Par François Jarraud
Rapport sur les rythmes scolaires : L’heure espagnole dès la rentrée…
Rebattre les cartes ?. »
Primaire : La résistance s’organise contre les suppressions de postes l STG – ST2S : Le point sur la réforme l Chatel dote chaque enseignant d’un « portefeuille des compétences » l Ile-de-France : La région dénonce la montée des inégalités entre établissements l Formation : Le député Grosperrin missionné sur la réforme des concours l Syndicats : Action et démocratie rejoint le Se-Unsa l Etats-Unis : L’Indiana dit adieu à l’école publique.
Les dangers de la maison l Festival artistique à Versailles.
Un établissement très TICE : le lycée P et M Curie de Menton l Blog : pratiques d’enseignants l Les TICE et vous : Dernier jour !!.
Envie de savoirs.
L’évaluation par contrat de confiance l Le numérique pour changer l’Ecole …
Mayotte 101ème département.
Sciences : L’épreuve des capacités expérimentales l Langues : Bachibac et Esabac l Langues : Stage Grammaire, vocabulaire, CRCL.
Rapport sur les rythmes scolaires : L’heure espagnole dès la rentrée
Annoncé pour le 15 avril, le rapport sur les rythmes scolaires va probablement proposer des modifications d’ampleur des rythmes scolaires Selon un pré-rapport précurseur, que le Café s’est procuré, il modifiera en profondeur les rythmes de vie quotidiens des établissements.
Rappelons nous : en juin 2010, Luc Chatel a installé la conférence nationale sur les rythmes scolaires. Elle a fourni le 25 janvier un « rapport de synthèse » dont le Café a rendu compte. Le 15 avril la conférence fera connaître des « orientations » qui alimenteront les préconisations ministérielles.
Selon le document de travail que nous nous sommes procuré, l’organisation des journées de l’élève est en passe d’être profondément modifiée. La Conférence s’inspire de deux réalités qui finalement se sont imposées. La première c’est le mode de gestion que Luc Chatel a favorisé dans l’Education nationale. Loin d’imposer un rythme uniforme, la Conférence devrait proposer des rythmes scolaires quotidiens différents selon les académies. Chacune s’adapterait au second fil directeur de la réforme. « Partout en France, les rythmes de vie subissent les effets du réchauffement climatique », affirme le document. Il propose donc de varier les temps scolaires du nord au sud. Une première mesure serait l’adoption dans les académies du sud de la France de la journée espagnole.
Le document de travail sur les rythmes scolaires
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L’Éditorial de Marcel Brun
Rebattre les cartes ?
Alors que les analystes s’empoignent pour caractériser les résultats des cantonales, les inspecteurs d’académie et les recteurs sont passés à la « phase deux » des plans de modifications d’emplois tenus secrets depuis plusieurs mois du fait de l’embargo décidé par le gouvernement : pas question de diffuser en pleine campagne électorale les conséquences concrètes des milliers de fermetures de classes, de postes et d’emplois dans les villes et les villages. Dans les régions durement touchées, comme le Nord (-865 emplois), la FCPE a proclamé « l’École en Danger » en créant un comité de salut public pour l’Éducation. Après la carte électorale, la carte scolaire.
Les Comités Techniques Paritaires, départementaux pour le premier degré (écoles) et académiques pour le second, sont convoqués à la hâte, pour consultation réglementaire des élus du personnel qui ne peuvent que déplorer les coupes claires, sans toujours pouvoir s’appuyer sur les mobilisations attendues. Est-ce l’effet de pré-campagne ? Toujours est-il qu’il semble que c’est désormais vers les projets présidentiels que se tournent les regards. On espère le renouveau salvateur d’une nouvelle majorité ? Pourtant, chacun se demande confusément si un nouveau gouvernement pourrait revenir sur plus de soixante mille postes raclés par cinq années de Sarkozie.
Quel serait donc le projet mobilisateur qui pourrait convaincre les enseignants d’un avenir professionnel collectif susceptible de leur redonner le moral ? « Adapter les rythmes scolaires » ? « Personnaliser les enseignements » ? Pas sûr que les solutions pour diminuer les grandes tensions actuelles soient si simples, tant la fracture entre ce que requiert l’École et ce que promeut la société semble s’agrandir.
