LE FAIT DU JOUR
Lycée : Chatel confirme sa réforme
ÉDITORIAL
Small is beautiful
LE SYSTEME
Les syndicats s’opposent sur la réforme du lycée l Formation : La CPU et la CDIUFM contre le projet ministériel | Le grand plan numérique aura-t-il lieu ?
L’ÉLÈVE
Les droits des enfants ont 20 ans l Accident scolaire : comment informer les parents
LA CLASSE
Rejoignez Arthur et ses chevaliers… | Etablissements, devenez partenaires du Café !
LA RECHERCHE
Parents et profs : défiance ou alliance ?
CITOYENNETE
Changement de statut en Guyane et Martinique ?
LES DISCIPLINES
Le Snep condamne la tricherie dans le mondial l Certifications en allemand, anglais et espagnols l CAP maintenance et hygiène.
Le fait du jour
Lycée : Chatel confirme sa réforme
Luc CHatel a présenté le 19 novembre les principes de la réforme du lycée général. Peu de modifications par rapport au texte que le Café vous a présenté le 13 novembre si ce n’est la place de l’économie (tous les élèves de seconde devront prendre soit SES soit économie-gestion) et des précisions sur la répartition horaire des disciplines. Un sujet sur lequel planent encore des zones d’ombre.
Orientation. Le ministre souhaite assurer « une meilleure orientation » et faire de la seconde une « vraie classe de détermination ». Cela passe par le choix en seconde de deux enseignements de spécialité d’1h30 hebdomadaire, l’un au moins doit être S.E.S. ou économie gestion. Les programmes seront ajustés. Certaines disciplines (LV3, langues anciennes, EPS, arts du cirque) seront maintenues au format actuel. L’information des élèves sera améliorée grâce à l’accompagnement personnalisé. Des stages en entreprise pourront avoir lieu dans l’année scolaire. Enfin la réorientation en première sera possible grâce à un tronc commun d’enseignement qui atteindra 60% de l’horaire. Il comprendra français, histoire-géo, LV1 et LV2, EPS et ECJS. Des stages passerelle permettront de changer d’orientation.
Accompagnement spécialisé. Chaque élève disposera de deux heures hebdomadaires d’accompagnement personnalisé de la 2de à la Tale. Il comprendra de l’aide, du perfectionnement ou des travaux en autonomie (mais les TPE sont aussi maintenus en 1ère) et aura lieu en petits groupes. Ce qui est nouveau c’est sa conception : l’équipe pédagogique définira un projet d’utilisation des 2 heures. En 2de et 1ère, l’accompagnement « est organisé de manière transversale ». En terminale il est mis en œuvre dans les enseignements de spécialisation. Un tutorat est proposé aux élèves volontaires. Il est assuré par des profs volontaires, des CPE ou des documentalistes.
Initiative et responsabilisation des élèves… et des profs. Nouvelle règle : les établissements disposeront d’un volume horaire pour répondre aux besoins des élèves. Ce volume sera pris sur les horaires de dédoublement (sauf ECJS) : les heures sont maintenues mais globalisées. L’équipe pédagogique répartit ces heures pour constituer des groupes à effectifs réduits en fonction des besoins. « C’est l’équipe elle-même qui élabore le projet d’accompagnement personnalisé. Il est soumis au conseil pédagogique avant d’être présenté au C.A. ». Elle « arrête un projet d’utilisation » de ces heures et des 2 heures d’accompagnement personnalisé. Ce projet est soumis au conseil pédagogique et au C.A. « Le projet pédagogique arrêté pour l’utilisation de ces heures peut prévoir un cadre autre qu’hebdomadaire ».
Les langues. Les horaires de LV1 et LV2 sont globalisés pour faciliter l’enseignement par groupes de compétences. La série L devient « série de l’excellence linguistique ». L’enseignement est « complété par une approche plus culturelle des langues avec un enseignement de littérature étrangère en langue étrangère ». Possibilité d’apprendre 3 langues. Chaque établissement doit nouer un partenariat avec un établissement étranger.
La culture est « dynamisée » dans l’établissement. Un « référent culture » est choisi dans le lycée. Un enseignement d’histoire des arts a lieu dans tous les niveaux du lycée avec l’aide de tous les enseignants. Chaque établissement est invité à renouer avec les concurrents.
