LE FAIT DU JOUR
Lycée : Le rapport Apparu, une opportunité à saisir ?
ÉDITORIAL
La violence scolaire mérite mieux que des réponses démagogiques
LE SYSTEME
Formation des enseignants : Des décrets inquiétants selon JL Auduc l Les acteurs de l’Ecole décernent les « palmes » du « festival de l’éducation » l PEEP : Un congrès très politique l Deux enfants arrêtés par la police à la sortie de l’école l La CGT appelle à boycotter les évaluations de CE1 l Le Snep fait la ronde le 26 mai.
L’ÉLÈVE
Les parents connaîtront les débouchés de la filière choisie par leur enfant dès 2009-2010 l Orientation : un chat avec Julie Coudry l L’OCDE appelle le gouvernement à soutenir l’emploi des jeunes l L’anglais et les bébés.
LA CLASSE
Les émissions tous niveaux de Radio Clype.
LES DISCIPLINES
Le programme de maths modifié après consultation l Docs : Repenser l’espace CDI l S.E.S. : Les Assises de l’Apses appellent à associer les enseignants aux groupes d’experts.
Le fait du jour
Lycée : Le rapport Apparu, une opportunité à saisir ?
Présenté le 27 mai, le rapport Apparu devrait proposer une refonte profonde du lycée, assez proche du projet de Gaudemar écarté fin 2008.
A une semaine de sa publication, les indiscrétions se sont multipliées ces derniers jours sur le rapport Apparu. Réalisé par une commission de l’Assemblée nationale, le rapport, qui porte le nom du député UMP Benoist Apparu, propose une refonte complète du lycée et du système éducatif. Ce dernier serait divisé en trois périodes : le socle commun englobant le primaire et le collège, les masters, et entre les deux un cycle associant lycée et enseignement supérieur jusqu’à la licence. Le lycée serait donc vu exclusivement comme une préparation à l’université.
B. Apparu propose de lutter contre les redoublements à l’aide de stages d’été évalués par un conseil de classe de rentrée qui permettrait d’admettre en classe supérieure ou dans une nouvelle filière.
Il envisage d’intégrer à l’horaire des enseignants et des élèves des temps de méthodologie et de travail personnel accompagné par des enseignants.
La seconde deviendrait une classe de détermination indifférenciée où les élèves auraient, à côté d’enseignements obligatoires (français, histoire-géo, langues, eps, sciences expérimentales) 4 modules semestriels dont deux obligatoires (SES et un enseignement technologique). La spécialisation commencerait en première où les élèves choisiraient entre enseignement général et technologique. Mais la spécialisation ne deviendrait vraiment définitive qu’en terminale.
Ce projet aurait finalement divisé la commission. B. Apparu et les députés UMP n’ont pu se mettre d’accord avec les élus socialistes siégeant dans la commission. Ceux-ci reprochent au projet de ne pas prévoir les moyens nécessaires à la réforme. Ils devraient publier le 27 mai un autre projet.
Contacté par le Café, Philippe Meirieu voit dans le projet Apparu « un texte qui décoiffe ». « C’est un texte qui fait des propositions avec lesquelles je ne suis pas toujours d’accord mais qui en fait également qui me semblent très bonnes » nous confie-t-il. « En tous cas ce texte invite au débat. Il n’est pas fermé et il mérite qu’on s’intéresse à ses propositions. Il donne la possibilité de faire avancer la réflexion sur la réforme du lycée en associant les associations de parents et les enseignants. C’est un texte intéressant ».
Ce projet, qui est assez proche du texte initial de Gaudemar, pourrait influencer R Descoings dont on attend aussi dans les semaines à venir les propositions.
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La violence scolaire mérite mieux que des réponses démagogiques
Lors du congrès de la PEEP,le 21 mai, Xavier Darcos a annoncé de nouvelles mesures pour lutter contre la violence scolaire. Sont-elles efficaces ?
Les annonces de Xavier Darcos. « Je veux que nous fassions en sorte de dissuader les candidats à la violence en donnant aux personnels des établissements les moyens juridiques et matériels d’agir. Les personnels doivent avoir le droit de faire ouvrir le cartable ou de fouiller l’élève qu’ils suspectent de vouloir introduire des armes. Et puis, puisqu’il faut des moyens, mais des moyens bien utilisés, je veux mettre en débat la possibilité de créer, auprès des recteurs, d’une force mobile d’agents qui pourront intervenir dans les établissements sur des missions de prévention et de contrôle. Mais dissuader les candidats à la violence, c’est aussi responsabiliser leurs parents et les impliquer plus étroitement dans la prévention des comportements à risque. Certains parents le font avec beaucoup de courage, y compris auprès d’adolescents très difficiles. D’autres ont totalement démissionné. Je crois qu’il faut rappeler ces derniers à leur devoir de parent en leur infligeant, si nécessaire, des sanctions financières concrètes, rapides et proportionnées à la faute ».
