Debarbieux : « Il est temps de chercher le consensus sur les questions de violence scolaire » …
Gestion Crise 2.0
Le SNES demande un moratoire sur la mise en place du livret de compétences l Les syndicats refusent le projet gouvernemental sur les non-titulaires l Privé : Le Spelc appelle à participer à la journée du 22 janvier l L’AERES publie une évaluation des universités françaises l Etats-Unis : Les rapports sur l’efficacité des établissements mentionneront les noms des enseignants.
Les Metiers.net rénove son site.
L’aide aux élèves : le guide académique de Paris l Mercredi 12 Janvier : Imaginons le collège de demain.
Les contenus disciplinaires au 2ème colloque de l’ARCD …
Le Spatioguide du CNES l Sciences : Embarquez vos élèves sur Tara Océans l Les langues avec Skype ?.
Le fait du jour
Debarbieux : « Il est temps de chercher le consensus sur les questions de violence scolaire »
Rétablir la sécurité à l’Ecole, lutter contre la violence scolaire, dans les discours présidentiels, voire ministériels, ça se décline souvent en formules simplistes. On créé des centres spéciaux pour élèves perturbateurs (les ERS) et on laisse entendre qu’on va les dresser. On met en place une police spéciale, les équipes mobiles de sécurité, que l’on présente comme un outil répressif. On parle de diagnostic de sécurité pour les établissements. Depuis plusieurs années ces discours ont occupé une grande place dans les propos officiels. Pourtant un événement original a eu lieu. Sous la houlette d’Eric Debarbieux, le 7 avril 2010, les Etats généraux de la sécurité à l’Ecole réunissaient en Sorbonne les cadres du système éducatif français, ministre en tête, pour écouter toute une journée des spécialistes venus du monde entier parler de la réalité et de l’état de la recherche sur la violence scolaire. Une documentation importante était communiquée, synthétisant ce qu’on sait sur ces sujets, recadrant bien des lieux communs. Et un important programme scientifique était lancé. Il se fixait comme objectifs la formation des enseignants et la recherche sur la victimation. Neuf mois plus tard le Café demande à Eric Debarbieux de faire le point sur cette gestation. Où en sont les promesses des Etats généraux ? Comment peuvent-elles cohabiter avec les salves sécuritaires lancées par les politiques ?
Ancien instituteur, président du conseil scientifique des Etats généraux de la sécurité à l’Ecole et président de l’Observatoire international de la violence scolaire, Eric Debarbieux vient de recevoir sa lettre de mission, signée par Luc Chatel. Pour l’année scolaire 2010-2011 elle lui demande de continuer à participer à la formation des formateurs référents sur la tenue de classe, de participer à la formation des équipes mobiles de sécurité et à la réalisation des enquêtes de victimation, de participer à l’évaluation du dispositif CLAIR. Surtout elle annonce au cours de l’année prochaine la mise en place « d’une politique de lutte contre le harcèlement scolaire… Si des actions sont d’ores et déjà menées dans certains établissements scolaires », continue la lettre, « ce phénomène déstructurant pour le développement psychologique et social des victimes doit être mieux évalué au niveau national et faire l’objet d’une politique ambitieuse et spécifique ». C’est sur tous ces aspects, et aussi la contradiction entre ces perception de la violence scolaire, et les positions médiatiques des autorités, qu’Eric Debarbieux va nous répondre.
Lisez l’entretien avec Eric Debarbieux
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Gestion crise 2.0
Les réseaux sociaux ne servent pas uniquement à exposer son nombril, à prendre sa part d’existence dans un espace virtuel lorsque le monde réel semble niveler les particularités individuelles. Ils sont aussi un lieu d’expression des questionnements, une zone où les malaises affleurent pour rechercher soutiens et solutions.
