L’épreuve de spécialité du baccalauréat technologique de la série sciences et technologies de la gestion est composé d’une épreuve écrite et d’une épreuve pratique. D’une durée de 45 minutes, l’épreuve pratique prend appui sur l’étude et sur le projet réalisés par le candidat au cours de l’année de terminale. Elle intègre l’usage des technologies de l’information et de la communication et nécessite la mobilisation des capacités d’expression, d’argumentation et de communication.
L’étude est un travail de recherche et d’exploitation d’informations sur un sujet, à partir de ressources documentaires disponibles et/ou directement produites à partir de l’observation d’une ou plusieurs organisations ou de situations réelles. Elle vise à sélectionner au regard du sujet, des informations pertinentes, à les analyser et à effectuer une synthèse rédigée dégageant les conclusions de l’étude. Le sujet est choisi par l’élève, avec le conseil et sous l’autorité du professeur, à partir de thèmes nationaux publiés au Bulletin officiel et renouvelés périodiquement.
http://www.education.gouv.fr/bo/2006/10/MENE0600698N.htm
Les thèmes nationaux 2010
Les thèmes d’études pour l’épreuve de spécialité du baccalauréat technologique de la série « Sciences et technologies de la gestion » sont spécifiques à chaque spécialité (Communication et gestion des ressources humaines, Mercatique, Comptabilité et finance d’entreprise et Gestion des systèmes d’information). Pour chaque spécialité, trois thèmes nationaux sont arrêtés chaque année. L’un de ces thèmes devra être choisi par chaque élève puis décliné en sujet. Les thèmes de la session 2010 du baccalauréat :
http://www.education.gouv.fr/cid42629/mene0917181n.html
Spécialité Communication et gestion des ressources
humaines
Réseaux et coopérations
Pourquoi développer un réseau professionnel
Selon la dernière enquête Mobilité APEC, 55 % des cadres ayant changé d’entreprise ont trouvé leur nouvel emploi grâce à leurs relations personnelles et professionnelles. Cette pratique déjà bien ancrée dans les pays anglo-saxons est encore récente chez nous. Cependant, elle gagne petit à petit du terrain. De nombreux employeurs et candidats s’accordent à dire que le réseau constitue un levier efficace pour trouver un emploi, c’est même un accélérateur de carrière. Tout le monde peut créer son réseau.
http://www.keljob.com/conseils-emploi/chercher-un-emploi
Se constituer un réseau
Une interview vidéo sur les réseaux commerciaux.
http://www.focusco.fr/tv-focusco.php?id_article=443&idv=301
Leadership et équipe gagnante : Améliorer la coopération
Travailler ensemble est une chose, fonctionner en « équipe gagnante » en est une autre… Les équipes sportives en témoignent par leurs résultats ! Dans le milieu de l’entreprise c’est pareil : la meilleure équipe n’est pas forcément l’équipe des meilleurs ! Le facteur de réussite c’est la coopération ! Mais où s’arrête la compétition interne, où commence vraiment la coopération ? Où s’arrêtent les jugements de valeur, où commence le coaching mutuel pour faire grandir l’équipe tout entière ? Une équipe gagnante, modèle de coopération est régie par des valeurs fortes – un référentiel comportemental commun -, des principes de management – des règles du jeu -, une ambition commune – un projet mobilisateur -. Elle est animée par une forte éthique de réussite collective.
http://www.over-management.fr/les-formations/accroitre
Transmission des savoirs : favoriser la coopération
intergénérationnelle
Le glissement des compétences, des anciens vers les plus jeunes, est une méthode traditionnelle d’apprentissage tombée quelque peu en désuétude dans les nouvelles organisations du travail. Ces dernières n’aménagent plus de temps destinés à la transmission des compétences entre les collaborateurs et cette responsabilité ne fait pas partie des objectifs assignés à l’encadrement. Pourtant, la cohabitation entre les générations au sein d’un collectif de travail est vecteur de plusieurs évolutions.
http://www.valeurshumaines.org/Documents/IV-8 Transmission
Construire et animer son réseau professionnel
Qui sont les personnes clés d’un réseau ? Comment les aborder ? Comment pérenniser la relation sans être envahissant ? Les techniques pour utiliser au mieux ses contacts.
http://www.journaldunet.com/management/emploi-cadres/consei
Les conditions de travail
J’ai (très) mal au travail
Le travail est le carrefour de valeurs contradictoires. Quels sont ses enjeux? Quelles sont les nouvelles méthodes de management ? Au bénéfice de qui ? C’est cet « obscur objet de désir et de haine » qui est cerné dans ce film. Ce documentaire de Jean-Michel Carré est un voyage initiatique dans la comédie humaine que sont l’entreprise et le salariat d’aujourd’hui.
http://www.filmsdocumentaires.com/films/258-j-ai-tres-
J’ai mal au travail !
Alain Le Gouguec reçoit dans le 7/10 de France Inter, Danièle Linhart, sociologue du travail, directrice de recherche au CNRS et Marie Pezé, psychanalyste.
http://www.dailymotion.com/video/xaz5jw_jai-mal-au-travai
Le plaisir et la motivation au travail
Le plaisir au travail, est-ce encore possible ? Certainement, diront les uns. De plus en plus difficile, vous diront les autres. Et vous ? Qu’est-ce qui vous procure du plaisir au travail ?
