Chatel lance aujourd’hui un « plan sciences »…
Les calculs du plan sciences
Modification des concours l Ecoles fermées à La Réunion l Précarité : Instantané de l’académie de Créteil l L’Angola va introduire 7 langues nouvelles d’enseignement.
41èmes Olympiades des métiers : Les espoirs des candidats ? l Les collégiens approuvent le travail à la maison.
Etudier une oeuvre littéraire avec Facebook l Un collectif demande un plan contre le harcèlement!.
Les champs disciplinaires interrogés par une conférence de consensus.
Rencontres nationales pour l’école maternelle du GFEN l Vincent Carette nous a quitté…
S.E.S. : Les perspectives économiques de la Banque mondiale l Expolangues 2011 l Philosophie : Initiez-vous à l’édition critique.
Le fait du jour
Chatel lance aujourd’hui un « plan sciences »
Pour lutter contre le faible niveau en maths des écoliers et encourager le goût des sciences, Luc Chatel présente aujourd’hui un « plan sciences » qui concerne l’école, le collège et le lycée. « Ce dispositif a pour objectifs d’améliorer les performances en mathématiques des élèves à l’école primaire, d’entretenir la curiosité et de développer le goût pour les disciplines scientifiques et technologiques au collège et d’encourager les vocations pour les carrières scientifiques et technologiques au lycée ». Le « plan sciences » de Luc CHatel doit être présenté lundi 31 janvier, mais le ministre en a déjà révélé l’essentiel dans Le Journal du Dimanche (JDD).
A l’école. « Je vais m’attaquer à « l’innumérisme« , annonce Luc Chatel dans le JDD, « c’est-à-dire l’incapacité à réaliser les calculs de la vie courante ». Il préconise 15 à 20 minutes de calcul mental par jour afin que » tous les automatismes sont bien en place par un entraînement quotidien aux calculs élémentaires ». Pour les sciences, il veut encourager » l’expérimentation et l’investigation, qui motive les élèves ». Et pour cela il annonce la nomination d’un inspecteur chargé des mathématiques et d’un autre chargé des sciences dans chaque département. Il encouragera aussi la diffusion du jeu d’échec dans les classes. « . Cette pratique développe le raisonnement logique et peut aider par ce biais ludique les élèves qui éprouvent des difficultés scolaires « . Par ailleurs « à la rentrée prochaine, nous allons mettre en place des modules de formation aux sciences pour les professeurs stagiaires dans tous les départements ». Un effort de recherche est aussi annoncé. » Je souhaite proposer aux universités un programme de recherche pédagogique appliquée pour travailler à une meilleure compréhension des mécanismes d’apprentissage ».
Au collège, Luc CHatel veut étendre à 400 collèges RAR ou CLAIR l’expérimentation d’enseignement intégré des sciences menée actuellement dans 52 collèges. Lancée en 2006, cette expérimentation associe SVT, physique et technologie. Elle est soutenue par l’Académie des sciences et l’Académie des technologies qui encouragent le partage d’expériences. Récemment Eduscol a mis en ligne les vidéos de l’université de printemps du 24 au 26 mars 2010 sur l’EIST. Chacun des 400 collèges « devra avoir un projet pédagogique scientifique mené avec le monde associatif et les entreprises ».
Au lycée, Luc CHatel demandera s’appuiera aussi sur les entreprises. » Nous allons demander à chaque lycée de nouer des partenariats locaux avec des entreprises pour qu’une fois par trimestre elles viennent dans un établissement faire une présentation des métiers de leur secteur, à composantes scientifique et technologique. Cela peut être l’occasion de susciter des vocations ». Pour encourager les vocations scientifiques des jeunes filles, il s’appueira aussi sur les associations , « Femmes ingénieurs », « Femmes et mathématiques », « Femmes et sciences ».
Pour le Snuipp, qui a réagi le 30 janvier au soir, « ce qui est présenté par le ministre comme des nouveautés sont des points déjà présents au programme de l’école primaire. Tous les parents le savent très bien. Ces activités sont pratiquées régulièrement dans les classes car les enseignants en connaissent l’importance ». Mais le Snuipp en profite pour dénoncer » les programmes de 2008, leur conception mécaniste des apprentissages et leur lourdeur » et demander s’ils « permettent vraiment de prendre ce temps de la recherche, de l’observation et de la réflexion ? »
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Les calculs du plan sciences
Luc Chatel annonce un « plan sciences ». Est-il utile ? A-t-il les moyens de le mettre en place ?
