LE FAIT DU JOUR
Le Jardin d’éveil annoncé en Mayenne
ÉDITORIAL
Lettre à Jean Arthuis
LE SYSTEME
L’école durable au sommaire du Café Francilien l Darcos poursuivi par la rumeur sur Internet l Rased : Soutien des parents autonomes l Le collège Dolto veut garder un élève sans-papier « Entre les murs » l Roland Veuillet à nouveau en grève de la faim l Suisse : Journées décisive pour l’harmonisation scolaire.
L’ÉLÈVE
Du 14 au 23 novembre, la fête de la science l Le 93 aide les collégiens à acheter un ordinateur l 100 femmes, 100 métiers l Une lycéenne victime de violences familiales.
LA CLASSE
L’école Vitruve se découvre l L’Europe à l’honneur en Alsace
LA RECHERCHE
Les textes officiels et l’école
CITOYENNETE
La Semaine de la solidarité internationale l Le déni de l’Holocauste.
LES DISCIPLINES
Le 8ème colloque sur les nouvelles pratiques philosophiques l Les journées de l’économie l Les Journées de l’APCEG.
Le fait du jour
Le Jardin d’éveil annoncé en Mayenne
Selon Ouest France, c’est en Mayenne et dans le Rhône qu’ouvriront dès la rentrée 2009 les premiers « jardins d’éveil » souhaités par les rapports Papon et Tabarot. Ils préconisent d’interdire la scolarisation à deux ans et de remplacer l’école maternelle, pour cette tranche d’âge, par un »jardin d’éveil », installé dans les locaux scolaires mais sans instits.
Selon le quotidien, le président du Conseil général de Mayenne, Jean Arthuis, estime que avant trois ans, la maternelle « ce n’est pas de l’école mais de la garderie. Nous n’avons pas les moyens d’y mettre des enseignants à bac +5 ».
La question des moyens est bien ce qui divise opposants et partisans de ces jardins d’éveil. L’école maternelle à 2 ans profite particulièrement aux enfants des milieux défavorisés et est gratuite. Il n’y aura aucune garantie de gratuité pour les jardins d’éveil. Dans la plupart des cas, les familles modestes ne pourront plus faire bénéficier leur enfant d’une structure pré-élémentaire qui ne sera plus sous la responsabilité d’enseignants.
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Lettre à Jean Arthuis
Monsieur le Sénateur, Ouest France annonce votre intention d’accueillir dans votre département le premier « Jardin d’éveil » ouvert pour l’accueil des 2 -3 ans en application du rapport Papon. Vous justifiez ce choix en affirmant que en dessous de trois ans, « ce n’est pas de l’école mais de la garderie ». Des propos qui font d’ailleurs écho à ceux de X Darcos. Laissez-moi vous montrer que vous avez tort.
Que savez-vous de la garde d’enfant ? En apparence on peut croire que c’est une activité neutre, opérable par n’importe qui payé à bas prix (puisque votre préoccupation est là nous dit Ouest-France). Dans les Actes de l’Observatoire de l’enfance, Agnès Florin, une psychologue entendue par la commission Papon, explique que « les études psychologiques sur les premières années de la vie montrent les tout-petits comme des personnes aux compétences nombreuses ». Les bébés se différencient de leur environnement beaucoup plus tôt qu’on le croyait. Ils sont très sensibles à la qualité de leur environnement. Ce qui veut dire que la qualité de la garde est importante. La « garde » effectuée par une personne formée de niveau bac +5 est plus efficace que celle d’une personne non formée.
L’enfant est particulièrement sensible à la stabilité de l’adulte. « Il est davantage sécurisé à l’adulte qui s’occupe le plus de lui » affirme A. Florin. « Il importe donc de limiter le nombre d’adultes intervenant directement auprès des enfants (Greenspan & Benderly, 1998 ; Raikes, 1993 ; Ritchie & Howes, 2003). En école maternelle, l’enseignante est présente quotidiennement et fait donc office d’adulte référent, ce qui permet aux jeunes écoliers d’évoluer dans un climat de confiance et de vivre plus sereinement leurs arrivées et leurs départs de l’école », tranche A Florin.
L’école maternelle a des effets durables sur les enfants défavorisés. « Les effets d’un accueil préscolaire de qualité sont perceptibles à long terme sur le développement cognitif et socio-émotionnel ainsi que sur les performances scolaires, surtout pour les enfants considérés comme socialement à risque du fait de leur ethnie ou du faible niveau d’éducation de leur mère. De telles recherches plaident pour l’accueil des enfants de milieux défavorisés dans les structures préscolaires » conclut-elle. Les autres modes de garde, comme le Jardin d’éveil, sont généralement trop chers pour ces enfants. Seront-ils aussi efficaces avec un personnel peu ou pas formé ? Enfin la suppression de l’école maternelle à 2 ans poserait des problèmes sociaux sérieux et enfermerait les femmes défavorisées à la maison.