Dans leur diversité idéologique et politique, les enseignants et les personnels d’éducation peuvent-ils contribuer à chercher des solutions, ou sont-ils condamnés à la protestation ? Dans une France dont on mesure à chaque élection les conséquences grandissantes de la fracture sociale sur la démocratie, les éducateurs et leurs représentants savent pourtant qu’il ne faut pas tout attendre des politiques et nourrir le débat par la force de leur engagement social…
Le peuvent-ils encore ?
Marcel Brun
Primaire : La résistance s’organise contre les suppressions de postes
Le Snuipp annonce déjà une quarantaine d’actions contre les suppressions de postes.
« A peine les isoloirs disparus des mairies et des écoles, les Inspecteurs d’académie ont engagé la préparation de la rentrée 2011 pour le primaire », annonce le Snuipp. Selon le syndicat, « les 8 967 suppressions de postes ne passeront pas inaperçues ». Le syndicat fait un inventaire des méthodes utilisées par les inspections académiques : relèvement des taux pour obtenir une ouvertire de classe (28 en Sarthe, 32 en Haute-Garonne), suppressions de Rased (15 en Indre et Loire), fusions des écoles rurale (dans le Morbihan), suppressions de postes d’enseignant supplémentaire en zep (40 dans le Val d’Oise).
Il annonce des actions dans une quarantaine de départements au moment où se tiennent les instances paritaires (CTPD et CDEN). Par exemple, ce 1er avril est une journée de grève et de rassemblement dans le 93 et le 94.En Gironde, un préavis de grève a été déposé pour le 4 avril. En LOir et Cher, une manifestation unitaire le 6 avril sera appuyée par les parents (Fcpe et Peep) et les maires ruraux.
STG – ST2S : Le point sur la réforme
Le Se-Unsa fait à son tour le point sur la réforme des séries STG et ST2S qui devrait entrer en vigueur, en première, à la rentrée 2012. Pour lui, « il ne s’agit pas d’une révolution mais plus d’une intégration des éléments de la réforme du lycée que d’une véritable refonte ».
En STG, la série est rebaptisée STMG, le « M » étant pour management. La classe de première est unifiée avec un enseignement de 6 heures en « sciences de gestion » et 2,5 en management. La série garde ses 4 spécialités actuelles en terminale et les programmes de première y prépareront. En terminale chaque spécialité disposera de 6 heures et 4 heures d’éco gestion communes à toutes les spécialités.
« Le volume horaire global par division est inchangé mais l’équilibre est légèrement modifié en faveur des enseignements généraux », écrit le Se Unsa. « Les élèves de ces séries étant soumis à une forte concurrence des bacheliers généraux pour leurs poursuites d’études, il paraît important de ne pas réduire les horaires des enseignements généraux afin de leur assurer des acquis suffisants pour pouvoir « rivaliser » avec leurs concurrents ». Deux heures d’accompagnement personnalisé sont introduites. Elles sont prélevées sur les enseignements technologiques.
En ST2S, la LV2 devient obligatoire à raison de 3 heures pour les deux LV.
Dédoublements. « Les moyens pour les groupes à effectif réduit seront désormais globalisés », écrit le Se Unsa. « La méthode de calcul proposée est celle utilisée en STI2D, STL et STD2A c’est-à-dire une dotation proportionnelle au nombre d’élèves. Pour les STG, la dotation complémentaire serait de 7h pour 29 élèves et pour les ST2S de 10,5h pour 29 élèves ».
Stg ST2S Le Snes crie à la découpe
Chatel dote chaque enseignant d’un « portefeuille des compétences »
Le Livret de compétences c’est pour tout le monde ! C’est sur la base d’un « portefeuille des compétences » dématérialisé que l’accès aux postes à profil se fera, annonce une circulaire publiée au B.O. du 31 mars.
Pour le ministère, il s’agit « d’ancrer le métier dans un parcours professionnel et (de) valoriser la formation tout au long de la vie ». Le portefeuille de compétences « croisant les données sur les acquis de la formation et celles liées à la carrière et à la mobilité » enregistrera les appréciations des inspecteurs et des « conseillers mobilité carrière ». Il sera mis en place dès l’année de stage et suivra l’enseignant.