Le monde enseignant choisit parfois cette voie pour raconter ce qui ne va plus, la difficulté de faire classe dans un établissement miné par les actes quotidiens de violence sourde, l’absence de réactions visibles et structurées de la hiérarchie. Un sos de ce type s’est affiché sur mon mur facebook ce week end. La première surprise a été qu’il émane d’un enseignant chevronné et motivé par son métier ; la deuxième a été provoquée par la qualité des réponses, une analyse de la situation par questions et suggestions, un échafaudage collectif de ce que pourrait être un règlement en long cours d’un quotidien perclus d’incivilités insidieuses, loin du yakafaukon tout près d’une méthodologie construite.
Des tags s’incrustent sur le mur des échanges : médiation, dialogue, accompagnement des équipes, recul, distanciation, responsabilité partagée. Prononcés si fort dans le virtuel qu’on les soupçonne d’être absents du monde réel. Le sont ils d’ailleurs, présents ? Parfois oui, souvent non et cela tient généralement à l’effet établissement, et plus individualisé encore à la personnalité du chef d’établissement, sa culture professionnelle, ses valeurs, son parcours. A l’heure de la réforme, bonne pioche si le proviseur ou le principal possède une véritable culture du projet, par temps chaotique, véritable gros lot s’il est féru de gestion de crise.
On s’interroge sur la formation des enseignants mais s’attarde t’on assez sur la formation des chefs d’établissements ? Possèdent-ils les clés, les méthodes et les moyens pour faire face aux instants de crise et même mieux les transformer en élément fédérateur d’une équipe ? Et puis au-delà, comment la structure fortement hiérarchisée, pesante par ses strates et sa rigueur procédurière, pourrait laisser échapper les relations humaines hors de la verticalité, vers une analyse de crise qui ne rechercherait pas des coupables mais détecterait les causes de la crise et les éventuelles co-responsabilités.
Préconisons à l’école un bain de web 2.0 comme un bain de jouvence pour qu’elle puisse laisser s’échapper liberté de paroles et d’échanges. Nous sommes encore à l’heure des vœux alors pourquoi pas celui là.
Monique Royer
Le SNES demande un moratoire sur la mise en place du livret de compétences
Le livret personnel de compétences (LPC) devient cette année une pierre angulaire de l’évaluation de fin de 3ème. En remettant en question un livret dont l’évaluation prête aux critiques, le Snes manifeste aussi son refus du socle commun.
» Dans les collèges où les personnels discutent actuellement du LPC, les interrogations restent entières sur la pertinence de bon nombre d’items et les modalités d’évaluation de la plupart », écrit le Snes dans une lettre ouverte au ministre. Le syndicat souligne que » les piliers (ou « compétences ») du socle continuent d’être déclinés en domaines qui comprennent des items tellement disparates et de conception tellement variés que personne ne sait définir « objectivement » à partir de quel seuil un l’élève est censé maîtriser chacun des piliers. Un certain nombre d’items renvoient à des connaissances qui ne figurent pas dans les programmes et ne s’enseignent pas en tant que telles, ou à des « compétences » générales que personne ne sait évaluer précisément. D’autres encore (notamment dans les piliers 6 et 7) renvoient à un jugement subjectif de la personne même de l’élève (comme par exemple « avoir une bonne maîtrise de son corps » ou « avoir un comportement responsable ») et non à une évaluation de son travail scolaire ». Suit une série de remarques sur les conséquences matérielles de cette évaluation. » Les personnels ont bien compris que cette approche multiplie – notamment pour valider les items au carrefour de plusieurs disciplines – les réunions incessantes des équipes pédagogiques sans qu’elles ne bénéficient pour autant d’un temps de concertation dans leur service, et que tout serait fait in fine pour que la maîtrise du socle soit validée pour un maximum d’élèves, quel que soit leur niveau réel ».