Certains répondront que c’est d’avoir une marge de manoeuvre, de pouvoir prendre des initiatives. Pour d’autres, c’est sentir que tous travaillent dans le même sens ou contribuer à faire avancer les choses. Pour plusieurs, c’est se retrouver avec des collègues, échanger avec eux, rencontrer des personnes intéressantes. D’autres diront que c’est l’enthousiasme qu’ils sentent autour d’eux, l’humour qu’il y a dans l’équipe. Enfin, plusieurs affirment que le plaisir, c’est quand on leur fait sentir qu’ils font du bon travail.
Chacune de ces réponses souligne un des besoins dont la satisfaction assure notre motivation dans un travail. Les explications qui suivent et les questions qui les accompagnent devraient vous aider à mesurer votre propre plaisir au travail. Voyons donc chacun de ces besoins
http://www.oserchanger.com/a_articles/plaisir.php
Les conditions de travail ont-elles un sexe ?
A-t-on vraiment progressé sur le thème de l’égalité professionnelle dans les entreprises ? Pour dépasser les seules notions d’égalité salariale et de parcours, une autre approche existe : celle qui permet d’établir un lien entre les conditions de travail et le genre. Nouveau et instructif pour tous les salariés.
http://www.anact.fr/images/web/catalogue/appli.htm?on
L’entreprise virtuelle
Visitez une entreprise en 3D et visualisez les bonnes et les mauvaises conditions de travail.
http://www.travailler-mieux.gouv.fr/entreprise_virtuelle
L’accueil dans les organisations
Qualité de l’accueil : quels enjeux, quelles démarches ?
L’accueil contribue largement à forger l’image que le public se fait d’un service. C’est aussi un levier efficace pour l’amélioration de la qualité de service.
http://www.voirin-consultants.com/telecharger-document/4
Évaluer un appel téléphonique
Comment évaluer la qualité de la prise de contact téléphonique, de la relation client par téléphone, du traitement de la demande d’un client, de la synthèse et de la clôture de l’appel par un téléconseiller. Voici une grille d’évaluation avec 16 critères pour évaluer la qualité d’un appel téléphonique entrant…
http://www.frederic-chartier.com/accueil-telephonique/ind
La gestion de l’accueil clients
De l’attente en « file indienne », linéaire, non gérée, à l’accueil avec identification et réception personnalisée après une attente active, les typologies des systèmes utilisables sont plus variées qu’il n’y paraît. Si l’on fait un peu d’histoire, il est certain que l’attente en file (pour un vendeur, un poste, une caisse…) a toujours existé, que des appariteurs accueillant et orientant les clients ont été employés pour aiguiller vers les divers services offerts et que des coupons numérotés ont également du être distribués pour permettre d’attendre sereinement sans « faire la queue ».
http://www.esii.com/fr/pdf/Divers/ESII-WhitePaper_FR.pdf
L’accueil en entreprise
Très souvent, dans les petites structures, l’accueil est assuré par une assistante polyvalente. Parfois, dans d’autres structures, la recherche de la perle idéale est confiée à l’assistante en poste. C’est pourquoi j’ai pensé utile de rappeler ici quelques principes fondamentaux sur l’accueil en entreprise.
http://www.top-assistante.com/admin/accueil.php
Emploi : hôte/hôtesse d’accueil en entreprise
L’hôtesse d’accueil doit renvoyer l’image la plus positive de l’entreprise. Potiche ? Pas du tout. Véritable professionnelle de l’accueil, elle a des qualités humaines, le sens du relationnel, une patience à toute épreuve, elle se doit d’être toujours souriante et très courtoise. L’efficacité de son travail dépend avant tout de son attitude et de son savoir-être.
http://www.sourcea.fr/contenu-redactionnel.php?sect
Spécialité Mercatique
Les modes de distribution
Les modes de distribution
Le choix de la politique de distribution nécessite d’identifier les typologies des différents réseaux de distribution et d’analyser les fonctions supports (force de vente et merchandising).
http://www.apce.com/pid821/les-modes-de-distribution.ht
Comment animer son réseau de distribution
Vous commercialisez vos produits via un réseau de distribution externe. Pour une relation gagnant-gagnant, mieux vaut adopter une stratégie de réseau réfléchie et efficace. Nos conseils pour accompagner vos revendeurs vers la performance.
http://www.ecommercemag.fr/Magazines/ConsultArticle.as
Les différentes formes de commerce organisé
Le commerce organisé qui s’oppose au commerce indépendant peut prendre divers formes : franchise, licence de marque, concession exclusive, commission-affiliation, coopérative. Quelles sont les différences entre chaque formule ? Qu’appelle t-on le commerce associé ? Et le commerce intégré ?