La circulaire définit neuf autres points organisant la formation continue des enseignants. Celle -cio a vu ses crédits largement amputés au budget 2011.
Ile-de-France : La région dénonce la montée des inégalités entre établissements
« Le palmarès des lycées franciliens vient rappeler les très grandes inégalités entre établissements, inégalités à la fois sociales et territoriales », souligne Henriette Zoughebi, vice-présidente du Conseil régional chargée des lycées. « Ces hiérarchies sont fortement ressenties par les jeunes quel que soit leur établissement d’étude ».
Pour H Zoughebi, « Ces inégalités se sont creusées ces dernières années en raison de l’assouplissement de la carte scolaire, mise en œuvre par le gouvernement depuis 2007. Cette politique s’est traduite par une mise en concurrence accrue des lycées et une évolution vers une école à deux vitesses avec des lycées qui se remplissent des meilleurs élèves tandis que d’autres se vident et concentrent les élèves en difficulté. En outre les suppressions de postes décidées par le gouvernement ne favorisent pas la réussite ».
Le conseil régional a entrepris de lutter contre le creusement de ces inégalités et pour le maintien de bonnes conditions d’études en plafonnant le nombre maximal d »élèves et de classes dans chaque lycée. « La politique d’investissement dans les lycées, qui sera revue à l’automne 2011, aura pour objectif de favoriser un rééquilibrage territorial de l’offre de formation en faveur des villes et quartiers populaires ayant accumulé du retard », précise H Zoughebi.
Une rentrée des inégalités. Interrogée par le Café sur la rentrée 2011, H Zoughebi montre comment la carte scolaire prévue à la rentrée va aggraver les inégalités. Elle annonce 900 suppressions de postes pour 6 500 élèves supplémentaires dans la région dans el secondaire. Une cinquantaine de divisions (classes) seront supprimées. Même les zep sont touchées : ainsi le lycée Joliot Curie de Nanterre perdra 10% de ses moyens à la rentrée. « Cela me conforte dans l’idée que ce sont les élèves les plus fragiles qui vont souffrir le plus de cette politique ». Ainsi H Zoughebi dénonce une politique de déstabilisation de l’enseignement professionnel. « On ferme des sections en lycée professionnel et en même temps le gouvernement développe l’apprentissage ». En exemple elle cite une section BTS à Rambouillet que le recteur voulait fermer en lycée et rouvrir en alternance. « La région s’y est opposée »,ajoute-elle. L’Association des régions de France a demandé au gouvernement un moratoire sur les fermetures de sections professionnelles. Autre exemple : la politique menée à l’occasion de la réforme STI. « A Paris le recteur voulait ouvrir une section STI au lycée Buffon et l’enlever au lycée Fresnel qui est juste à coté. Je m’y suis opposée ».
Zoughebi : Il y a un projet politique contre l’école publique
Formation : Le député Grosperrin missionné sur la réforme des concours
L’Assemblée nationale a confié à Jacques Grosperrin la présidence d’une mission d’information sur le recrutement des enseignants. Interrogé par RTL, le député a fixé deux axes à sa mission : revoir la formation des enseignants de façon à les préparer « à un nouveau métier » d’enseignant , et préparer « un nouveau concours de recrutement » faisant appel par exemple à l’alternance et comprenant une formation professionnelle.
Auteur d’un rapport remarqué sur le collège, J Grosperrin a déposé récemment une proposition de loi sur la création d’une « école du socle ». Sa nomination montre qu’à l’intérieur de l’UMP le courant favorable à une formation professionnelle des enseignants et à la démocratisation de l’école progresse.
J Grosperrin au colloque sur le collège
Syndicats : Action et démocratie rejoint le Se-Unsa
Syndicat de l’enseignement professionnel, issu d’une scission du Snetaa, Action et démocratie proposera une liste commune avec le Se-Unsa aux élections professionnelles d’octobre 2011. A terme,les deux organisations pourraient fusionner. La nouvelel loi sur la représentation syndicale impose ces regroupements.
