LE FAIT DU JOUR
Budget : l’enseignement spécialisé K.O.
ÉDITORIAL
L’Ecole, le bureaucrate et la disquette
LE SYSTEME
Une proposition de loi UMP demande la création des EPEP l Le Sgen négociera la formation des enseignants l Enseignement agricole : « A la croisée des chemins » l « Entre les murs » : un documenteur l 5 milliards de dollars pour l’éducation l Cameroun : Multiplication des écoles clandestines
L’ÉLÈVE
La CNIL s’oppose au relevé d’empreintes digitales dans les écoles l Ouverture d’un micro-lycée à Vitry l Lucie Bousser à la tête de l’UNL l L’enseignement religieux en Europ
LA CLASSE
Collège numérique 56 l Inspecteur : un métier à redresser ? l
LA RECHERCHE
Moi j’enseigne… mais eux apprennent-ils ?
CITOYENNETE
La Vème a 50 ans l Edvige : le collectif appelle à la Saint-Edvige
LES DISCIPLINES
S.E.S. : Va-t-on fusionner les Ses et l’éco-gestion ? l Histoire : La révolution néolithique
LES TICE
Windows 7 en octobre
Le fait du jour
Budget : l’enseignement spécialisé K.O.
Les 13 500 emplois supprimés touchent prioritairement les RASED, les TZR et les stagiaires. Le gouvernement a publié le 26 septembre le projet de loi de finances pour 2009. Il confirme le chiffre de 13 500 suppressions de postes dans l’enseignement scolaire public et privé, 6 000 dans le primaire et 7 500 dans le secondaire (dont 1 000 dans le privé).
Dans le primaire, le gouvernement annonce la création de 500 postes » pour faire face à l’augmentation du nombre d’élèves ». Mais parallèlement il supprime 6 500 postes qu’il promet de compenser en mettant en poste fixe 500 personnes mises à disposition d’organismes, 3 000 enseignants stagiaires et 3 000 maîtres des Rased (maîtres E et G). Ces maîtres « pourront au sein des écoles et dans le cadre de la nouvelle organisation de la semaine scolaire traiter au mieux et en continu la difficulté scolaire » nous dit le communiqué gouvernemental. Enfin 500 emplois administratifs sont envisagés pour les directeurs des futurs « établissement publics de l’enseignement primaire » que le gouvernement veut créer.
Dans le secondaire, le gouvernement annonce 600 nouveaux postes dans « les lycées difficiles ». Mais parallèlement 8 100 postes sont supprimés en ramenant sur poste fixe 1450 stagiaires, 1 000 mises à disposition et 3 350 remplaçants. « Une agence du remplacement sera créée afin de professionnaliser le remplacement et de permettre l’optimisation de celui-ci sur l’ensemble du territoire » nous dit le gouvernement. Enfin 2 300 postes sont supprimés grâce à » la prise en compte de l’évolution des effectifs d’élèves ».
Pour Bercy « l’ensemble de ces réformes permettra de maintenir le taux d’encadrement des élèves tout en redéployant les moyens vers les publics prioritaires (élèves en difficulté scolaire ; élèves handicapés notamment) ».
Rien n’est pourtant moins sûr, particulièrement pour les enfants nécessitant un enseignement spécialisé. On peut douter que les 2 heures hebdomadaires d’accompagnement par des enseignants non formés compensent le travail des Rased. Ce sont les premiers touchés par le budget 2009.
Au total, 30 627 emplois sont supprimés dans la fonction publique d’Etat, l’éducation nationale étant le ministère le plus touché, suivi de la Défense (- 8250) et de l’Intérieur (- 2 953).
Le Snuipp a réagi vivement à cette annonce, évoquant un budget de « rupture ». « Derrière l’affichage mensonger de la création de 500 postes pour tenir compte de l’évolution démographique (plus 15 400 élèves attendus), ce sont bien des milliers d’enseignants qui vont manquer à la rentrée 2009 dans les écoles. Des enseignants qui travaillent avec des petits groupes d’élèves en difficulté dans les RASED, des enseignants qui assurent les remplacements de congés maladie ou de maternité, en passant par les stagiaires qui effectuent les décharges des directeurs d?école, ou permettent le départ en formation continue, ou assurent la mise en place des TICE à l’école, seront beaucoup moins nombreux. Aux classes plus chargées, sajoutera la remise en cause de l’aide aux élèves en difficulté et de multiples actions liées aux TICE, aux langues vivantes et à la formation ».