La franchise reste aujourd’hui le modèle le plus largement adopté par les entreprises souhaitant se développer en réseau, mais cette formule de commerce organisé n’est qu’une option parmi d’autres. Pour bien comprendre, il est utile de revenir sur l’historique du commerce organisé et sur les définitions de base des différents types de formules.
http://www.toute-la-franchise.com/vie-de-la-franchise-A79
VPC : les raisons de la déroute
Historique, un mot bien choisi lorsque l’on évoque des sociétés qui ont plus de 50 ans. C’est le cas pour la Redoute (1922), Les 3 Suisses (1932), la Camif (1947). La vente par correspondance avait, depuis la création du premier catalogue en 1771 par Vilmorin, connu un essor régulier jusqu’au début du 21ème siècle. Les trois sociétés évoquées dans cet article font en quelque sorte partie du patrimoine de la distribution. Des monuments en péril qui mobilisent en temps de crise les politiques. En effet, Luc Chatel, secrétaire d’État chargé de l’Industrie et de la Consommation, s’est rendu à Niort le 30 octobre pour mettre en place une plateforme-emploi afin de reclasser dans les meilleures conditions les salariés de la Camif Particulier. Ces derniers ont également reçu le soutien de Ségolène Royal, qui réclame vingt millions d’euros pour un rachat de l’entreprise par les salariés. Elle évoque la possibilité de recentrer les activités sur le commerce équitable, prônant un modèle économique de « fraternité ». Plus sérieusement, la question qui se pose aujourd’hui est bien celle de l’avenir de ce mode de distribution, et parallèlement de son adaptation au commerce contemporain.
http://www.paperblog.fr/1283763/vpc-les-raisons-de-la-deroute/
Qu’est ce que le marketing de réseau ?
Le marketing de réseau est un système de distribution de produits, légal mais des arnaques et des escroqueries existent. Le principe est de trouver des clients et de parrainer des distributeurs, affiliés ou représentants. Cette stratégie peut vous faire gagner beaucoup d’argent. Ni facilement, ni rapidement. Les avantages : travailler à domicile, pas de patron, être indépendant, choix de vos horaires et à la clé du succès, plus que l’indépendance financière, c’est les relations que vous développez, les personnes que vous aidez et les leaders que vous rencontrez qui font la véritable richesse de la méthode. Les techniques : pas de listes de famille ni d’amis et pas de réunion à domicile…
http://ph.video.yahoo.com/watch/5989757/15572832?v=5989757
La segmentation
Hyper-segmentation et Internet
L’ère du marketing indifférencié est révolue dans de multiples secteurs d’activité depuis bien longtemps. Pour optimiser la gestion du portefeuille produits/services et l’action marketing opérationnelle, les marketeurs segmentent leur population-cible. Rappelons que les critères de segmentation sont, dans l’ordre d’efficience et de complexité de mise en oeuvre : géographiques, socio-démographiques, attitudinaux, comportementaux. En outre, un segment pertinent se définit comme étant volumineux, mesurable et accessible.
http://www.journaldunet.com/ebusiness/expert/3
L’emailing, un canal de communication incontournable en temps de
crise
L’emailing séduit de plus en plus de sociétés de tous types, et devient incontournable dans la stratégie marketing des entreprises. Il intervient dans la prospection, la collecte d’adresses, la conquête et la fidélisation. Pour élaborer une stratégie d’emailing, il convient de bien connaitre sa cible pour lui adresser le bon message au bon moment. Mais au-delà du simple routage, le suivi de campagne se révèle indispensable: statistiques et analyses sont des outils précieux pour mesurer l’impact de ses campagnes. L’emailing est un média souple, rapide (quelques minutes suffisent), efficace tout en étant peu coûteux. En outre, la personnalisation qu’offre l’emailing permet de tisser une relation « one to one » avec le consommateur. Ce dernier étant de plus en plus sollicité, il convient de respecter certaines bonnes pratiques en la matière. L’email marketing est puissant mais aussi complexe. Celui-ci doit être géré de façon rigoureuse pour aboutir à des résultats satisfaisants. Le succès n’est assuré que si un savant mélange de techniques est respecté. La limite de vie de l’email est le temps limité accordé à la lecture.
http://www.relationclient.net/L-emailing,-un-canal-de
Carrefour repart à l’offensive dans le hard discount
Un emballage dépouillé, orné de la seule photo du produit, sa description et un logo : Carrefour a lancé « Carrefour Discount », une nouvelle gamme de produits à prix discount. Objectif de l’offensive : concurrencer Lidl et Leader Price, les deux leaders du segment en France, sur le terrain des prix bas. Le numéro deux mondial de la distribution entend ainsi répondre « aux préoccupations économiques actuelles de ses clients» et même «conquérir de nouveaux clients » selon les termes du communiqué du groupe. Carrefour proposera 400 références en alimentaire, droguerie, parfumerie et hygiène sous sa propre marque, une nouveauté pour un distributeur français concernant une gamme hard discount.
http://www.lefigaro.fr/societes/2009/04/22/04015-20090
La segmentation marketing sur internet : comment et pourquoi
L’audience d’un site web n’est pas homogène. Certaines sources marketing comme les mots clés Google Adwords permettent de générer un trafic, mais qui sera par définition différent de celui apporté par un comparateur d’achat ou une plateforme d’affiliation, des bannières pub…
Il convient donc de regrouper les internautes (ou de les séparer) en cumulant des critères (ou variables) qui permettent d’isoler des groupes. C’est le principe de base.
http://vincentmorin.blogspot.com/2009/10/la-segmentation
S’adapter à la demande des consommateurs
La rivalité commerciale qui voit s’opposer les poids lourds de la papeterie française a conduit chacun des acteurs à affiner sa stratégie marketing. Si la concurrence avec les marques de distributeurs avait rendu nécessaire un effort sur les prix, la compétition entre Oxford et Clairefontaine les a conduits à innover sur les produits.
