LE FAIT DU JOUR
Quand l’art contemporain s’invite dans un collège Zep…
ÉDITORIAL
Les syndicats appellent à deux journées d’actions les 2 et 12 octobre
LE SYSTEME
L’UNL et la FIDl mobilisent les lycéens l L’OZP souligne les insuffisances du rapport de l’Inspection sur les RAR l Le Sgen Cfdt reçu par Luc Chatel l Mosart indic ? l Primaire : Le rapport Reiss remis le 29 septembre l Le collectif contre Base élèves invite les enseignants à refuser de remplir le fichier l.
L’ÉLÈVE
Parents et lycéens contre le projet de décret sur les sanctions l Questions de parents.
LA CLASSE
Classes surchargées et réussite sur France 5 l Marie Duru-Bellat au Café de la pédagogie vivante l Slam solidaire avec la JPA l La grande braderie de l’Ecole Vitruve l Proviseur un métier pas ordinaire.
ETABLISSEMENT PARTENAIRE
Rallye lycéen avec l’UPEC le 23 octobre
LA RECHERCHE
Le niveau en langues reste un marqueur en France l L’éducation paie…
LES DISCIPLINES
EDD : Le défi de la gestion de l’eau en montagne l Le Japon , renouveau d’une puissance.
Le fait du jour
Quand l’art contemporain s’invite dans un collège Zep
Peut-on être collégien en ZEP et connaisseur en art contemporain ? Cette proposition mise en œuvre par deux enseignantes du Collège des Pyramides à Evry, avec le soutien du FDAC (Fonds départemental d’art contemporain), du Département et de l’inspection académique, a abouti à travers l’installation d’une galerie d’exposition permanente dans les locaux de l’établissement. A l’occasion du vernissage de la nouvelle exposition de rentrée, samedi 25 septembre, les élèves de 4ème chargés de guider les visiteurs parmi les œuvres et les espaces, faisaient montre d’une indiscutable compétence. Leur fierté et le sérieux de leur implication témoignent de l’impact positif des activités culturelles dans la formation de jeunes élèves scolarisés en zone prioritaire.
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Les syndicats appellent à deux journées d’actions les 2 et 12 octobre
L’intersyndicale CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FSU, UNSA appelle à une journée de manifestations le samedi 2 octobre et à une journée de grève le mardi 12. Ce durcissement du conflit permettra-t-il de trouver une issue ?
Les syndicats haussent le ton. Après le succès du 23 septembre, ils prennent le risque d’organiser deux journées d’actions. Ils invitent à participer le 2 octobre à « une grande journée de rassemblements et de manifestations dans le pays… pour conforter la mobilisation et permettre l’engagement de nouveaux salariés dans l’action ». Cette dernière formule fait allusion aux salariés du privé. Les syndicats pensent que des manifestations un samedi facilitera leur mobilisation. Elle sera suivie le 12 octobre d’une « nouvelle journée massive de grèves et de manifestations pendant le débat au Sénat. Cette journée trouvera toute sa place pour amplifier la mobilisation dans le cas où les parlementaires ne prendraient pas en compte ce qui s’est exprimé dans l’action et si le Gouvernement restait intransigeant ». Au-delà du 12 octobre, les syndicats annoncent que « le Gouvernement porterait l’entière responsabilité des suites que les salariés et leurs organisations entendront donner au 12 octobre ».
Cet appel est relayé par les syndicats enseignants. La FSU » considère nécessaire et indispensable de travailler à étendre et généraliser les grèves et manifestations dans tout le pays avant la fin du débat parlementaire « . Le Se-unsa rappelle les insuffisances de la réforme pour les femmes et les salariés à carrière discontinue. Il rappelle aussi que « sur 45 milliards d’euros de besoin annuel de financement à l’horizon 2018, les hauts revenus apportent seulement 600 millions d’euros et les revenus du capital 1 milliard trois cents millions. Où est la réforme juste tant vantée par le Gouvernement ? » Enfin les organisations lycéennes se joindront plus massivement aux manifestations et ont programmé des assemblées générales cette semaine.