Cette » mascarade d’évaluation » amène le Snes à rejeter la logique du socle commun, » vision réductrice des savoirs qui marginalise plusieurs disciplines et écrase des pans entiers de la culture scolaire ». Le syndicat affirme que « les expériences déjà menées dans d’autres pays (Suisse, Belgique, Québec…) n’ont pas permis de conclure qu’une approche exclusive par compétences apportait des réponses pertinentes à la difficulté scolaire ni ne permettait pas aux parents de suivre mieux la scolarité de leurs enfants, bien au contraire ». Pour le Snes, les enseignants » n’adhèrent pas à cette approche qui pose de redoutables problèmes pédagogiques et éducatifs, didactiques et d’évaluation qui n’ont jamais été valablement réfléchis ni débattus avec la profession ». Il demande « un moratoire sur la mise en place généralisée du LPC en attendant les conclusions d’un débat approfondi au sein de la communauté éducative sur cette forme d’évaluation ».
Le Café avait rendu compte de la stupéfiante mise en place du LPC dans une institution qui applique la loi de 2005 visiblement à reculons. Publié en avril 2010, le rapport du député Grosperrin sur le collège soulignait des difficultés déjà visibles. « Le nouveau « DNB » organise la « cohabitation » – plus qu’improbable – de deux formes d’évaluation a priori opposées et inconciliables : d’une part, l’évaluation traditionnelle, chiffrée, par le biais du contrôle continu et des épreuves du brevet, des savoirs disciplinaires et d’autre part, l’évaluation binaire, propre au socle commun, qui indique si chacune des sept compétences est validée ou non. Ce choix est à l’évidence absurde », écrivait-il, estimant que « le compromis précité remet en cause la valeur de cette attestation, voulue par le législateur ». Il relevait » l’incompréhension des enseignants » qui « ne se sont pas appropriés le socle ». Pour de nombreux enseignants », continue J Grosperrin, » l’attestation de la maîtrise du socle commun conduirait à altérer le travail d’évaluation, ainsi que la relation élève-professeur. Pour reprendre une expression très imagée entendue au Collège Françoise Dolto de Paris, le cochage des cases de validation des sous-compétences transformerait les équipes enseignantes en « poinçonneurs des Lilas ». Ce document a été même qualifié dans cet établissement « d’attestation Mc Gyver », ce qui en dit long sur son image dans la communauté enseignante ». Le rapport demandait déjà du temps. « On ne peut réussir une mutation aussi importante que celle que représente la mise en place d’une évaluation par les compétences sans s’en donner le temps… »
A la mi-juin 2010, le brevet avait fait l’objet d’une passe d’armes entre le Se-Unsa, favorable à son évolution, le Snes, très critique sur l’évaluation par compétences, qui y voyait « une dénaturation du collège », et le Sgen, méfiant devant la complexité de l’examen. Finalement le ministère a finalement choisi de conserver le « bon vieux » DNB en lui adjoignant l’attestation du socle et l’évaluation de l’histoire des arts ». L’empilement ainsi réalisé pose effectivement problème, comme le reconnaissait Claire Krepper du Se-Unsa. « Ce qui est particulièrement grave aujourd’hui, c’est que quatre ans après le vote de la loi d’orientation, à travers ce projet, le ministère refuse toujours de dire quelle logique doit primer à terme et maintient les enseignants dans une position schizophrène intenable ». Les arguments du Snes devraient trouver un large écho dans les collèges.
Nouveau brevet : quelle place pour le socle commun ?
Les syndicats refusent le projet gouvernemental sur les non-titulaires
Dans un communiqué commun, les syndicats (CFDT – CFTC – CGC – CGT – FSU – SOLIDAIRES – UNSA) dénoncent « la progression de la précarité dans les 3 versants de la Fonction publique » et exigent « l’amélioration de la situation des agents contractuels qu’elles considèrent comme un enjeu majeur ».
« Les personnels et les organisations syndicales attendent beaucoup de ces négociations, en particulier : un dispositif de titularisation accessible à tous les agents non titulaires et non aux seuls CDI; lLa limitation drastique des cas de recours au contrat; le retrait du « contrat de projet » inscrit dans le document d’orientation ».
Les syndicats rejettent la notion de « contrat de projet ». Ils estiment qu’aucune réelle perspective de titularisation n’est offerte aux 800 000 agents non titulaires exerçant au sein des trois fonctions publiques.