Dessins animés ou films : il y a quelques années encore, le secteur des produits sous licence représentait un terrain d’affrontement pour les fabricants de cahiers. Mais ce segment représente aujourd’hui moins de 1 % du marché. « Les cahiers sous licence n’ont jamais représenté un marché très important auprès des consommateurs français, explique Christophe Girard. Les sacs et les agendas sont les deux seuls articles scolaires dont une part significative des ventes se réalise sous licence. »
http://www.journaldunet.com/economie/face-a-face/oxford-cla
La généralisation de la démarche mercatique
Pourquoi intégrer une démarche marketing dans les associations ?
1er février 1954, Henri Groues, qui va devenir « l’abbé Pierre », scandalisé par la misère et le sort des sans-logis, lance un appel sur Radio Luxembourg (RTL). L’association Emmaüs est rapidement connue de tous. Une loi contre toute expulsion durant les mois d’hiver est votée et des milliers de logements sont construits pour les plus démunis. Cinquante-deux ans plus tard, Augustin Legrand convainc des SDF de s’installer dans des tentes de couleur rouge le long du canal Saint-Martin, et convie les médias. Les journalistes feront très rapidement le parallèle entre les deux opérations. Celles-ci suivent des logiques de communication bien connues en marketing : cause révoltante, prise de conscience par les Français qu’ils peuvent agir sur la cause, impact d’un leader charismatique, médiatisation très poussée de l’événement via des images fortes, mobilisation massive de l’opinion publique et avancées législatives aboutissant à des résultats concrets. On retrouve pour l’essentiel les mêmes composantes sur le Téléthon ou les Restos du Coeur. On perçoit bien, au travers de ces différents exemples, toute l’importance que revêt la communication pour sensibiliser le public, acquérir de la notoriété, et atteindre les objectifs de l’organisation. Par la suite, la communication ne fait pas tout, et l’association doit intégrer une démarche marketing réfléchie pour arriver à gérer l’éloignement des médias, de l’opinion publique, le sentiment de lassitude des bénévoles, la chute des dons privés ou encore, le maintien de sa notoriété. Alors qu’aux États-Unis, le marketing investit sans complexe le secteur non marchand, la France reste encore réservée quant à son utilisation. Domaine presque tabou, beaucoup d’associations font du marketing sans le savoir et sans vouloir admettre le terme. Pourtant, marketing et professionnalisation vont de pair.
http://www.numilog.fr/package/extraits_pdf/e263847.pdf
Engager une démarche marketing qui fasse sens
Au moment de la création d’une entreprise, les questions de viabilité, de prises de risques et de résultats économiques priment souvent sur les considérations éthiques. Une fois assuré le bon fonctionnement économique, la question de la responsabilité sociétale de l’entreprise pour améliorer son activité d’un point de vue social et environnemental se pose. Vous pouvez devenir un « entrepren’acteur », conscient que vous vivez dans un monde global et que, par votre façon de consommer, de produire ou de vendre, vous décidez d’intervenir pour l’améliorer. Vous souhaitez alors communiquer sur votre engagement. Il convient alors de le faire en respectant un certain nombre de « bonnes pratiques ».
http://www.commercequitable.org/fileadmin/user_upload/g
Utiliser le marketing pour gagner ?
Les entreprises ont conscience qu’elles doivent utiliser le marketing au même titre que l’informatique ou la comptabilité, mais bon nombre d’entre elles n’osent pas franchir le pas, et pourtant, le marketing permet de procurer au public cible une nécessaire information sur l’entreprise, sur ses produits et leurs avantages. Les dirigeants font toujours preuve d’une frilosité excessive envers l’utilisation du marketing ou de certains de ses outils (vente, publicité) dans leur gestion quotidienne ; le marketing reste d’ailleurs encore un tabou dans beaucoup d’entreprises.
http://www.aminata.com/oumar-wann-politique-chronique-431/
Un renouveau de la démarche
Apparu dans les années quatre-vingt, le marketing hospitalier a connu des débuts délicats : dans le milieu professionnel, d’abord, qui n’utilisait aucun des outils développés par le secteur industriel et commercial. Dans l’opinion publique, ensuite, qui considère la santé comme une activité noble, non associable à des préoccupations mercantiles. Dans le milieu politique, enfin, qui privilégie la planification des activités de soins. En cette fin des années 2000, plusieurs facteurs plaident en faveur d’un renouveau de la démarche. Cette approche n’est pas détachable de l’analyse stratégique laquelle, in fine, séduit davantage les professionnels de santé que la démarche marketing. Apparaît aujourd’hui un couple stratégie et marketing hospitaliers. Inscrit dans un continuum de réflexion et d’action, il vise qualité du service, pertinence et efficience des prestations.
http://rhf.fhf.fr/content/download/3570/19975/file/18_21_
Communication ou marketing politique ?
