Par François Jarraud
Va-t-on ressusciter l’adaptabilité ? La réforme de l’orientation est en cours. En attendant, que faire après une 3ème ? Après la terminale ?
La réforme de l’orientation
Le HCE veut réformer l’orientation
« La réussite ou l’échec des élèves sont jugés en fonction de leurs seuls résultats par rapport à des savoirs abstraits ». Le Haut Conseil de l’éducation a remis le 9 juillet son rapport sur l’orientation. Parmi les mesures demandées par le HCE : la suppression des conseillers d’orientation, le passage de l’accueil des services d’orientation aux régions. Pour le HCE, « il importe que l’orientation ne soit pas trop précoce ni trop définitive, par exemple en facilitant les changements de parcours pendant la scolarité »
Lire le compte-rendu de F. Solliec
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lexpresso/Pages/2008/07/lOrie[…]
Le retour de l’adaptabilité ?
Va-t-on vivre le grand retour de l’orientation faite en adaptation aux besoins des entreprises ? C’est ce qu’annonce le Snes dans un commentaire sur le rapport attendu du Haut Conseil de l’Ecole sur l’orientation.
A vrai dire ce n’est pas le premier rapport sur ce sujet. Le rapport Reiss par exemple rendait les personnels d’orientation responsables des insuffisances du système. Selon le Snes, le futur rapport du HCE serait dans cette lignée. « Les propositions du rapport… traduiraient, si elles étaient confirmées, un changement complet de paradigme dans l’orientation scolaire en posant comme prioritaire, dès le collège, une illusoire adaptation, en temps réel, de l’Ecole aux besoins économiques ».
Communiqué Snes
http://www.snes.edu/spip.php?article14986
Sur le Café, de l’individualisation à l’information
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lemensuel/leleve/Pages/2007/87_[…]
Sur le Café le rapport Reiss
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lemensuel/leleve/Pages/2007/87_O[…]
Sur le Café, dans le Guide des parents
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lesdossiers/Pages/2007/r2007_Acc[…]
L’Acop et le Se-Unsa contre le rapport du HCE sur l’orientation
« Le rapport nie le lien essentiel entre orientation et psychologie, c’est-à-dire la question existentielle des choix d’orientation qui ne peut être traitée à la légère et par n’importe qui » estime l’ACOP, association qui regroupe des conseillers d’orientation.
ON sait que le HCE a rendu récemment un rapport sur l’orientation sévère sur les COP et qui redéfinit la mission d’orientation en la diversifiant entre le soutien aux élèves en difficulté et l’information sur l’orientation. L’ACOP défend la dimension psychologique de l’orientation : » Il est donc indispensable que soit maintenu un véritable service d’orientation de l’Education nationale où cette question soit prise en charge de façon nuancée et individuelle par des psychologues en nombre suffisant ».
Le Se-Unsa défend également cette ligne : » alors que la première partie du rapport porte un diagnostic lucide, même s’il n’apporte rien de neuf, sur les défauts du système éducatif et les effets pervers de la hiérarchie des voies et des séries, pas une seule recommandation pour remédier à l’orientation par l’échec. En quoi mettre un terme au recrutement des COP ou diluer les services dans des guichets uniques constituent des réponses appropriées au diagnostic posé ? »
Le rapport du HCE
http://www.hce.education.fr/gallery_files/site/21/49.pdf
Communiqué ACOP
Communiqué Se-Unsa
http://www.se-unsa.org/page_cadres.php?id=40
Sur le Café, le rapport du HCE
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lexpresso/Pages/2008/07/lOrientat[…]
Sur le Café, l’orientation dans le Guide des parents
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lesdossiers/Pages/2007/r2007_Acc[…]
Des parcours de découverte des métiers du collège au lycée
Une circulaire publiée au B.O. établit un « parcours de découverte des métiers et des formations » pour l’orientation dans les établissements secondaires.
Au collège, « à partir de la classe de cinquième, débute la découverte d’une large palette de métiers, dans un parcours construit jalonné d’“étapes- métiers” qui se poursuivra jusqu’en classe de troisième et pourra utilement être poursuivi au lycée. Ces étapes-métiers peuvent prendre appui sur les enseignements…, les heures de vie de classe,… les actions éducatives existantes, … les modalités variées de contact avec le monde de l’entreprise et du travail ». La classe de quatrième est mise à profit pour la découverte des voies de formations : les élèves doivent passer une journée dans un lycée ou un CFA. En troisième ils bénéficient d’une séquence d’observation en entreprise.