Privé : Le Spelc appelle à participer à la journée du 22 janvier
« Compte tenu des enjeux éducatifs et de société, ainsi que des défis qui se présentent aux jeunes, la fédération nationale des SPELC considère que ces suppressions d’emplois sont dangereuses et contraires aux objectifs ambitieux affichés par le ministre de l’Éducation nationale ». Le Spelc, un syndicat du privé sous contrat, appelle ses membres à participer à la journée d’action du 22 janvier. « La politique actuellement menée dénote une vision à court terme et un projet de société auquel nous ne pouvons pas adhérer ».
L’AERES publie une évaluation des universités françaises
L’agence chargée de l’évaluation du supérieur publie sa première étude régionale, académie par académie, des évaluations réalisées dans l’enseignement supérieur et la recherche entre 2007 et 2010. Selon l’AERES, « une dynamique des grandes métropoles a été engendrée par la préparation aux récents appels d’offres tels l’opération Campus et le Grand Emprunt. Ces métropoles ont mis en place une réflexion autour de projets collaboratifs permettant l’implantation de grands plateaux techniques ».
Etats-Unis : Les rapports sur l’efficacité des établissements mentionneront les noms des enseignants
Clouer au pilori les « mauvais profs » ! C’est en gros la philosophie de la Cours de justice de New York qui a décidé d’obliger les autorités scolaires à inclure le nom des enseignants dans les rapports de performance des établissements. Ces rapports sont rendus publics et accessibles aux parents. La cour a estimé que cette information était intéressante pour le public et que l’intérêt général passait avant le respect de la vie privée des enseignants. Pour le syndicat UFT, les données sur lesquelles s’appuient ces rapports d’efficacité s’appuient sur des tests discrédités avec de grande smarges d’erreur.
Sur le blog de Stephen Sawchuk
Les Metiers.net rénove son site
Développé avec le soutien de la région Ile-de-France, le site Les métiers.net s’adresse à la fois aux élèves de 12 à 25 ans, à leurs parents et aux professionnels de l’information et de l’orientation. Le site rénové est plus interactif et plus accessible. Il mise sur la vidéo et l’échange avec des conseillers d’orientation et des professionnels.
Lesmetiers.net rassemble un contenu exhaustif sur les métiers, la formation et l’orientation avec différents niveaux de lecture et une ergonomie simplifiée. Tous les établissements prodiguant des formations en Île-de-France y sont répertoriés et géolocalisés. Des quiz favorisent l’aspect ludique du site. Des témoignages concrétisent les métiers et les formations qui y sont développés.
Le site offre 450 fiches métiers, liées à 450 témoignages vidéo ainsiq ue 250 témoignages de professionnels. La géolocalisation permet de trouver près de chez soi la formation souhaitée. Le site offre aussi un service gratuit de réponse en ligne , des tests d’orientation, des guides pratiques (3ème, 2de, terminale, CAP).
La classe
L’aide aux élèves : le guide académique de Paris
Présenté à l’occasion d’un colloque académique sur l’aide aux élèves, le Guide de l’académie de Paris est une référence pour les enseignants du primaire.
Le « guide concret pour la classe et pour l’école » aborde la question de la différenciation. Toute une partie , par exemple, propose des organisations dans la classe qui favorisent la différenciation : groupe détaché, aide des pairs, groupes de besoin, groupes hétérogènes, ateliers, individualisation immédiate etc. Le guide aborde aussi les relations avec les parents, les entretiens avec l’élève, le cadre réglementaire. Un document précieux, à télécharger et à découvrir pas à pas.
Mercredi 12 Janvier : Imaginons le collège de demain
Quels contenus d’enseignement, quelles modalités d’évaluation, quel avenir pour le collège ? En partenariat avec le Café pédagogique, le Se-Unsa organise le 12 janvier à Paris un colloque qui veut aussi « conjuguer les approches politiques, syndicales et professionnelles pour cerner les spécificités du métier d’enseignant en collège ».
