LE FAIT DU JOUR
La campagne sécuritaire de Sarkozy vise l’Ecole et les jeunes
ÉDITORIAL
Sécuriser en suisse…
LE SYSTEME
Les réactions au discours de N Sarkozy l Formation des enseignants : des décrets prématurés l Une intersyndicale en soutien aux EVS l Le Snes hostile au rapport Apparu l Une circulaire redéfinit le rôle de l’inspection l La circulaire d’application de l’IDV est parue l Darcos toujours en difficulté avec les maires.
L’ÉLÈVE
Le Dico des métiers l Bac : Comment se préparer ? l Wisconsin récompensé.
LA CLASSE
Le 49ème Congrès de l’ICEM l La coopération dans la classe Ecrire aujourd’hui.
LA RECHERCHE
Ce que l’Ecole fait aux garçons et aux filles…
CITOYENNETE
Peut-on enseigner l’Europe ?
LES DISCIPLINES
Le bac de français sur mon Ipod ou mon IPhone l Littérature française l Defitec 2009.
Le fait du jour
La campagne sécuritaire de Sarkozy vise l’Ecole et les jeunes
« L’aggravation du chômage des jeunes risque d’avoir un impact particulièrement néfaste sur les équilibres de notre société en favorisant un sentiment de frustration et d’exclusion chez ceux qui incarnent l’avenir. C’est un drame absolu qui mobilise le Gouvernement ». C’est par cette vision que le président de la République a débuté son discours le 28 mai. A quelques jours des élections, il a annoncé des mesures sécuritaires pour les quartiers populaires et surtout pour l’Ecole.
Le président affirme deux constats. Le premier écarte les politiques d’éducation et de prévention : « la délinquance ne procède que très rarement de la souffrance sociale. La délinquance résulte simplement de l’attrait de l’argent facile ». Le second décrit une situation d’urgence : « Nous assistons à une banalisation de la présence et de l’usage des armes dans les établissements scolaires… Il faut mettre fin », ajoute-il, « tant qu’il en est encore temps, avant qu’une catastrophe ne se produise, avant qu’une catastrophe ne se produise il faut mettre fin à la banalisation du port d’arme dans la rue, les transports en commun, les établissements scolaires ».
Les mesures annoncées par N. Sarkozy sont celles présentées par X. Darcos le 27 mai. « 184 établissements parmi les plus sensibles vont faire l’objet d’un diagnostic de sécurité à l’issue duquel seront adoptées toutes les mesures nécessaires à leur protection contre les intrusions. J’invite les préfets, les recteurs, les procureurs à veiller au bon déroulement de cette démarche ».
Ces mesures sont précisées. Outre l’installation de portiques de sécurité, le président envisage de donner le droit aux chefs d’établissement de fouiller les élèves. Il annonce la création d’équipes mobiles d’agents « qui viendront épauler sur un plan pédagogique les chefs d’établissement en cas de difficulté ponctuelle relative à la discipline dans un lycée ou un collège ». Il s’agit de « sanctuariser » les établissements scolaires.
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Sécuriser en suisse…
Eric Debarbieux, sans doute le meilleur spécialiste français de la violence scolaire, a l’habitude de dire que sur ce sujet il faut à la fois se garder de minimiser les choses, de les nier et de les sur estimer. C’est le privilège de Nicolas Sarkozy et de Xavier Darcos que de réussir à tomber dans ces deux pièges.
En affirmant que les armes sont devenues « banales » dans les établissements scolaires, Nicolas Sarkozy exploite de façon démesurée des incidents malheureux mais qui ne sont pas en progression. Car les statistiques officielles de la violence scolaire montrent une stabilité de ses manifestations. L’idée qu’il y aurait une urgence vitale à agir dans la précipitation n’est argumentée par rien de sérieux, au point que le président est obligé d’aller chercher ses exemples à l’étranger.