C’était lors d’une récente conférence de presse. Une jeune enseignante stagiaire nous expliquait qu’elle avait du interrompre son cours de C.P. pour filer dans la classe d’une collègue expérimentée, observer comment elle faisait, avant de revenir dans sa classe l’imiter. « Avec un bac plus 5 », expliquait-elle, « je croyais être capable de m’autoformer. En fait je me rends compte qu’on peut avoir un doctorat et ne pas savoir enseigner l’addition ».
Au moins cette stagiaire avait-elle saisi la difficulté de l’exercice. Une étude publiée ces jours derniers dans la revue officielle Education et formations (n°79) montre en effet une baisse sensible du niveau en maths à la fin du CM2 depuis 1987. Or d’autres travaux, comme ceux de B Suchaut, ont mis en évidence l’importance des compétences en calcul et du calcul mental. « Les compétences dans l’acquisition de la langue écrite, dans la structuration du temps et dans la construction du nombre à la fin de l’école maternelle déterminent les capacités attentionnelles des élèves à l’entrée au cycle III », nous disait-il en 2008. « Par ailleurs, ces capacités attentionnelles sont liées aux compétences en calcul mental qui elles-mêmes vont déterminer les futures acquisitions des élèves en numération et calcul à l’entrée au collège et, de façon indirecte, les compétences en compréhension. Ce dernier domaine étant central pour expliquer la réussite ou l’échec des élèves à l’entrée au collège ». Voilà qui fonde la réaction ministérielle et la volonté d’un plan sciences.
Mais depuis 1999, « on observe un tassement des résultats » en maths à la fin du primaire. La fameuse baisse serait stoppée. Ce serait du aux programmes de 2002, hélas remplacés en 2008 par de nouveaux programmes fortement critiqués, dans nos colonnes, par les spécialistes des apprentissages mathématiques, comme R Charnay ou R Brissiaud. Car, ce que montre aussi cette étude du ministère, c’est que « l’accent sur le calcul mental apparaît à nouveau dans tous les programmes de mathématiques, de l’école primaire au lycée. Loin de l’aspect purement mécanique qu’il pouvait avoir jadis (on connaissait l’air sans forcément connaître les paroles), son enseignement est aujourd’hui vivement encouragé pour des raisons très diverses qui trouvent leurs fondements autant du point de vue des apprentissages intramathématiques que de celui de ses applications dans la vie courante ». Les liens avec la mémorisation par exemple sont bien repérés.
IL est bon que Luc CHatel ait saisi que l’apprentissage des opérations et de la numératie est quelque chose d’important et de prédictif du succès des élèves. Il reste maintenant à faire le chemin. Cela passe par la suppression des programmes de 2008 et un vrai effort de formation des nouveaux profs. Sans cela, inspecteurs ou pas, les bases mêmes de la numératie ne seront pas acquises par les élèves et le plan Sciences n’aura été qu’un épisode médiatique. .
R CHarnay : apprendre ou comprendre
Modification des concours
Une note publiée u B.O. du 27 janvier présente les programmes des épreuves des capet externes des sections biotechnologies, économie et gestion, médico-sociale et technologie. A noter que pour ce capet, « Le programme s’appuie sur les connaissances et les compétences décrites dans les programmes, en vigueur le 1er janvier de l’année du concours, de technologie du collège ; de sciences de l’ingénieur de la voie générale du baccalauréat S ; de sciences industrielles pour l’ingénieur des classes préparatoires aux grandes écoles PCSI et PSI ; et ce, au niveau de maîtrise « master 2 » des savoirs ». La même note définit les programems des capet internes sections biotechnologies, hotellerie, éco gestion et technologie.
Le Journal officiel du 28 janvier a publié un arrêté qui définit l’organisation et les épreuves de plusieurs agrégations, en maths, musique en externe; en interne en musique et SES. Pour le Capes externe, le même arrêté redéfinit les épreuves en lettres (classiques et modernes ) et maths : les TICE deviennent une épreuve obligatoire. Le Capet, le CAPLP et le CAPEPS sont aussi modifiés.
Ecoles fermées à La Réunion
En raison des fortes pluies qui s’abattent sur l’ile, le préfet deLa Réunion a décidé le 30 janvier la fermeture des écoles et établissements secondaires et l’arrêt du ramassage scolaire dans toute l’ile le 31 janvier sauf dans 5 communes (Saint Pierre, Tampon, Saint Joseph, Petite ile et Saint-Philippe.
