LE FAIT DU JOUR
Chaud mois de mai ?
ÉDITORIAL
La gabegie n’a pas d’avenir
LE SYSTEME
Formation : Le Snes dénonce la procédure d’affectation des stagiaires l Pas de paye, pas d’examen en BTS l Tous sur le pont pour l’école publique l Manifs lycéennes pour les vacances d’été l Manifs parentales pour la formation l Des milliers d’écoles refusent les évaluations en Angleterre.
L’ÉLÈVE
150 millions d’enfants piégés au travail selon l’Unicef.
LA CLASSE
Forum des enseignants innovants : Prolongation des inscriptions l Vous avez dit égalité des chances ?.
LA RECHERCHE
Qualité et diversité du préscolaire
LES DISCIPLINES
La physique à l’honneur dans Science in School l La marée noire avec Google Earth l Miniatures et peintures indiennes.
Le fait du jour
Chaud mois de mai ?
Les syndicats appellent à deux journées d’action les 20 et 27 mai. A l’appel de la Cfdt, CGT, Fsu, Solidaires et Unsa, la journée du 27 mai sera une « journée nationale de mobilisation ». « Dans un contexte économique et social caractérisé par une situation de l’emploi dégradée, des difficultés de pouvoir d’achat et une aggravation des conditions de travail pour de nombreux salariés, dans le public et dans le privé, en France et en Europe, les organisations syndicales CFDT, CGT, FSU, Solidaires, UNSA réaffirment que la sortie de crise passe par des politiques publiques en faveur d’une relance économique intégrant la satisfaction des besoins sociaux », écrivent les syndicats qui dénoncent « le gel des dépenses de l’Etat pour les 3 ans à venir ». Ils appellent « les salariés, les retraités, les jeunes et les privés d’emploi à une journée nationale de mobilisation le jeudi 27 mai 2010 pour interpeller ensemble les pouvoirs publics, tous les employeurs et peser sur les choix à venir ».
Le 20 mai réunit la FSU, l’Unef, le FAEN et la FCPE dans une journée nationale d’action pour la formation des enseignants. « Les organisations se sont engagées à informer, rassembler, établir un état des lieux des dispositifs de formation qui se dessinent à la rentrée aussi bien pour les étudiants que pour les stagiaires ».
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La gabegie n’a pas d’avenir
A l’heure où les candidats aux concours commencent à attendre fébrilement les résultats de l’admissibilité, les nouvelles menaces sur le peu de cadre national de la formation inquiètent. Il est de plus en plus manifeste que l’année des stagiaires va se réduire à la conduite de la classe. La formation professionnelle annoncée va être rejetée à la périphérie, laissée aux faibles marges de manoeuvre dont vont pouvoir bénéficier les «accompagnateurs». Certes, la situation sera différente entre les degrés, comme en témoigne le projet de circulaire sur les maîtres-formateurs des écoles. Si on a la chance de se trouver dans une académie où la direction de l’Université, les responsables de master «premier degré», les recteurs et les inspecteurs d’académie s’entendent sur un projet cohérent, sans doute pourra-t-on bénéficier d’aides pour entrer dans le métier. Mais ailleurs, et pratiquement partout dans le second degré étant donné la cacophonie disciplinaire, ce sera le règne de la débrouille et des réseaux locaux.
On peut s’étonner qu’une telle gabegie ne fasse pas réagir davantage. Certes, le pari de la Coordination Nationale Formation des Enseignants (recueillir en quelques mois 100 000 signatures contre les projets gouvernementaux) est en passe d’être réussi, avec l’appui désormais acquis de tous les syndicats. Mais très massivement, la profession reste spectatrice de la destruction de sa matrice. Peut-être parce qu’elle n’y est pas attachée, ou parce qu’elle ne croit pas tant que ça ceux qui vantent leur modèle d’un «métier qui s’apprend» ? Après tout, il faut se rappeler que plus de la moitié des institutrices partant aujourd’hui à la retraite ont été recrutée sans formation, au niveau du bac, dans les années 70… Le vieux discours «pas besoin de bac+Z pour travailler en primaire» a de nombreux émules, y compris chez les profs du premier ou second degré… Et à l’inverse, les salles des profs ou certains articles syndicaux ne sont pas avares de «ma discipline, rien que ma discipline…»
Pourtant, au hasard des rencontres dans les écoles, il est toujours saisissant de voir comment l’alchimie de l’expérience des «chevronnés» et des «nouveaux profs» très diplômés peut faire naître d’incroyables ressources pour faire réussir les élèves, dans les écoles comme dans le second degré, y compris dans les zones difficiles, dès lors que ces entrées dans le métier sont organisées, mises à distance, théorisées. Que ce soit en formation initiale ou en début de carrière n’est pas l’essentiel, pourvu qu’on développe des espaces, des ressources et des équipes de formateurs professionnalisées et professionnalisantes.