Le marketing politique englobe les méthodes utilisées par les hommes ou les partis politiques pour définir leurs objectifs, leurs programmes et pour influencer le comportement des électeurs. Dans sa version moderne il se caractérise par l’emploi des différentes techniques et théories du marketing commercial, sous l’égide de professionnels de la communication.
http://www.efap.com/index.php?/communiquer/article/458/
Spécialité Comptabilité et finance d’entreprise
La trésorerie
Augmenter sa trésorerie par une stratégie adaptée
Pour faire face à cette crise, les deux piliers interdépendants qui soutiennent l’entreprise sont : la rentabilité de l’activité et la sauvegarde du fonds de roulement. L’absence de rentabilité « grignote » le fonds de roulement ; le manque de fonds de roulement ne permet pas le développement et compromet l’exploitation. Une faille sur l’un de ces piliers obère -à terme- la pérennité de l’exploitation en la déséquilibrant dangereusement.
http://lentrepriseperenne.blogspirit.com/archive/2008/12/20
Prévoir sa trésorerie pour éviter de casser sa tirelire
Dans les mois à venir, de plus en plus d’exploitations risquent de se trouver dans une situation tendue en termes de trésorerie, indiquent de concert les conseillers. Il faut explorer sans attendre les pistes pour anticiper une dégradation de la trésorerie. Même si elle n’est pas flagrante, une certaine tension est déjà palpable, comme l’indique le niveau des dettes fournisseurs de certaines exploitations et les indicateurs de fonctionnement de compte.
Le Crédit mutuel de Bretagne enregistrait fin juin une augmentation de 10 points de la mobilisation des encours liés aux ouvertures de crédit par rapport à la même date l’année précédente. « N’attendez que les factures commencent à s’entasser pour faire le point avec votre banquier sur la situation, et lui présenter les difficultés attendues, suggère Yves Champion, responsable du marché agriculture au Crédit agricole d’Ille-et-Vilaine. Mieux vaut mettre en place un plan d’action le plus en amont possible. »
http://www.reussir-lait.com/actualites/gestion-prevoir-sa
Besoins de trésorerie et entreprises
En France, les délais de paiement ont baissé en 2007. C’est ce que constate l’Observatoire des délais de paiement. Certes, du chemin reste à parcourir… Mais des progrès sont en cours. La loi de modernisation de l’économie accompagne cette évolution. Depuis le 1er janvier, le délai maximum de règlement fournisseurs est de 45 jours fin de mois, ou 60 jours à partir de la date d’émission de la facture. Une mesure destinée à corriger le retard qu’accuse la France par rapport à ses voisins européens. Car les PME souffrent des décalages de trésorerie qu’engendrent des encaissements tardifs. Or, l’affacturage est une solution pour y pallier…
http://www.tresorerie-entreprise.fr/affacturage/pourquoi-/le
Gestionnaire de trésorerie, le spécialiste des flux
Au sein d’une entreprise, la position du comptable est souvent en aval des flux financiers. Il écrit scrupuleusement les flux créditeurs et débiteurs dans les livres de comptes. Mais il ne prend que rarement des décisions influençant ces flux, notamment dans les grands groupes. Le gestionnaire de trésorerie n’a pas de pouvoir concernant un projet d’investissement, mais il est tout puissant dans la gestion quotidienne de la trésorerie. Il agit en amont, avant la réalisation des flux financiers.
http://www.edubourse.com/guide/guide.php?fiche=gestionnaire-
La gestion des excédents de trésorerie
Dix solutions pour gérer ses excédents de trésorerie.
http://www.netpme.fr/banque-entreprise/12-gestion-excedents
La normalisation comptable
Le code général de la normalisation comptable
La norme générale comptable est conçue de façon à satisfaire les deux objectifs primordiaux de la normalisation comptable qui sont de servir de base à l’information et la gestion de l’entreprise et de fournir une image aussi fidèle que possible de ce que représente l’entreprise à tous les utilisateurs des comptes, privés ou publics.
Cette fonction d’information interne et d’information externe vise évidemment une grande diversité de destinataires : l’entreprise elle-même, ses partenaires directs, tels les fournisseurs, clients, salariés, banquiers et prêteurs, associés et actionnaires, et les Pouvoirs Publics tant au niveau fiscal qu’au niveau économique (comptabilité nationale) et financier (contrôle du crédit).