Etats-Unis : L’Indiana dit adieu à l’école publique
Comment privatiser l’école ? Les Républicains, majoritaires en Indiana, un des états des Etats-Unis, ont trouvé l’arme fatale. C’est le bon éducation, remis aux familles et qu’elles utilisent librement pour scolariser leurs enfants. L’Indiana vient de décider que ce bon sera offert aux parents dont les revenus sont inférieurs à 60 000 $ par an.
En clair, l’Indiana donne la possibilité aux classes moyennes de mettre leurs enfants dans le privé (non subventionné aux Etats-Unis). Il organise un transfert d’argent des écoles publiques vers le privé. « Les parents doivent avoir le droit d’inscrire leur enfant dans n’importe quelle structure qu’ils jugent la meilleure pour leur famille », a déclaré à Education Week le patron des Républicains de l’Indiana.
Les dangers de la maison
Que faire en cas de brulure ? Comment protéger les 3-4 ans contre les dangers de la maison ? Le GEMA, qui regroupe des assureurs mutualistes, ouvre un site spécifique pour aider les parents à faire face aux risques du quotidien.
Festival artistique à Versailles
« Ensemble contre les discriminations ». Sous ce titre, l’Aroeven de Versailles, une association complémentaire de l’éducation nationale, organise les 24 mai et le 9 juin un festival destiné aux élèves inscrits dans les clubs artistiques de leur établissement. L’Aroeven appelle les enseignants animateurs d’un club artistique àles rejoindre.
Un établissement très TICE : le lycée P et M Curie de Menton
Comment faire vivre le CAVL ? Proposer un accompagnement individualisé à des élèves en reprise d’études ? Organiser en philo les arguments et les expressions des élèves à partir d’un objet donné ? Le lycée Pierre et Marie de Menton a apporté grâce aux TICE des réponses à ces questions… et à bien d’autres.
Blog : pratiques d’enseignants
Philippe Dervis, étudiant chercheur en sciences de l’éducation à l’université d’Aix en Provence, s’intéresse aux usages et à l’influence des blogs d’enseignant dans leur quotidien : leur appropriation, leur pédagogie, leur pratique, etc. Si vous êtes enseignant et bloggeur, vous pouvez contribuer à son étude en répondant à son enquête en ligne.
Les TICE et vous : Dernier jour !
Le Café pédagogique réalise avec IPSOS une enquête sur les usages et la perception des TICE par les enseignants.
Les TICE peuvent-elles vous aider à faire mieux votre métier d’enseignant ? Si oui comment ? C’est d’abord pour répondre à ces questions que le Café pédagogique lance cette enquête avec l’institut d’enquête d’opinion Ipsos.
L’enquête vise à aller au-delà des usages et des équipements actuels pour envisager les attentes dans les différentes facettes du métier d’enseignant. Les TICE peuvent-elles aider à préparer les cours ? A suivre ses élèves ? A rendre els cours plus attractifs ? A économiser du temps pour l’évaluation ? A Apprendre aux élèves à travailler en équipe ? L’enquête fera aussi apparaître les attentes en terme de compétences à développer chez les élèves.
L’enquête vous donne la possibilité de faire remonter vos souhaits d’équipement, vos attentes pédagogiques et aussi vos expériences de terrain. Les résultats seront traités par Ipsos de façon à leur donner toute leur signification, y compris en terme de représentativité, puis communiqués par le Café. Donnez nous quelques minutes pour faire mieux connaître votre représentation du présent et de l’avenir des TICE.
Envie de savoirs
Pour la quatrième année consécutive, l’Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC) organise du 2 au 5 mai 2011 les conférences « Envie de savoirs » pour les lycéens des établissements partenaires de l’UPEC .
Ces conférences de vulgarisation scientifique tenues par des enseignants-chercheurs et destinées aux lycéens ont pour but de leur faire découvrir le monde de l’enseignement supérieur à travers des thématiques très diverses : littérature, histoire, sciences, médias… Durant cette opération, un parcours découverte de l’université est également prévu. A l’aide d’un guide et d’un QCM, les lycéens se mettent dans la peau d’un étudiant en découvrant par eux-mêmes les différents lieux de vie et d’administration de l’université. Ils seront ainsi sensibilisés aux dispositifs d’accompagnement des étudiants. Les élèves assistant à une conférence le matin et l’après-midi sont invités à déjeuner au Restaurant Universitaire de l’UPEC.