L’incurie actuelle ne peut pas durer. Même au nom de sa revanche historique contre le pédagos des IUFM, aucun Etat ne pourra prendre longtemps la responsabilité de ne pas former ses profs, sans prendre un grave risque devant l’opinion qui réclamera des enseignants formés.
C’est ce qui doit donner du coeur à l’ouvrage des bientôt 100 000 signataires de la pétition de la Coordination Nationale Formation des Enseignants : quoi qu’ils en ressentent au coeur de la tourmente, le temps joue pour eux.
100 000 voix pour la formation
Formation : Le Snes dénonce la procédure d’affectation des stagiaires
Le Snes s’élève contre la procédure d’affectation des enseignants stagiaires qui ignore les situations personnelles.
« Le ministère a décidé de modifier unilatéralement et profondément les modalités d’affectation des lauréats de concours en privilégiant les critères de réussite au détriment des situations familiales ou professionnelles », écrit le Snes. « Ainsi, la bonification permettant de prendre en compte la situation d’enfants en garde alterné disparait. Les bonifications pour le rapprochement de conjoint ne seront valables que sur le premier vœu, ce qui risque de conduire à des situations familiales difficiles pour les lauréats des concours ». Le syndicat demande une « correction » à la note de service.
Pas de paye, pas d’examen en BTS
Selon l’AFP, des professeurs de BTS du Nord et d’Ile-de-France menacent de ne pas faire passer le BTS si leurs indemnités du BTS 2009 ne sont pas payées. Il s’agit de BTS design d’espace et bâtiment travaux publics. Mais le mouvement pourrait s’étendre car de nombreux enseignants n’ont pas reçu leur dû.
Sur les retards de paiement en Ile-de-France
Tous sur le pont pour l’école publique
*** OPERATION ANNULEE *** Le Se-Unsa lance mardi 11 mai une séance de signatures de l’Appel national pour l’école publique sur le pont piéton de Solférino à Paris à 13h. Une démarche originale qui fête les 144 000 signatures recueillies.
Manifs lycéennes pour les vacances d’été
Selon l’AFP, des centaines de lycéens ont manifesté à Evreux et à Cahors contre le risque d’une diminution des vacances d’été. Ces mouvements font écho aux recommandations de l’Institut Montaigne qui préconise de réduire de deux semaines les congés d’été et aux déclarations de Luc Chatel qui a annoncé une conférence nationale. Enfin récemment une commission parlementaire s’est emparée du sujet. Allonger la durée de l’année permettrait également de réduire insensiblement le nombre de postes comme l’avait suggéré des experts gouvernementaux de la RGPP…
Sur la commission parlementaire
Manifs parentales pour la formation
Des parents d’élèves manifestent pour exprimer leur angoisse de voir leurs enfants confiés à des personnes sans formation. Ainsi à Pavie (32), les parents d’élèves de la FCPE se mobilisent pour dénoncer la casse de la formation des futurs enseignants. Ils ont saisi l’opportunité des « stages » en responsabilité des PE1 dans l’école pour mener diverses actions afin d’informer les autres parents sur la réforme de la formation et les risques encourus quant à la présence de nouveaux enseignants pas ou peu formés devant les élèves dès la rentrée.
Tracts, banderoles, informations devant l’école, articles dans la presse, courriers aux enseignants et à l’Inspecteur d’Académie… Retrouvez les sur leur site.
Des milliers d’écoles refusent les évaluations en Angleterre
L’Angleterre est sans gouvernement. Depuis le 10 mai elle est aussi sans évaluation nationale de CM2. D’après la presse britannique, des milliers d’écoles participent au mouvement de boycott des tests de fin du primaire.
Ces tests ne sont passés qu’en Angleterre à la fin du CM2. Ils devaient commencer lundi 10 mai. Ils sont utilisés pour réaliser un classement national des écoles qui permet ensuite aux parents de choisir leur école. C’est cette mise en concurrence des écoles que veulent détruire deux syndicats l’Association nationale des directeurs d’école (NAHT) et le syndicat des enseignants NUT.
Ils reprochent aux tests d’affaiblir l’enseignement parce que les écoles finissent par « enseigner pour les tests » et négligent les matières autres que l’anglais et les maths, seules disciplines évaluées. Ils pensent que les enseignants sont à même d’évaluer justement le niveau des enfants. Ils estiment que si une évaluation de performance du système éducatif est nécessaire , elle peut être faite sur échantillons.
