LE FAIT DU JOUR
Mutations : Les syndicats lancent une pétition
ÉDITORIAL
Décrochage scolaire : une politique précipitée au goût de « déjà-vu » ?
LE SYSTEME
SMA : Darcos dialogue avec les maires l Réforme du lycée : Le Se-Unsa rencontre R. Descoings l Le ministère ouvre la plateforme de formation Pairform@nce l Formation des enseignants : Coordination décisive le 7 mars l Formation : Une loi dès avril l La FSU appelle à manifester le 11 mars.
L’ÉLÈVE
Les parents rouvrent la question du rythme scolaire l Le concours pour participer au J 8 est lancé ! l Demain le monde.
LA CLASSE
Jardinons à l’école.
LA RECHERCHE
Les enseignants et les instructions officielles l Le lycée de demain.
LES DISCIPLINES
S.E.S. : Les gouvernements doivent réformer malgré la crise l Français : Censure et liberté l SVT : Darwin, comment l’enseigner ?
Le fait du jour
Mutations : Les syndicats lancent une pétition
« Les organisations syndicales unanimes appellent tous les personnels à ne pas s’en laisser conter. Sous couvert d’information, le ministère mène une offensive de grande envergure contre les droits des personnels et le paritarisme qui les garantit ». Nous l’annoncions le 2 mars. Les fédérations syndicales (CGT Educ’action, SGEN-CFDT, SE-UNSA, SNALC-CSEN, SNCL-FAEN, SNETAA-EIL, SN FO LC, SUD Education, SNEP-FSU, SNES-FSU, SNUEP-FSU) ont réagi le 3 mars à la diffusion directe par le ministère des décisions de mutation avant la réunion des commissions paritaires.
Les syndicats dénoncent une rupture du paritarisme. « Ce qui est en cause aujourd’hui est l’existence de règles transparentes, connues de tous, applicables à tous et la capacité pour les élus du personnel de s’assurer de leur respect. Le ministre tente d’y substituer une gestion opaque, « à la tête du client », qui ne peut que conduire à de graves injustices ».
Mais ce que reprochent les syndicats est bien plus grave que quelques erreurs. A leurs yeux, le nouveau dispositif participe d’une révolution libérale. Il vise à court-circuiter les syndicats et à les marginaliser alors même que leur rôle était essentiel dans les mutations. Les syndicats signalent d’ailleurs dès maintenant la sous information des élus du personnel. Mardi 3 mars, il n’était pas possible de recueillir le point de vue du ministère sur ce sujet.
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Décrochage scolaire : une politique précipitée au goût de « déjà-vu » ?
Une récente circulaire du ministre de l’Education Nationale, cosignée de Fadela Amara, tente de relancer, dans le cadre du Plan « Espoir banlieues », une politique de lutte contre le décrochage scolaire.
Transcrivant les décisions du comité interministériel des villes de juin 2008, et faisant aussi écho au travaux du Comité Interministériel de Prévention de la délinquance , cette circulaire semble traduire un consensus institutionnel sur la priorité à donner à la prise en charge des jeunes « décrochés », en rupture de formation à la fin de la scolarité obligatoire, prioritairement issus des quartiers populaires (dont précisément les 215 quartiers labellisés « Espoir banlieues ») dans une logique de qualification et d’accès à l’emploi.
Pour autant, par delà l’approche de « bon sens », cette politique appelle des réserves, voire des alertes, tant sur le fond que sur la forme.
Sur la forme d’abord, elle prétend s’appuyer sur un vaste diagnostic partagé par l’ensemble des acteurs institutionnels et associatifs locaux, tant sur les publics ciblés que sur les nombreux dispositifs existants. Comment envisager pour autant qu’un diagnostic lancé pendant les vacances de Noël avec obligation de retour pour le 30 janvier puisse réellement donner une place à la nécessaire concertation lié au caractère partenarial de la question ?
Comment comprendre que des financements prioritaires seront essentiellement attribués à des dispositifs « innovants », comme s’il fallait constamment réinventer ce qui existe sans regard pour les évaluations positives pourtant disponibles ?
N’est-il pas légitime pour nombre d’acteurs locaux de se demander si la réorientation des priorités institutionnelles sur 215 quartiers (contre environ 2200 quartiers relevant de la politique de la ville) ne va pas se traduire, dans un contexte de forte rigueur budgétaire, par un transfert et un recentrement des moyens sur quelques territoires et quelques dispositifs jugés « innovants » au détriment de nombreux autres ? Cela risque hélas de se traduire par une précarisation ou une démobilisation de nombreux partenariats locaux, toujours longs à formaliser et stabiliser.