Ces arguments doivent vous amener à soutenir les instits de maternelle. La pétition lancée par l’Ageem rappelle les valeurs d’égalité de l’école de la République. Vous aurez à cœur de la soutenir.
L’école durable au sommaire du Café Francilien
« Les problèmes environnementaux sont devant nous. Il appartiendra aux nouvelles générations de les affronter. Mais sans attendre, les collégiens et les lycéens peuvent être immergés, au cours de leurs études, dans des bâtiments HQE et y être confrontés à des équipements où les problématiques environnementales et de développement durable sont visibles et centrales » écrite Serge Pouts-Lajus en préface à ce nouveau numéro du Café francilien dédié à la politique environnementale dans les bâtiments scolaires.
La poursuite de la démarche « Haute Qualité Environnementale » est une priorité régionale, qui se traduit dans la construction et la rénovation des lycées franciliens. À ce jour, un peu plus d’une cinquantaine d’opérations font l’objet d’une démarche environnementale spécifique, qui s’est bâtie par étapes successives et qui mobilise communautés scolaires, communes, entreprises, architectes, bureaux d’études, mandataires, experts et autres partenaires.
Mais la démarche environnementale concerne aussi la collecte des déchets et le projet d’établissement. A Bergson (Paris 19ème) , le chef d’établissement témoigne : « Toute l’équipe enseignante est ici très mobilisée sur le développement durable et plusieurs d’entre nous interviennent dans les formations rectorales ou participent au comité académique ». L’écorégion c’est tout cela.
Darcos poursuivi par la rumeur sur Internet
Le « vent mauvais » n’en finit pas de souffler. L’appel d’offre lancé par le ministère pour une « veille d’opinion » sur Internet fait le tour de la toile éducative où il suscite l’indignation et l’envoi tous azimuts du document.
Selon Le Point, le Cabinet de X. Darcos précise que cette veille d’opinion est assurée depuis 2006 et « il n’est pas question d’un esprit de fichage mais d’une connaissance plus fine de la façon dont les enseignants perçoivent la politique de leur ministre ». Une interprétation que partage Gérard Adschieri, FSU, selon Le Nouvel Observateur. « Parler d’une volonté de fichage me paraît une surinterprétation » précise le syndicaliste. « Le ministère veut simplement anticiper pour adapter sa propagande ». Le Café avait signalé le 10 novembre le document sans propager la rumeur.
Pour Xavier Darcos le pire dans cette histoire c’est ce qu’elle révèle du fossé entre lui et les enseignants. La curiosité ministérielle a été spontanément interprétée en volonté de censure. Elle contribue à mobiliser les enseignants dans la grève du 20 novembre. L’erreur d’interprétation révèle l’erreur de casting.
Rased : Soutien des parents autonomes
« Les études du soir et les heures de soutien qui doivent être mises en place ne sont pas la réponse aux besoins spécifiques de certains enfants ». Après la FCPE, l’Union des associations autonomes de parents d’élèves, qui se réclame strictement apolitique, proteste contre la suppression des 3 000 postes des Rased. « L’U.N.A.A.P.E. tient à rappeler que la loi d’orientation de 2005 prévoit l’intégration des enfants différents en milieu scolaire ordinaire. Comment et par qui seront gérés les besoins particuliers de ces enfants ? »
Le mouvement en faveur du maintien de ces postes continue à grossir. On compte maintenant plus de 125 000 signataires à la pétition lancée par les associations de maîtres.
Le collège Dolto veut garder un élève sans-papier « Entre les murs »
Lundi 10 novembre les enseignants du collège Dolto, devenu célèbre depuis la réalisation du film « Entre les murs », ont observé une journée de grève pour protester contre l’expulsion de M. Hunjan Cai. Père d’un élève de 5ème du collège, il a été arrêté lundi 3 novembre, puis placé en centre de rétention. Il risque l’expulsion.
Roland Veuillet à nouveau en grève de la faim
Sanctionné d’une manière qu’il juge injuste et illégale en 2003, Roland Veuillet, CPE et militant syndical, a entrepris plusieurs actions qui ont mis ses jours en danger. Depuis le 6 novembre il a entamé une nouvelle grève de la faim pour obtenir son retour à Nîmes et l’annulation de sa sanction.