http://www.cabinetseddik.com/enTelechargement/legislation/CGNC.pdf
Normes comptables et crise financière : propositions pour une
réforme du système de régulation comptable
Les normes comptables, plus particulièrement le principe de la « fair value », ont été récemment accusées d’avoir joué un rôle important dans la crise économique et financière que connaît l’Europe et le monde, en raison notamment de leur effet procyclique. C’est dans ce contexte que Pascal Morand, Directeur général d’ESCP Europe et Didier Marteau, professeur à ESCP Europe, ont été chargés par la ministre de l’économie, de l’industrie et de l’emploi, de réfléchir à la question de la réforme de ces normes. Le présent rapport conduit tout d’abord une réflexion sur les fondements des normes comptables IFRS (International Financial Reporting Standards). Il s’intéresse également aux évolutions actuellement débattues au sein de l’IASB (International Accounting Standards Board) s’agissant de la valorisation des instruments financiers. A cet égard, il analyse l’impact de ces normes sur la volatilité des comptes qui peut se transmettre à l’ensemble de l’économie. Le rapport examine enfin les questions de gouvernance de la normalisation comptable et conclut que les représentants d’intérêt général (comme les autorités de supervision) sont insuffisamment représentés au sein de la gouvernance de l’IASB.
http://lesrapports.ladocumentationfrancaise.fr/cgi-bin/
Simplification des normes comptables pour les PME
L’objectif de la consultation de la Commission européenne et du Commissaire Européen Mac Greevy est de limiter l’impact et les lourdeurs administratives issues de l’application du standard IFRS ( standard anglo-saxon de présentation financière des comptes des sociétés ) , en sachant que l’Europe n’a pas encore acté l’application en droit européen des règles de l’IFRS.
http://www.cfo-news.com/Simplification-des-normes-comptab
Les acteurs de la normalisation en France
Jusqu’en 1996, le seul organe de normalisation comptable française était le CNC (Conseil National de la Comptabilité) créé par décret du 7 février 1957. Les avis du CNC avaient, a priori, une vocation interprétative des textes comptables.
En pratique, s’agissant d’une doctrine émanant d’une organisation officielle, ces textes présentaient, de fait, un caractère très fortement incitatif. La CNCC avait même écrit : « les avis du CNC doivent s’appliquer et il n’est pas possible d’y déroger, sauf s’il s’agit de cas exceptionnels visés à l’article L 123-14 du Code de commerce ».
http://www.focuspcg.com/menu_gauche/comprendre_le_pcg/
La comptabilité ne contribue pas au résultat d’une entreprise…
Depuis quelques années, des normes prescrivent de valoriser certains instruments financiers à leur juste valeur, c’est-à-dire, dans la plupart des cas, à leur valeur de marché. Or, pendant la crise des subprimes, les marchés financiers ont subi un assèchement de liquidités. Cette chute de liquidité a parfois conduit à l’absence de prix de marché ou à des valeurs décotées et insignifiantes. Confrontées à cette situation, plusieurs entreprises financières ont dû reconnaître des pertes comptables significatives.
Comment apprécier le débat ? Il est très complexe et exige une grande rigueur académique. En effet, une valeur de marché d’un actif n’est jamais que le prix de la dernière transaction. Celle-ci formule une valeur marginale : son prix n’est pertinent que pour les derniers acheteurs et vendeurs. Ce prix est d’ailleurs éphémère, puisqu’il est destiné à être contredit à tout moment. Il n’emporte aucune pérennité et entraîne sa propre précarité. Mais si ce prix est utilisé pour valoriser les bilans de banques, il s’impose comme une norme. Il devient donc une valeur moyenne qui s’impose au-delà de sa signification. L’utilisation de la juste valeur confond les valeurs moyennes et marginales d’un actif.
http://www.cfo-news.com/La-comptabilite-ne-contribue-pas-
Les progiciels comptables
Mise en place d’un PGI : un projet à préparer soigneusement
Installer un PGI ne relève pas de la promenade de santé. La PME doit sérieusement préparer son projet, avant même d’examiner tout produit, si elle veut s’assurer d’en conserver la maîtrise. Pour établir son cahier des charges, il lui faut analyser ses modes de fonctionnement et formaliser les points-clés de son activité. Ce peut être, selon les cas, une production à l’affaire ou bien la prépondérance de son service après-vente, ou encore l’obligation de tracer des numéros de série, etc.
http://solutionspme.lemondeinformatique.fr/articles/lire-mise-
La comptabilité en ligne
Le SaaS (pour « Software as a Service » en anglais et « logiciel en tant que service » en français) est une application développée nativement pour fonctionner en mode web, accessible par Internet et gérée sur les serveurs de l’éditeur. Le programme n’est jamais installé sur la machine de l’utilisateur et les données entrées sont conservées dans les bases de données du serveur. L’utilisateur est donc locataire de l’application et paye uniquement un droit d’utilisation mensuel ou annuel. Un point sur les avantages pour les entreprises et les experts-comptables.
http://www.idylis.com/Site_idylis/Avantages.aspx
PME/PMI: les critères à privilégier pour choisir son PGI
Choisir le progiciel de gestion adapté à ses exigences métier et piloter le changement dans l’entreprise sont les principales étapes du déploiement d’une solution intégrée. Mais le chef de projet devra être très vigilant sur le coût des prestations de son intégrateur.