Position forte ou faible ? Si le succès de la manifestation du 23 septembre permet aux syndicats de hausser le ton et d’appeler à de nouvelles actions, cette nouvelle étape est aussi le résultat du durcissement gouvernemental. Avant même la fin de la dernière journée d’actions, l’Elysée annonçait un affaiblissement du mouvement et misait sur son épuisement. Cette position fait monter les enchères et les risques alors que les lycéens s’invitent dans le mouvement. Le printemps peut-il avoir lieu en automne ?
L’UNL et la FIDl mobilisent les lycéens
Les deux organisations lycéennes appellent les lycéens à organiser des assemblées générales cette semaine.
» Alors qu’un million de jeunes sont aujourd’hui au chômage, le gouvernement veut retarder l’âge de départ à la retraite, créant encore plus de difficultés pour leur insertion socioprofessionnelle », écrit l’UNL. « Il aggrave la précarité existante plutôt que de trouver les solutions pour y mettre fin. Ce problème est encore plus pesant pour des lycéens en bac professionnel et en CAP : ceux ci commencent à travailler plus tôt et devront continuer encore plus longtemps, qui plus est dans des conditions souvent pénibles ». UNL et FIDL appellent les lycéens à » organiser des Assemblées Générales et des réunions d’information dans tous les lycées » pour préparer la journée de manifestations du 2 octobre.
Une étape dans le mouvement ? La participation des lycéens avait été sensiblement plus importante le 23 septembre que le 7 septembre. Cependant elle était restée très limitée. Alors même que Luc CHatel a plutôt renforcé les droits des lycéens, leur arrivée dans le conflit des retraites peut renforcer le mouvement et rendre la situation plus incontrolable.
Luc CHatel père fouettard et Noël des lycéens
L’OZP souligne les insuffisances du rapport de l’Inspection sur les RAR
« Au lieu de seulement constater la variété des situations, le rapport aurait pu distinguer celles où les conditions de réussite ont été réunies ». Sur le site de l’OZP, François-Régis Guillaume analyse la partie du rapport annuel 2009 de l’Inspection générale dédiée à l’enseignement prioritaire.
Pour l’OZP, « confier au seul chef d’établissement le soin de recruter ses personnels, comme dans le programme CLAIR, serait une étape dans la déréglementation et le démantèlement de la gestion paritaire des personnels ». Il appelle à « faire cesser la confusion sur l’objet de l’éducation prioritaire, qui est de réunir les conditions de la réussite des élèves dans les territoires où elles ne sont pas réunies. Cette confusion est entretenue par le programme CLAIR présenté par le ministre comme une réponse à la violence scolaire. Ensuite rééquilibrer, comme le rapport le recommande, l’éducation prioritaire vers le premier degré ».
Pour l’OZP, qui met l’accent sur les équipes éducatives pour répondre aux défis des zep, il faut une autre » politique de gestion des ressources humaines… pour le personnel d’encadrement et pour les personnels spécifiques de l’éducation prioritaire. Le minimum serait de répondre aux besoins de formation, de mutualisation des expériences et d’échanges entre professionnels engagés dans des fonctions nouvelles ».
Article de François-Régis Guillaume
Article de Marc Douaire, président de l’OZP
Sur le rapport de l’inspection
Le Sgen Cfdt reçu par Luc Chatel
Parler pour ne rien faire est-ce du dialogue social ? Le Sgen Cfdt estime que les conditions ne sont pas remplies pour qu’un véritable dialogue existe avec le ministère.
Reçu le 21 septembre par Luc Chatel, le Sgen Cfdt a repris la longue liste de sujets qui opposent le syndicat et le ministère : formation des enseignants, EVS, programme CLAIR, dissolution de l’INRP, revalorisation etc. Pour le syndicat, « devant cette liste, le ministre n’a pas apporté de réponses concrètes, tant sa politique est limitée par les contraintes budgétaires, situation qui ne permet pas d’établir un véritable dialogue social ».