Pour autant, N Sarkozy, tout comme Xavier Darcos, sous-estime la violence scolaire. Tous deux ne réagissent qu’aux incidents les plus médiatisés et réduisent la violence scolaire à celle qui est exercée sur les adultes. Or chacun sait qu’elle se manifeste principalement, et de loin, par le harcèlement répété qu’exercent les jeunes sur certains de leurs camarades. On savait déjà que les mesures envisagées (portiques de sécurité, fouilles, agents spéciaux) étaient irréalistes et inefficaces (comment bloquer une intrusion dans un flux de 1000 élèves, combien de temps pour passer à la machine 1000 cartables à 8 heures ??). Mais le pire c’est qu’elles n’apportent aucun soulagement aux vraies victimes du harcèlement scolaire.
Que reste-il alors de cette déclaration présidentielle ? Certainement rien de concret. Rien dans ce programme ne peut aboutir à des applications effectives. Le Snpden ne s’y trompe pas quand il relève qu’aucun budget ne l’accompagne. Rien si ce n’est la démonstration que pour la droite l’Ecole est devenu un objet électoral. Certes le rapport Apparu montre qu’il reste à droite des contributeurs de qualité aux débats sur l’Ecole. Ailleurs la droite libérale a su protéger l’Ecole des tendances les plus conservatrices au nom de l’efficacité. Mais l’exemple présidentiel peut nous faire craindre une utilisation politique « à la genevoise » des thèmes scolaires. On sait à quel point les campagnes politiques des conservateurs genevois et vaudois ont pesé négativement sur les systèmes éducatifs de ces cantons. On sait aussi ce que cela a signifié plus généralement dans ces cantons pour les enjeux de société en général de voir la droite autoritaire dominer la droite libérale.
Pour ces raisons-là aussi, le discours présidentiel est une mauvaise nouvelle pour l’Ecole. C’est aussi un signal de sa radicalisation.
François Jarraud
Changer de paradigme pour Claude Lelièvre
Dossier : Le harcèlement enfin au grand jour
Les réactions au discours de N Sarkozy
Pour le Snpden, premier syndicat de chefs d’établissement, la « sanctuarisation » « en plus des questions de choix éducatifs qu’elle soulève, nécessiterait la mobilisation de moyens financiers considérables qui peuvent être évalués à plusieurs milliards d’euros par an mais qui n’ont pas été évoqués ». La principale mesure effective, l’habilitation à ouvrir les sacs « n’est guère décisive… Actuellement, la prise en charge d’un élève soupçonné d’avoir une arme ne pose pas de difficulté même sans ce droit ». Le Snpden craint une mise en cause des chefs d’établissement. « Le risque de désigner par avance les responsables d’éventuels incidents dramatiques à venir, les personnels de direction qui n’auront pas fouillé, ou fait fouiller, ou pas assez ou pas comme il fallait, alors même que, comme pour d’autres missions qui leur sont confiées, ils ne disposent pas des ressources humaines nécessaires ». Le Snpden demande des mesures « réalistes ». Il souligne aussi que les violences en milieu scolaire n’ont pas augmenté.
Le SE-UNSA dénonce, à quelques jours d’une échéance électorale, « une opération de communication aussi démagogique que contre-productive… En s’entêtant à supprimer des milliers d’emplois à l’Education Nationale, le gouvernement prive l’Ecole d’autant d’adultes chargés de la surveillance et de la prévention au quotidien ».
Mis en cause par la politique élyséenne, les présidents de région réagissent au discours de Sarkozy en dénonçant des mesures inefficaces. « Plutôt que d’installer des portiques (…), le gouvernement ferait mieux de rétablir les emplois d’aides éducateurs, de surveillants et d’enseignants qu’il supprime année après année », a déclaré Jacques Auxiette, président de la commission éducation de l’association des régions de France. « Le président de la République et son gouvernement, en s’en prenant directement aux jeunes et faisant de leurs parents les seuls responsables de l’insécurité, piétinent les principes et les valeurs de notre République fondés sur les droits de l’homme et de l’enfant. Cette attitude est indigne ».