Envie de savoirs est un concept qui s’inscrit dans la mission première de l’université : la diffusion des savoirs scientifiques, culturels et professionnels.
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
L’évaluation par contrat de confiance
Pour supprimer « la constante macabre » et l’injustice qui en découle, pour mieux évaluer les compétences, le Mouvement contre la constante macabre organise le 14 mai à Paris un colloque national qui devrait donner une nouvelle impulsion à la démarche initiée par A Antibi.
Parmi le sintervenants signalons Jacques Moisan, ancien doyen de l’inspection générale de maths, Jean-Louis Auduc, Jacques Grosperrin, et les interventions des secrétaires généraux des principaux syndicats d’enseignants et des présidents des associations de parents (Fcpe, Peep, Apel). Le 14 mai c’est toute l’Ecole qui soutiendra le mouvement contre la constante macabre. Le Café pédagogique est partenaire de cet événement.
Inscrivez vous et découvrez le programme
Le numérique pour changer l’Ecole
« Le numérique n’est pas une baguette magique qui permettrait d’imposer en un seul clic un changement du système éducatif », affirme le Sgen Cfdt. Le syndicat organise le 18 mai à Paris un colloque sur le thème » Numérique? : quelle école, quels enjeux? ? » en partenariat avec le Café pédagogique et le Crap.
« Pour le Sgen-CFDT, l’usage du numérique à l’Ecole est d’abord affaire de pédagogie en ce sens qu’il doit participer d’une démarche d’acquisition de connaissances et de compétences. L’oublier réduit ces outils à la dimension de gadgets, sympathiques mais très vite abandonnés. Le comprendre conduit à cette évidence que l’élément central de ces évolutions, ce sont les enseignants ». Le colloque propose deux tables rondes : Comment l’outil numérique modifie-t-il le travail des personnels en dehors de la classe (ENT, espaces collaboratifs, etc.)? ? et « Le numérique pour transformer l’école ».
Mayotte 101ème département
Mayotte devient officiellement le 101ème département français. Mais la départementalisation de ce territoire de l’océan indien prendra de nombreuses années tant Mayotte a une situation spécifique. Parmi les effets attendus de la départementalisation, un effort sérieux pour la scolarisation.
Sciences : L’épreuve des capacités expérimentales
Le B.O. publie la liste des vingt-cinq situations d’évaluation des capacités expérimentales en physique-chimie retenues pour le bac 2011.
Physique chimie
3 ; 5 ; 7; 12 ; 13 ; 19 ; 30 ; 34 ; 35 ; 61 ; 63 ; 65 ; 67 ; 68 ; 72 ; 75 ; 79 ; 94 ; 97 ; 104 ; 106 ; 108 ; 122 ; 134 ; 139.
SVT obligatoire
11 BN 07 v1 ou v2 ; 11 GO 24 v1 ou v2 ou v3 ou v4 ; 11 B.O. 21 v1 ou v2 ; 11 B.O. 20 v1 ou v2 ; 11 GN 11 ; 11 GO 01 v1 ou v2 ; 11 GN 16 ; 11 GO 17 v1 ou v2 ou v3 ; 11 GP 16 ; 11 BP 17 ; 11 B.O. 14 v1 ou v2 ou v3 ; 11 BN 20 v1 ou v2 ; 11 BP 19 v1 ou v2 ; 11 BP 18 v1 ou v2 ; 11 BP 23 ; 11 GO 11 ; 11 GO 23.
SVT spécialité
11 GO 08 ; 11 GO 07 ; 11 BN 02 v1 ou v2 ; 11 BP 26 ; 11 BP 09 v1 ou v2 ou v3 ; 11 B.O. 02 v1 ou v2 ; 11 BP 11 v1 ou v2 ; 11 BP 06.
Langues : Bachibac et Esabac
Le Journal officiel du 31 mars publie la liste des établissements proposant une section Esabac ou Bachibac.
Langues : Stage Grammaire, vocabulaire, CRCL
Le GFEN organise les 14 et 15 mai à Vénissieux un stage sur la grammaire et le Cecrl. Des ateliers travailleront sur des approches nouvelles dans l’apprentissage de le grammaire.
le Cafe
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