FLASH SPECIAL : LE RAPPORT POCHARD
Le texte du rapport Pochard (version du25 janvier)
LE FAIT DU JOUR
Le rapport Pochard veut tirer plus des enseignants
ÉDITORIAL
Commission Pochard : Changer les profs pas le système
LE SYSTEME
L’enseignement agricole : un modèle menacé ? l Agricole : Un agenda social l Primaire : Les heures du samedi l Des collèges pas comme les autres l Titularisation des stagiaires.
L’ÉLÈVE
La nouvelle Orientation active au B.O. l Une gifle embarrassante
LA CLASSE
Aux Pyramides, la rénovation c’est toute une histoire l L’orientation au collège
LA RECHERCHE
Comment les instits collaborent-ils ?
CITOYENNETE
Minorités visibles : Toronto ouvre un lycée « noir »
LES DISCIPLINES
E.D.D. : Le Se-Unsa premier syndicat vert
LES TICE
L’Eee PC, le portable à 300 euros
flash spécial : le texte du rapport pochard
Le rapport Pochard
Faites vous votre opinion ! Le Café vous propose de découvrir le texte intégral du rapport Pochard (version du 25 janvier).
Le fait du jour
Le rapport Pochard veut tirer plus des enseignants
Alors que sa parution officielle est fixé au lundi 4 février, le rapport Pochard est déjà largement commenté dans la presse, qui en publie des extraits, et par les syndicats.
Les informations qui circulent actuellement mettent l’accent sur quatre points. La commission Pochard demanderait l’annualisation du temps de travail des enseignants. Cette vieille demande de l’administration, reprise dans les récents rapports d’audit, peut permettre de mieux gérer les emplois du temps des élèves. Mais elle a aussi l’avantage d’augmenter le temps de travail des professeurs en gommant les jours fériés et dans certaines filières les périodes de stage des élèves.
Le rapport Pochard veut aussi reconnaître la performance des enseignants. Une double évaluation, par l’inspection et le chef d’établissement, est recommandée. Le recrutement des enseignants pourrait être modifié : on distinguerait la certification de l’admission sur un poste. Enfin le rapport veut accorder plus d’autonomie aux établissements.
Les syndicats réagissent négativement à cette pré-publication. Le Snes estime que « les orientations développées sont en totale contradiction avec les aspirations des personnels du second degré : bivalence dans les collèges, élargissement des compétences des chefs d’établissement dans le domaine pédagogique mais aussi dans la gestion des carrières, des conditions de service, d’emploi et de rémunération des enseignants ». Le Se-Unsa dénonce « un horizon managérial ». Le Sgen craint la rémunération au mérite.
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Commission Pochard : Changer les profs pas le système
A coup sûr, le Livre vert de la Commission Pochard va occuper les colonnes du Café la semaine prochaine. Il y aura peut-être un peu de colère autour de ce texte. Peut-être serait-il sage d’en attendre la publication, mais on risquerait alors de ne pas partager un autre sentiment devant le travail de la commission : la déception.
Car ce qui frappe d’abord dans ce qu’on connaît du rapport c’est la part faite aux idées à la mode. La Commission préconise l’autonomie des établissements en leur laissant gérer librement 10% de la DHG. Outre que le chiffre fait sourire (les 10% on a déjà vécu cela), l’échec des 10% a tenu justement en grande partie au fait que l’autonomie ne se décrète pas. Il ne suffira pas de la décréter ou même de la souhaiter pour gommer des siècles de fonctionnement et de formatage culturel.
Le même raisonnement guette le nouveau mode d’évaluation des enseignants. Sans entrer dans le débat sur ce qu’est un bon prof, donner aux chefs d’établissement un pouvoir accru de notation est sans doute conforme à une idée du patronat mais ne paraît pas très réaliste. C’est partir du présupposé que le chef d’établissement pourra devenir un véritable patron et faire mieux fonctionner l’établissement. Or à l’évidence les intéressés ne sont pas forcément avides de pouvoir en matière pédagogique.