Au lycée, « dès l’année scolaire 2008-2009, une journée est effectuée par chaque lycéen de classe de première dans une université, un institut universitaire de technologie, une section de technicien supérieur ou une classe préparatoire aux grandes écoles. Sa préparation, son organisation et son exploitation utile pour chacun nécessitent une attention particulière, en coordination avec lesdits établissements ; des entretiens personnalisés d’orientation sont offerts dès l’année 2007-2008 en classe de première et dès l’année 2008-2009 en terminale ; en première année de CAP/BEP/bac pro trois ans, un entretien personnalisé permet, en phase d’accueil, d’identifier les besoins des élèves pour construire leur parcours; …en terminale, cette démarche doit être complétée par la mise en œuvre du dispositif d’orientation active ».
Comme « outil de mise en oeuvre », la note demande un « livret personnel de l’élève ».
Circulaire
http://www.education.gouv.fr/bo/2008/29/MENE0800552C.htm
150 000 sorties sans qualification ?
« Pour un débat respectueux des faits ». C’est ainsi qu’André Ouzoulias avait conclu un article donné au Café où il analysait les chiffres proclamés dans les médias par le ministre et la presse. C’est à un travail identique que s’attelle Bulletin 65 du Snpi-Fsu, le syndicat FSU des inspecteurs.
» Et pourtant… En mars 2008, la DEPP établissait le bilan des sorties sans qualification depuis le milieu des années 1970 (note d’information 08.05). Les données sont claires : “ Le nombre d’élèves quittant le système éducatif sans un niveau de qualification reconnu a considérablement baissé en trente ans, passant de 170 000 à 42 000 ” soit une diminution de 75 % ». Alors sur quoi repose ce chiffre de 150 000 sorties sans qualification qui fait peur à tout le monde ?
Le Snpi Fsu
Sur le Café
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lesdossiers/Pages/2008/Ouzoulias[…]
Le guide des néo-COP
« Au-delà de l’adaptation de l’enfant à l’école, ou de l’école à l’enfant, au-delà de l’adaptation de l’adolescent ou du jeune adulte à la vie professionnelle -et réciproquement-, ne perdons pas de vue qu’en démocratie, l’orientation vise aussi et peut-être d’abord, la construction d’une personne humaine entière et d’un citoyen participant pleinement à la vie de la Cité et du vivre-ensemble ». Rédigé par C. Grisaud et J. Vauloup, Le « Guide du Néo COP » aborde tous les aspects du métier : s’intégrer à l’équipe du centre d’information et d’orientation, collaborer avec un chef d’établissement et ses adjoints…, gérer un agenda et des lieux de travail variés etc., tout cela est dans le Guide.
Télécharger le guide
http://www.ia72.ac-nantes.fr/servlet/com.univ.collaboratif.u[…]
B. Saint-Girons délégué à l’orientation
Un décret du 22 août nomme Bernard Saint-Girons, ancien recteur de Créteil et directeur de l’enseignement supérieur, délégué interministériel à l’orientation.
Au J.O.
http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT[…]
Sur le Café, l’orientation
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lexpresso/Pages/2008/07/lOrientat[…]
Que faire après le collège ?
Tout sur l’orientation après la 3ème
Bernard Méhaut est chargé de cours au CEFOCOP (Centre de formation des conseillers d’orientation psychologues). Il nous propose un ouvrage simple, destiné aux parents, accessible, qui dévoile très précisément le processus d’orientation en fin de troisième.
Mais il va plus loin en présentant les filières et les formations, en indiquant les ressources disponibles (personnes, lieux, moyens). En fonction de son projet (par exemple aller en seconde générale) il invite le jeune à apprendre à se connaître : évaluer le niveau de sa clase, analyser sa moyenne, découvrir ses points forts; puis les métiers et les filières.
Bernard Méhaut, Tout sur l’orientation. Comment bien s’orienter après la 3ème, Delagrave, 2008, 224 pages.
Dans le Café, s’orienter en troisième
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lesdossiers/Pages/2007/r2007_pare[…]
Le métier qui me plait
Crée par Canalmetiers.tv, le concours vidéo « Je filme le métier qui me plaît » s’est clos par une remise de prix le 24 juin. Les élèves devaient réaliser un clip de 3 minutes sur un métier. Ce sont les jeunes du lycée des métiers Eiffel de Talange (57) qui emportent le premier prix.
Les clips et le palmarès
http://www.jefilmelemetierquimeplait.fr/
Après la terminale
L’accès à l’emploi des jeunes reste difficile en France
« Les performances du marché du travail français se sont améliorées, mais l’écart vis-à-vis des pays les plus performants reste marqué ». Selon Les Perspectives de l’emploi de l’OCDE, le taux de chômage standardisé s’est réduit de un point de pourcentage en 2007, atteignant 8.3% à la fin de l’année, mais il reste supérieur de 1.3 point à la moyenne européenne et de 2.7 points plus élevé que la moyenne OCDE.
