LE FAIT DU JOUR
Obama : Une nouvelle période pour l’Ecole ?
ÉDITORIAL
Martin Hirsch : tout reste à faire.
LE SYSTEME
Les enseignants retraités mobilisés pour le SMA l Sarkozy a reçu les syndicats FSU l Journée d’action des Rased l Plusieurs dizaines d’écoles occupées à Paris l Privé : La Fep Cfdt en grève le 29 janvier l Les Etats-Unis craignent de manquer de diplôméss.
L’ÉLÈVE
L’Etat condamné pour son incapacité à scolariser des enfants victimes de handicap.
LA CLASSE
A Nantes, le challenge Buggy.
LA RECHERCHE
Où vas-tu l’école ? VEI Diversité l L’école peut-elle être efficace dans un quartier en ruine ?
CITOYENNETE
Williana, 12 ans, 4 jours en prison
LES DISCIPLINES
Twitter en philosophie ? l SVT : Le bicentenaire de Darwin.
Le fait du jour
Obama : Une nouvelle période pour l’Ecole ?
Quelle sera la politique éducative du nouveau président des Etats-Unis ? Catastrophique. C’est ainsi que s’est terminé 2008 pour les districts scolaires des Etats-Unis. L’Expresso du 8 janvier annonçait 4 années de récession pour les budgets scolaires. Affectés par la baisse des recettes fiscales du fait de la crise, 31 états sont dans l’obligation de faire des coupes dans les dépenses et, très souvent , ne peuvent épargner l’école. Ainsi New York a annoncé son intention d’économiser 700 millions dans son budget scolaire, la Californie plus de 2 milliards. Ces coupes sont tellement importantes qu’elles devaient s’étaler sur 4 ans.
L’élection d’Obama ouvre de nouvelles opportunités. « Pour donner à nos enfants la possibilité de réaliser leurs rêves dans un monde de plus en plus concurrentiel, nous doterons des dizaines de milliers d’écoles, de collèges et d’universités publiques de salles de classe, de laboratoires et de bibliothèques du XXIe siècle » a déclaré Obama le 8 janvier. « Nous fournirons de nouveaux ordinateurs, de nouvelles technologies et de nouvelles formations aux enseignants pour que les élèves de Chicago ou de Boston puissent entrer en concurrence ceux de Pékin dans leur quête des emplois high-tech et bien payés de demain. » Le nouveau président a présenté son plan de relance qui atteint le millier de milliards de dollars.
100 milliards devraient aller à l’école, soit le double du budget fédéral habituel et les districts locaux se frottent les mains : ils pensent avoir trouvé dans cette aide fédérale un moyen de ne pas licencier. Certaines dépenses sont déjà fléchées. 20 milliards devraient aller à la reconstruction des écoles. Un milliard irait aux TIC. 250 millions sont prévus pour le développement d’un système informatisé de diagnostic scolaire des élèves. 200 millions devraient aller à la formation continue des enseignants.
On sait que le nouveau président devrait garder la loi No Child Left Behind mais en modifier les contraintes. Il devrait aussi investir dans l’enseignement pré-élémentaire.
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Martin Hirsch : tout reste à faire.
L’extension du portefeuille de Martin Hirsch aux questions de jeunesse laisse espérer un retour sur la scène publique de débats plus construits sur les enjeux des nouvelles générations que la caricature qui met en scène des jeunes « sauvageons » – « racaille » dont on redoute la prochaine poussée de fièvre et une jeunesse dorée individualiste qui a mieux à faire que de s’inquiéter du sort de la collectivité.
En effet, l’homme est habile et peut essayer de convaincre qu’il s’agit là d’un « enjeu de civilisation », qui mérite un diagnostic partagé et la mobilisation de tous. Car tous les départements ministériels ou presque sont concernés. L’autorité dont il dispose sur des directions des ministères des affaires sociales et de l’enseignement supérieur dessine un caractère interministériel déterminant pour répondre aux besoins des jeunes. Reste à espérer qu’il pourra effectivement en disposer et que ce Haut commissariat ne se limitera pas à un (quasi ?) ministère de la parole. D’ores et déjà, certains pans essentiels de la question ne seront pas traités puisque les directions concernées du ministère chargé du logement lui échappent.
Au-delà, l’Etat seul ne peut rien. Pour répondre aux aspirations de la jeunesse et aux questions intergénérationnelles posées, il faudra l’implication conjointe des collectivités territoriales et des associations notamment, dans un climat de confiance où les jeunes (et leurs familles) constatent qu’une place leur est faite dans le débat sur leur propre avenir.