Des réponses inadaptées. Aucune de ces trois mesures ne semble adaptée à la situation. S’agissant de la « responsabilisation » des parents, on sait qu’en Angleterre les parents sont par exemple passibles d’amende et de prison en cas d’absentéisme de leur enfant. Malgré la multiplication de ces peines, le taux d’absentéisme ne cesse de progresser . Encore faudrait-il que le lien soit établi entre violence scolaire et démission parentale. L’installation de portiques pour filtrer les élèves semble davantage être là pour faire porter la responsabilité des incidents par les collectivités locales que pour apporter une réponse sérieuse. Il est impossible de faire passer des centaines d’élèves rapidement sous un détecteur à moins de vouloir supprimer quelques cours… L’exemple du lycée de Gagny où a eu lieu une intrusion montre qu’un établissement peut être correctement sécurisé (sas, cameras vidéo) sans pouvoir empêcher des intrusions au moment où des centaines d’élèves entrent. Quant à l’idée d’une force de police spécialisée, elle n’empêcherait évidemment pas les violences graves dont on connaît le caractère spontané. Est-il utile de préciser qu’inviter les enseignants ou chefs d’établissement à se comporter en shérifs semble davantage à même d’encourager la compétition violente à leurs dépens qu’à calmer le jeu ?
Une méconnaissance de ce qu’est la violence scolaire. Tout au souci d’apporter une réponse médiatique à un fait divers médiatique, le ministre tourne le dos à ce qu’est réellement la violence scolaire. Si chaque cas de violence grave est choquant et inadmissible, ces cas sont néanmoins rarissimes. La violence scolaire quotidienne c’est le harcèlement qu’exercent certains élèves sur d’autres élèves. Celui-ci est un facteur important de décrochage scolaire et de perte de niveau. Il décourage les élèves qui en sont victimes.
Un quatrième plan pour rien ? C’est déjà le quatrième plan anti-violence scolaire lancé par Xavier Darcos. En janvier 2008, il disait : « Je ne saurais accepter la multiplication des entorses à la tranquillité nécessaire à l’apprentissage. Je ne saurais accepter la banalisation des faits de violence ». En 2002, ministre délégué de Luc Ferry, il avait lancé un autre plan contre la violence scolaire. « L’objectif est de faire baisser la violence de moitié en cinq ans » promettait-il. Sept ans plus tard, la situation ne semble pas avoir beaucoup progressé… Elle marque juste l’incompétence des plans précédents.
Pourtant des solutions existent. Eric Debarbieux, qui mène en ce moment avec la mairie de Paris une expérience originale, estime qu’il y a des facteurs propres aux établissements dans leur organisation matérielle. La baisse du nombre de surveillants, des recoins mal contrôlés sont par exemple des facteurs de violence. Il y a surtout des causes à chercher au cœur même du fonctionnement de nos établissements. C’est la solitude des enseignants et l’anonymat des élèves qui favorisent le harcèlement – qui reste de très loin la plus importante violence scolaire. C’est la qualité des relations avec l’environnement de l’établissement qui est aussi en jeu. Enfin la violence scolaire explose à la rencontre entre l’état de notre école et celle de notre société. Envisagerait-on un mur autour des quartiers sensibles ?
L’émotion ne règle pas le problème
Formation des enseignants : Des décrets inquiétants selon JL Auduc
Les projets de décrets modifiant les conditions de recrutement des enseignants ( Professeurs des écoles, agrégés, certifiés, PLP, Professeurs d’éducation physique et sportive, CPE) vont être examinés dans les prochaines semaines. Or, selon Jean-Louis Auduc, ils inversent la priorité entre concours et préparation. Jusqu’en 2009, les deux moments décisifs du processus de recrutement étaient le concours et l’année de stage réservée à la formation professionnelle. Avec les actuels projets de décret, c’est la préparation au concours qui devient l’enjeu central du processus de recrutement. Cela fait courur un risque sur la qualité de la préparation des candidats.
Les acteurs de l’Ecole décernent les « palmes » du « festival de l’éducation »
Parodie du Festival de Cannes, le « Festival de l’éducation, organisé par 24 organisations, s’est achevé le 19 mai par une cérémonie de remise des palmes qui clouait au pilori les mesures gouvernementales.