La Commission a manqué à se prononcer sur ce que pourrait être une Ecole plus performante si l’on donne à ce mot une définition plus large que le coût de fonctionnement. Elle prétend que l’Ecole aille mieux sans toucher à la pédagogie, à l’organisation du temps scolaire, au climat scolaire. La véritable efficacité humaine de l’Ecole est pourtant à chercher sur ces terrains là. Comment impulser une pédagogie positive dans les classes ? Comment instituer l’interdisciplinarité ? Comment façonner des équipes ? Finalement quel type d’école veut-on ?
L’enseignement agricole : un modèle menacé ?
Modèle pour son ouverture, ses pratiques pédagogiques, son adaptation à des publics très différents, sa structure diversifiée, l’enseignement agricole n’en est pas moins menacé. C’est cette bivalence que ce Dossier mensuel du Café pédagogique veut rendre.
La modernité se trouve par exemple dans les pratiques pédagogiques. Plus qu’un autre il a intégré l’éducation au développement durable et Lydie Prieur, enseignante de biologie, en donne un bel exemple. Plus qu’un autre il s’attache à transmettre les enseignements généraux en motivant des élèves parfois en reconstruction : tutorat, utilisation des tice, appui sur les compétences professionnelles des élèves font partie des outils comme le montre Stéphane Busuttil. L’ouverture sur l’environnement économique et culturel est mis en valeur par un directeur, Stephen Bonnessoeur.
L’enseignement agricole achève-t-il son histoire ? C’est ce que craignent nombre d’enseignants alors que l’on parle d’intégration à l’éducation nationale. Raison de plus pour interroger le père fondateur que fut Edgard Pisani. Il a bien voulu répondre aux questions de Monique Royer.
Agricole : Un agenda social
« Le cabinet du Ministre a voulu montrer sa volonté de renouer avec un dialogue social en acceptant d’étudier certaines propositions du Sgen-CFDT : le lancement d’une expertise sur l’emploi contractuel, le rééquilibrage de la répartition des moyens entre public et privé, la mise en place d’une expérimentation pour le bac pro 3 ans. Il a également annoncé une modification des dotations attribuées aux établissements plus favorables que celles annoncées précédemment ». Le Sgen se félicite de cette avancée.
Primaire : Les heures du samedi
C’est « en début de semaine prochaine » que Xavier Darcos devrait présenter son arbitrage sur l’utilisation des heures du samedi matin maintenant libérées. S’il est acquis qu’une partie des heures sera utilisée pour aider les élèves en difficulté en maths et en français, la répartition précise des heures fait l’objet d’un désaccord avec les organisations syndicales.
Surle Café, les derniers arbitrages
Des collèges pas comme les autres
« Une école où Google Earth sert de manuel de géographie, où le bulletin de notes n’existe pas et où les cours changent chaque semaine, c’est possible ». Le quotidien 20 Minutes rend compte en ces termes du projet de collèges innovants lancé ici-même par Gabriel Cohn-Bendit. Le journal interroge le cabinet du ministre et le recteur d’Aix-Marseille. « On va inventer, sans courir trop de risques. On ne fera pas n’importe quoi. On va donner sa chance à une équipe d’enseignants et de pédagogues motivés. Il faut crever ce plafond de l’échec, qui est parfois désespérant. Il faut faire bouger les lignes ».
Sur le Café, la communauté du projet
Titularisation des stagiaires
Le B.O. du 31 janvier publie une note qui abroge le texte de 2007 et le remplace. Il précise les modalités d’évaluation et de titularisation des professeurs stagiaires lauréats des concours de recrutement.
La nouvelle Orientation active au B.O.
Le B.O. du 31 janvier publie deux circulaires qui encadrent précisément « l’orientation active », c’est-à-dire la procédure d’orientation à la fin du lycée.
« Cette démarche doit permettre d’informer objectivement les lycéens sur le contenu et les débouchés des filières qu’ils souhaitent intégrer, ainsi que des perspectives d’insertion professionnelle plus ou moins grandes selon les secteurs d’activités et des différents métiers auxquelles elles peuvent conduire. L’orientation active remplit une fonction de conseil : elle consiste à demander à l’université d’examiner le dossier du futur étudiant au vu de son projet, de son parcours scolaire et des exigences du cursus dans lequel il souhaite s’inscrire, afin de conforter son choix initial ou de lui conseiller une filière mieux adaptée de nature à favoriser sa réussite » précise le texte.
