parce que le ministère réalise lui-même des évaluations mais reste mystérieux sur l’utilisation qui en est faite, on peut se dire qu’elles ne sont organisées au final que dans un objectif historique : donner satisfaction au ministre.
Qui a besoin des évaluations nationales ? S Grandeserre
Le Comité stratégique des langues est installé
Luc Chatel a mis en place le 4 avril le Comité stratégique des langues.
Chargé de remettre un pré rapport au ministre en octobre et un rapport final en décembre, le comité « a pour objectif de formuler des propositions concrètes visant à refondre l’enseignement des langues… Aussi veillera-t-il à respecter la pluralité linguistique qui constitue une richesse culturelle. Ce comité se penchera sur la progression de l’acquisition et la maîtrise des langues de la maternelle au baccalauréat et sur d’éventuelles modifications de la répartition du volume horaire à chaque niveau afin de gagner en efficacité. Il envisagera notamment la question de l’apprentissage précoce des langues ainsi que l’apport des nouvelles technologies dans l’enseignement des langues. Enfin, la question de la mobilité des jeunes et des enseignants constituera un autre axe de la réflexion du comité ».
Pour autant le comité est composé de personnalités qui pour la plupart n’ont aucune compétence pédagogique. On y relève 3 inspecteurs et une enseignante, noyés dans un groupe de 17 personnes généralement très éloignées des questions éducatives. Le comité est présidé par Suzy Halimi, une angliciste, Claude Bébéar, président d’un thinktank libéral et Claude Hégège. Les suppressions de postes toucheront prioritairement à la rentrée 2011 les intervenants en langues au primaire.
Luc Chatel assume Pôle Emploi
Un prof peut-il être remplacé par n’importe qui ? Dans la pratique on sait que oui. Luc Chatel vient de valider, dans Le Figaro, cette pratique. Depuis quelques années, du fait des suppressions de postes d’enseignants remplaçants (TZR), les rectorats recrutent via Pôle Emploi des contractuels sans grande qualification. Cette pratique est validée par Luc Chatel dans un entretien accordé au Figaro le 4 avril. « Notre système du remplacement doit s’améliorer en étant plus souple et plus réactif. Il faut donc faire appel à des contractuels lorsque nos titulaires remplaçants ne sont pas disponibles… J’ai demandé aux proviseurs qu’ils le fassent et qu’ils se mettent en contact avec Pôle emploi. Ce n’est pas en recrutant davantage de titulaires remplaçants que ça marchera mieux. Les vacataires, étudiants ou jeunes retraités, peuvent très bien remplir ce rôle ».
Quelles motivations pour les désobéisseurs ?
Sur son remarquable blog, Luc Cédelle analyse le mouvement des désobéisseurs. « Vous prenez un professionnel motivé, vous commencez par lui faire comprendre que tout ce qu’il a fait jusqu’à présent était plutôt mauvais, vous lui ôtez toute marge de manœuvre personnelle, vous le pliez à cette idée qu’il n’est pour vous qu’un exécutant… C’est, en caricaturant à peine, la position de l’actuel pouvoir politique face au monde de l’enseignement primaire ».
Salaire : Les syndicats réduits à la pétition
« Des années de moindre augmentation du point par rapport à l’inflation ont conduit à une perte de pouvoir d’achat considérable ». La Cfdt, la Cftc, la Cgc, la CGT, Fsu, Solidaires, UNsa : tous les syndicats (ou presque) font ce constat… et invitent les fonctionnaires à signer une pétition.
Besançon : L’Inspection académique occupée
Selon l’AFP, quelques centaines de parents et enseignants ont occupé le 4 avril l’inspection académique de Besançon pour protester contre les suppressions de postes au primaire.
Angleterre : La justice mobilisée pour affermir l’autorité des enseignants
Selon le nouveau code de pratiques des écoles anglaises, les directeurs pourront porter plainte contre les élèves qui véhiculeront des rumeurs contre les enseignants. Plus concrètement, les enseignants sur lesquels pèsent ces bruits ne seront plus suspendus automatiquement et la trace de ces bruits ne figurera plus dans leur dossier. Après être allée très loin dans la protection des enfants contre les prédateurs sexuels, par exemple par un fichage général de tous les adultes en contact avec les jeunes, il semble que le balancier reparte dans l’autre sens très fort.
Les plaintes sur les emplois du temps ne sont pas recevables
Selon l’AFP, les parents qui avaient porté plainte contre un lycée d’Orléans en raison d’un emploi du temps jugé inégalitaire, ont vu leur plainte rejetée par le tribunal administratif d’Orléans. Les parents se plaignaient que leur enfant ne puisse participer aux activités sportives du mercredi après midi.
Mon Ecolycée : Comment développer « l’éco-citoyenneté » dans les lycées franciliens ?