Car les enjeux sont de taille. La massification du secondaire puis de l’enseignement supérieur n’a pas tenu toutes ses promesses. Les inégalités dans l’insertion professionnelle persistent et toute la jeunesse est désormais inquiète de la précarisation de l’emploi. Les effets de redistribution recherchés par une importante palette d’aides sociales aux familles et aux jeunes eux-mêmes sont limités et le système ne tient que grâce aux solidarités familiales qui renforcent les inégalités. Les enquêtes montrent que c’est à 65 ans que les Français sont les plus heureux ; le taux de suicide des jeunes français ne cesse de croître. Sans même parler de la faible présence des jeunes générations dans les lieux de pouvoirs et en particulier parmi la représentation politique.
Le Haut commissaire parle d’une politique qui allie travail, formation, allocation et accompagnement et qui vise l’autonomie des jeunes. On ne peut que partager cet objectif. En effet, le plus paradoxal, c’est que les jeunes n’ont jamais été autonomes si tôt que dans ces temps où ils gagnent leur indépendance si tard. Au point que les deux frontières de la jeunesse sont questionnées ; les plus englobantes des politiques publiques veulent s’adresser aux 12 à 30 ans ! Mais l’accès à l’autonomie ne peut se faire qu’avec une politique éducative qui combat les inégalités et une politique fiscale et sociale égalitariste. Il ne faudrait pas que l’appel à leur autonomie signifie en fait que les jeunes n’ont que ce qu’ils méritent.
Nadia Bellaoui, secrétaire nationale de la Ligue de l’enseignement, déléguée à la jeunesse
Aux abonnés de L’Expresso
Comme nous vous l’avions annoncé le 20 janvier, suite à une opération de maintenance il ne nous est pas possible de vous faire parvenir par courriel les titres de L’Expresso du 21 janvier. Veuillez nous en excuser.
Les enseignants retraités mobilisés pour le SMA
Les instits retraités iront-ils se substituer aux enseignants en grève le 29 janvier ? La question se pose après le courrier envoyé aux enseignants du 1er degré retraités de Loire Atlantique par l’inspecteur d’académie leur demandant de participer au service d’accueil mis en place dans les écoles en application de la loi sur le SMA. « Je m’adresse à vous pour vous demander si, compte tenu de votre expérience professionnelle, vous accepteriez de participer à l’organisation du service d’accueil dans votre commune ou dans une autre, dans les conditions définies par la commune ».
La démarche a paru suffisamment indécente à un lecteur du Café pour aboutir dans notre boite aux lettres. « Les instits à la retraite sont encore aptes à faire de la garderie et à être des casseurs de grève. C’est une honte! » nous dit-il.
La lettre de l’IA de Loire Atlantique aux retraités
Sarkozy a reçu les syndicats FSU
Mardi 20 janvier dans la soirée, le président de la République a reçu les représentants de la FSU, du Snuipp et du Snes. Selon l’Elysée, « cet entretien a donné lieu à un échange informel sur la situation à l’éducation nationale et sur les dossiers actuels ». Selon l’AFP, le président a écouté mais n’a rien négocié.
Journée d’action des Rased
Mercredi 21 janvier les syndicats et les associations de maîtres remettent au ministre et aux inspecteurs d’académie les motions de conseils d’école. En lutte depuis des mois contre la suppression de 3 000 postes, les enseignants des rased ont déjà obtenu des résultats. Leur pétition atteint près de 230 000 signatures. Le ministre est revenu sur l’intention de supprimer 3 000 postes mais un certain flou persiste sur le volume des suppressions, qui pourrait s’élever à 1 500.
Mercredi 21 janvier, à l’appel des syndicats (Snuipp, Se-Unsa, Sgen, Sud et Cgt) et des associations de maîtres (Afpen) et de parents ou de la difficulté scolaire (fcpe, Agsas, Apajh, Aapdys etc.), enseignants et parents remettront au ministre les motions de solidarité.
Plusieurs dizaines d’écoles occupées à Paris
Environ 70 écoles parisiennes, soit 10%, étaient occupées mardi 20 janvier par des parents d’élèves particulièrement dans les 13ème, 19ème et 20ème arrondissements. « Hommage des parents au programme d’éducation du président Obama » titre le tract des parents de plusieurs écoles du 20ème arrondissement. Il oppose la politique éducative du nouveau président à celle du gouvernement français. 31 écoles de l’arrondissement sont occupées par des parents qui « refusent la politique de réforme menée par l’actuel ministre ». Ils ont décidé d’occuper les écoles tous les mardis. Dans certaines écoles ils en ont profité pour « voler » les cahiers d’évaluation de CM2.
