Définir le bon dispositif média
Si la pertinence du message est la condition absolument nécessaire pour emporter la conviction, le choix, (du) des médias les plus adéquats, leur traitement constituent la condition suffisante de l’efficacité du système. Il ne sert à rien, en effet, d’avoir conçu, développé, un message qui fasse sens, si celui-ci n’atteint pas son public, sa cible. Le coup d’épée dans l’eau peut être à la fois la conséquence d’un choix média hasardeux ou d’un traitement irréaliste. Définir le dispositif média optimal c’est prendre en compte trois variables essentielles : le profil de la cible, le message que l’on souhaite délivrer et – last but not least – le budget qui peut être investi. Votre capital notoriété image peut aussi constituer un facteur de choix.
http://www.netpme.fr/communication/754-definir-bon-dispositif-media.html
Revenez sur votre décision sans passer pour une
girouette
Pourquoi est-il si difficile de revenir sur une décision ? Si admettre ses erreurs et les corriger est considéré comme un processus naturel dans les pays anglo-saxons, l’exercice se révèle plus périlleux en France. Cette répugnance à changer notre fusil d’épaule tient d’abord à notre fierté : nous avons tendance à nous obstiner même lorsque nous découvrons que nous avons eu tort. Mais aussi à notre désir d’aller au bout des choses : nous avons du mal à nous montrer lucides lorsque nous nous sommes engagés corps et âme dans une direction. Pour éviter de camper sur ses (mauvaises) positions, il faut donc prendre du recul par rapport à sa décision antérieure, ce qui permet de l’évaluer puis de l’abandonner au profit d’une autre option. Des étapes nécessaires pour être en accord avec son propre revirement et le faire admettre à ses collaborateurs.
http://www.capital.fr/carriere-management/conseils/guide-du-manager/denis
Tout processus métier a sa dématérialisation :
quelle est la vôtre ?
Vous souhaitez améliorer votre productivité en dématérialisant vos processus mais vous hésitez car cela vous semble compliqué ? Ce livre blanc a pour objectif de vous donner une vision opérationnelle, par processus métier, de la mise en oeuvre et des bénéfices de la dématérialisation. Cette analyse par processus métier permettra à chacun de puiser des éléments clés pour une application concrète : Quels sont les processus métier qui peuvent être concernés par la dématérialisation ? Quelles sont les contraintes règlementaires ? Quels sont les moyens à mettre en oeuvre ?
Illustré de témoignages d’utilisateurs de solutions de dématérialisation, d’un glossaire et d’extraits de textes juridiques, ce livre blanc vous apportera des informations concrètes et vous donnera les moyens d’approfondir votre réflexion. Nous allons analyser dans ce livre blanc la dématérialisation pour chacun des processus suivants : achats, ventes, finance, marketing, fiscalité, RH et production, tout en effectuant des focus sur certains sujets.
http://www.esker.fr/fm/forms/Livre-Blanc-Esker-Cegid-2010/?cid=70140000000AmsN
Rédiger son CV en anglais
Pour ajouter une expérience professionnelle internationale à leur parcours, améliorer leur maîtrise de l’anglais, ou simplement voir du pays, nombreux sont les Français qui tentent de décrocher un emploi à l’étranger. Canada, Angleterre ou Etats-Unis… Ces pays sont très friands de l’expertise et de la technicité des Français. La concurrence internationale devient cependant de plus en plus accrue, interdisant toute approximation dans le processus de candidature. Reflet des différences culturelles et académiques qui peuvent exister entre deux pays, la présentation d’un CV peut varier fortement entre la France et les pays anglo-saxons. Le Journal du Net a listé quelques conseils pour vous permettre de réussir la rédaction de votre CV en anglais.
http://www.journaldunet.com/management/emploi-cadres/cv-anglais
Cinq techniques pour ne plus rien oublier
Comment s’y prend-il, votre collègue, pour se souvenir de tout ? Les commandes et les exigences de ses clients, les détails des trois dernières réunions de travail, les interventions des participants lors du séminaire de début d’année… rien ne lui échappe. Et n’allez pas croire qu’il dope ses neurones avec une substance miracle : le recours aux médicaments et la consommation excessive d’excitants (alcool, café) tendent plutôt à réduire les capacités cognitives en augmentant le stress et en troublant le sommeil. Il y a toutes les chances, au contraire, que le secret de son efficacité réside d’abord dans une bonne hygiène de vie, première condition pour maintenir le cerveau en parfait état de fonctionnement. Mais si observer un rythme de vie sain est primordial, chacun peut de surcroît stimuler ses facultés de mémorisation par des exercices réguliers. Les techniques et astuces proposées ici s’inspirent de situations courantes de la vie professionnelle. Elles vous permettront de vous améliorer en vous entraînant au jour le jour.
http://www.capital.fr/carriere-management/conseils/guide-du-manager/marie-josee
Bien rédiger la rubrique « centres d’intérêts » de
votre CV
Souvent négligée, trop banale, la rubrique « centres d’intérêts » d’un CV permet pourtant au recruteur de découvrir la personnalité d’un candidat et de déterminer si celui-ci pourra s’intégrer dans l’entreprise. Découvrez comment vous mettre en valeur.