Mosart indic ?
Le Se-UNsa dénonce le programme Mosart et les pressions de tous ordres exercées par l’administration sur les enseignants grévistes.
« La grève est un droit fondamental, garanti par la constitution et le statut général des fonctionnaires », rappelle le Se-Unsa. « La décision de fare grève appartient individuellement à chaque personnel qui n’a pas à se déclarer gréviste ». Le Se-Unsa appelle les enseignants à ne pas signer les listes de grévistes constituées par l’administration. Le syndicat a demandé à Luc CHatel le 22 septembre le retrait du logiciel Mosart qui permet d’établir des listes de grévistes. Selon le Se-Unsa, le ministère a promis de réexaminer le logiciel.
Concernant « Mosart » , des lecteurs nous signalent qu’il fausse les taux de grévistes en prenant en compte le nombre total d’enseignants et non le chiffre attendu le jour de la grève.
Primaire : Le rapport Reiss remis le 29 septembre
Luc CHatel recevra mercredi 29 septembre à 14h30 le rapport du député Reiss sur le statut des directeurs d’école primaire et les directions.
Frdéric Reiss avait été chargé le 17 mars d’une mission temporaire auprès de Luc Chatel sur le statut des directeurs d’école primaire et les directions. C’est donc la question des EPEP, la transformation des écoles primaires en établissements d’enseignement, qui est posée.
Le collectif contre Base élèves invite les enseignants à refuser de remplir le fichier
« Nous avons eu raison, et forts de cette crédibilité apportée par le rappel à la loi infligé par le procureur de Paris suite aux 2103 plaintes déposées par des parents d’élèves (7 juillet 2010), par le jugement du Conseil d’Etat (19 juillet 2010), nous appelons tous nos collègues, directeurs et professeurs des écoles, à cesser d’alimenter cette machine infernale, à ne pas l’utiliser (validations d’effectifs, enregistrement des nouveaux élèves de l’école …). » Le Collectif national contre Base élèves rappelle aux enseignants le jugement du Conseil d’Etat. Pour lui l’Etat continue son fichage illégal sans demander aux parents leur autorisation.
Parents et lycéens contre le projet de décret sur les sanctions
FCPE et UNL proclament leur refus du texte présenté par Luc CHatel sur l’automaticité des sanctions.
« Automatiser les procédures de sanction contrevient clairement à l’individualisation du traitement des faits de violence ou d’incivilité », estiment la Fcpe et l’UNL dans un communiqué commun du 24 septembre. Pour elles, « la saisine automatique du conseil de discipline entrainera la multiplication des exclusions définitives puisque le chef d’établissement pourra prononcer seul toutes les autres sanctions inférieures ».
Le projet de décret, révélé par le Café le 25 juin, prévoit une « commission de la vie scolaire » présidée par le chef d’établissement « qui en choisit les membres ». Elle « examine la situation d’un élève dont le comportement est inadapté » et assure les suivi des sanctions. Cette nouvelle commission empiète sur les compétences du conseil de discipline mais a « l’avantage » de ne pas compter de parents et d’élèves… Le nouveau règlement intérieur prévoirait « une automaticité des procédures disciplinaires pour les violences verbales », là aussi une rédaction extrêmement floue. Il comporterait également une forme d’exclusion / inclusion avec une exclusion temporaire de 8 jours où l’élève est accueilli dans l’établissement. La FCPE et l’UNL avaient protesté fin juin 2010 contre ce texte.
Questions de parents
Du 11 au 23 octobre 2010, les parents ou futurs parents sont à l’honneur à Nantes avec 65 rendez-vous autour de la parentalité. Conférences, rencontres, ateliers sont proposés par la Ville de Nantes et les associations pour accompagner et soutenir les familles dans leur rôle éducatif.