http://www.zdnet.fr/actualites/informatique/0,39040745,391
La comptabilité, la facturation et la paye
A l’apparition des micros ordinateurs, dans les années 1980 deux familles différentes de programmes permettant de les utiliser se sont développées parallèlement : des programmes de bureautique à vocation généraliste tels que le traitement de texte et le tableur, dont l’utilisation permet à chacun d’y introduire ses propres règles et des programmes de gestion tels que la comptabilité, la facturation et la paie, où les règles d’utilisation sont fixées par la loi, les décrets et les règlements.
http://www.entreprisetic.com/Menu-Gauche/Comprendre/Les-outil
Dans une PME, la logique d’implémentation d’un PGI suit celle des
grandes entreprises
Les PME et les TPE rencontrent des besoins plus ou moins identiques à ceux des grandes entreprises, d’autant que, pour ce type d’organisations, les processus métiers s’avèrent moins complexes que ceux des grandes entreprises impliquant nécessairement un nombre plus important d’acteurs. Cela étant, en environnement PME / TPE, les parties prenantes sont plus concentrées. La personne réalisant la facturation se voit par exemple confier d’autres tâches relatives à la saisie des commandes, ce qui permet de cerner plus facilement et efficacement les processus métiers qui tireront partie de la mise en place du PGI.
http://www.journaldunet.com/solutions/0704/070430-3q-sylob.shtml
Spécialité Gestion des systèmes d’information
L’évolution des systèmes d’information et
le développement durable
Développement eco-responsable et TIC
Le présent rapport relatif à la contribution des technologies du numérique au développement durable se situe dans le prolongement de rapports tels que « France numérique 2012 » ou encore « TIC et développement durable ». Le groupe de travail, sous la présidence de Michel Petit, ingénieur général des mines, a rassemblé un grand nombre de participants, dans le cadre d’un groupe plénier, et de trois ateliers, plus spécialement chargés des composants, des centres de calcul et de l’appropriation des TIC par les entreprises afin de réduire leur empreinte écologique. Le rapport définit plusieurs axes d’action, visant notamment à : favoriser la recherche développement dans le domaine des composants et systèmes électroniques à basse consommation et à renforcer les usages du numérique (réseau électrique intelligent, maquettes numériques de bâtiments et quartiers…) contribuant au développement durable, notamment auprès des PME.
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/rapports-publics/094000
PC et économie d’énergie
On entend parfois parler de dématérialisation de l’économie, ce qui sous-entend une diminution de la pression sur l’environnement. Mais cette dématérialisation n’implique pas forcément une baisse de la consommation énergétique car elle s’accompagne d’une utilisation de plus en plus massive de l’informatique. Or un PC consomme typiquement 200 à 300 W. Le coût du kwh pour un particulier étant début 2008 d’environ 0,09 € TTC, un PC consomme deux à trois centimes d’euros par heure de fonctionnement. Pour une moyenne de 5h de fonctionnement par jour, le coût annuel s’élève à environ 40 €.
http://magnin.plil.net/spip.php?article53
Votre ordinateur est-il vert ?
Écologie et informatique font-elles bon ménage ? Compte tenu de l’importance du marché, la question mérite d’être posée. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : selon l’institut Gartner, 271 millions de PC (de bureau et portables) ont été livrés dans le monde en 2007, soit une croissance de 13,4 % par rapport à 2006. En France, la révolution informatique est également loin d’être terminée : avec 15,5 millions de foyers équipés en ordinateurs, on arrive à un taux d’équipement de 60 %. A titre de comparaison, en 2001, on en était à 32,3 % (source GfK). Mais c’est le chiffre faramineux de 1,8 milliard de PC vendus dans le monde depuis trente ans, annoncé par la société d’études de marché Computer Industry Almanac, qui interpelle le plus. Et le parc devrait être multiplié par deux d’ici à 2010 !
http://www.01men.com/editorial/388387/dossiers-pratiques/
Changement climatique & pratiques de travail : Le recours à la
visioconférence
La visioconférence permet de tenir une réunion de travail, répartie sur plusieurs sites distants en bénéficiant d’une transmission du son et de l’image des participants. Les grandes entreprises disposent ainsi de salles dédiées pour communiquer en interne ou en externe avec leurs fournisseurs, clients et partenaires.
http://www.rsenews.com/public/dossier_envi/visiocon
Consommation électrique des data centers
Deux chiffres nous interpellent : dans un data center, les serveurs coûtent désormais moins cher que la salle qui les abrite ; dans les pays développés, la consommation énergétique des data centers dépasse largement 1% de la consommation globale. Or, la tendance n’est pas franchement à la baisse du coût de l’énergie.
http://www.guideinformatique.com/fiche-consommation_electri
L’adaptation des systèmes d’information et la
mobilité des acteurs
Sécuriser le nomadisme
Le nomadisme consiste à permettre à un collaborateur de travailler et d’accéder à ses mails, à internet ou à certains documents et applications métier de l’entreprise, quelque soit le lieu où il se trouve (dans la voiture, à l’hôtel, chez-lui, chez un client ou fournisseur etc…).