Pour le Snes « dans le second degré public, les 5.500 suppressions annoncées sont inférieures aux 8.830 du budget 2008 et les actions menées tout au long de l’année dernière ont sans aucun doute pesé. Mais compte tenu de la nature des suppressions envisagées, les dégradations sur le terrain tant pour les personnels que pour les élèves seront au moins aussi importantes que celles observées à cette rentrée ». Les deux syndicats appellent à participer aux actions des 7 et 19 octobre. On attend les réactions des autres organisations aujourd’hui.
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L’Ecole, le bureaucrate et la disquette
Les TIC sont-elles susceptibles de modifier favorablement les relations dans l’Ecole ? On sait que c’est un des paris des ENT, dont la rentabilité ne sera assurée que par les gains de communication entre acteurs de l’Ecole. On sait aussi qu’en Europe, l’Angleterre est sans doute le pays où les « nouvelles technologies » ont le plus profondément pénétré dans les classes. A titre d’exemple chaque classe bénéficie d’un tableau numérique. C’est ce qui fait le sel du fait divers qui frappe le General Teaching Council for England (GTC).
On a appris le 26 septembre que le GTC a perdu une base de données contenant les références de 11 423 professeurs. Le GCT tient le registre des enseignants en Angleterre et à ce titre détient des informations précises sur tous les professeurs. Le fichier perdu comprend les adresses et les numéros d’immatriculation des 11 423 victimes.
Pour tenir à jour son fichier national, le GTC fait appel à un prestataire et utilise pour communiquer avec lui… le colis postal. C’est le colis contenant le cédérom avec le fichier qui a été égaré par les services postaux sans qu’on puisse remettre la main dessus.
Après deux semaines de vaines recherches, le GTC a réagi et écrit aux 11 423 enseignants pour s’excuser. Mais là le GTC a utilisé le courrier électronique. Or, nous apprend le Guardian, un nombre important d’enseignants n’a pu être joint car « de nombreux enseignants jettent à la poubelle sans les ouvrir les messages venant du GTC »…
Les syndicats se sont emparés de l’incident et le Nasuwt exige du GTC qu’il indemnise chaque enseignant dont l’identité pourrait être usurpée suite à cet incident.
La morale de cette histoire pourrait être que la « modernisation » de la gestion et des relations humaines dans un milieu comme l’enseignement n’est pas affaire de technologie. Celle-ci est par contre parfaitement capable de jeter un jour nouveau sur des fonctionnements bien installés.
Une proposition de loi UMP demande la création des EPEP
La guerre des Epep va-t-elle reprendre ? Les Epep, établissements publics d’enseignement primaire, font l’objet d’une proposition de loi déposée par trois députés UMP.
Le texte prévoit la création obligatoire d’un EPEP dès 15 classes. Les communes pourraient en créer dès 13 classes en regroupant des écoles différentes. Les objectifs annoncés sont « assurer une plus grande mixité sociale en réunissant sous un même EPEP des écoles sociologiquement différentes » et « favoriser la mutualisation des moyens ».
En 2007, les syndicats, les parents de la FCPE et de la PEEP avaient manifesté leur opposition à la création d’EPEP. L’ANDEV, qui regroupe les directeurs de l’éducation des villes françaises, rappelle son opposition estimant que cette loi s’apparenterait à « un coup de force de nature à empêcher toute évolution de l’Ecole ».
Texte Andev et texte de la proposition
Le Sgen négociera la formation des enseignants
« La fédération des Sgen-CFDT sera particulièrement attentive à la dimension pédagogique et professionnelle, reliant théorie et pratique, de la formation des futurs enseignants ». Le Sgen fait savoir qu’il accepte l’idée d’une réforme de la formation des enseignants et CPE. Mais sous condition.
Et c’est sur le terrain de la formation pratique que le Sgen attend le ministère. » Elle veillera à ce que les conditions d’entrée dans le métier ménagent une prise en charge progressive avec un accompagnement et une formation complémentaire de qualité. Elle veillera aussi aux conditions de mobilisation des compétences développées par les formateurs des IUFM dans les nouveaux dispositifs de formation… Si la question de la validation des acquis de l’expérience de nos collègues non titulaires et les conditions de leur titularisation ont tout à fait leur place dans le cadre de ces discussions, nous demandons par ailleurs qu’une négociation sur l’ensemble du système de formation continue des personnels puisse s’ouvrir prochainement qui intégrerait un effort de développement de la validation des acquis de l’expérience en direction des tous les collègues ».