La classe de seconde bénéficie de ces choix. Les élèves gardent une semaine bien chargée avec 4h de français, 6 d’histoire-géo, 5h30 de langues (volume unique pour les deux langues), 4 de maths, 3 de physique-chimie, 1h30 de SVT, 2h d’EPS, 0,30 d’ECJS. A cela s’ajoutent 2 h d’accompagnement personnalisé et 2 x 1h30 d’enseignements d’exploration (dont au moins SES ou éco-gestion). Les autres enseignements d’exploration sont les SMS, biotechnologies, physique et chimie de laboratoire, littérature et monde contemporain, sciences de l’ingénieur, méthodes et pratiques scientifiques, conception de produits industriels, arts (danse etc.). Total 28h30.
En première le tronc commun atteint 60% de l’horaire. On a donc les mêmes horaires en français (4h), histoire-géo (4h), LV1 et 2 (4h30), EPS (2h), ECJS (0,30). En ES, l’enseignement de spécialisation concerne les maths (3h), les sciences (1h30) et les SES (5h). En S le niveau en sciences est renforcé, c’est ce qui explique que les maths ne font pas partie du tronc commun. On trouve 4h de maths, 6h de sciences. A cela s’ajoutent les TPE (1h) et , avec l’accompagnement on atteint 28h. En L, il y a 1h30 de sciences, 2h de littérature, 2h de littérature étrangère en langue étrangère, 3h à choisir entre arts, arts du cirque,maths, LV3, approfondissements langues, langues anciennes. Total 26h30.
La terminale voit un enseignement différencié. En S, on trouve 3h de philosophie, 4 de langues, 2 d’eps, 0h30 d’ecjs, 6h de maths, 5h de physique, 3h30 de SVT ou sc de l’ingénieur, 2 h de spécialité (maths, physique, svt, informatique et sciences du numérique). L’histoire géo est optionelle (2h). En ES, la philo passe à 4h, l’histoire géo garde 4h; LV1 et 2 4h, EPS 2h, Ecjs 0,30, maths 4h. L’enseignement de spécialité (1h30) concerne maths appliquées, sciences sociales. En série L, la philosophie passe à 78h, histore 4h, LV 1 et 2 en 4 h, eps 2h, ecjs 0,30, littérature 2h, littérature étrangère 1h30. Suivent 3h d’enseignement de spécilaité : arts, maths, approfondissement de langues, droit et grands enjeux du monde contemporain.
« Les séries STI et STL sont rénovées » dit le document. Mais c’est leur seule mention. Il ne dit pas comment évolue la filière STG. Mise en œuvre à la rentrée 2010 pour la seconde.
Les bouleversements des horaires enseignants sont faibles, si on tient compte du fait que les heures en dédoublement sont globalisées et attribuées en fonction du projet local.
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Est-ce la dernière ligne droite pour la réforme du lycée ? Est-elle applicable ?
Réduite à quelques mesures, la réforme du lycée brille par sa modestie. Respectueuse des filières, attentive au maintien de gros horaires, sensible aux pressions des lobbys disciplinaires et autres, le grand projet imaginé par Darcos est devenu une simple amélioration du système existant.
Sa plus importante rupture pourrait passer inaperçue. Il s’agit de l’autonomie recherchée pour la gestion des moyens « globalisés ». Pour la première fois, un texte donne des responsabilités concrètes aux équipes pédagogiques. On a là un véritable défi envoyé au système éducatif.
Comment faire fonctionner des équipes alors que celles-ci ne disposent ni d’espace, ni de tranche horaire dédiée, ni d’incitations à le faire ?
Les syndicats s’opposent sur la réforme du lycée
Pour le Snes, « le ministre Luc Chatel fait le choix idéologique d’une transformation radicale de l’organisation du lycée général et technologique et des enseignements en voulant confier la gestion de plus du tiers des horaires aux établissements… De fait, à l’issue d’un simulacre de discussions, le ministre confirme les trois axes de son projet : autonomie, réduction des horaires disciplinaires, fusion partielle des séries générales dans un tronc commun ignorant par ailleurs superbement des pans entiers de la culture et ne résolvant pas la question essentielle des effectifs par classe ». Le Snes appelle à la grève le 24 novembre.
Ce n’est pas l’avis du Se-Unsa qui titre « on avance ». « Pour le SE-UNSA, qui milite depuis longtemps pour l’affirmation d’une logique de parcours en lieu et place de l’actuel cloisonnement des voies et séries, ces mesures dessinent de nouveaux horizons pour les lycéens. Pour peu qu’on y mette les moyens, le lycée pourrait enfin connaître des évolutions significatives. A tout le moins dans la voie générale, puisque le projet demeure muet sur la réorganisation des formations technologiques ».