http://www.ales.cci.fr/LinkClick.aspx?fileticket=HrHg4zMd0rM
Le dilemme de la clé USB
Le Pentagone interdit l’utilisation des clés USB ! A l’origine du bannissement, un virus qui aurait compromis le périphérique d’un militaire qui l’aurait ensuite transmis à tout le réseau. La clé USB nous pose un vrai dilemme, indispensable parce qu’on la glisse dans sa poche ou dans son sac et qu’aujourd’hui elle atteint des capacités de stockage impressionnantes, elle est néanmoins le meilleur vecteur de malwares. Pire encore c’est par cet objet que l’on récupère le plus facilement les données précieusement copiées. Elle est plus avantageuse que le serveur ou l’ordinateur parce que l’on y stocke exclusivement les documents les plus sensibles et les plus récents, le tri est donc déjà fait et les pirates gagnent du temps en accédant directement à l’essentiel.
http://pro.01net.com/editorial/399171/le-dilemme-de-la-cle-usb/
Nous allons nous tourner vers la publication sur mobile
Suite à une migration massive des sites du groupe, Marie-Claire se positionne sur Internet avec, à l’appui de cette ambition, une équipe de 30 personnes dans la cellule technique.
http://www.journaldunet.com/solutions/systemes-reseaux/interv
Les applications métiers partent à l’assaut des smartphones
La percée des nouvelles générations de smartphones sous Windows Mobile, Symbian, RIM, iPhone, Palm ou encore Android aiguise les appétits des concepteurs d’applications métiers. Les usages sont variés tout comme les bénéfices.
http://www.journaldunet.com/solutions/intranet-extranet
L’évolution du cloud computing accélère le pas
La virtualisation, première étape vers les cloud computing, est la première préoccupation des DSI devant la capacité à offrir un meilleur niveau de service aux clients et la simplification de l’administration des serveurs et environnement IT. Les entreprises sont de plus en plus nombreuses à considérer le cloud avec une évolution possible. Les entreprises font face à de nombreux challenges au niveau de l’hébergement de leurs infrastructures et applications informatiques. Tiraillées entre des exigences de performance vitales pour leur activité et des contraintes en termes de dépenses et d’investissements, elles se tournent le plus souvent vers des solutions privilégiant mutualisation et industrialisation. La virtualisation, le cloud computing et les applications en mode SaaS sont de plus en plus envisagées comme autant d’alternatives qu’elles considèrent avec attention.
http://www.itrmanager.com/articles/97027/etudes-markess-
La protection des données personnelles et
l’inter-connexion des systèmes d’information
La protection des données personnelles
A l’origine, Internet servait principalement à relier des chercheurs en informatique. La circulation des documents ne posait donc aucun problème de confidentialité et les données étaient acheminées en clair sur le réseau. Mais, l’ouverture d’Internet à un usage commercial a modifié les comportements. Des informations confidentielles circulant sur les liaisons, la sécurité des communications est devenue une préoccupation importante des internautes et des entreprises. Tous cherchent à se protéger contre une utilisation frauduleuse de leurs données ou contre des intrusions malveillantes dans les systèmes informatiques.
http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/int
Sauvegarde en ligne : les PME à la traîne
Crash de disques durs, fichiers effacés par inadvertance, malveillances, vols de PC portables, incendies… tout pousse les PME à sécuriser leurs données critiques, afin de minimiser les interruptions d’activité en cas de perte. Les services de sauvegarde automatique par internet leur apportent désormais toute la garantie nécessaire. Ils sont paramétrables et sécurisés, rendent compte des opérations réalisées, émettent des alertes et ne sauvegardent que les blocs ou fichiers modifiés. La différence se joue sur l’accompagnement, les délais de restauration et la compatibilité avec les architectures web.
http://www.indexel.net/article/sauvegarde-en-ligne-les-pm
La directive vie privée et communications électroniques
Suite à l’accord intervenu sur la réforme du « Paquet Télécom », rien ne s’oppose maintenant à l’entrée en vigueur de la directive « vie privée et communications électroniques ». Les formalités requises pour son adoption formelle seront engagées dans les semaines à venir. La directive révisée, telle que modifiée par le Parlement européen et adoptée par le Conseil, devra alors être mise en œuvre par les États membres dans les 18 mois. Les nouvelles dispositions de la directive apportent des améliorations importantes en matière de protection de la vie privée et des données personnelles de tous les Européens intervenant dans l’environnement en ligne. Les améliorations ont trait aux failles de sécurité, aux logiciels espions, aux cookies, au spam, et à la mise en œuvre des règles.
http://europa.eu/rapid/pressReleasesAction.do?reference=
Protection des données personnelles, où est le problème ?
Une donnée personnelle est toute information qui permet d’identifier une personne : un nom, une photo, un numéro de téléphone portable, l’adresse IP attribuée par votre fournisseur d’accès…
http://www.cnil.fr/fileadmin/documents/La_CNIL/actua
Qu’est-ce que la navigation InPrivate ?
La navigation InPrivate vous permet de surfer sur le Web sans laisser de traces dans Internet Explorer. La navigation privée empêche la personne qui pourrait utiliser votre ordinateur de voir les sites que vous avez consultés et ce que vous avez regardé sur Internet. Vous pouvez activer la navigation InPrivate à partir de la page d’un nouvel onglet ou en appuyant sur le bouton Sécurité.