Sur le Café, dossier formation
Enseignement agricole : « A la croisée des chemins »
Le cinquième schéma prévisionnel de l’enseignement agricole doit prochainement définir les grandes orientations de ce système pour les cinq années à venir. Pour préparer ce schéma, un groupe consultatif conduit par la sénatrice Françoise Férat a mené une mission exploratoire et rencontré des acteurs de l’enseignement agricole. Le rapport de la mission, intitulé « à la croisée des chemins » témoigne de « l’exceptionnelle convergence des ressentis et des constats exprimés qui réunissent inquiétudes et attentes de décisions. »
« L’enseignement agricole » va mal, nous dit il, à cause principalement d’une perte d’identité et du « recul de la capacité d’innovation de l’enseignement agricole » induit par un « pilotage uniquement financier ». Le constat est sévère mais clairvoyant. Pour être capable de répondre aux nouveaux enjeux de la société liés à l’alimentation, au territoire et à l’environnement, l’enseignement agricole devra innover à nouveau , expérimenter, en se posant comme des « maisons du savoir » sur le territoire. Un pilotage efficace à tous les niveaux du système semble indispensable pour réussir une telle mutation.
La rentrée dans l’enseignement agricole
« Entre les murs » : un documenteur
« Après avoir vu ce film, je crains qu’une majorité de l’opinion publique ne retienne qu’ « avec de tels élèves, on ne peut pas enseigner », que « ces élèves n’ont décidément pas leur place au collège »… » Bruno Robbes, maître de conférences en sciences de l’éducation à Cergy-Pontoise, analyse le film de F. Bégaudeau. « Nous avons à faire à une fiction qui ressemble à un documentaire : il y a là matière à piéger bien des professionnels (en particulier les jeunes enseignants) et a fortiori les personnes peu familières du monde scolaire ».
5 milliards de dollars pour l’éducation
« Ce jour doit rester comme celui d’un réel engagement ». Koïchiro Matsuura, directeur général de l’Unesco, s’est réjoui de l’annonce par l’ONU de la promesse de 4,5 milliards pour l’éducation. Mais sa phrase rappelle que bien des engagements n’ont pas été tenus…
Dans le cadre des Objectifs du millénaire pour le développement, les membres de l’ONU se sont engagés à assurer « l’éducation pour tous » en 2015. Mais 75 millions d’enfants n’ont toujours pas accès à l’éducation et 774 millions d’adultes et de jeunes ne sont pas capables de lire et d’écrire. L’UNESCO estime que 7 milliards de dollars supplémentaires seront nécessaires chaque année pour parvenir à l’Education pour tous dans les pays à faible revenu d’ici 2015.
Cameroun : Multiplication des écoles clandestines
« Certes, l’offre est inférieure à la demande qui s’accroît chaque année davantage. Mais, cela ne donne pas le droit aux promoteurs de faire n’importe quoi » remarque Cameroon Tribune. Selon le quotidien, à Douala l’enseignement public n’arrive pas à répondre à la demande. Du coup les établissements secondaires privés ne respectant pas les normes prolifèrent.
La CNIL s’oppose au relevé d’empreintes digitales dans les écoles
La Commission nationale informatique et libertés (CNIL) s’oppose au relevé d’empreintes digitales dans un établissement scolaire. Elle rappelle qu’elle n’est pas hostile à la biométrie, mais « elle opère une distinction entre les techniques ayant recours aux empreintes digitales et les autres (contour de la main, réseau veineux, etc) ».
Pour elle, « contrairement au contour de la main, l’empreinte digitale est une biométrie à « trace ». Chacun laisse des traces de ses empreintes digitales, plus ou moins facilement exploitables, dans beaucoup de circonstances de la vie courante (sur un verre ou une poignée de porte etc.). Ces « traces » peuvent être capturées à l’insu des personnes et être utilisées notamment pour usurper leur identité. C’est pourquoi leur utilisation doit être strictement limitée et encadrée ».
Ouverture d’un micro-lycée à Vitry
Soutenu par la région Ile-de-France, le micro-lycée de Vitry accueille une quarantaine d’élèves. A l’image de celui de Senart (77), il scolarise des jeunes décrocheurs avec l’objectif de leur faire avoir le bac. Pour cela, le lycée adapte son emploi du temps et mise sur une relation pédagogique adaptée.
Sur le Café, G Longhi sur les décrocheurs
Lucie Bousser à la tête de l’UNL
L’organisation lycéenne a renouvelé le 28 septembre son bureau national et proté à sa tête Lucie Bousser, élève en terminale S.
L’enseignement religieux en Europe
La Croix présente les trois types d’enseignement religieux en Europe : du confessionnel à l’allemande au transversal français.
La classe
Collège numérique 56
Pour la troisième année consécutive, le Conseil général du Morbihan, avec le CDDP et L’IA, organise les rencontres « collège numérique 56 ». La journée , qui se déroulera le 15 octobre à Vannes, sera marquée par 10 conférences pratiques (le droit de l’image, la baladodiffusion, le TNI et les cartes etc.) et des ateliers (utiliser des logiciels en musique etc.).
Inspecteur : un métier à redresser ?