Interrogé par le Café, un animateur du mouvement déclare lutter contre « la destruction de l’école publique et particulièrement celle des milieux défavorisés ». Selon lui, « les parents ne voient pas toujours d’un bon œil la grève des enseignants alors l’occupation est aussi un moyen de relayer la lutte des instits sans perturber l’enseignement ». Bien informés sur les mesures gouvernementales, les parents se sont organisés grâce à Internet. Environ 200 parents d’une quarantaine d’écoles sont abonnés à une liste de discussion commune qui permet d’organiser les manifestations.
Le 21 ils seront devant le rectorat. Le 23, ils préparent dans une trentaine d’écoles une « nuit des écoles ».
Privé : La Fep Cfdt en grève le 29 janvier
« Les suppressions répétées d’emplois, la précarisation de certains personnels, la dégradation du pouvoir d’achat et des conditions de travail qui touchent l’ensemble des salariés de l’enseignement privé… deviennent de plus en plus insupportables ». La Fep Cfdt, premier syndicat de l’enseignement privé, appelle à la grève le 29 janvier.
Les Etats-Unis craignent de manquer de diplômés
« Le leadership américain dans l’accès à l’enseignement supérieur s’est érodé ». Le rapport annuel du National Center for Public Policy and Higher Education, une association, chiffre ce déclin relatif. Si les Américains restent dans les tout premiers pays du monde pour le taux d’accès à l’enseignement supérieur (34%, 7ème rang, France 11ème), leur rang est nettement plus bas pour ceux qui terminent leurs études supérieures (18%, 15ème, France 7ème 23% mais les chiffres français prennent en compte des études courtes). L’étude montre que la pro de diplomés du supérieur s’est maintenue de la génération des 35-64 ans (39%) à celle des 25-34 ans (39%) alors que partout ailleurs elle a augmenté (France 21 à 41%). « La génération la plus éduquée de l’histoire des Etats-Unis approche de la retraite » souligne le rapport.
Plusieurs facteurs expliquent ce déclin relatif. Il y a d’une part les inégalités ethniques qui perdurent. Il y a aussi les difficultés pour payer des études de plus en plus chères. Enfin l’étude révèle de très fortes inégalités d’accès entre états.
Pour les Américains, l’enjeu est de taille. Depuis 2006 plusieurs rapports se sont succédés (Tough Coices Tough Times, Hitting Homes) pour expliquer le lien entre le pourcentage de diplômés et la volonté de rester l’économie la plus prospère et la plus innovante. Les Américains connaissent le remède : il faut aider les jeunes des milieux défavorisés à se hisser dans le supérieur. Ils connaissent aussi le levier : développer l’éducation pré-scolaire. En auront-ils les moyens ?
Tough Choices Tough Times (2006)
L’Etat condamné pour son incapacité à scolariser des enfants victimes de handicap
« Le tribunal administratif de Cergy Pontoise vient de condamner l’Etat à verser des dommages et intérêts aux 3 familles et à leurs enfants handicapés mentaux, qui se trouvaient sans aucune solution éducative » nous apprend l’Unapei, une association de parents d’enfants victimes de handicap mental (60 000 familles).
« Les trois enfants handicapés mentaux avaient été orientés en milieu adapté, mais faute de places suffisantes dans les établissements, ils ont été privés de leurs droits à l’éducation. Outre cette privation du droit fondamental au droit à l’éducation, leurs parents avaient supportés des charges financières particulièrement lourdes : frais de garde mais aussi réduction de leurs activités professionnelles. Avec le soutien de l’Unapei les familles avaient saisi le Tribunal administratif le 15 mars 2004 pour réparation de leur préjudice et de celui de leurs enfants. Après une instruction de près de 5 ans, le tribunal administratif de Cergy Pontoise leur donne raison et condamne l’Etat à verser des dommages et intérêts ».
Le tribunal a notamment considéré que l’obligation de scolarisation pesait sur l’Etat dès 3 ans. Selon l’Unapei, près de 5 000 enfants handicapés sont privés de leurs droits à l’éducation.
La classe
A Nantes, le challenge Buggy
400 élèves de BEP et bac pro des sections productique mécanique, structures métalliques, maintenance des véhicules, plasturgie, maintenance des matériaux souples, venus de 21 lycées professionnels de l’académie de Nantes participent à la réalisation d’un buggy radiocommandé. Ils se retrouveront du 12 au 14 mai pour une amicale compétition.
Trois lycées se sont attelés à un autre projet : la réalisation d’un char à voile pour personnes victimes d’un handicap. Leur projet suscite l’intérêt de la municipalité de Notre-Dame-de-Monts et d’une entreprise.
