Par Gabrielle Lamotte
Les CPE s’interrogent souvent sur leurs missions, à un tel point qu’on peut se demander si le métier de CPE existe vraiment, tant sa définition semble pouvoir évoluer selon les lieux et les personnes, comme le disait déjà en 1992 l’inspecteur général Claude Carré en parlant d’ «équation personnelle du Cpe».
L’institution également, mais pour d’autres raisons, a intérêt à ce que nos missions soient redéfinies.
Notre collègue Eric Siré revient sur ces interrogations personnelles qui doivent faire avec les attentes institutionnelles. Dans un article paru dans le dernier numéro de la Revue de la vie scolaire, éditée par l’ANCpE, il revient sur les évolutions demandées de manière non-officielle: « La redéfinition du métier de CPE par l’Inspection Vie Scolaire : critiques et propositions »
Entre le projet vie scolaire défini nulle part mais dont chaque IPR nous entretient lors d’une inspection et ce qui semble être devenu la feuille de route des CPE (la lettre de Jean-Paul Delahaye de 2006 pour le groupe établissements et vie scolaire de l’Inspection Générale de l’Éducation Nationale.), comment le CPE peut-il se positionner? Conseiller ou collaborateur? Quelle hiérarchie renouvelée dans ses missions
Jean-Paul Delahaye interrogé par le Café pédagogique, « les CPE ont une expertise, une qualification en matière éducative qui est indispensable à tous »:
http://cafepedagogique.net/lemensuel/laclasse/Pages/20[…]
Jean-Paul Delahaye, «Le métier de CPE aujourd’hui : quelques repères»: