LE FAIT DU JOUR
Le ministère dévoile les nouveaux concours
ÉDITORIAL
Une certaine ambition ?
LE SYSTEME
Ls réactions aux nouveaux concours l Des concours qui sacrifient l’avenir pour JL AUduc l Lycée : Le Sgen demande une révision du calendrier l Le SNPDEN contre les EPEP l L’Etat à nouveau débouté à propos du SMA l Rwanda : L’anglais devient langue d’enseignement.
L’ÉLÈVE
17-18 octobre : Elisez les représentants des parents d’élèves l Un concours contre l’homophobie l L’apprentissage et les métiers de l’informatique l
LA CLASSE
Le TNI dans Medialog
LA RECHERCHE
Colloque Fernand Oury
LES DISCIPLINES
L’AFEF et la réforme du lycée l Un nouveau forum sur Primlangues l S.E.S. : Le Manifeste de l’Apses l S.E.S. : Le Nobel d’économie à Paul Krugman
LES TICE
Le Plan Besson repoussé d’une semaine l Open Office 3
Le fait du jour
Le ministère dévoile les nouveaux concours
François Perret, doyen de l’inspection générale et Mark Sherringham, conseiller du ministre, présentaient le 13 octobre à la presse les maquettes générales des futurs concours de recrutement des enseignants du 1er et du 2nd degré applicables en 2010. Sur la base des accords passés le 30 septembre avec la CDIUFM et la CPU, ces maquettes répondent au souci de séparer clairement la logique de validation universitaire (le master) et la logique de recrutement (le concours). Il s’agit de « mieux distinguer ce qui relève des universités qui ont la responsabilité de la formation initiale de tous les étudiants se destinant au professorat jusqu’au niveau du master et ce qui relève de l’Education nationale qui a la responsabilité du recrutement, de l’adaptation au métier et de la formation continue des professeurs ». En clair l’Etat abandonne la formation des enseignants aux universités. A elles de se débrouiller pour former des candidats conformes aux exigences des concours et particulièrement d’effectuer sur le temps universitaire la formation professionnelle…
La définition des concours est conforme à ce que L’Expresso annonçait le 13 octobre. Aussi bien pour le CRPE que pour le capes, le nombre d’épreuves est ramené à 4 : deux écrites d’admissibilité à la fin du premier semestre, deux mieux coefficientées, orales en fin de master 2. Pour le CRPE les deux premières consistent en une épreuve de français et de maths. Les autres aspects de la formation passent à la trappe. Les épreuves orales comportent une leçon et un entretien avec le jury. « L’entretien avec le jury permet de vérifier les connaissances du candidat relatives aux valeurs et aux exigences du service public, au système éducatif et à ses institutions et de manière plus générale à son aptitude à exercer le métier de professeur des écoles ». Pour le capes, les deux épreuves écrites différeront selon les disciplines. Les épreuves orales sont similaires à celles du Crpe. L’agrégation, elle, reste à l’abri de ces exigences pédagogiques.
Pour le ministère, il s’agit dans ces épreuves « d’assurer la prépondérance des coefficients des épreuves d’admission dont la finalité sera dorénavant de permettre de choisir les candidats les plus aptes à la fonction d’enseignant ou de CPE sur des critères d’ordre pédagogique et didactique ainsi que de connaissance du futur milieu d’exercice ».
« Mission impossible pour les universités que de définir les masters qui prépareront au mieux les futurs enseignants aux nouveaux concours de recrutement ? Où trouver la recette miracle qui alliera subtilement la maîtrise de connaissances (pluri)disciplinaires de niveau master et l’indispensable formation professionnelle qui permettra de recruter des personnels efficaces de suite, sans parler de garantir d’autres débouchés professionnels aux recalés des concours ? » écrit Françoise Solliec dans son reportage.
Sur le Café, le reportage de F Solliec
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Une certaine ambition.
Savez-vous ce qui peut permettre une gestion pédagogique moderne et efficace ? Savez-vous ce qui peut permettre d’assurer une plus grande mixité sociale ? Une meilleure émulation pédagogique ? La mutualisation des moyens en faveur des élèves en difficultés ?
Figurez-vous qu’une loi est en préparation sur la question, déposée par trois députés UMP.
Doté d’un statut juridique, l’Etablissement Public d’Enseignement Primaire (EPEP) serait piloté par un conseil d’administration (élus locaux, représentants des enseignants, non-enseignants et parents, dirigé par un président). Le directeur deviendrait « l’exécutant des délibérations prises », « rendant compte à l’autorité académique » et chargé « de toutes dispositions nécessaires pour assurer le bon fonctionnement du service public ».
Le projet de loi prévoit que toute école actuellement à 15 classes passerait automatiquement au statut d’EPEP par arrêté du Préfet. Les communes pourraient décider de regrouper les petites écoles pour atteindre le seuil de 13 classes pour la création d’un EPEP.
Déjà prévus par la loi de 2004 à titre expérimental, mais sans grand succès, les EPEP semblent donc être un projet important pour le ministère. D’ailleurs, le ministre annonçait la couleur devant la commission des finances du Sénat début juillet : « Nous voulons rationaliser les 57 milliards d’euros en donnant davantage d’autonomie aux établissements et en créant les établissements publics du premier degré, avec des établissements qui aient de vrais patrons, à qui nous puissions déléguer des budgets, qui les gèrent et qui nous rendent compte ». Les quatre grands attendus de la loi, énoncés en ouverture de ce propos, ne devraient en être que les conséquences logiques…
M. Sapies
Xavier Darcos avait annoncé la couleur
Les réactions aux nouveaux concours
L’accueil de ces nouveaux concours n’est pas unanime du côté de la FSU. Selon l’AFP, le Snuipp se déclare « inquiet car dans ces concours, la dimension professionnelle n’existe pas. En outre, ce qui touche à la dimension psychologique et l’évolution de l’enfant est complètement absent. C’est une vision un peu simpliste de l’enseignement en primaire: la conception de l’enseignement à travers ces concours est très disciplinaire, alors qu’on fait des ponts entre les matières ». Le Snes est plus positif. « On jugeait indispensable qu’il y ait une épreuve de vérification des connaissances disciplinaires, alors on est satisfait ». Mais le syndicat regrette la suppression du stage annuel en fin de formation.
Pour le SE-UNSA, « le véritable enjeu reste celui de la formation professionnelle par alternance des futurs enseignants. Le contenu des concours donnera-t-il un signal assez fort pour que les universités construisent les maquettes des nouveaux masters en ce sens ? Le SE-UNSA en doute ». Le syndicat met en doute la portée professionnelle des épreuves. »Lorsqu’une épreuve orale d’admission est cantonnée à une « leçon » virtuelle, non pas devant des élèves, mais face à un jury, on ne se met pas en situation de vraiment juger des aptitudes à enseigner. Les étudiants y seront-ils d’ailleurs bien préparés alors que leur statut leur interdit tout stage préalable en responsabilité durant le master ? Quant à l’absence de praticiens du métier dans un jury de concours ouvrant l’accès à l’enseignement, elle laisse perplexe… «
Les nouveaux concours « conviennent » au Sgen-Cfdt. Mais « il sera toutefois nécessaire d’apporter les précisions suivantes : la deuxième épreuve des futurs professeurs des écoles doit permettre de vérifier l’acquisition d’une véritable culture scientifique…; toutes les épreuves disciplinaires (premier et second degré) doivent intégrer une dimension épistémologique; la présentation demandée aux candidats et l’entretien avec le jury lors de l’épreuve orale pédagogique doit porter sur de véritables situations d’enseignement; la quatrième épreuve ne doit pas se réduire à la connaissance des textes réglementaires, mais mettre en évidence la capacité de réflexion du candidat sur le système éducatif et ses enjeux ».
Des concours qui sacrifient l’avenir pour JL AUduc
Directeur adjoint de l’IUFM de Créteil, Jean-Louis Auduc est au cœur des dispositifs de formation des enseignants. Il nous livre son appréciation des nouveaux concours.
« Les maquettes des concours de recrutement enseignant présentées le 13 octobre confirment toutes les craintes qu’on pouvait avoir concernant la formation professionnelle des enseignants.
A aucun moment, il n’y a dans le texte de cadrage concernant les épreuves des concours, la moindre allusion à l’obligation d’un stage en établissement scolaire.
Cette absence va peser lourd dans la représentation du métier qu’auront les futurs enseignants et pèseront sur le contenu des masters qui devront obligatoirement préparer ces épreuves et les attestations nécessaires au recrutement des professeurs des écoles.
Les épreuves du concours tournent le dos à l’exercice réel du métier enseignant et marquent une conception étriquée de la transmission du savoir ignorant la diversité des publics scolaires et la spécificité de l’école maternelle concernant les grands domaines qui y sont pratiqués.
Elles sont de plus, compte tenu du flou de leurs contenus, porteuses du risque d’une dérive dans certaines disciplines vers des épreuves très académiques, y compris dans les épreuves orales.
On ne peut qu’être étonné de l’absence pour le concours de professeurs des écoles de toute référence à l’éducation physique et sportive et aux pratiques artistiques.
On ne peut qu’être inquiet de l’arrivée d’enseignants ainsi « préparés » à plein temps dans des classes d’établissements scolaires.