« Quelque soit le niveau d’éducation atteint », note l’OCDE, « les jeunes semblent se heurter en France à d’importantes barrières à l’emploi. Un an après avoir quitté le système éducatif, seulement 9.7% des jeunes peu qualifiés occupent un emploi, contre 26.1% en moyenne dans les pays Européens, et parmi le plus diplômés, seulement 46,3% travaillent, taux d’emploi le plus faible en Europe après l’Italie ». L’accès à l’emploi est particulièrement difficile pour les minorités ethniques.
L’étude
http://www.oecd.org/dataoecd/42/37/40904413.pdf
Un rapport du CERC sur l’insertion des jeunes
« En 2004, 117 000 jeunes sont sortis de formation initiale1 sans diplôme du second cycle de l’enseignement secondaire. Ces sorties sans diplôme représentent environ 17 % de chaque génération. En France, tout particulièrement, la reprise d’études est rare. Sortir sans diplôme de l’enseignement initial conduit donc à une probabilité très élevée de ne pas en acquérir un au long de sa vie active ». Le CERC (Conseil de l’emploi, des revenus et de la cohésion sociale) publie un rapport sur L’insertion des jeunes sans diplômes.
Le rapport se penche sur l’échec scolaire et prend exemple sur le modèle finlandais : sélection le plus tard possible, capacité à gérer l’hétérogénéité.
Le rapport
http://www.cerc.gouv.fr/rapports/rapport9/rapport9cerc.pdf
Sur le Café francilien, le dispositif réussite pour tous
http://cafepedagogique.studio-thil.com/regionales/Francilien/Pages/idf[…]
Les diplômes du supérieur restent des atouts
« Etre diplômé de l’enseignement supérieur, un atout pour entrer dans la vie active » titre la publication Bref n° 253 de juin 2008 du centre d’études et de recherches sur les qualifications, CEREQ. L’étude menée sur les jeunes issus de l’enseignement supérieur en 2004 montre bien qu’un diplôme de l’enseignement supérieur reste « payant » en termes d’emploi et de salaire. Ainsi en 2007 le taux de chômage global est de 14% (32% chez ceux qui n’ont obtenu aucun diplôme, 17% pour ceux qui ont obtenu un CAP ou un BEP) mais seulement de 8% pour les jeunes sortant de l’enseignement supérieur, environ la moitié de la génération.
Lire le reportage de F. Solliec
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lexpresso/Pages/2008/06/Generatio[…]
IVA 2007 : Formation et emploi en Ile-de-France
Les enquêtes IVA donnent des indications précises aux enseignants puisqu’elles permettent d’indiquer des filières et des niveaux de sortie intéressants aux élèves pour chaque région. Ainsi l’enquête Ile-de-France fait » apparaître une corrélation étroite entre l’insertion professionnelle sept mois après la sortie du lycée, le niveau de formation et l’obtention du diplôme. De même, ils montrent des disparités importantes d’accès à l’emploi selon les spécialités de formation suivies par les jeunes ».
« Certaines spécialités procurent dès le niveau CAP-BEP une réelle insertion, alors que pour d’autres l’accès à l’emploi n’est aisé qu’à partir du baccalauréat, voire du BTS. Alors que le taux moyen d’emploi des sortants au niveau CAP-BEP se situe à 45 %, les sortants du groupe Travail social sont à 64 %, ceux des Transports manutention magasinage à 63 %, ceux du Bâtiment : construction et couverture à 60 %, ceux de Coiffure, esthétique à 58 % et ceux d’Énergie génie climatique à 56 %. D’autres spécialités assurent un très net avantage du niveau baccalauréat sur le niveau CAP-BEP. Ainsi, les sortants de Commerce vente au niveau bac ont un taux d’emploi de 65 % contre 39 % au niveau CAP-BEP. Pour la spécialité Moteurs et mécanique auto, le gain est encore plus avantageux (73 % comparé à 43 %). Pour d’autres spécialités, le niveau BTS apporte un très net avantage sur le niveau baccalauréat : 83 % des sortants de BTS de la Santé sont en emploi contre 62 % des sortants de baccalauréat. En revanche, pour le Secrétariat bureautique ou la Comptabilité gestion, seul le niveau BTS permet un accès rapide à l’emploi. »
IVA 2007 Ile-France
http://lycees.iledefrance.fr/jahia/webdav/site/lycee/shared/Off[…]
Seulement 4 bacheliers sur 10 valident leur licence en 3 ans
« 39 % bacheliers 2002 qui ont suivi une première année de licence après leur baccalauréat ont obtenu leur diplôme en trois ans. Le cursus antérieur des étudiants a une forte influence sur leur réussite : la moitié des bacheliers généraux « à l’heure » ont eu leur licence en trois ans, contre seulement 33 % des bacheliers généraux « en retard » et 15 % des bacheliers technologiques » affirme une étude de la Depp (ministère).