Seul le nouveau président de la Peep manifeste sa satisfaction. « Qu’on donne des prérogatives juridiques pour permettre d’effectuer des fouilles dans les cartables ça va dans le bon sens. Qu’on puisse fouiller un élève avant qu’il ne commette l’irréparable est une bonne chose ».
Formation des enseignants : des décrets prématurés
« Aucun décret comportant des dispositions permanentes ne doit être proposé tant que la commission de concertation n’a pas rendu publiques ses conclusions, propositions et recommandations ». La Conférence des présidents d’université (CPU) menace de rompre sa participation à la commission de concertation Marois/Filâtre puisque le ministère entame la publication de décrets qui tranchent des points en discussion dans cette commission.
La FCPE, le Snuipp dénoncent des formations sans réels stages professionnels. Plusieurs de ces décrets ont été adoptés le 27 mai en Comité technique paritaire par les seules voix de l’administration. Le Se-unsa explique son boycott du CTPM du 27 mai, avec le Sgen, le Snuipp, le Snes, parce que les nouveaux textes mettent fin en fait aux travaux de la commmission Marois – Filâtre.
Une intersyndicale en soutien aux EVS
Se-Unsa, Sgen, Snuipp, Cgt et Uncves ont unis leurs efforts le 27 mai pour faire connaître le sort et les espoirs des Emplois Vie Scolaire (EVS). Les deux tiers d’entre eux (30 000) voient leur contrat s’arrêter alors qu’ils ont acquis un savoir faire réel. Les syndicats demandent la prolongation des contrats et des emplois stables pour les tâches accomplies par les EVS. On compte 42 500 EVS qui accompagnent les enfants handicapés ou aident les directeurs d’école.
Sur le Café, le désintérêt envers les EVS
Le Snes hostile au rapport Apparu
« Les 30 propositions sur le lycée de la mission des affaires culturelles de l’Assemblée nationale…. Concentrent tout ce que les personnels combattent » annonce un communiqué du Snes. Le syndicat cite en exemple « le transfert de l’orientation… aux régions, la réduction du nombre d’épreuves terminales au baccaluaréat…, une redéfinition du métier d’enseignant ». A la veille de la publication du rapport Apparu, le Snes avait signé avec le Snalc et d’autres organisations un communiqué hostile à la réforme du lycée.
Une circulaire redéfinit le rôle de l’inspection
« Un soin particulier est apporté au suivi des évaluations nationales et à l’analyse des résultats aux examens. En la matière, l’expertise des inspecteurs ne se limite pas à dresser des constats. Les corps d’inspection ont le devoir de conseiller les professeurs, d’impulser et d’encourager les «bonnes pratiques». La liberté pédagogique dont bénéficient, pour organiser leur enseignement, les personnels enseignants de l’enseignement scolaire… ne sera pas le prétexte de pratiques qui font obstacle à l’acquisition des savoirs ». La circulaire publiée au B.O. du 28 mai affiche une vision traditionnelle de l’inspecteur « dont la compétence est fondée sur la maîtrise de (sa) discipline ». Des formulations qui sont faites alors que des enseignants sont pénalisés parce qu’il s n’appliquent pas à la lettre les nouvelles directives ministérielles, alors que les anciens « désobéisseurs » sont décorés par le ministre. La liberté pédagogique est à sens unique…
La circulaire d’application de l’IDV est parue
L’IDV c’est « l’indemnité de départ volontaire » que peut toucher un enseignant qui quitte l’éducation nationale. « Le bénéfice de l’I.D.V. est octroyé aux agents qui souhaitent démissionner de la fonction publique dans les trois cas définis par le décret: à la suite de la restructuration du service où ils sont affectés, pour créer ou reprendre une entreprise ou pour mener à bien un projet personnel ». Ce texte paraît alors que le décret est paru il y a plus d’u an et est appliqué dans les autres ministères. Le Café a souligné ce retard dans Le Café mensuel n°103 et donné des pistes concrètes.