Ainsi les 24 (AFL – Cé – CEMEA – CRAP-Cahiers pédagogiques – EEDF – FAEN – FCPE – FEP-CFDT – FERC-CGT – FGPEP – FIDL – FOEVEN – Les FRANCAS – FSU – GFEN – ICEM-pédagogie Freinet – JPA – La Ligue de l’Enseignement – Fédération Léo Lagrange – OCCE – SGEN-CFDT – SUD Education – UNEF – UNL – UNSA Education) ont remis le « Prix spécial naphtaline » aux nouveaux programmes du primaire en fonction de leur esprit rétrograde. La « Palme des effets spéciaux » est allée, dans le même esprit, au remplacement virtuel et celle du « meilleur espoir » à l’école maternelle…
PEEP : Un congrès très politique
La Peep , deuxième fédération des parents d’élèves de l’enseignement public, tient son 90e congrès à La Rochelle du 20 au 23 mai. 600 congressistes sont réunis pour élire leurs instances nationales, choisir une nouvelle présidence et échanger lors d’ateliers autour du thème de « mieux vivre dans l’école de demain : son handicap, ses difficultés, ses particularités ». Le programme, au premier abord consensuel, est devenu au cours de la matinée d’ouverture un véritable opus politique.
Le congrès sur le site de la Peep
Deux enfants arrêtés par la police à la sortie de l’école
Soupçonnés d’avoir volé un vélo, deux enfants de 6 et 10 ans ont été arrêtés à la sortie de l’école, puis embarqués au poste de police de Floirac (33) pour y être interrogés. Dans un communiqué, le Snuipp a condamné cette mesure « choquante et démesurée ». « L’école doit rester un lieu d’éducation et de prévention qui a besoin de confiance et de sérénité » a rappelé le syndicat.
La CGT appelle à boycotter les évaluations de CE1
Dénonçant des évaluations basées sur des programmes rejetés et estimant que les « conditions de passation et de remontées des résultats des évaluations de CM2 ont montré des inégalités territoriales et beaucoup de bricolage », le CGT appelle au boycott des évaluations de CE1 qui commencent le 25 mai. Il demande aux enseignants de faire grève au moment du passage des tests.
Le 15 mai, le Se-Unsa a pris parti contre le boycott. « En janvier, les consignes intersyndicales (SE-UNSA, SGEN-CFDT, SNUIPP-FSU) de tri sélectif des exercices et donc par conséquent de non utilisation du logiciel de l’administration étaient justifiées par la date de passation des épreuves (janvier 2009 au lieu de la fin d’année) ; les craintes liées à la diffusion d’un palmarès des écoles… Le bilan CE1 est bien en fin d’année scolaire et suite à l’action menée en janvier, le ministre s’est engagé publiquement à ne pas diffuser les résultats école par école ».
Le Snep fait la ronde le 26 mai
Pour protester contre le projet de budget de l’UNSS qui prévoit la suppression de 183 emplois et l’augmentation des cotisations des familles, le SNEP FSU appelle les professeurs d’EPS à participer à une « ronde des obstinés » devant les locaux du Comité olympique français.
Les parents connaîtront les débouchés de la filière choisie par leur enfant dès 2009-2010
« Je ne veux plus de cette trahison qui consiste à laisser délibérément un jeune s’égarer dans une formation pour découvrir, quelques années plus tard, qu’elle ne lui ouvre aucune des portes du marché de l’emploi ». Lors du congrès de la Peep, Xavier Darcos a annoncé que dès l’année prochaine les parents seraient informés « des taux d’insertion professionnelle des filières dans lesquelles leur enfant a décidé de s’orienter, de celles qui embauchent et de celles qui n’embauchent pas ». Une décision qui peut sembler sage si ce n’est qu’elle ramène à une conception de l’orientation vue uniquement sous l’angle de l’adaptabilité à l’emploi et de l’élève vu seulement comme une force de travail. On ignore d’ailleurs comment pourrait être calculée aujourd’hui l’insertion professionnelle quand on opte pour une première S et demain quand le jeune choisira une première indifférenciée… Le ministre a aussi annoncé la création d’un « passeport » orientation permettant de construire une démarche d’orientation.
Orientation : un chat avec Julie Coudry
Responsable de l’agence La Manu qui met en relation étudiants et entreprises, Julie Coudry est l’invitée de l’Onisep le 27 mai. Quels conseils pour accéder à l’emploi en temps de crise ? Comment valoriser son parcours auprès des entreprises quand on a une formation généraliste ? Comment aller vers les entreprises quand on vient de l’université ? Julie Coudry répondra en direct à toutes vos questions mercredi 27 mai de 15h à 16h. Il est d’ores et déjà possible de poser vos questions à Julie Coudry.