Dans l’immédiat, moins de la moitié des 17 000 écoles anglaises affirment faire passer les tests. Dans les écoles qui boycottent, les directeurs font passer les tests de l’année dernière. Ils en communiqueront les résultats aux seuls parents. Les syndicats appellent les établissements secondaires à entrer en contact avec les écoles pour évaluer les nouveaux collégiens.
Les tests de CM2 auront-ils lieu ?
150 millions d’enfants piégés au travail selon l’Unicef
L’UNICEF estime à 150 millions les enfants entre 5 et 14 ans qui travaillent dans le monde, ce qui est à la fois une cause et une conséquence de la pauvreté, et compromet l’éducation et la sécurité des enfants. Lors d’une conférence réunissant 80 gouvernements et ONG à La Haye, l’Unicef est intervenu pour demander davantage d’efforts pour les enfants piégés au travail. «
» Ces enfants sont devenus invisibles, piégés dans les pires formes de travail, ils ont besoin d’une aide d’urgence », a déclaré l’UNICEF. « Les enfants migrants, les orphelins, ceux victimes de trafic et surtout les filles, sont fréquemment absents des données et des études statistiques. Des méthodologies nouvelles et des systèmes innovants de recueil de données doivent être développés afin que les violences et les dangers subis par ces enfants deviennent visibles sur les agendas politiques et qu’ils soient systématiquement pris en compte. «
Les crises alimentaires, économiques et liées au pétrole qui ont fait trembler l’ordre mondial, ont eu un impact irréversible sur la vie des enfants. Le travail des enfants – le rempart de beaucoup de familles contre les chocs économiques – a entrainé plus d’enfants à quitter l’école et à travailler plus tôt et dans des secteurs plus dangereux que ce n’était le cas.
La classe
Forum des enseignants innovants : Prolongation des inscriptions
Le dépôt des projets pour participer au Forum des enseignants innovants et de l’innovation éducative 2010 est prolongé jusqu’au vendredi 14 mai.
Vous êtes enseignant ou partenaire de l’Ecole (association périéducative, collectivité locale etc.) et vous avez réalisé un projet éducatif innovant : participez au Forum des enseignants innovants de Dax 4-5 juin 2010
Avec le soutien du Ministère de l’éducation nationale, le Forum réunira 100 porteurs de projets sélectionnés sur la qualité de leur projet pédagogique par un jury composé d’associations d’enseignants (Afef, Ageem, APBG, APCEG, APHG,APLV, APSES, APV, Assetec, Les Clionautes, Projetice, Udppc, Usep) et le Café pédagogique.
Pourquoi participer au Forum ?
– parce que le Forum bénéficie du soutien du Ministère de l’éducation nationale
– pour faire reconnaître votre travail et permettre à tous de bénéficier de votre expérience
– pour ne pas manquer le SEUL rendez-vous de l’innovation pédagogique français
– pour sortir de l’isolement et faire partie de la communauté des enseignants innovants
– pour avoir une vision de ce qui se fait de nouveau dans toutes les disciplines au primaire et au secondaire
– pour soutenir l’innovation pédagogique à un moment où ce n’est pas superflu…
– pour participer durant deux jours à un événement où on rencontre des collègues inoubliables
– pour travailler avec d’autres associations d’enseignants que l’on connaît mal et renforcer ainsi les liens
Comment participer ? Il vous suffit de remplir le formulaire en ligne sur www.forum-dax2010.net jusqu’au 14 mai 2010 pour participer au concours gratuitement et peut-être faire partie des 100 personnes invitées à Dax.
Faites connaître votre projet et participez au Forum
Vous avez dit égalité des chances ?
« De manière routinisée, l’institution scolaire est mise en première ligne quand l’objectif d’égalité des chances est réaffirmé. Mais alors que la notion d’égalité des chances fait l’objet d’un consensus convenu dans le milieu scolaire, ce consensus ne tient que parce qu’on ne précise guère la nature des biens auxquels on souhaite garantir l’égal accès. Veut-on donner les chances égales de maîtriser parfaitement, et donc également, les savoirs de base jugés indispensables pour mener une vie « normale » ? Veut-on plutôt leur donner une chances égale de développer leurs talents et leurs goûts quels qu’ils soient, dans leur diversité, selon la thématique de l’égalité dans la différence ? Ou bien veut-on avant tout, en admettant au contraire l’émergence d’inégalités, que les plus brillants puissent accéder aux formes les plus élevées de l’excellence scolaire ou aux meilleures places quel que soit le milieu social d’origine ? » Mercredi 19 mai, dans le cadre des Mercredis de Créteil, Marie Duru-Bellat intervient sur le thème de l’égalité des chances.