Sacrifier ainsi la formation professionnelle des enseignants, c’est sacrifier l’avenir.
Sur le Café article de JL Auduc sur la formation
Sur le Café, le dossier formation
Lycée : Le Sgen demande une révision du calendrier
« Le Sgen-CFDT ne pourrait accepter une réforme qui conduirait à un alourdissement de la charge de travail et à une dégradation des conditions de travail des personnels. Il souhaite au contraire que le service des personnels intègre à côté des heures de cours moins nombreuses, des heures dévolues à la concertation et au travail en équipe, au suivi, au tutorat et à l’accompagnement de l’élève. La redéfinition du métier et du service tenant compte de ces nouvelles tâches doit donc être discutée avant la mise en œuvre de la réforme par les établissements ». Le Sgen Cfdt a fait savoir le 13 octobre qu’il demandait un nouveau calendrier pour la réforme. « Il serait dommageable pour la réussite des élèves actuellement en 3ème de devoir choisir tardivement et à l’aveugle, les différents modules qui leur seront offerts. La réussite de la nouvelle seconde doit aussi reposer sur une offre d’enseignements permettant un choix clair des élèves ». Tout cela plaide, pour le Sgen, « pour un étalement du calendrier de mise en œuvre de la réforme ».
Sur le Café, la réforme du lycée
Le SNPDEN contre les EPEP
« Les EPEP, tels qu’ils sont conçus dans cette proposition, conduiront à mobiliser des ressources très importantes, simplement pour faire vivre des structures administratives nouvelles dont l’apport en termes d’efficacité sera contrasté ». Le SNPDEN, syndicat des chefs d’établissement,critique ce projet gouvernemental qui aboutirait à créer une nouvelle catégorie de chefs d’établissement.
« L’expérience des réseaux « Ambition réussite » souligne qu’on pourrait également explorer d’autres voies, s’appuyant sur les réseaux déjà existants d’EPLE, renforcés d’une partie des moyens qu’on s‘apprête aujourd’hui à disperser sans profit évident. D’autre part, la municipalisation de l’enseignement du premier degré qu’induit à terme cette proposition mérite un plus large débat : les enquêtes internationales soulignent, en effet, que les systèmes éducatifs soumis à des autorités locales sont les plus inégalitaires et débouchent sur de moindres performances nationales ».
L’Etat à nouveau débouté à propos du SMA
Après le Val d’Oise, c’est la demande de l’Etat d’imposer une pénalité aux communes du Val de Marne qui n’ont pas appliqué la loi sur le service minimum d’accueil au primaire qui est rejetée par le tribunal administratif de Melun. Cette décision de justice confirme la difficulté à faire appliquer cette loi décidée contre l’avis des maires.
Sur le Café, l’Etat débouté dans le 95
Rwanda : L’anglais devient langue d’enseignement
Selon l’AFP, l’enseignement secondaire et supérieur n’utilisera plus que l’anglais a décidé le gouvernement rwandais. Il détrône le français. Les enseignants, qui sont majoritairement francophones, suivront des cours d’anglais. On sait que le gouvernement rwandais a accusé Paris d’être impliqué dans le génocide.
17-18 octobre : Elisez les représentants des parents d’élèves
Le 17 ou le 18, selon les établissements, les parents éliront leurs représentants dans les conseils d’administration des établissements scolaires. Il y ont voie délibérative et participent à l’adoption du projet d’établissement, de son budget, des outils pédagogiques achetés par l’établissement. La Fcpe explique le rôle d’un représentants des parents, comment voter, comment se présenter etc.
Guide des élections dans les établissements agricoles
Un concours contre l’homophobie
Lancé par la ministre de la santé, le concours « jeune et homo sous le regard des autres » invite les jeunes à rédiger des scénarios publicitaires contre l’homophobie.
L’apprentissage et les métiers de l’informatique
« L’apprentissage n’est plus une voie de garage, et nous travaillons à ce qu’elle devienne au contraire une voie d’excellence » affirme A. Donzeaud, Vice Président de Syntec informatique, le syndicat patronal des entreprises du secteur informatique.
Le Syntec organise le 7 novembre à Paris la « Journée de l’apprentissage dans les métiers de l’informatique » en partenariat avec les ministères de l’éducation et de l’enseignement supérieur. Le secteur informatique crée chaque année 10 à 15 000 emplois pour de jeunes diplômés.