Suisse : Journées décisives pour l’harmonisation scolaire
Harmos, le « concordat de collaboration intercantonal » sera-t-il accepté ? Le 30 novembre, 4 cantons, Saint-Gall, Grisons, Thurgovie et Outre-Zurich, voteront par referendum sur l’acceptation ou le refus du programme Harmos.
Celui-ci fixe les grands principes d’une harmonisation des systèmes éducatifs cantonaux suisses. L’école suisse commencerait partout à 4 ans. Le primaire durerait 8 ans. Il serait suivi de 3 ans de secondaire obligatoire. Harmos impose aussi des contenus précis d’enseignement et des tests communs L’harmonisation complète devrait être terminée en 2014.
L’accord devient valable si 10 cantons le ratifient. Un canton, Lucerne , s’y est opposé. Le vote des 4 cantons sera décisif. Le programme Harmos sert de lieu d’affrontement entre la gauche et les syndicats d’enseignants, favorables à Harmos, et le principal parti de droite, l’UDC, qui a fait de l’école son cheval de bataille.
Du 14 au 23 novembre, la fête de la science
La Fête de la science est un moment particulier d’échange entre les scientifiques et les citoyens. Du 14 au 23, des milliers d’événements ont lieu dans tout le pays. Ainsi à Paris, le Museum d’histoire naturelle propose des ateliers gratuits pour les scolaires. Il reste des places pour la visite de la nanosims, les protéines, comprendre le moteur del’océan.
Dans le 93, avec le concours de la région et des universités locales, des conférences sont proposés comme celle de Jean Jouzel sur le climat ou celle de Serge Hercberg sur la nutrition. On attend dans toute la France plus d’un million de visiteurs.
Le 93 aide les collégiens à acheter un ordinateur
Le Conseil général de Seine-Saint-Denis continue ses efforts en direction des collégiens. Il favorise l’équipement informatique des collégiens en les aidant pour l’achat d’un ordinateur, le montant de l’aide étant subordonné aux ressources familiales. Les familles n’ont aucune démarche à faire. Elles recevront un coupon-informatique et toutes les informations pratiques avant le 24 novembre 2008.
Le coupon est destiné aux familles dont les enfants sont scolarisés en 6ème en Seine-Saint-Denis pour l’année 2008/2009, inscrits dans les collèges publics et privés sous contrat du département et domiciliés en Seine-Saint-Denis.
100 femmes, 100 métiers
Parce que les formations médico-sociales continuent à compter 94% de filles et celles d’informatique – système de production 94% de garçons, le rectorat de Rennes avec la délégation régionale aux droits des femmes organisent les 14 et 15 novembre deux journées d’information et de combat des préjugés.
Le 14 sera plus précisément celle des jeunes. Ils pourront participer à la création du mur des préjugés, assister à un débat avec une mathématicienne, rencontrer des créatrices d’entreprise.
A noter que le rectorat délivre également le Prix de la vocation scientifique et technique. Ce prix de 1000 € soutient de nouvelles bachelières qui démarrent des études supérieures dans une spécialité scientifique ou technique où les filles sont encore trop rares.
Une lycéenne victime de violences familiales
A Toulon, une élève de terminale d’origine algérienne a été enlevée, séquestrée et marquée au couteau par sa mère et ses sœurs. On lui reprochait de refuser un mariage forcé.
La classe
L’école Vitruve se découvre
Peu d’écoles ont été autant associées à la recherche que l’école parisienne Vitruve. Aussi quand, un peu forcée par des exigences administratives, cette école expérimentale décide de faire le point, elle ne le fait pas comme les autres. Ce sont les parents, les écoliers et les enseignants qui racontent la vie particulière d’une école qui sait remarquablement associer les parents aux projets scolaires, de remarquables résultats scolaires avec la créativité, l’ordre et l’épanouissement des enfants. A Vitruve les enfants sont associés pleinement au fonctionnement de l’école. Enseignants, parents, enfants pratiquent l’entraide et vont au bout de leurs projets.
Parents et enfants tiennent la plume et écrivent un petit ouvrage qu’il est urgent de lire pour ce qu’il apporte d’intelligence et d’espoir dans l’école. Nous reviendrons plus longuement, dans le Café mensuel, sur cet ouvrage.
Les Commissions de Vitruve, livret du Centenaire, Edition association Vitruve, 20 euros, à commander à l’école.
L’Europe à l’honneur en Alsace
Le 13 novembre, 500 élèves de 9 régions européennes, agés de 16 à 18 an, passeront une journée ensemble à Strasbourg et assisteront à une session du Parlement européen.