Sur le fond par ailleurs, la « priorisation » des publics dans la circulaire amène à s’interroger sur les interprétations implicites de la question du « décrochage ».
Il est en effet question de retenir les « décrocheurs au sens strict », soit les seules ruptures visibles, identifiées dans les politiques publiques depuis plus de 20 ans (absentéisme, déscolarisation, exclusion) : celles-ci postulent toujours l’urgence d’une approche curative, postérieure à la rupture, comme priorité à l’action. A l’inverse, la Ligue de l’enseignement, à l’instar de nombreux acteurs locaux, a toujours insisté sur l’importance d’une approche préventive des risques de décrochage, bien avant la fin de la scolarité obligatoire, et surtout une approche globale des problématiques sociales, familiales et scolaires qui supposent des réponses qui ne sauraient se résoudre à l’inscription rapide dans des dispositifs de lien aux entreprises et d’accès à l’emploi des jeunes de 16 ans et plus.
Or la présente circulaire risque d’induire la conviction pour les pilotes locaux de l’Education Nationale que ce qui peut être tenté préventivement dans le fonctionnement habituel de l’institution dès le primaire ou le début du collège est au mieux inefficace, au pire inutile, surtout s’il s’agit d’affecter des moyens limités par la conjoncture budgétaire.
Pourtant il s’agirait plutôt d’explorer en quoi l’organisation de la scolarité peine depuis 20 ans à accueillir de nouvelles populations issues de la massification scolaire, et en quoi l’Ecole ne pourra seule régler les problématiques de discrimination/ségrégation sociale, culturelle, territoriale qui surdéterminent le rapport des milieux populaires à la scolarité.
Plus fondamentalement, il est à craindre que cette politique particulière soit le symptôme d’un renoncement inquiétant : que l’on accepte, au nom du pragmatisme, de considérer que le destin social d’une partie de la population (les milieux populaires les plus fragilisés en l’occurrence), ne puisse être au mieux que l’accès aux emplois de basse qualification, dont on sait qu’ils laissent peu de chance pour une ascension sociale, et obèrent, en l’état actuel des institutions, les perspectives de formation tout au long de la vie, incluant une ambition de citoyenneté, d’ouverture culturelle et d’épanouissement personnel.
N’y a-t-il pas risque que la fameuse « égalité des chances » ne se résume à la distribution de lots de consolation aux plus démunis ?
Arnaud Tiercelin
Responsable du secteur Education
Ligue de l’enseignement
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SMA : Darcos dialogue avec les maires
« Le ministre est conscient de la nécessité de reprendre les textes d’application en fonction des particularités et de la taille des communes ». Selon l’AFP la première réunion du « Comité de suivi de la bonne application de la loi » a été consensuelle. Elle réunissait, outre le ministre et les rapporteurs de la loi, les principales associations de maires : (AMF, AMGVF, FMVM, AMRF, ANEM.
Le communiqué ministériel se borne à déclarer que « le ministre de l’Education nationale a présenté les dispositions prises par les inspecteurs d’académies pour aider les communes à mettre en oeuvre ce nouveau droit pour les familles et notamment améliorer la prévisibilité du nombre d’enfants à accueillir et aider à constituer la liste des personnes susceptibles d’intervenir pour accueillir les enfants les jours de grève ».
La dépêche AFP mentionne que les associations d’élus ont demandé l’arrêt des recours contre les maires qui n’appliquent pas le service minimum d’accueil.
On sait que la mise en application du SMA pose d’importants problèmes aux municipalités. L’AMF, l’AMRF notamment ont jugé le texte inapplicable en l’état. La moitié des communes ne réussiraient pas à le mettre en place. Un récent sondage a également montré le peu d’intérêt des parents pour ce dispositif. Le 28 novembre 2008, Nicolas Sarkozy avait admis la difficulté d’installer le SMA dans les communes rurales.
Le SMA déshabillé par la grève
Le SMA pourrait durer moins d’un an
Réforme du lycée : Le Se-Unsa rencontre R. Descoings
« La réforme devra se traduire, non pas par des économies, mais par une amélioration significative des conditions de vie, d’apprentissage et d’enseignement au lycée ». Le Se-Unsa a rencontré le 3 mars Richard Descoings, en charge de la réforme du lycée. Le Se-Unsa a plaidé pour « la fin des séries cloisonnées » et l’inclusion d’un temps d’accompagnement des élèves dans le service des élèves. Le Se-Unsa fait partie des 20 organisations signatrices de l’appel « De l’ambition pour la réforme des lycées » (ARF; Éducation et Devenir ; Ceméa C É ; CRAP ; EEDF ; FCPE ; FESPI ; FOEVEN ; Francas ; GFEN ; Icem ; JPA ; Ligue de l’enseignement ; OCCE ; PEP ; SE-Unsa ; Sgen-CFDT ; Unef ;UNL).