La recherche
Où vas-tu à l’école ? VEI Diversité
« La visée originelle de notre école… l’a placée en position extraterritoriale, comme au-dessus de la sphère boueuse du réel… Ce que l’on qualifie de « local » vient donc heurter l’idéal laïc garant de l’unité nationale et d’un égal accès à l’instruction » note Marie Raynal en introduction à ce numéro 155 de VEI Diversité. Pourtant, nuance-t-elle tout de suite, « en regard des représentations dominantes, il existerait des « bons lieux » et d’autres qui seraient « mauvais » pour aller à l’école ». C’est dans cette contradiction que se situe ce numéro, à la croisée d’espaces différents : celui du géographe qui vient expliquer ce qu’est un territoire (Hervé Vieillard-Baron par exemple), celui du sociologue de l’éducation qui s’intéresse aux effets ségrégatifs (F. Dubet par exemple), celui du didacticien qui interpelle l’efficacité communautaire(Yves Jean par exemple) et celui celui de l’ethnographe penché sur les représentations.
Tous ces regards sont présents dans ce riche numéro. Ainsi Yves Jean montre que les écoles rurales sont des espaces d’innovation. Mais c’est surtout la sociologie d el’école qui est interpellée dans cet ouvrage. La question de la carte scolaire est traitée par plusieurs articles. Retenons en deux. François Dubet montre qu’il est difficile d’avoir une position tranchée et botte en touche. « La question de la carte scolaire reste relativement marginale par rapport à la question sociale et urbaine. Tant que nous ne parviendrons pas à désenclaver les quartiers, tant que nous ne parviendrons pas à y mettre les moyens… et les pédagogies qui feront que les conditions de l’éducation y sont acceptables par tous, la mixité restera un de ces vœux pieux que nous aimons tant parce qu’ils dispensent de regarder les problèmes en face ». Nico Hirtt montre le piège du « libre choix » de l’école. Benoît Dejaiffe montre comment les petits territoires ruraux poussent à « l’arrangement » entre profs et parents et aux mimétismes. C’est aussi de représentation que parle Renaud Cornand quand il décrit la dimension ethnique de la stigmatisation des écoles.
S’il est dommage que la dimension architecturale soit absente de ce numéro (après tout l’architecture interfère aussi avec l’enseignement), voilà un numéro riche et stimulant.
Où vas-tu à l’école ? Les liens auxlieux, VEI Diversité n°155, Cndp, 2008, 208 pages.
L’école peut-elle être efficace dans un quartier en ruine ?
La qualité du paysage urbain a un impact sur la vie des établissements scolaires et le niveau des élèves, affirme une étude commandée par un syndicat anglais. Réalisée par une équipe de consultants pour le Nasuwt, premier syndicat d’enseignants britannique, l’étude « More Broken Window » étudie le lien entre les quartiers dégradés et les friches urbaines et la qualité du climat scolaire. Selon le Nasuwt,la réponse est claire : « les écoles ne peuvent pas atteindre les objectifs ambitieux qu’on leur fixe quand des faceturs qui leur échappe affectent négativement les aspirations, les résultats et les progrès des élèves ».
L’enquête montre que les enseignants pensent que l’environnement dégradé incite les élèves à commettre de petits délits comme les graffitis et que les habitats dégradés influent négativement sur le comportement des élèves. Selon l’étude, les écoles de ces quartiers jouent un rôle communautaire plus important au risque que cela affecte le niveau scolaire.
Citoyenneté
Williana, 12 ans, 4 jours en prison
« Aucun de ces très importants personnages ne trouvait à redire au fait qu’une gamine de 12 ans soit maintenue en prison administrative et empêchée de rejoindre ses parents sans avoir commis le moindre délit » écrit RESF. L’association dénonce une belle boulette :la mise en prison administrative pour étrangers dans le Val-de-Marne d’une fillette durant 4 jours.
Les disciplines
Twitter en philosophie ?
Twitter en philo ?? François Jourde est l’auteur de manuels (peut-être devrait-on dire de services ?) réellement innovants chez Hatier. C’est aussi l’animateur et le créateur d’outils multimédia qui tendent tous vers un seul but : amener les jeunes à la philosophie et ses exigences. « Sans être un véhément révolutionnaire, je ressens souvent comme artificiel le dispositif d’enfermement entre quatre murs que nous impose l’institution scolaire… » nous confie-t-il. « J’apprécie donc de pouvoir varier l’expérience d’enseignement. Et j’apprécie de pouvoir davantage personnaliser le travail pédagogique, dans la mesure le groupe qu’est une classe rend assez difficile l’aide individualisée. Nouer des relations hors du cours peut débloquer pas mal de choses dans le cours ! »
SVT : Le bicentenaire de Darwin
Personnage clé du progrès scientifique, Darwin est aussi aujourd’hui remis en question par les traditionalistes. Raison de plus d’oser ce dossier…
le Cafe
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