La recherche
Les textes officiels et l’école
Comment les textes officiels contribuent-ils à la constitution des disciplines scolaires, à leur émergence et à leur évolution ? La revue Spirale consacre un nouveau numéro (n°42) à cette question. Plusieurs disciplines sont particulièrement interrogées. C’est le cas de l’EPS. Yvon Léziart montre comment elle se définit entre logique sociale et scolaire. Tour à tour chacune domine. C’est un conflit entre « défenseurs d’une éducation physique s’appuyant sur les pratiques physiques sociales dominantes et partisans d’une éducation physique à vocation de formation des potentialités humaines ». Yves Travaillot et Yves Moralès analysent l’exemple précis de l’intégration des pratiques d’entretien du corps dans les programmes.
La technologie fait également l’objet d’une analyse profonde par Joël Lebeaume. Pour lui les textes successifs témoignent « de son insertion délicate au collège. Ils témoignent aussi des mesures qui visent à transformer l’école pour répondre aux enjeux de la prolongation de la scolarité obligatoire ».
Signalons aussi de nombreux articles sur le français et les sciences à l’école primaire.
Spirale n°42, 207 pages, Villeneuve d’Ascq, 2008.
Citoyenneté
La Semaine de la solidarité internationale
Du 15 au 23 novembre 2008, la 11e Semaine de la solidarité internationale vous invite à participer à plus de 5000 animations originales et conviviales partout en France. Des milliers d’acteurs – associations, collectivités, écoles, universités, syndicats, comités d’entreprises, etc. – proposent au public des pistes concrètes pour agir en citoyen-ne solidaire.
Promouvoir les droits de l’homme, acheter équitable, épargner et voyager solidaire, respecter l’environnement, s’engager comme volontaire de solidarité internationale, devenir bénévole… toutes les thématiques de la solidarité internationale seront à l’honneur.
Marchés équitables, expositions, projections de films, jeux, conférences, repas du monde, ateliers multimédias, concerts… les acteurs de la solidarité internationale vous proposent des animations qui mêlent découverte et réflexion. Prendre conscience des enjeux qui traversent notre monde, s’engager en faveur de plus de justice et de solidarité… c’est l’objectif de la Semaine de la solidarité internationale. Il y a forcément un événement près de chez vous.
Le déni de l’Holocauste
Le déni de l’Holocauste est aussi vieux que le crime. Mais il a été encore peu étudié. L’E.N.S. organise les 14 et 15 novembre un colloque qui réunit des spécialistes venus du monde entier (Tony Judt, Zvi Ben-Dor, Jan Gross etc.) pour échanger sur l’ampleur du déni de l’Holocauste, les façons multiples et variées selon lesquelles ceux qui l’ont pratiqué ont mis en avant l’évènement qu’ils démentaient, et les situations dans lesquelles ce déni a cherché à minimiser et contester la signification et la centralité contemporaine de l’Holocauste.
Les disciplines
Le 8ème colloque sur les nouvelles pratiques philosophiques
Les 19 et 20 novembre, l’Unesco accueille à l’occasion de la Journée mondiale de la philosophie le 8ème colloque sur les nouvelles pratiques philosophiques. Il sera question, sous la houlette de Michel Tozzi, de la philosophie à l’école primaire, de l’éducation à la tolérance, de la rénovation de l’enseignement de la philosophie au secondaire, avec, entre autes, un atelier organisé par le GFEN.
Les journées de l’économie
Les Journées de l’Economie se proposent de « présenter une véritable pédagogie de l’économie, qui permette à tous une meilleure appréhension des mécanismes économiques ». Dans la grande offensive sur l’enseignement des S.E.S., nul doute que les Journées de l’économie seront un moment fort.
Du 20 au 22 novembre, à Lyon, elles associeront autour de grands débats des enseignants du secondaire, du supérieur et des représentants des entreprises. Ainsi le débat sur la crise financière comptera 2 professeurs de SES et 5 représentants du monde économique (dont le président du directoire de La Compagnie Financière), des dirigeants du Crédit agricole et Caisse d’épargne).
En même temps sera lancé un nouveau site Internet (www.touteconomie.org).
Les Journées de l’APCEG
Du 5 au 7 décembre, l’Association des professeurs de communication, d’économie et de gestion organise ses Journées pédagogiques à Montpellier. Autour du thème « l’histoire et l’avenir de nos disciplines » l’association fêtera le n°100 de sa revue : les Cahiers d’économie et gestion.
Des ateliers sur « pratiquer le travail collaboratif », écrire son expérience d’enseignant », « enseigner la crise financière » succéderont aux conférences. Le doyen de l’inspection générale interviendra ainsi que des représentants syndicaux.
le Cafe
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