L’Appel De l’ambition pour la réforme des lycées
Le ministère ouvre la plateforme de formation Pairform@nce
Mercredi 4 mars, le ministère et Intel Teach Advanced on line inaugurent la plate forme de formation en ligne Pairform@ance. Basée sur Moodle et enrichie de nouvelles fonctionnalités par Intel, la plate-forme propose dès maintenant 70 parcours de formation. Ce nombre devrait être doublé dès la rentrée, moment où elle sera proposée dans 27 académies. La plateforme permet d’adapter la formation aux horaires de chaque enseignant. Elle favorise le travail avec les pairs.
Formation des enseignants : Coordination décisive le 7 mars
La coordination nationale « Formation des enseignants », qui rassemble des représentants des personnels impliqués dans la formation des enseignants dans les départements universitaires et dans les IUFM, se réunira samedi 7 mars, matin et après-midi, à partir de 9 h 30 à Paris, dans les locaux de la Sorbonne.
Cette réunion aura donc lieu le lendemain de la coordination nationale interuniversitaire du vendredi 6 mars et de la réunion de la CPU le 5 mars. « En s’inscrivant sans équivoque dans les luttes présentes des universitaires et des personnels de l’éducation nationale, elle étudiera les moyens à mettre en œuvre pour obtenir le maintien des concours dans leur forme actuelle jusqu’en 2010, étape vers le retrait de la réforme gouvernementale. Elle cherchera également à définir les principes qui peuvent fonder des alternatives possibles au projet gouvernemental » annoncent ses organisateurs.
Formation : Une loi dès avril
Nicolas Sarkozy a annoncé mardi 3 mars le dépôt d’un projet de loi sur la réforme de la formation professionnelle à la mi avril. Il prévoit de privilégier la formation des chômeurs partiels et des salariés des PME. La réforme devrait reprendre une grande partie de l’accord signé début janvier par les partenaires sociaux. L’annonce a suscité une vive réaction de Jean-Jack Queyranne, président de Rhône-Alpes, qui a dénoncé le risque de « re-étatisation » de la formation professionnelle et le traitement des régions en « tiroir-caisse ».
La FSU appelle à manifester le 11 mars
La convergence supérieur – scolaire va-t-elle se faire ? Alors que le mouvement universitaire s’essouffle, la FSU « en convergence avec l’intersyndicale Supérieur/Recherche », appelle l’ensemble des personnels de l’enseignement (premier et second degrés, supérieur) et de la recherche à faire du 11 mars une journée de manifestations.
Le syndicat manifestera contre les suppressions de postes, pour un report en 2011 des nouveaux concours de recrutement, une amélioration de la formation professionnelle et disciplinaire des enseignants traduite par l’obtention d’un master ». Cette journée précédera d’une semaine la grande journée d’action interprofessionnelle du 19 mars.
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Les parents rouvrent la question du rythme scolaire
« Six mois après la suppression de l’école pour tous le samedi, la question s’impose. Des villes s’en saisissent pour organiser, enfin, un débat public sur le sujet. La FCPE, première fédération de parents d’élèves, a lancé une campagne nationale pour l’étalement des cours sur quatre jours et demi dont le mercredi. Selon les chercheurs en chronobiologie, le système des quatre jours ne respecte pas le rythme des enfants, notamment les plus fragiles ». Le Journal du Dimanche rend compte de la campagne de la Fcpe contre la semaine de 4 jours.
A noter que cette question est abordée aussi le 5 mars par Défense des enfants international à Saint-Denis : Hubert Montagner évoque les rythmes et la sécurité affective de l’enfant.
S’inscrire à la conférence du 5 mars
Les rythmes scolaires sont-ils adaptés aux enfants ?
Le concours pour participer au J 8 est lancé !
« Dites à Nicolas Sarkozy, Barack Obama, Dimitri Medvedev, Angela Merkel et 4 autres chefs d’Etat parmi les plus puissants du monde ce que vous feriez pour lutter contre les urgences qui menacent notre planète ! » Pour la 4ème fois, l’Unicef organise un concours destiné aux 15-17 ans pour participer au Junior 8. Le J8 permet aux jeunes à la fois d’échanger avec des camarades d’autres pays sur les grands problèmes du monde et de rencontrer et discuter avec les leaders du G8.
Demain le monde
Ouvert aux jeunes du CM1 à l’université, le concours « Demain le monde… la santé pour toutes et tous » participe à la campagne nationale d’éducation au développement et à la solidarité internationale. Coordonné par Solidarité laïque, le concours invite les jeunes à réaliser une bande dessinée sur le thème de la santé. Il s’adresse particulièrement aux jeunes fréquentant les centres de vacances.