Comment mobiliser les établissements scolaires dans une démarche de développement durable ? Sur quels thèmes ? Devant des délégations d’une vingtaine de lycées, la région Ile-de-France lançait le 4 avril le guide « Mon Ecolycée ». Destiné aux lycéens et aux équipes éducatives, ce guide doit à terme « accompagner les 469 lycées franciliens dans leurs projets éco-responsables ». Le début d’une longue marche…
Envie de savoirs
Pour la quatrième année consécutive, l’Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC) organise du 2 au 5 mai 2011 les conférences « Envie de savoirs » pour les lycéens des établissements partenaires de l’UPEC .
Ces conférences de vulgarisation scientifique tenues par des enseignants-chercheurs et destinées aux lycéens ont pour but de leur faire découvrir le monde de l’enseignement supérieur à travers des thématiques très diverses : littérature, histoire, sciences, médias… Durant cette opération, un parcours découverte de l’université est également prévu. A l’aide d’un guide et d’un QCM, les lycéens se mettent dans la peau d’un étudiant en découvrant par eux-mêmes les différents lieux de vie et d’administration de l’université. Ils seront ainsi sensibilisés aux dispositifs d’accompagnement des étudiants. Les élèves assistant à une conférence le matin et l’après-midi sont invités à déjeuner au Restaurant Universitaire de l’UPEC.
Envie de savoirs est un concept qui s’inscrit dans la mission première de l’université : la diffusion des savoirs scientifiques, culturels et professionnels.
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Ouverture du colloque Snes sur le collège
Le Snes organise un colloque sur le collège les 5 et 6 avril. Organisé avec le SNEP et le SNUPDEN, il devrait permettre « de repérer les leviers sur lesquels il convient d’agir pour transformer le collège avec l’ambition de faire réussir tous les élèves ». Deux tables rondes et huit ateliers seront l’occasion d’échanger en lien avec des chercheurs et des mouvements pédagogiques. On annonce la participation de J Bernardin, S Boimare, P Rayou, S Bonnéry, P Bride etc.
Colloque Se-Unsa : Quel avenir pour le collège ?
La formation tout au long de la vie en Europe
Dans le cadre du séminaire sur les gouvernances de l’éducation, d ela formation et de l’emploi, Eric Verdier (CNRS) évoquera la gouvernance européenne de la formation tout au long de la vie le 7 avril à l’UPC Créteil, 12h30.
Laïcité : Ce qui pèse sur l’Ecole
C’est le 5 avril que l’UMP organise le colloque contesté sur l’islam. Dans Le Figaro, Jean-François Copé, patron du parti majoritaire, publie 26 propositions. Certaines concernent le monde de l’éducation. Ainsi les « collaborateurs occasionnels », c’est-à-dire en fait les parents, pourraient se voir contraints « à l’exigence de neutralité ». Celle-ci serait étendue au secteur de la petite enfance. Le calendrier des fêtes pourrait être remis en questions par une proposition rejetant « le traitement spécifique ».
Dans Le Figaro du 4 avril, Luc Chatel annonce qu’il a déjà validé la première proposition. « Dans les jours qui viennent, je vais donc ajouter un paragraphe à la circulaire sur les sorties et voyages scolaires afin que les mères-accompagnatrices, considérées comme des collaborateurs occasionnels du service public, ne soient plus voilées ».
Chatel interdit les sorties aux mères voilées
L’APBG mobilise contre le programme de terminale S
« Il faut que dans les programmes soit précisé que l’enseignement spécifique comporte un horaire minimal de 1h30 en groupes restreints de TP », demande l’APBG, une association qui regroupe les professeurs de SVT. « L’APBG ne peut accepter ces projets de programmes de Terminale de la série scientifique S tels qu’ils sont proposés ».
L’APBG demande aussi que soient mis « en cohérence les contenus avec le préambule : « Intéresser les élèves, leur donner le goût et l’envie d’études supérieures scientifiques. Faciliter leur compréhension et leur mémorisation, sont des préoccupations qui conduisent à recommander une pédagogie active fondée sur le concret… » Il faut, pour cela, obligatoirement alléger le projet du programme spécifique obligatoire pour tous. Pour la spécialité, il faut, dans l’intérêt des élèves et pour permettre une orientation positive, un rééquilibrage du projet avec au minimum 18 semaines d’enseignement sur les 3 thèmes pour tous et ensuite un « projet » qui doit être pris en compte à l’examen comme doit l’être aussi l’aspect connaissances et méthodes de l’enseignement fait par tous.
L’APBG demande aux enseignants de SVT de manifester leur désapprobation du programme en utilisant laprocédure de consultation avant le 22 avril.
Etre professeur documentaliste aujourd’hui
Etre professeur documentaliste aujourd’hui : quelle identité professionnelle ? Les Adben franciliennes organisent le 18 mai une journée professionnelle à Paris. Au programme : Françoise Chapron, Jean-Pierre Véran, Cécile Gardies, Bruno Devauchelle, Martine Ernoult etc.
Les Imaginales
Plus de 800 lycéens et collégiens participent à Epinal aux Imaginales, un festival des littératures du fabuleux et de l’irréel où se mêlent roman historique, sciences fiction , fantastique.. Ils décerneront un Prix des lycéens et collégiens. Du 26 au 29 mai.
le Cafe
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