L’OCDE appelle le gouvernement à soutenir l’emploi des jeunes
« La France devrait faire plus pour faciliter la transition des jeunes non qualifiés vers l’emploi. En priorité, le gouvernement devrait aider les jeunes les plus éloignés de l’emploi et renforcer la protection sociale des jeunes les plus démunis, selon un nouveau rapport de l’OCDE ». L’OCDE a publié le 20 mai un rapport sur l’emploi des jeunes en France qui souligne leurs difficultés d’accèsà l’emploi particulièrement pour les peu diplômés.
L’organisation demande au gouvernement de « veiller à ce que chaque jeune quitte le système d’enseignement en possession de compétences requises sur le marché du travail. En 2007, 18 % des jeunes de 20 à 24 ans (environ 130 000 jeunes) n’ avaient pas de diplôme du second cycle du secondaire qui est considéré comme le bagage scolaire minimum pour intégrer aujourd’hui le marché du travail ; de restreindre les aides publiques à l’apprentissage aux jeunes non qualifiés et de faire bénéficier davantage les petites entreprises des fonds pour la formation professionnelle pour qu’elles forment plus de jeunes peu qualifiés ».
L’anglais et les bébés
Une heure d’anglais hebdomadaire suffit-elle à faire parler les bébés ? L’AFP signale l’ouverture à Bordeaux d’une école privée pour initier les bébés à l’anglais. Elle s’appuierait sur des travaux en neurosciences qui montrent que plus on apprend jeune une deuxième langue, meilleur sera le niveau atteint. C’est particulièrement vrai pour les bébés bilingues qui, très tôt sont capables d’apprendre deux langues.
Le problème c’est que si le cerveau s’initie très tôt à la reconnaissance des phonèmes, les études effectuées portent sur des enfants en immersion familiale dans un nouveau pays et donc soumis en permanence aux deux langues jusqu’à au moins la puberté. L’efficacité de quelques heures par semaine de deuxième langue, comme c’est le cas dans le système scolaire, n’a pas été étudiée et les cognitivistes n’ont pas de réponse à cette question. C’est ce que soulignait Annie Christophe lors d’un colloque organisé par le groupe Compas en 2008.
La classe
Les émissions tous niveaux de Radio Clype
Ecoliers, collégiens et lycéens sont invités sur Radio Clype, la radio scolaire de Paris. Les élèves de l’école de l’Ourcq évoque les éléphants du Maos avec un reporter. Les lycéens de Monet parlent de la crise économique. Les collégiens de Delacroix partagent leurs chroniques littéraires.
Les disciplines
Le programme de maths modifié après consultation
Une nouvelle version « après consultation » du programme de maths de seconde vient d’être publiée. « Contrairement à ce qui a pu être écrit, cette consultation est une véritable consultation. La DGESCO et moi nous sommes engagés à ce que les demandes majoritaires des professeurs soient prises en compte, dans la limite d’une continuité nécessaire avec les programmes de collège » . Jacques Moisan, doyen des inspecteurs généraux de maths, l’avait pris lors d’un entretien accordé au Café le 11 mai. Il a tenu parole puisque la Dgesco publie de nouveaux programmes de seconde modifiés après consultation des enseignants.
« Les synthèses académiques ont fait apparaître des demandes des équipes pédagogiques concernant : le maintien du calcul vectoriel ; la place plus importante à accorder à la géométrie (configurations du plan, géométrie dans l’espace) afin, notamment, de réinvestir ce qui a été entrepris au collège ; la présence d’exemples de mise en œuvre de l’algorithmique dans chacune des trois parties du programme » remarque la Dgesco. Le nouveau programme sera présenté à la commission spécialisée des lycées où il sera discuté, puis à la séance du Conseil supérieur de l’Éducation du 11 juin 2009.
Le nouveau projet de programme
Docs : Repenser l’espace CDI
Alors que le moment des nouveaux projets se profile, Savoirs CDI publie deux exemples de reconstruction de CDI.
S.E.S. : Les Assises de l’Apses appellent à associer les enseignants aux groupes d’experts
Discipline sous pression depuis plus d’un an, les SES ont vu alterner douche chaude et douche froide. A l’appel de l’APSES, les enseignants de SES tenaient le 16 mai des Assises en compagnie du doyen de l’inspection de SES et de chercheurs. Les Assises demandent que les SES deviennent un enseignement obligatoire dans toutes les secondes, une suggestion retenue par le rapport Apparu. Elles demandent aussi que le prochain groupe d’experts « soit constitué à parité de membres de la communauté scientifique en économie, sociologie, science politique et de professeurs de SES enseignant dans le secondaire. Ce groupe devra comporter au moins un chercheur en sciences de l’éducation ».
SES une discipline sous pression
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