La démarche couvre essentiellement la période qui va du second trimestre de terminale à la première année du supérieur. Le conseil de classe du second trimestre de terminale est appelé à émettre un vœu sur l’orientation envisagée par le lycéen. Il s’appuie sur le dossier d’inscription type déjà utilisé dans 15 académies et généralisé en 2009. Ce document reprend les notes et appréciations de l’élève depuis la première et contient le projet professionnel de l’élève.
L’avis du conseil de classe est un simple conseil. Le dossier est ensuite transmis à l’établissement supérieur qui l’étudie et émet un avis. « Je vous rappelle qu’il s’agit d’exprimer un conseil d’orientation sous la forme d’un avis personnalisé. Vous veillerez à prendre les précautions utiles pour que les préconisations ne puissent en aucun cas être interprétées par le lycéen comme un refus d’inscription ou comme la mise en place d’un processus de sélection mais bien comme une aide à la décision de l’intéressé. Quelle que soit la recommandation de l’université, l’élève restera, en application de l’article L. 612-3 du code de l’éducation, libre de son choix final, mais ce dernier se fera à la lumière d’une analyse objective, éclairée et réellement accompagnée » rappelle la circulaire.
Parallèlement injonction est faite aux proviseurs de privilégier en STS les élèves des filières technologiques. « Le recteur… veillera en particulier à ce que les commissions chargées d’étudier les demandes d’admission en section de technicien supérieur (STS) réservent un examen prioritaire aux demandes présentées par les bacheliers technologiques. L’admission en STS est par ailleurs de droit pour les bacheliers technologiques ou professionnels qui ont obtenu la même année une mention “bien” ou “très bien” à l’examen ».
Une gifle embarrassante
« On ne va pas dire que la gifle est une réaction justifiée. Mais il y a une réaction disproportionnée et trop rapide des autorités. C’est disproportionné par rapport au fait que quelqu’un craque ». « C’est un geste blâmable, mais aller en justice, c’est un peu disproportionné. Il y a des limites! ». Pour une fois, les profs du Sgen-Cfdt et les parents de la Peep sont d’accord : la détention durant 24 heures et la plainte en justice contre l’enseignant qui a giflé un de ses élèves sont considérées comme exagérées par les syndicats et les associations de parents.
Et sur Internet, les professeurs de technologie, ceux d’autres disciplines se solidarisent avec un collègue,quitte à dénoncer un prétendu laxisme. « Bientôt on ne pourra même plus punir ou sanctionner un élève sans avoir les parents ou l’administration sur le dos » écrit un professeur de technologie.
On mesure alors l’embarras de l’administration. Ne pas sévir c’est encourager les passages à l’acte. Le faire c’est prendre le risque d’une double peine alors que l’enseignant a déjà beaucoup payé…
Enfin cette affaire pose la question du malaise enseignant. La chasse à la rentabilité, l’absence d’une politique de seconde carrière ne permettent pas à l’administration de trouver des solutions humaines pour les enseignants qui sont usés et deviennent fragiles. Cette gifle claque aussi sur la joue de l’institution.
La classe
Aux Pyramides, la rénovation c’est toute une histoire
« Je remercie une femme qui a été pour moi beaucoup plus qu’une femme car elle sait se montrer sévère et se faire respecter tout en sachant écouter, conseiller, pousser ceux qui en ont besoin ». Ce message, Eloïse l’adresse à son prof principal. Il y a aussi Solen : « Je suis assez heureuse d’avoir fréquenté ce collège. La première raison en est que ma mère n’est jamais allée à l’école ». Mais il y aussi ce cri anonyme : « on apprend de belles choses au collège mais c’est difficile de supporter les professeurs qui nous crient dessus ». Ces propos sont extraits de l’ouvrage publié par le Conseil général de l’Essonne à l’occasion de la rénovation du collège Les Pyramides d’Evry, un établissement Zep au milieu d’une cité.
Claudie Lechiche, professeur de français, a eu l’idée de faire travailler les élèves en atelier d’écriture en s’appuyant sur les photos d’Alexis Harnichard prises durant la rénovation. « Le bouche à oreille autour de l’atelier a fonctionne » confie C. Lechiche. « D’autres collégiens se sont joints au groupe initial me remettant des pages d’écriture émouvantes. Nos collégiens, dont la parole n’est pas toujours prise en compte, ont trouvé ici un moyen de parler d’eux, de parler des autres ».