« Les pressions de l’institution, les exigences de quantification, la systématisation d’évaluations contestables et contestées, le déni manifeste de la pédagogie, poussent mécaniquement les inspecteurs à privilégier et à développer la demande, souvent impérative ou perçue comme telle, de documents, ce que les destinataires nomment volontiers et à juste titre, la paperasse. Malgré l’inscription dans la loi de la liberté pédagogique, on multiplie les contrôles, les injonctions, les enquêtes, les rappels à l’ordre. Comme si ce qui se passe dans la classe était sans importance, comme si c’était toujours la même chose, et comme si le plus important, c’était les résultats aux exercices. On est alors incapable de mettre en relation des résultats et les pratiques qui les produisent. On passe ainsi à côté de l’essentiel, la réalité des apprentissages, la richesse des interventions du maître observant les réactions des élèves mis en situation de réfléchir, de choisir des procédures, de préparer une description de leurs stratégies ». Dans un beau texte, Pierre Frackowiak réfléchit au présent et à l’avenir du métier d’inspecteur. Entre bureaucratie et confiance…
La recherche
Moi j’enseigne… mais eux apprennent-ils ?
« Ce n’est pas la proclamation, l’exposé devant les élèves de notre propre savoir qui suffit à mettre en activité le processus d’apprentissage chez ceux-ci ». L’ouvrage de Michel Saint-Onge, « Moi j’enseigne mais eux apprennent-ils ? » est un classique. La publication de sa 4ème édition donne l’occasion de l’évoquer ici.
Car « Moi j’enseigne… » se livre à un exercice devenu quasi-iconoclaste dans certains milieux parisiens : analyser dans le détail ce qu’est le processus d’apprentissage. L’auteur décortique 8 postulats : le smatières scolaires peuvent-elles intéresser les élèves ? la tâche des élèves se limite-elle à l’enregistrement d’informations ? Suffit-il d’écouter pour apprendre et de parler pour enseigner ? Toute personne sachant écrire est-elle habile à prendre de snotes ? etc.
L’ouvrage montre à quelles conditions les élèves ont besoin d’un professeur. Il analyse ce qu’est un apprentissage et explique comment le mettre en route. Un livre à lire !
Michel Saint Onge, Moi j’enseigne mais eux apprennent-ils ? , Chronique sociale, Paris 2008, 124 pages.
Citoyenneté
La Vème a 50 ans
Depuis le 28 septembre, la Vème République fait partie des quinquas. L’Assemblée nationale et le Sénat reviennent sur l’événement avec des vidéos INA.
Edvige : le collectif appelle à la Saint-Edvige
« Certains reculs partiels, comme le retrait de la vie sexuelle ou de l’état de santé, sont prétexte à avancer dans des propositions qui restent très inquiétantes au regard du texte de 1991 ». Le collectif « non à Edvige » ne semble guère rassuré par la décision gouvernementale de revoir ce texte.
« Le « droit à l’oubli » pour les mineurs, par exemple, est certes une petite avancée par rapport au texte de juillet mais il ne peut faire oublier qu’il s’agit pour la première fois de ficher des mineurs et ce sur de simples soupçons, sans l’existence du moindre délit ». Au terme d’une analyse détaillée du nouveau texte du décret,le collectif « appelle à l’organisation ce 16 octobre, partout en France, de rassemblements citoyens devant les préfectures pour réclamer le respect des droits démocratiques fondamentaux »
Les disciplines
S.E.S. : Va-t-on fusionner les Ses et l’éco-gestion ?
« Dans la famille « sciences de la société », au sein duquel un module de droit serait proposé, Jean-Paul de Gaudemar s’interroge sur le rapprochement qui pourrait être opéré entre l’enseignement de l’économie dispensé dans l’actuelle série ES et celui dispensé en série STG (pourquoi deux enseignements de l’économie ?) » Selon l’APSES, qui rend compte de sa rencontre avec JP de Gaudemar, chargé de la réforme u lycée, la fusion SES – éco-gestion serait effective dans le futur lycée rénové.
Histoire : La révolution néolithique
« Faut-il regretter la néolithisation ? » demande Le Monde à deux historiens. « Non » répond Jean Guilaine, « car ce processus a apporté la sécurité alimentaire, créé des surplus, transformé la nature vivante. Mais l’homme a dévoyé le message du néolithique. Il est devenu un loup pour sa propre espèce, alors qu’il aurait pu créer un monde plus équitable. Je n’accuse pas le néolithique, mais je pense que c’est l’homme qui a mal tourné. »
les tice
Windows 7 en octobre
Selon ZD Net, une version béta de Windows 7, le nouveau système d’exploitation de Microsoft, sera disponible en octobre en version béta.
le Cafe
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