Au programme notamment : les relations parents/adolescents, l’adoption, l’allaitement, le handicap, la séparation, l’alimentation des adolescents, l’homosexualité… Pour les futurs parents, sont notamment abordés la question de l’accouchement ou le désir d’enfant des personnes en situation de handicap…
La classe
Classes surchargées et réussite sur France 5
Spécialiste des apprentissages, Bruno Suchaut intervient mardi matin à 8h 55 sur France 5 dans l’émission Les maternelles. Il évoque la situation préoccupante des classes surchargées dans de nombreuses écoles suite aux suppressions de postes.
Apprentissages : la maternelle au centre
Marie Duru-Bellat au Café de la pédagogie vivante
Croire moins à l’école pour la rendre plus juste et peut-être plus heureuse. C’est le thème du dernier livre de Marie Duru-Bellat (avec François Dubet et Antoine Vérétout).
Venez découvrir le livre, discuter librement avec son auteur, échanger des idées au Café de la pédagogie vivante mercredi 29 septembre à 17 heures au Café du Lucernaire (3 rue Notre Dame des Champs, Paris 6ème).
L’affichette à mettre en salle des profs
Slam solidaire avec la JPA
Avec la Ligue Slam de France, la Jeunesse au plein air (JPA) organise un concours à destination de groupes d’élèves de collèges et de cycle 3. Le groupe lauréat sera accueilli dans un centre de l’UCPA (Union nationale des Centres sportifs de Plein Air) au bord du lac d’Annecy pour un programme d’activités nautiques, sportives et culturelles. Ce séjour scolaire sera offert par La JPA avec le soutien de l’UCPA et de l’ANCV (Agence Nationale des Chèques-Vacances).
La grande braderie de l’Ecole Vitruve
C’est une école pas ordinaire qui organise le samedi 16 octobre de 10 à 17 heures sa « grande braderie et barderie ». La braderie c’est le grand moment de l’école et du quartier, où se mêlent animations, brocante, restauration musique, de toutes les couleurs. Cette année découvrez le roman de Gérard Delbet, « Coco la bite » (Editions Bord du Lot). L’école Vitruve est Passage Josseaume Paris 20ème (Près de la place de la Réunion).
Proviseur un métier pas ordinaire
Dans une vidéo tournée par l’éducation nationale, Olivier Minne parle de son métier de proviseur qu’il exerce au lycée Hélène Boucher à Paris. Pour lui c’est » un métier d’homme orchestre » où « on ne fait pas deux fois de suite la même chose ». Le proviseur est d’abord un pédagogue.
Etablissement partenaire
Rallye lycéen avec l’UPEC le 23 octobre
Dans le cadre de la « Fête de la Science », l’UPEC organise le samedi 23 octobre la première édition du Rallye de l’UPEC. Le rallye est une course d’orientation en équipe (élèves et prof) qui se déroule sur une journée. Elle permet de découvrir les formations de l’université de Paris Créteil (UPEC) de façon ludique. Des animations ponctueront le rallye de moments festifs. Pour participer il suffit de former une équipe de 3 ou 4 élèves de 1ère ou terminale et de s’inscrire.
Vous aussi, devenez établissement partenaire du Café pédagogique !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
La recherche
Le niveau en langues reste un marqueur en France
Selon une étude européenne, la France se classe bonne dernière dans la pratique des langues mais aussi dans les pays de tête pour l’enseignement des langues.
Selon l’étude de la Commission européenne, l’apprentissage des langues au primaire a progressé dans toute l’Europe, l’anglais s’imposant à tous les niveaux comme la première langue étrangère étudiée devant le français et l’allemand. Dans tous les pays européens, un plus fort pourcentage de jeunes proclame une bonne maîtrise d’une langue étrangère que les générations précédentes.
