Politique des brevets : l’enjeu central de la qualité, face à l’évolution des pratiques
Les entreprises sont de plus en plus incitées à se doter de brevets, pour mieux positionner leurs activités d’innovation face à celles de leurs concurrentes et parfois même pour des considérations d’ordre purement stratégique. Pour le système des brevets, ce succès grandissant risque de se retourner contre lui. Face au flot croissant des demandes de brevets, en effet, les offices de brevets sont de plus en plus engorgés. Par contrecoup, un faisceau d’indices convergents atteste d’une tendance à la prolifération, au détriment de la qualité d’ensemble des brevets, dans la plupart des pays industriels. Une telle dégradation de la qualité des brevets correspond à une situation dans laquelle sont délivrés des brevets qui n’auraient pas dû l’être. Elle menace globalement tant la concurrence que l’innovation. Pour contrer ces périls, diverses réformes ont récemment été envisagées ou engagées – en particulier aux États-Unis et en Europe – mais leur issue n’est pas encore acquise.
http://www.strategie.gouv.fr/revue/IMG/pdf/article_HS7RL2.pdf
Le statut de conjoint collaborateur
Un certain nombre de conjoints de chefs d’entreprise participent à l’activité de l’entreprise sans avoir aucun statut. Malgré une charge de travail à temps plein dans celle-ci, pour certains, cette activité n’est pas reconnue comme un vrai emploi. L’exemple est courant dans les TPE où l’épouse du chef d’entreprise exerce la gestion et l’administration de l’entreprise en effectuant les activités de comptabilité, de secrétariat, de relations commerciales, de relations avec les partenaires de l’entreprise (administration, banque).
C’est une collaboration essentielle pour un bon fonctionnement de l’entreprise et pourtant, pendant longtemps, le conjoint n’était pas reconnu comme conjoint salarié, conjoint associé ou conjoint collaborateur. La loi du 10 juillet 1982 (loi n° 82-596) permettait simplement le choix de l’un de ces statuts mais sans obligation d’y souscrire. L’absence de statut était périlleuse pour le conjoint dans l’éventualité d’un divorce ou du décès du chef d’entreprise. Maintenant, ce n’est plus possible. En effet, la loi (n° 2005-882 du 2 août 2005) dite « en faveur des petites et moyennes entreprises » a instauré, depuis le 1er juillet 2007, une obligation d’opter pour l’un des statuts ci-dessus. Le statut de conjoint collaborateur a fait l’objet d’un décret (n°2006-966 du 1er août 2006) définissant le statut et les modalités de déclaration.
http://www.netpme.fr/creation-entreprise/807-statut-conjoint-collaborateur.html
La formation professionnelle tout au long de la vie
Le présent rapport de la Cour des comptes porte sur la formation professionnelle, plus particulièrement sur les trois catégories de formations suivantes : formation professionnelle initiale, qu’elle soit dispensée à des jeunes sous statut scolaire dans des établissements d’enseignement ou à des jeunes sous statut de salarié, avec un contrat de travail, c’est-à-dire en apprentissage ; formation professionnelle des demandeurs d’emploi ; formation professionnelle des actifs occupés. A l’issue de leurs investigations, la Cour et les chambres régionales des comptes font trois séries de constats qui expliquent l’inefficacité globale du système : les formations sont largement inadaptées aux besoins des individus et des entreprises, qu’il s’agisse de la formation professionnelle initiale dont les résultats en termes d’insertion dans l’emploi sont insuffisants ou de la formation continue qui répond très imparfaitement aux difficultés des salariés peu formés ou mal qualifiés ; les financements sont abondants mais insuffisamment mutualisés, ce qui met d’autant plus en cause la pertinence du système actuel que celui-ci manque de transparence et fait apparaître des coûts élevés ; l’action des différents acteurs de la formation professionnelle est faiblement cohérente ; les cloisonnements du système, les insuffisances de son pilotage et la faiblesse des évaluations auxquelles il donne lieu, tant au niveau national que régional, rendent impossible la définition d’une stratégie partagée et compromettent l’efficacité d’ensemble des actions menées. Chacun de ces constats est accompagné de recommandations définissant les conditions auxquelles une politique de formation professionnelle tout au long de la vie deviendrait possible.
Vidéos pour le cours de management
Des comédiens illustrent des situations de management au travers de courtes vidéos : manager force d’exemple, déléguer sans perdre le bénéfice, écarter un meilleur que soi, etc…..
http://www.lexpansion.com/carriere/video/management-comedy.asp?pg=1
Combien coûtera votre entreprise la première année ?
Les frais de création constituent une part non négligeable du budget à élaborer en amont. D’abord, il y a l’immatriculation au CFE qui varie de 62 euros pour une entreprise individuelle à caractère commercial à 80 euros environ pour une société (SARL, SAS, SNC…). Pour une entreprise à caractère artisanal, le tarif est plus élevé, environ 130 euros, tandis que l’inscription en activité libérale auprès de l’URSSAF est… gratuite. Dans le cas de la création d’une société ou d’une EURL, le chef d’entreprise est tenu de faire paraître une annonce légale dans un journal autorisé. A titre indicatif, dans un quotidien parisien, il en coûte de 94,62 euros à 114,54 euros selon le format de l’annonce.
Brevets, marques, noms de domaines doivent être protégés auprès de l’INPI (Institut National de la Propriété industrielle). Le tarif pour le dépôt d’une marque est de 225 euros minimum.
http://www.lentreprise.com/1/2/3/article/17904.html
Visite guidée dans les labos de Photobox
Photobox, du groupe Photoways, est présent dans 15 pays européens. Le groupe, leader sur le marché français du tirage photo en ligne, reçoit en hébergement sur son site un million de nouvelles photos par jour.
Le groupe possède deux centres de production. L’un d’entre eux, situé en région parisienne, à Sartrouville, a ouvert ses portes au Journal du Net pour une visite guidée.
Aléas de carrière, inégalités et retraite
La diversité des parcours de vie (âge d’entrée dans la vie active, vie familiale, santé et espérance de vie, inactivité, chômage…) n’est pas sans incidence sur les départs à la retraite et sur le niveau de vie des retraités. La première partie, du rapport présente la notion de parcours de vie et les différents aléas de carrière recensés (chômage, inactivité, travail à temps partiel, disparités de salaires et de revenus, revenus tirés des minima sociaux). Elle indique également comment le législateur tient aujourd’hui compte de ces accidents de carrière dans la validation des droits à pension. Une synthèse des travaux consacrés aux liens entre aléas de carrière, inégalités et retraite est ensuite proposée. La seconde partie propose une analyse des conséquences des parcours heurtés sur les droits à la retraite. Principalement touchés par les aléas de carrière, les seniors font au préalable l’objet d’une étude spécifique qui permet également de faire le point sur les différents dispositifs en faveur de l’emploi des seniors. Enfin, une évaluation de l’incidence de la prise en compte du RMI et d’un allégement de la décote sur les droits à pension est effectuée.
Un local sur mesure
Trouver un bureau lorsque l’on démarre son entreprise relève souvent du système D. « Avec mon équipe, je me suis d’abord installé chez un copain dont le 40 m2, rue Falguière dans le 15e arrondissement de Paris était en vente, explique-t-il. Nous avons refait son appartement en 24 heures, mais à la première visite il a été vendu et il a fallu trouver dare-dare un autre point de chute », raconte Sébastien de Lafond.
http://www.newzy.fr/management/un-local-sur-mesure-14.html