Précarité : Instantané de l’académie de Créteil
Que pèsent les emplois précaires dans l’éducation nationale ? La CGT de l’académie de CRéteil publie des chiffres. Selon elle, près de 3 000 enseignants précaires seraient employés par l’académie (2980), dont 2301 en CDD. C’est le cas par exemple de 156 enseignants de vente, 104 de sceinces et techniques médico-sociales, 110 de biotechnologies, de près de 300 profs de maths et 120 d emaths physique. C’est dans l’enseignement professionnel que les vacataires sont les plus nombreux.
Vacataires : Quel avenir pour la plèbe enseignante ?
L’Angola va introduire 7 langues nouvelles d’enseignement
Selon l’Agence Angola Press, le gouvernement va introduire sept langues locales dans l’enseignement primaire : Umbundu, Kimbundu, Kikongo, Kwanhama, Yaneka, Chokwe et Nganguela. Ces langues seront utilisées du CP au CE2. L’UNesco recommande que l’enseignement primaire soit fait dans la langue maternelle plutôt que dans une langue étrangère, ce qui est souvent le cas en Afrique.
Quelles langues pour l’école africaine ?
41èmes Olympiades des métiers : Les espoirs des candidats ?
« « Je m’entraîne tous les soirs après la journée de travail, et les week-ends aussi. C’est très lourd, mais je suis très motivée ». Patricia Carneiro est en 2ème année de BP Esthétique dans un CFA parisien. Finaliste régionale elle travaille dur pour préparer les finales nationales des Olympiades des métiers.
Plus de 750 jeunes, représentant 48 métiers et 23 régions, vont se retrouver pour la finale nationale des 41èmes Olympiades des métiers à Paris les 3, 4 et 5 février. Le Café va à leur rencontre pour vous présenter leurs espoirs et leurs exploits.
Les collégiens approuvent le travail à la maison
« En réponse aux exigences de leurs professeurs, la majorité des élèves déclare toujours faire le travail en dehors de la classe et cela dans chacune des disciplines de l’étude : c’est le cas pour 62 % des élèves en mathématiques, 58 % en français, 56 % en histoire-géographie et 54 % en anglais ». Les résultats, publiés par une étude de la Depp (ministère de l’éducation nationale) montrent même une certaine satisfaction des élèves.
« Pus de la moitié des élèves juge convenable, la charge de travail qui leur est demandée, plus encore en mathématiques (62 %) que dans les trois autres disciplines (de 56 à 57 %). 23 % d’entre eux vont même jusqu’à estimer qu’il n’y a pas assez de travail en histoire-géographie et 12 % qu’il y en a trop, proportions inverses dans les trois autres disciplines ». Les trois quarts disent mieux comprendre les cours et plus de la moitié évoque l’amélioration des résultats scolaires, ce que confirme plus de la moitié des enseignants.
Ces aspects positifs sont quand meme à relativiser. « Le tiers seulement des élèves reconnaît faire toujours le travail prescrit dans les quatre disciplines, plus souvent en sixième et cinquième (36 et 34 %) qu’en quatrième et troisième (24 et 23 %), les filles étant plus nombreuses que les garçons à le dire (33 % contre 26 %) ». Un pourcentage qui va s’épuisant donc de la 6ème à la 3ème.
La classe
Etudier une oeuvre littéraire avec Facebook
Si Lorenzaccio avait ouvert un compte Facebook à quels groupes appartiendrait-il ? Qui seraient ses amis ? Des lycéens bretons redonnent vie ainsi aux personnages de la pièce de Musset. » L’usurpation d’identité se confond ici, savoureusement, avec l’imposture littéraire », prévient Jean-Michel Le Baut.
Un collectif demande un plan contre le harcèlement
« Le phénomène du harcèlement entre pairs dans l’espace scolaire est devenu tellement fréquent qu’on ne peut plus faire mine de l’ignorer… Quelle que soit la sociologie de l’établissement, 15 % des élèves environ (9% en tant que victimes, et 6% en tant qu’auteurs) sont concernés régulièrement par ces phénomènes entre pairs d’humiliations par violences verbales, ou physiques, répétées, insistantes, qui entament la confiance des victimes en l’école, et en eux – mêmes », écrit un « Collectif contre le harcèlement à l’école ».
Dans une lettre envoyée le 26 janvier aux ministres de l’éducation, de la santé et de la cohésion sociale, le collectif signale des programmes ayant réussi à faire reculer le phénomène en FRance et à l’étranger. Il demande « une consultation nationale permettant que toutes les pistes de solutions soient explorées et débattues et débouchant sur des préconisations précises ». Parmi les signataires, signalons Marcel Rufo, Jacques Nimier, Marie-Françoise Bonicel, Claire Heber Suffrin, Bernard Defrance, etc.