« L’apprentissage apparaît encore bien souvent comme peu valorisante dans l’esprit des recruteurs, et souffre d’une image en total décalage avec la réalité actuelle du marché » affirme M. Donzeaud. « Nous souhaitons affirmer et souligner que l’apprentissage n’est plus une voie de garage mais au contraire une réelle réponse à une demande croissante du marché en terme de professionnalisation des cursus supérieurs. Notre objectif : encourager le recrutement par cette voie qui est certainement amenée à devenir à l’avenir une voie d’excellence ».
La classe
Le TNI dans Medialog
« Par ses analogies physiques avec le tableau noir (ou blanc), le tableau numérique interactif replace le maître dans sa posture (y compris physique) d’animateur du groupe classe… mais autrement, mettant à sa disposition une palette d’outils beaucoup plus diversifiée que la craie ou le stylo feutre » écrit Jean-Yves Langanay, directeur du CRDP de Créteil. Medialog n°67 ouvre un dossier sur les utilisations pédagogiques des TBI. En cours de français, de maths, d’histoire-géo, des professeurs utilisent le TBI pour faire réaliser par les élèves des exercices ou pour mieux les faire participer au cours.
Sur le café, le Tbi outil de mutualisation
La recherche
Colloque Fernand Oury
« En 2050 en Europe une personne sur deux ne sera pas originaire du pays où elle demeure. Que penser dès lors pour l’école et pour l’université européennes ? Comment enseigner en dehors des cultures, ou n’en pas tenir compte ? La France a un problème d’école ! De l’hexagone « sensible » jusque dans les DOMTOM, elle est scolairement et sélectivement « échouée » ! Des milliers d’intelligences sont maltraitées, négligées, laissées pour compte. L’avenir de la France est aussi, plus que jamais, dans ses banlieues ». Jacques Pain, l’école doctorale 139, des pédagogues (C Héber-Suffrin, F Imbert, L Martin, P Meirieu etc.) organisent les 1er et 2 novembre à Nanterre un colloque Fernad Oury sur le thème de « la pédagogie contre la sélection ».
Conférences et ateliers témoigneront de l’éducabilité et des pédagogies qui réussissent.
Les disciplines
L’AFEF et la réforme du lycée
« Qulle idée pouvons-nous nous faire des apprentissages prévus dans cette nouvelle architecture ? Nous n’allons pas réclamer plus de temps que les autres dans le tronc commun, ce serait malvenu. Alors, que privilégier dans ces trois heures d’enseignements fondamentaux :
– La maîtrise de la langue et des langages, garant de l’insertion sociale, dont nous savons bien que, garantie par aucun socle commun, elle n’est pas assurée à la sortie du collège ?
– L’aide à l’écriture autonome, bagage indispensable pour une organisation modulaire et un parcours individuel responsable ?
– La littérature dont nous nous sommes toujours battus pour qu’elle soit, pour tous les élèves, un moyen privilégié de compréhension du monde et des hommes? » interroge Viviane Youx.
Un nouveau forum sur Primlangues
Quelles activités orales mette en place dès le CE1 ? Primlangues, le site des langues au primaire, apporte des réponses à travers un nouveau foruim.
S.E.S. : Le Manifeste de l’Apses
« Alors que la crise financière submerge l’économie mondiale, alors que les citoyens justement inquiets pour leur emploi et leur épargne n’ont jamais eu autant besoin d’explications sur la situation économique et sociale, le Ministère de l’Education Nationale est en passe de dépecer l’enseignement de Sciences Économiques et Sociales au lycée » écrit l’Apses.
L’association, qui regroupe des professeurs de SES fait allusion aux menaces qui pèsent sur les SES depuis la publication du rapport Guesnerie et la réforme des lycées. « Comment les futurs lycéens pourront-ils comprendre les mécanismes d’évènements aussi complexes que la crise financière actuelle ou le développement durable, au même titre que les mutations de la famille, du travail, du système de protection sociale ou encore des stratégies des entreprises dans un monde en perpétuel mouvement, si l’enseignement de SES se réduit à un assemblage sans cohérence de modules isolés d’Economie, de Sociologie ou de Science Politique ? «
Sur le Café,l’Apses et la réforme du lycée
S.E.S. : Le Nobel d’économie à Paul Krugman
Spécialiste des échanges commerciaux, Paul Krugman a reçu le 13 octobre le prix Nobel.
les tice
Le Plan Besson repoussé d’une semaine
Porte close à l’Elysée et dans le 7ème arrondissement. N Sarkozy devait annoncer lundi matin le plan numérique 2012 concocté par Eric Besson. Les difficultés économiques l’ont contraint à repousser les annonces du plan à la semaine prochaine. Il devrait contenir un volet éducatif.
Open Office 3
Open Office 3 est disponible au téléchargement. Cette nouvelle version de la suite bureautique gagne en rapidité.
le Cafe
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
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