Darcos toujours en difficulté avec les maires
Après avoir annoncé la signature d’une convention cadre avec l’association des maires de France, le ministère signale que « X Darcos propose une convention » à l’AMF. Il est dit que celle-ci traitera du SMA et que « toute action relative à l’école communale doit faire l’objet d’une information préalable des maires ». Une démarche encore éloignée des pratiques étatiques.
Le Dico des métiers
Plus qu’un dictionnaire, le dico des métiers est un guide ludique et pédagogique particulièrement adapté aux adolescents qui n’ont pas encore de projet professionnel précis.
Le jeune lecteur y trouvera d’abord 10 bonnes raisons de s’intéresser à son avenir dès le collège et un petit guide d’orientation pour préparer son projet professionnel, en partant de sa situation personnelle.
Ensuite, celui qui a déjà cerné ses centres d’intérêts sans pour autant avoir d’idée précise de métier, pourra commencer par lire la partie « les métiers selon vos goûts ». Y ont été recensés une centaine de profils, regroupés autour de 27 grands centres d’intérêt : « je veux protéger la planète », « j’aime les sensations fortes », « je suis accro au multimédia »… Avec pour chacun une liste de métiers à consulter. Le jeune pourra répondre à un quiz qui l’invite à s’interroger sur ses goûts, ses qualités, trouver des mots-clés en lien avec le sujet.
Celui qui sait quel métier il veut faire ira directement à la partie « les métiers de A à Z ». Y sont décrits par ordre alphabétique d’intitulé officiel près de 600 métiers. Pour chacun d’eux, le jeune trouvera des informations concernant : les activités, les conditions de travail et lieux d’exercice, les techniques utilisées, les qualités requises, les compétences attendues, les perspectives d’avenir, ainsi que le niveau de formation demandé. Sont ainsi indiqués le nombre d’années d’études à prévoir après la 3ème et/ou après le bac, et, selon le cas, le nom des diplômes qui font l’objet d’une orientation rapide : CAP, BEP, BTS, DUT…
Bac : Comment se préparer ?
Trous de mémoire, difficulté de concentration, élocution défaillante… Combien de candidats au bac perdent chaque année la moitié ou plus de leurs capacités parce qu’ils n’arrivent pas à gérer l’émotion liée à l’examen ? Comment peuvent-ils s’y préparer ? Comment les enseignants peuvent-ils les aider ? Nous avons demandé à trois spécialistes, Patrice Huerre, un pédopsychiatre, André Giordan, un pédagogue, Jacques Nimier, un psycho pédagogue, d’aider parents, candidats et enseignants à faire face à l’examen.
Le Guide 2009 du bac et du brevet
Wisconsin récompensé
C’est « Wisconsin », le roman de Mary Relindes Blis (ed. Buchet Chastel) qui a été retenu par les élèves provencaux dans le cadre du Prix du livre PACA. Le prix est soutenu par le Conseil Régional Provence-Alpes-Côte d’Azur, les deux rectorats que compte la Région (Aix-Marseille et Nice).
La classe
Le 49ème Congrès de l’ICEM
UNE école pour quelle société : Pédagogie Freinet, Droits de l’enfant et Méthode naturelle » tel est le thème du 49ème Congrès International de l’ICEM – Pédagogie Freinet qui se déroulera du 21 au 24 août 2009 à Strasbourg (67). Avec l’Icem, on se trouve toujours dans la réalité de la classe et le congrès sera un fort moment d’échange.
La coopération dans la classe
La coordination française pour la décennie lance un cycle d’éducation à la non-violence. La prochaine journée concerne « la coopération dans la classe » et aura lieu le 10 juin à Paris.