L’étude
http://www.education.gouv.fr/cid21620/l-acces-a-la-licence-des[…]
Un étudiant sur cinq a un emploi
« En moyenne sur 2004-2006, 2,1 millions de jeunes suivent des études dans le supérieur et 19,2 % d’entre eux cumulent emploi et études » écrit l’Insee. « La moitié des étudiants du supérieur qui travaillent exercent une activité prévue par leurs études (stages, apprentissage) ou qui en est très proche (emplois « pré-insérés »). Un tiers d’entre eux occupent un emploi régulier sur l’année sans lien avec leur niveau de qualification ou leur domaine d’études. Ces emplois, sont ici qualifiés d’attente, d’appoint ou de concurrents, selon les conditions d’exercice. Ils sont d’autant plus fréquents que les étudiants sont âgés et autonomes. Enfin, 20 % des étudiants qui travaillent, ont un emploi occasionnel, notamment pendant les vacances d’été ».
Etude Insee
http://www.insee.fr/fr/themes/document.asp?ref_id=ip1204
Une université sur deux exige des frais illégaux
Selon l’Unef, » après 3 années de campagne contre ces pratiques illégales, l’UNEF recense cette année encore 35 universités où les étudiants sont contraints de payer des frais supplémentaires s’ils veulent pouvoir s’inscrire à l’université : 40% des universités sont donc aujourd’hui encore hors-la-loi et s’exposent à des recours contentieux ». Selon l’UNef, « six universités se détachent du lot en demandant des droits complémentaires dépassant 1 000€ (Aix Marseille 3 : 16 000€, Reims : 9 600€ ; Lyon 3 : 7 500€ ; Amiens : 6 021€ ; Chambéry : 2 000€ ; Grenoble 2 : 1 749,03€ ».
Le syndicat dénonce « une sélection sociale accrue à l’entrée de certains diplômes » et demande au ministre de rappeler à l’ordre les universités fautives. Il propose également un modèle de demande de remboursement.
Communiqué Unef
http://www.unef.fr/delia-CMS/une/article_id-2414/topic_id-160/[…]
BTS : De fortes inégalités
« Avec 150 700 candidats et 101 400 lauréats, le taux de réussite à l’examen du brevet de technicien supérieur (B.T.S.) atteint 67,3 % à la session 2007 » annonce une Note de la Depp (ministère). Un taux « jamais égalé depuis 1985 », selon la Depp, qui gomme une quasi stabilité depuis 2007 et amortit la déflation des effectifs dans ces formations.
« Les candidats scolaires réussissent toujours mieux que ceux issus de l’apprentissage et de la formation continue, et les bacheliers généraux mieux que les bacheliers technologiques et professionnels bien que les écarts se réduisent » affirme la Depp. Ceux-ci restent très forts : 44% pour les bacheliers professionnels tertiaires, 81% pour les bacheliers ES. « Les disparités académiques subsistent : les meilleurs scores sont enregistrés dans les académies de Nantes, Rennes, Besançon, Caen et Grenoble et les plus faibles en Île-de-France, en Corse et dans les départements d’outre-mer ».
Etude de la Depp
http://www.education.gouv.fr/cid21617/resultats-des-brevets-de-te[…]
La croissance des CPGE continue
« À la rentrée 2007, 77 600 étudiants sont inscrits en classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE). Les effectifs des CPGE augmentent encore cette année à un rythme plus soutenu qu’en 2006 (+ 2,5%contre + 1,8 %). Les étudiants sont plus nombreux dans toutes les filières, surtout dans les classes économiques et commerciales. Néanmoins, par rapport au vivier des admis au baccalauréat, la part des entrants évolue peu : 9,5% des bacheliers généraux ou technologiques de la session 2007 ont intégré une CPGE » annonce une étude de la Depp (ministère).
Selon elle « quatre étudiants entrés en CPGE sur cinq poursuivent en seconde année. C’est dans la filière littéraire que les étudiants se réorientent le plus : 45%quittent les classes préparatoires avant la seconde année. Un quart des étudiants inscrits en seconde année redouble. C’est davantage le cas des étudiants des classes générales que ceux des classes technologiques ».
Cette étude fait suite à un autre travail publié en avril sur les origines, privilégiées, de ces étudiants.
L’étude
http://media.education.gouv.fr/file/2008/36/6/NI0820_28366.pdf
Sur le Café le compte rendu d’avril 2008
http://cafepedagogique.studio-thil.com/lexpresso/Pages/2008/04/1004200[…]
Les prépas
Le B.O. du 26 juin publie la liste des classes préparatoires.
Au B.O.