Ce colloque est particulièrement bienvenu alors que se succèdent les rapports sur le collège, qui souvent demandent à définir une « école du socle » associant primaire et collège, et que l’UMP demande , dans son programme pour 2012, la suppression du collège unique.
Le 12 janvier, des intervenants éclaireront ces questions. Citons par exemple Roger-François Gauthier, Pierre-Jean Marty (Clisthène), Claude Lelièvre ou encore Jean-Louis Auduc. Un blog alimente dès maintenant la réflexion pour ce colloque. Vous pouvez y témoigner.
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
La recherche
Les contenus disciplinaires au 2ème colloque de l’ARCD
« La multiplication des changements des programmes scolaires, l’introduction de socles communs de connaissances, la prolifération des référentiels de formation ou des cadres de références internationaux donnent aux didactiques une responsabilité sociale dans le contrôle des effets de ces changements dans la définition des contenus. L’objectif de ce colloque vise à mener, à partir d’une comparaison disciplinaire entendue au sens où elle est définie dans les principes du colloque, une réflexion sur la notion même de contenu ». Le colloque de l’Association pour des Recherches Comparatistes en Didactique (ARCD) se tiednra à Lille du 20 au 22 janvier.
Il se construit autour de 3 axes : l’organisation des contenus selon les disciplines, la circulation des contenus entre les disciplines et les manières dont les contenus spécifient les enseignements.
Les disciplines
Le Spatioguide du CNES
A destination des enseignants ou médiateurs de culture scientifique, le Spatioguide du Cnes offre une sélection d’outils ou de ressources conçus ou soutenus par le CNES (Encyclopédies, ouvrages, magazines, dossiers pédagogiques, films, expositions, jeux, sites Internet) classés par niveau d’enseignement, type de supports et grandes thématiques spatiales.
Sciences : Embarquez vos élèves sur Tara Océans
Soutenu par la région Ile-de-France, l’académie de Rennes, le CRDp de Bretagne et de nombreux autres partenaires,le projet Tara Océans permet d’aborder la question du développement durable et les sciences de façon concrète et, disons le, unique.
Tara permet de monter une véritable expédition naturaliste avec le projet Graine d’explorateur. Créé par l’INRP, le principe est de monter une expédition naturaliste scientifique de A à Z. La classe prend en charge sa préparation, sa réalisation, l’exploitation des résultats et la présentation de ceux-ci lors d’un congrès. Encadré par l’INRP, l’animateur Tara assure le suivi et la coordination de 10 projets en l’Ile de France. Les élèves bénéficient des contacts et du soutien des scientifiques et des membres de l’expédition.
TARA propose également de nombreuses fiches pédagogiques primaire et secondaire sur des expériences scientifiques. Le dispositif s’ouvre sur des thématiques pluridisciplinaires, éthiques et de développement durable. Il peut être un tremplin pour des travaux plus complets.
Les langues avec Skype ?
Utiliser Skype pour batir un dialogue en langue étrangère avec sa classe, c’est un des très nombreux projets du « Registre Classes@Classes« . Répertoire québécois de projets de communication et de collaboration avec des classes à travers le monde, le Registre est une base de projets pédagogiques qu’il faut absolument connaître et fréquenter régulièrement. Vous y trouverez précisément la bonne idée pour votre classe.
le Cafe
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
L’Expresso directement sur votre site !
Vous nous l’avez demandé par téléphone, par courriel, par fax : comment afficher sur mon site personnel les informations quotidiennes de L’Expresso ? Le webmestre du Café vous propose deux solutions simples qui nécessitent juste le copier-coller de quelques lignes.
Vous pouvez ainsi faire bénéficier les visiteurs de votre site d’une information quotidienne et leur permettre d’être les premiers informés dans leur établissement.
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Le changement de plate-forme avait mis à mal les fils RSS du Café. Ils sont maintenant pleinement rétablis. Vous pouvez vous abonner aux flux simplement en cliquant sur l’icône RSS en bas de page. Et cela pour chaque rubrique du Café.
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