http://www.journaldunet.com/management/emploi-cadres/cv-centre-d-interet
Les astuces pour rédiger (presque) sans fautes
Longtemps, l’orthographe n’a pas été ma priorité, car mon assistante rédigeait mes courriers, confesse Eric Bouchet, consultant en informatique. Lorsque sa direction a décidé de le priver de cette fidèle auxiliaire, ses ennuis ont commencé : Au début, seuls quelques clients me signalaient des fautes dans mes e-mails. Mais, bientôt, c’est mon patron qui a tapé du poing sur la table. Rien d’étonnant à cela : à l’heure où le langage SMS fait fureur, l’orthographe n’est pas pour autant tombée en désuétude. Des fautes nombreuses dans un courrier ont toujours un impact dévastateur sur la crédibilité de son auteur. Et le cas d’Eric est loin d’être isolé : avec les réductions d’effectifs, de plus en plus de cadres doivent rédiger eux-mêmes lettres, rapports et propositions commerciales. Le problème devient si criant que la société Woonoz a lancé, début 2010, le certificat Voltaire, qui permet d’afficher sur son CV son niveau en orthographe. Vous avez des doutes concernant le vôtre ? Ces conseils vous permettront d’approcher au plus près de l’objectif « zéro faute ».
http://www.capital.fr/carriere-management/conseils/guide-du-manager/anne-marie
Les technologies mobiles ont-elles fait évoluer les
méthodes de travail ?
L’adoption des technologies mobiles (laptops, smartphones…) en entreprises est désormais une tendance de fond. Les directions ont assez vite saisi les avantages de ces outils en termes d’efficacité et de productivité. Ainsi, selon l’Observatoire de l’informatique et des télécoms réalisé par IDC avec Bouygues Telecom (240 responsables informatiques d’entreprises de plus de 250 personnes interrogées), 48% des firmes indiquent que leurs salariés sont équipés de PC portables (contre 25% en 2000). Par ailleurs, 30% des smartphones sont aujourd’hui achetés par des entreprises. Pour autant, ces nouvelles technologies entraînent-elles des nouvelles organisations du travail ? Sans répondre directement à cette question, IDC constate néanmoins l’émergence de nouvelles tendances.
http://www.businessmobile.fr/actualites/les-technologies-mobiles-ont-elles-fait-evoluer
Les mutations du harcèlement moral
Comme s’il épousait les remous de l’actualité sociale, le harcèlement moral opère sa mutation. Axé initialement sur une dimension individuelle, psychologisante (la figure du pervers narcissique), il a acquis une dimension collective (le harcèlement managérial ou institutionnel), probablement en réponse à la vague des suicides chez Renault et France Télécom. Sa définition à tiroirs, issue de la loi de modernisation sociale de 2002, a certainement permis une telle évolution : « aucun salarié ne doit subir les agissements répétés de harcèlement moral qui ont pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel. » Cette définition codifiée dans le Code du travail (C. trav., art. L. 1152-1) est reproduite à l’identique dans le Code pénal (C. pén., art. 222-33-2). Même définition et, depuis peu (loi du 9 juillet 2010 sur les violences faites aux femmes), mêmes peines : un an d’emprisonnement et 15 000 euros d’amende pour les personnes physiques. La chambre sociale et la chambre criminelle de la Cour de cassation sont amenées à connaître de la même thématique. Sont-elles au diapason? À la vérité, la chambre sociale semble moteur sur le sujet. Ses prises de positions, nombreuses depuis la reprise de son contrôle en 2008 (Cass. soc., 24 sept. 2008, n° 06-45.794; v. A.Martinel, P. Adam, Ph. Waquet, Semaine sociale Lamy n° 1368), ont probablement eu un effet de contamination sur la chambre criminelle.
http://www.wk-rh.fr/actualites/upload/SSL_Actu1482.pdf
La CNIL assouplit ses règles sur l’importation de
données RH
Dans une délibération du 20 janvier, rendue publique début mars, la CNIL assouplit certaines de ses règles sur le transfert des données relatives aux ressources humaines. Les entreprises non européennes sont dispensées de certaines obligations issues de la loi Informatique et Libertés, lorsqu’elles confient à des entreprises françaises le traitement de leurs fichiers relatifs aux ressources humaines et à la rémunération de leur personnel. Le but affiché par la Commission nationale informatique et libertés est essentiellement économique : il s’agit de ne pas contrarier « le développement des offres de prestation de service par les sociétés françaises », tout en assurant « un haut niveau de protection des données personnelles ». La CNIL « a souhaité faire preuve de réalisme et de pragmatisme dans l’application de la loi française à ces situations », explique-t-elle dans un communiqué. Elle assouplit les obligations déclaratives qui incombent à ces entreprises non européennes, et facilite le « retour » de ces flux de données des prestataires en France vers ces entreprises situées hors de l’Union.
http://www.wk-rh.fr/actualites/upload/SSL_actu1483.pdf