Le cas de la France est très particulier. La France se range parmi les pays européens où le plus fort pourcentage d’élèves apprennent deux langues au moins au niveau lycée. Mais c’est le pays européen qui compte le plus faible pourcentage de personnes déclarant une bonne maîtrise d’une langue étrangère avec moins de 10% des jeunes. Cette maîtrise signe aussi l’écart entre les niveaux scolaires : 1% des jeunes ayant un faible niveau d’étude maîtrise une langue étrangère contre 14% des jeunes ayant un niveau d’études élevé. Seuls les anciens pays de l’Est comptent une écart aussi fort.
L’éducation paie
Selon le College Board, une association qui fédère près de 6 000 universités américaines, « l’éducation paie ». Elle publie une étude qui liste les retombées positives des études supérieures.
Avoir fait des études supérieures creuse le niveau salarial (revenu annuel de 22 000 $ pour un bachelier contre 56 000 pour un titulaire d’une licence). L’accès à l’emploi est nettement plus facile. Le diplômé du supérieur est une bonne affaire pour l’Etat : les dépenses sociales pour un diplômé du supérieur sont nettement plus faibles que pour un bachelier : 32 600 $ d’économie pour une femme « blanche » et 108 700 pour un homme « noir » calcule l’étude. Le diplômé donne davantage de son temps à la vie associative, il a un style de vie meilleur pour sa santé. C’est un meilleur citoyen. Cette étude décline pour les Etats-Unis des données statistiques que l’OCDE, dans « Regards sur l’éducation », a compilé pour les pays de l’OCDE. L’éducation est un investissement rentable pour les individus et les sociétés.
Les disciplines
EDD : Le défi de la gestion de l’eau en montagne
L’Europe doit-elle se préparer à la guerre de l’eau ? C’est l’avis de la conférence qui a rassemblé du 22 au 24 septembre 600 participants représentants des administrations nationales, des Organismes de Bassins, des municipalités, des chercheurs, ainsi que d’ONG et entreprises, venus de 41 Pays de l’Union Européenne, des Balkans, de la Méditerranée et d’Europe Orientale, du Caucase et de l’Asie Centrale, ainsi que d’Australie et de Chine.
Pour eux, les montagnes européennes sont d’ores et déjà parmi les premières victimes du changement climatique : La température moyenne des Alpes par exemple a augmenté en un siècle de plus du double du réchauffement terrestre global. Les glaciers alpins, qui ont déjà perdu entre 20 et 30% de leur volume depuis 1980, pourraient encore régresser de 30 à 70% de leur volume d’ici à 2050. Avec la diminution de l’enneigement et la fonte des glaciers, les régimes hydrauliques de tous les grands fleuves européens, venant des montagnes, sont en train de se modifier et ce phénomène ne touche pas que l’Europe : tous les grands fleuves du Monde et leurs principaux affluents prennent leur source en montagne.
Résultats : on observerait d’ici 2100 une augmentation de +20% des débits en hiver, mais une réduction de -17% au printemps et jusqu’à -55% des débits en été, surtout au Centre et au Sud des Alpes. Le niveau des aquifères pourrait aussi baisser de -25% dans les Alpes du Sud. La compétition entre les usages de l’eau se fera plus vive, notamment pour l’irrigation dans le sud et avec la généralisation de la production de neige de culture, qui deviendra indispensable aux 666 stations de ski alpines actuelles pour assurer une saison d’hiver complète. Ces dernières étaient bien présentes lors de cette conférence…
Le Japon , renouveau d’une puissance
Vieillissement, appauvrissement, le Japon donnait dans les années 1990 tous le signes du déclin. Rémi Scoccimarro prend le pouls du Japon dans un numéro de La Documentation photographique. Il trace un portrait très nuancé d’un pays vieilli mais où les nouvelles technologies sont le moteur de l’économie, pauvre mais dont le PIB par habitant est supérieur au PIB allemand, socialement très encadrant mais où les loisirs le splus débridés s’affichent… Le Japon reste une puissance mais dans une région qui est en pleine mutation. Il y affirme sa singularité et sa diversité.
Le Japon, Documentation photographique n°8076, juillet aout 2010
le Cafe
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