Lycée professionnel : l’analyse du Se-Unsa
Le Se-Unsa réagit à la publication du rapport du Haut Conseil de l’éducation. « Le SE-UNSA partage le scepticisme du HCE sur la certification intermédiaire (le BEP), telle qu’elle est conçue dans la réforme. Cependant, à l’opposé du HCE, il ne souhaite pas la disparition d’une certification de niveau V dans le parcours vers le baccalauréat professionnel ». L’idée d’orienter à la fin du premier trimestre de seconde professionnelle lui semble irréaliste car les L.P. n’ont pas forcément une filière CAP et un bac dans la même branche. Le syndicat s’oppose à une 2de année de CAP en apprentissage.
Formation : La CPU et la CDIUFM contre le projet ministériel
« Telle quelle, la réforme n’est pas à la hauteur des enjeux et ne permettra pas d’atteindre les objectifs qu’elle se donne : améliorer la formation des futurs enseignants en élevant leur niveau de recrutement au niveau du master. » Les présidents d’université ont émis le 19 novembre un communiqué hostile à la réforme de la formation des enseignants.
Le même jour, Gilles Baillat, président de la conférence des directeurs d’IUFM s’exprime dans Le Point. « Le gouvernement souhaite des masters généralistes en privilégiant la dimension disciplinaire à la pédagogie proprement dite. Cela permettrait officiellement à ceux qui échouent aux concours de se réorienter vers un autre métier. Or, nous ne voyons pas en quoi un étudiant en grec ancien ou en lettres modernes n’ayant pas été reçu au concours pourra plus facilement s’insérer dans le marché du travail. Les ministres font aussi comme si les étudiants qui s’inscrivent dans un master et préparent un concours vont abandonner s’ils ne sont pas admissibles alors que la plupart des étudiants le repassent deux, voire trois fois. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’ils veulent devenir enseignants. »
Le plan numérique sera-t-il au rendez-vous ?
Annoncé par Luc Chatel, le « grand plan numérique » pour l’éducation verra-t-il le jour ? La question a pourtant réussi à réunir le 19 novembre tous les acteurs de l’Ecole.
La commission chargée du grand emprunt a remis le 19 novembre son rapport. Il prévoit 4 milliards pour la société numérique, soit moins de 2 milliards pour « développer les usages et contenus numériques innovants » en général, ce qui laisse un volume inférieur pour l’Ecole.
Pourtant ce même jour, le salon Educatice accueillait une conférence sur cette même question. Particularité de cette table ronde : elle réunissait tous les acteurs de l’Ecole : JM Fourgous, chargé d’une mission TICE, le recteur de Créteil, G Moindrot, secrétaire général du Snuipp, JJ Hazan, président de la FCPE, un acteur local, PL Ghavam, conseil général des Landes, un chercheur R Casati, et un industriel T de Vulpillière pour Microsoft.
Rappelant le retard français en matière d’usage des Tice, JM Fourgous a plaidé pour un programme d’équipement. Mais c’est évidemment la question des usages et de la formation qui a opposé les participants. Peut-on continuer à marginaliser les TICE dans une société qui s’informatise ? Les TIce sont-elles susceptibles de changer les pratiques pédagogiques ? Comment organiser la formation alors que l’Etat détruit les structures de formation de l’éducation nationale.
Le rapport sur le grand emprunt
Agricole : Le Sénat se rebiffe
Réunie le 19 novembre, la commission de la culture, de l’éducation et de la communication du Sénat, présidée par M. Jacques Legendre (UMP – Nord), a examiné les crédits de la mission « Enseignement scolaire » du projet de loi de finances pour 2010. Les commissaires ont regretté que les engagements pris par le Gouvernement l’année dernière à l’occasion du débat budgétaire n’aient pas été intégralement tenus. Ils demandent à l’Etat de proposer un autre budget.
Les chefs d’établissement inquiets des blocages
« Les personnels de direction refusent de considérer les blocages comme un droit ». Le premier syndicat de chef d’établissement, le Snpden, s’inquiète de voir redémarrer les blocages dans les lycées.
Les droits des enfants ont 20 ans
Ratifiée par 193 pays, le Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) fête ses 20 ans. Pour l’Unicef, « la sensibilisation à cette question et les activités de défense et de mobilisation en faveur de la protection de l’enfant ont nettement progressé depuis que la Convention a été ouverte à la signature il y a vingt ans ». Mais « il est inacceptable que des enfants continuent à mourir de causes évitables comme la pneumonie, le paludisme, la rougeole et la malnutrition… De nombreux enfants de la planète ne verront jamais l’intérieur d’une salle de classe et des millions sont privés de protection face à la violence, aux mauvais traitements, à l’exploitation, à la discrimination et à l’abandon ». L’organisation publie àe cette occasion un recueil efficace.