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La classe
Jardinons à l’école
La onzième édition de « La semaine du jardinage pour les écoles » se déroulera du 9 au 15 mars 2009 et sera placée sous le signe de la biodiversité au jardin.
A cette occasion, plus de 320 jardineries de toute la France accueilleront des classes maternelles et élémentaires pour suivre des ateliers pédagogiques de découverte des plantes et d’initiation au jardinage. Ils sensibiliseront les enfants au respect de la nature et aux pratiques au jardin favorables à l’environnement .
Pour cette nouvelle édition, les professionnels proposeront aux enseignants deux nouveaux ateliers sur « la réalisation d’une jardinière pour les papillons » et sur « la diversité des plantes potagères à travers les graines » ainsi qu’un parcours de découverte de « la diversité végétale au jardin ». Un site internet propose les adresses des jardineries partenaires. Un kit pédagogique est remis à l’issue des animations.
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La recherche
Les enseignants et les instructions officielles
Comment les instructions officielles influencent-elles le travail des enseignants ? Jusqu’à quel point sont-elles assimilées et acceptées par les enseignants ? Quels intermédiaires sont les plus pertinents pour les transmettre ? Comment expliquer une transmission aussi difficile ? Voilà quelques unes des questions abordées dans cet excellent numéro de Spirale (N)43) à travers des cas concrets et des observations de terrain.
Ainsi Ainsi Geneviève Cogérino analyse, à propos des pratiques d’évaluation certificative en EPS au baccalauréat, les « arrangements évaluatifs » qui affectent aussi bien la lettre que l’esprit des prescriptions officielles, pourtant fort explicites. Elle montre que les enseignants intègrent dans leurs pratiques ce qui, des I.O., est conforme à leurs conceptions, valeurs ou représentations et qu’ils ignorent ou détournent ce qui s’en écarte. Joël Bisault, Catherine Boyer et Pierre Degret mettent en évidence une grande variété d’interprétation à propos de ce qu’ils appellent « les moments de sciences » à l’école primaire. Françoise Lantheaume, Françoise Bessette-Holland et Sabine Coste étudient, à partir de l’exemple des PPCP, ces variétés locales. « Le changement dans les pratiques des enseignants est décrit comme un lent processus d’hybridation des orientations nationales, qui interroge les jugements souvent portés de manière stéréotypée sur la soi-disant « résistance au changement » des enseignants » notent I Delcambre-Derville et G Legrand qui coordonnent ce numéro.
Spirale, n°43, Presses universitaires de Lille , 2009, 248 pages.
Le lycée de demain
Alors que le ministre annonce une large consultation sur la réforme du lycée, Education & Devenir organise du 13 au 15 mars,à Marseille,un colloque sur « le lycée de demain ». On notera les interventions de P Meirieu, A Prost, C Pair, RF Gauthier etc. Sept ateliers aborderont les différents thèmes de la réforme ; les filières, l’autonomie del’élève, la seconde, les enseignants…
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Les disciplines
S.E.S. : Les gouvernements doivent réformer malgré la crise
« La débâcle dans le secteur financier ne remet pas en question les effets bénéfiques des réformes recommandées des marchés de produits et du marché du travail ». Le Chef économiste de l’OCDE, Klaus Schmidt-Hebbel, prend la plume pour inciter les chefs d’Etat à maintenir le cap des réformes. Un rapport de l’OCDE adresse à ce sujet une mise en garde : lorsque les responsables politiques doivent agir dans l’urgence, ils risquent d’opter pour des politiques qui sont en définitive nocives pour la croissance.
Français : Censure et liberté
A l’occasion de la couverture très controversée d’un numéro de Télérama et au travers de différentes références, l’histoire de la censure, depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours.
SVT : Darwin, comment l’enseigner ?
Alors que l’on célèbre cette année le bicentenaire de la naissance de Charles Darwin, les opposants à sa théorie de l’évolution se font de plus en plus offensifs dans les écoles pour imposer leurs croyances. Face à cela, les professeurs sont parfois désarmés. D’où ce dossier…
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Le Café
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
L’Expresso directement sur votre site !
Vous nous l’avez demandé par téléphone, par courriel, par fax : comment afficher sur mon site personnel les informations quotidiennes de L’Expresso ? Le webmestre du Café vous propose deux solutions simples qui nécessitent juste le copier-coller de quelques lignes.
Vous pouvez ainsi faire bénéficier les visiteurs de votre site d’une information quotidienne et leur permettre d’être les premiers informés dans leur établissement.
RSS : Le retour
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