La question du harcèlement était au coeur des Etats généraux de la sécurité à l’Ecole et , récemment, E Debarbieux a témoigné des projets lancés à cette occasion.
Etablissement partenaire
Les champs disciplinaires interrogés par une conférence de consensus
Organisée par l’IUFM de Créteil, le 9 février, la 7ème conférence de consensus opposera et rassemblera des enseignants-chercheurs sur la thématique « Épistémologie, savoirs et champs disciplinaires ».
Le principe de la conférence de consensus consiste à exprimer le dissensus qui se fait jour au sein d’une communauté scientifique à propos d’une question controversée et à tendre vers la réduction de ces divergences. Un jury, réuni sous l’autorité d’un président, participe aux débats ; il assure la médiation entre la diffusion des résultats de la recherche et les prescriptions adressées aux formateurs d’enseignants. La conférence entendra notamment François Dosse (tournant pragmatique et herméneutique en histoire), JL Martinand (penser les activités éducatives en sciences et techniques), E Weider (le bilinguisme à l’école) etc.
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Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
La recherche
Rencontres nationales pour l’école maternelle du GFEN
La nouvelle édition des Rencontres Nationales pour l’Ecole maternelle, organisée par le GFEN en partenariat avec le SNUipp et le Café Pédagogique, a encore rassemblé cent cinquante personnes, samedi 29 janvier 2011, autour de la question de la « culture pour tous dans les apprentissages ».
Pour le GFEN, « si l’école maternelle veut remplir sa mission, elle doit permettre à tous d’apprendre à affronter la complexité, leur faire acquérir des techniques, des habitudes de travail efficientes, les confronter à d’autres formes de cultures que celles qui leur sont familières, leur faire partager des références communes, un patrimoine commun.
Le sous-titre de la journée aurait pu être « Parle-leur de batailles, de rois et d’éléphants », comme le dit le titre du dernier Goncourt des lycéens. Détails et clins d’oeil dans les petits comptes-rendus des conférences et des ateliers ci-dessous. Mais franchement, la prochaine fois, allez-y en vrai, ça a beaucoup plus de saveur…
Découvrez le reportage complet du Café
Vincent Carette nous a quittés
La semaine dernière, le Café présentait le dernier ouvrage auquel Vincent Carette avait participé (Savoir enseigner dans le secondaire, de Boeck). En septembre, nous avions largement reproduit ses réflexions lors du colloque AREF.
Vincent Carette était assistant chercheur en sciences de l’éducation à l’Université libre de Bruxelles. Il intervenait dans la formations des instituteurs belges et partageait sa réflexion sur les compétences à l’école. Son décès brutal est une triste nouvelle pour tous ceux qui cherchent à comprendre et améliorer l’Ecole.
V Carette lors du colloque AREF
Les disciplines
S.E.S. : Les perspectives économiques de la Banque mondiale
Selon la Banque mondiale, qui publie ses Perspectives mondiales 2011, « l’économie a récupéré de la crise ». Le taux de croissance du PNB a été de 3,9% en 2010. ON attend moins en 2011 (3,3%) mais un peu plus en 2012 (3,6%). Cependant de sérieuses tensions demeurent : la dette européenne, les mouvements de capitaux vers les pays émergents, la crise de sprix alimentaires.
Expolangues 2011
À l’occasion d’Expolangues 2011 (2 au 5 février 2011) l’APLV organise deux tables rondes le mercredi 2 février : « Les langues vivantes en primaire « de 10h00 à 12h00 et « Les langues vivantes au baccalauréat » de 12H15 à 13H45. Pour les détails des points abordés et les noms des invités (dont certains que vous connaissez de cette liste) voyez l’article sur le site. Visitez aussi le lien vers Expolangues en bas de page pour imprimer les invitations gratuites et découvrir le programme et l’hôte d’honneur : cette année l’Arabe. Le CIEP est présent lui aussi et propose trois propose trois conférences : sur l’évaluation des compétences des profs de FLE, le DILF et DELF, et sur REAL : Le Réseau européen des associations de professeurs de langues.
Philosophie : Initiez-vous à l’édition critique
Quel peut être, pour le public, l’intérêt de se familiariser avec les méthodes de l’édition critique ? Tout simplement, découvrir les textes tels qu’ils ont été écrits et voulus par leur auteur. Retrouver l’exactitude de la formulation, le sens précis des propos derrière les gloses qui ont pu recouvrir de banales erreurs de transcription, dégager l’expression exacte et le terme choisi, autant d’exigences dont on peut au moins apprendre à mesurer les enjeux par l’exploration de ce domaine de recherche érudit.
le Cafe
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
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