Accident scolaire : comment informer les parents
« L’accident subi par un élève est toujours une expérience traumatisante pour les familles qui attendent de l’institution scolaire un accompagnement psychologique et matériel à la mesure de la gravité de l’événement. Les problèmes de nature juridique relatifs, notamment, aux questions de responsabilité ne doivent pas occulter cet enjeu primordial pour les familles ». Le B.O. du 19 novembre explique commet remplir les documents de déclaration
La classe
Rejoignez Arthur et ses chevaliers…
A comme Arthur, A comme adoubement, A comme amour courtois, A comme Avalon… Comment faire acquérir du vocabulaire aux élèves de primaire et de maternelle, dans le cadre d’un projet au long cours et d’une activité stimulante, en s’appuyant sur des ressources de la Bibliothèque Nationale de France ?
L’occasion vous en est offerte en participant au concours lancé par le SNUipp, la BNF, la Ligue de l’enseignement, l’Ecole des loisirs; la ville de Lyon; le Réseau des villes éducatrices, et Le Café Pédagogique, qui vous permettra, de plus, de travailler sur une période mythique de l’histoire du Moyen-Age, celle du roi Arthur.
« La légende du roi Arthur et de ses chevaliers s’est constituée et développée au fil des siècles. Si l’aventure est l’élément essentiel de ce grand mythe qui traverse le Moyen Âge, leurs exploits continuent à fasciner notre imaginaire, et les chevaliers de la Table ronde nous apparaissent aussi comme des chercheurs de Connaissance, lancés dans une quête initiatique. Quelle est l’origine de ces chevaliers mythiques ? Comment est née l’histoire de la Table ronde ? C’est l’objet d’une exposition proposée par la BNF du 20 octobre 2009 au 24 janvier 2010. C’est aussi le thème retenu pour le concours « .
Il s’agit de réaliser un abécédaire, dont chaque lettre devra être illustrée au moins par une référence (personnage, lieux, documents relatifs au Moyen Age, etc). Les productions peuvent être réelles ou virtuelles.
Le concours est ouvert à toutes les classes de maternelle et de primaire. Pour y participer les enseignants responsables des classes doivent s’inscrire avant le 30 novembre 2009 et faire parvenir leur production avant le 16 mars 2010 minuit. Les résultats seront proclamés le 2 avril. Mais n’attendez pas pour rejoindre Arthur et ses chevaliers.
Etablissements, devenez partenaires du Café !
Le Café propose aux établissements de devenir partenaires du Café. Directeurs, chefs d’établissement, en devenant partenaire vous bénéficiez d’une lettre d’information exclusive et de la mise en valeur de vos événements. Documentalistes vous recevrez de nouveaux services pour votre CDI. Découvrez notre nouvelle offre strictement réservée aux établissements d’enseignement.
La recherche
Parents et profs : défiance ou alliance ?
Comment parents et enseignants pourraient-ils faire alliance dans l’intérêt des enfants ? Dominique Sénore, directeur adjoint d’IUFM, regroupe dans ce petit livre à la fois des pratiques de terrain, notamment celles de stagiaires, des analyses d’experts et des regards extérieurs : ceux de parents, de pédagogues. Tout cela apporte une réponse aux questions que les enseignants se posent. Comment organiser la première réunion avec les parents ? Comment faire connaître les apprentissages des enfants ? Comment renseigner le carnet scolaire ? Comment conduire un entretien avec les parents ? Avec un objectif central : comment créer de la confiance ?
Citoyenneté
Changement de statut en Guyane et Martinique ?
Le Journal Officiel du 19 novembre invite les électeurs de Guyane et la Martinique à voter sur le changement de statut du territoire le 10 janvier.
Les disciplines
Le Snep condamne la tricherie dans le mondial
« Le SNEP… incite en particulier les enseignants d’EPS à débattre immédiatement avec leurs élèves de l’avenir du football et du sport en général, à réfléchir aux contours d’un autre sport émancipateur et humaniste ». Pour le syndicat la tricherie va à l’encontre de l’éducation.
Certifications en allemand, anglais et espagnols
Le B.O. du 19 novembre fixe le calendrier des épreuves écrites et orales des certifications en allemand, anglais et espagnol. Epreuve écrite le 25 mars.
CAP maintenance et hygiène
Le BO publie le règlement d’examen de ce cap, session 2010.
le Cafe
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
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