Qu’est ce qu’une école juste ?
La recherche
Qualité et diversité du préscolaire
« L’éducation préscolaire a gagné en importance et e visibilité au cours de ces dernières années sur tous les continents », écrit Sylvie Rayna (INRP) en introduction au numéro 53 de la Revue internationale d’éducation de Sèvres, publié sous le titre « qualité, équité et diversité dans le préscolaire ».
De ces trois termes, c’est d’abord la diversité que montre la revue qui bénéficie, comme d’habitude, d’un excellent réseau international de chercheurs à même de faire le point sur la situation du préélémentaire. A commencer par l’école maternelle française qui est présentée par Gilles Brougère sous un éclairage international qui est tout à fait original. Il la voit comme « une exception française », bien à l’abri des débats internationaux qui agitent les autres préscolaires. L’école maternelle est une école qui « s’appuie sur la dévalorisation des autres espaces d’apprentissage ». Elle initie le basculement de chaque enfant dans la culture scolaire, ce qui est un trait proprement national. Pour G Brougère ce qui caractérise cette culture scolaire c’est à la fois le rejet de la diversité des autres cultures (par exemple la culture familiale) et le fait qu’elle soit « centrée sur l’enseignant et non sur l’enfant ». En ce sens ce svaleurs sont « oppressives », voire « rhétoriques » et il invite à « déscolariser » la maternelle avant que d’autres la fassent disparaître à travers les « jardins d’éveil ».
La qualité on peut par exemple aller la chercher dans l’article de Rebecca S New qui montre sa quête aux Etats-Unis. Le préscolaire y bénéficie d’études qui ont montré son efficacité et d’un intérêt croissant accompagné de financements de plus en plus importants. Si l’école américaine adopte la diversité elle ne semble plas marquée par la recherche de l’équité.
C’est pourtant l’équité qui pousse partout au développement du préscolaire. L’expérience des centres intégrés anglais par exemple, présentée par Chris Pascal et Tony Bertram, bénéficie aux plus défavorisés, tout comme la « case des tout-petits » au Sénégal (Sophie Turpin Bassama). La synthèse présentée par John Bennett sur « les nouvelle sperspectives des études internationales sur la petite enfance », montre le rôle qu’a pu jouer le programme Starting Strong de l’OCDE dans le développement mondial du préscolaire.
Au final c’est bien à nous,lecteur français, que ce numéro de la Revue de Sèvres apporte le plus de réflexions. Sans rejeter une spécificité nationale (notre école maternelle), il l’inscrit dans une perspective mondiale qui nie l’école (le préscolaire) et apporte ses propres débats, largement méconnus en France.
Qualité, équité et diversité dans le préscolaire, Revue internationale d’éducation de Sèvres, n°53, avril 2010.
Les disciplines
La physique à l’honneur dans Science in School
Amener la physique des particules dans la classe ? C’est ce que propose F Barradas Solas et P Alameda Melendez, deux enseignants madrilènes, dans le numéro 14 de la revue européenne Science in School. Ils vous proposent de réaliser simplement un container qui mettra en évidence aux yeux des élèves les particules. Eux-mêmes l’ont testé avec des collégiens. Le numéro propose d’autres exemples de pratiques concrètes dans les écoles primaires par exemple en visitant le programme allemand Think Ing. Si vous êtes brouillé avec l’anglais ou l’allemand, le numéro vous invite à découvrir La main à la pâte.
La marée noire avec Google Earth
Quel impact sur l’environnement ? Jean-Marc Kiener propose une étude de cas de géographie de seconde sur la marée noire dans e golfe du Mexique et la gestion du risque. Elle utilise Google Earth et les images de la Nasa.
Miniatures et peintures indiennes
La Bibliothèque Nationale met en ligne un site sur les peintures et miniatures indiennes. Le visiteur découvrira en ligne une collection rare de peintures et miniatures indiennes du XVIe au XIXe siècle. Ces documents précieux témoignent de la curiosité des voyageurs français et de leur admiration pour les Indes. Ils reflètent les deux faces de la culture indienne, islamique et hindoue, deux univers esthétiques qui ont su cohabiter. Un parcours en images à travers la cour du grand Moghol, les grandes épopées comme le Ramayana et le panthéon hindou.
le Cafe
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
L’Expresso directement sur votre site !
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