Ecrire aujourd’hui
Du 6 au 8 juillet, le GFEN invite à réfléchir et échanger sur l’écriture. « Qu’est ce qu’écrire aujourd’hui ? Comment écrire ? (… seul, en atelier, processus, publications…). Formation de la pensée et rapport à l’écriture. L’atelier d’écriture pour se mettre à écrire ? ». Le stage a lieu du 6 au 8 juillet à Toulouse.
La recherche
Ce que l’Ecole fait aux garçons et aux filles…
Qui réussit le mieux à l’Ecole des garçons et des filles ? Dans quels domaines précisément ? L’école unisexe est-elle plus rentable que l’école mixte ? Pour toutes ces questions le dépouillement de l’étude internationale PISA 2006 apporte des éclairages nouveaux.
On sait depuis plusieurs années que le cerveau des garçons et des filles ne sont pas identiques, la zone du langage par exemple étant plus sollicitée chez les filles. PISA montre d’abord que les filles sont meilleures que les garçons. 12% des filles atteignent la catégorie des meilleurs élèves contre 7% des garçons. Cet écart se creuse dans la plupart de cas par la baisse du niveau général des garçons.
Pisa 2000 a montré que les filles réussissent mieux en lecture. Elles marquent d’ailleurs plus d’intérêt pour elle : 46 des garçons ne lisent que s’ils y sont contraints contre 26% des filles. PISA 2003 a montré que les garçons sont meilleurs en science.
Ces constats doivent obliger l’école à réagir. Comment pourrait-on éveiller l’intérêt des garçons pour la lecture ? La solution ne passe pas uniquement par l’Ecole , la lecture étant une pratique sociale. Par contre l’anxiété des maths que vivent les filles renvoie directement à la façon de les expliquer.
L’école unisexe réussit-elle mieux aux filles ? On sait que certains pays ont rouvert des établissements non mixtes, croyant ainsi protéger les filles. L’étude PISA démolit ce programme en montrant que les filles n’obtiennent pas de meilleurs résultats dans les établissements non mixtes.
Citoyenneté
Peut-on enseigner l’Europe ?
Peut-on enseigner l’Europe ? Nicole Allieu-Mary, coordinatrice à l’INRP d’une recherche portant sur l’enseignement de « L’Europe », a posé la question à l’occasion d’une journée organisée par Curiosphère et La Documentation française. Elle explicite ici ses interrogations : peut-on enseigner ce qui fait débat dans la société civile ? Comment les enseignants d’Histoire-géographie s’emparent-ils de cette demande institutionnelle et comment leurs conceptions (du métier mais aussi de l’Europe) ont-elles une incidence sur les savoirs qu’ils privilégient et sur la nature même de l’histoire et de la géographie qu’ils mettent en scène dans la classe ? A quelques jours d’élections qui ne passionnent pas le grand public, N Allieu-Mary apporte des éclairages intéressants.
Les disciplines
Le bac de français sur mon Ipod ou mon IPhone
Annabac, la célèbre collection de révision du bac est maintenant adaptée à l’IPhone et à l’IPod. Le candidat retrouvera l’intégralité du programme de français à travers 57 sujets et corrigés. L’application permet de préparer les épreuves écrites et orales.
Littérature française
Alors que le bac de français approche, voici un ouvrage qui balaye de façon très claire et accessible 11 siècle d’histoire littéraire. Suivant un plan chronologique, le lecteur a accès à des synthèses claires et à des développements sur des sujets précis. Par exemple la synthèse sur le roman classique est accompagnée d’une étude plus précise de Mme de Lafayette et de la Princesse de Clèves.
C de Ligny, M Rousselot, la littérature française, Nathan, 2009, 160 p.
Defitec 2009
Le 5 mai, Defitec a réuni une centaine d’élèves de 6ème et de CM2 autour de réalisations en technologie. Les objectifs principaux de cette rencontre étaient de réaliser un projet collectif à travers les nouveaux programmes de technologie et de se rapprocher d’une pratique d’entreprise en utilisant différents moyens de communication.
le Cafe
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