Interrogée par le Café, la principale, Colette Cassini, souligne l’impact de la rénovation entreprise par le Conseil général auprès des élèves et des familles. « L’impact sur tous a été positif. Les élèves sont, je suis sure, heureux de vivre dans un bel établissement. La restructuration a permis aussi de vivre dans des espaces confortables, grands, beaux, spacieux. Nous bénéficions de l’internet dans toutes les salles de classes, d’un CDI magnifique avec des postes informatiques, un espace médical spacieux et bien utilisé, une salle de sports intégrée au collège avec vestiaires et bureaux, et une salle de spectacle pouvant accueillir 150 personnes. Enfin l’espace repos / repas autour d’un jardin zen est très apprécié par beau temps ».
L’orientation au collège
Les procédures d’orientation, les dispositifs propres au collège comme la découverte professionnelle, les voies après la 3ème : ce petit ouvrage de l’Onisep apporte les informations de base au professeurs de collège qui veulent s’initier à une démarche d’orientation.
L’orientation au collège, Onisep, 2007, 68 pages.
Sur le Café , l’orientation au lycée
Sur le Café, l’orientation dans le Guide des parents
La recherche
Comment les instits collaborent-ils ?
C’est la question que s’est posée la Communauté française de Belgique qui a mandatée une recherche – action, menée par Caroline Letor, JudithLeal Gonzalez et Marie de Monge, pour aider les équipes enseignantes à utiliser le temps de concertation à analyser leurs pratiques. Dans la Communauté, les enseignants du primaire bénéficient de 60 heures annuelles pour la concertation (en France 36 heures aujourd’hui, probablement une soixantaine l’année prochaine). Si la recherche produit des outils d’analyse, elle apporte aussi des informations précieuses, et sans doute transposables au système français, sur les pratiques de collaboration des enseignants.
Le premier enseignement c’est la grande diversité des situations. « Les pratiques de collaboration s’avèrent avant tout plurielles dans leurs modalités, leurs objets et leurs intentions. La collaboration ne se réduit pas à une pratique unique et uniforme ». Les variations portent aussi bien sur leur caractère formel ou pas, la planification, le rôle de la direction et le mode de fonctionnement horizontal ou vertical, les objets traités et les retombées sur la vie pédagogique de l’école.
Le second, et peut-être le plus important, c’est que la collaboration est tout sauf naturelle dans les écoles. « Les données montrent que d’une part, les enseignants sont attachés à garder une certaine réserve sur ce qu’ils font en classe et en même temps, ils manifestent leur volonté à lever le voile sur leurs pratiques de classe. Ces deux aspects qui nous avions a priori défini comme des pôles opposés d’un même axe, se retrouvent associées… Aussi, si la dimension professionnelle inclue dans les injonctions est bien présente dans la conception que se font les enseignants du travail de collaboration, ils dénient le projet d’établissement, les demandes de la direction et des autorités scolaires comme référents de ce travail de collaboration. On peut voir dans ces données, un rejet des aspects hiérarchiques et bureaucratiques que prennent les modalités de contrôle de ce travail. Toutefois, les enseignants restent ambivalents sur le fait de reconnaître les réunions de concertation comme une ressource ou une contrainte ».
On retiendra donc peut-être de cette recherche que toute tentative d’impulser de la collaboration, surtout si on veut lui donner une finalité pédagogique, nécessite un accompagnement important. « Cette transformation des manières de penser et d’agir en situation professionnelle suppose la mise en place d’un cadre sociocognitif qui permette l’expression de points de vue différents et le traitement critique de ces points de vue et d’un cadre sociorelationnel et émotionnel où les identités des personnes ne sont pas menacées. Il s’avère que de tels processus relève d’une combinaison heureuse de conditions socioorganisationnelles, psychosociales (cognitives, sociales et émotionnelles) et socioprofessionnelles. L’ampleur du défi que pose le concept d’apprentissage organisationnel aux établissements scolaires laisse penser que l’observation de tels processus relève plutôt de l’improbable. C’est pourquoi nous préférons parler d’apprentissage organisationnel que d’organisation apprenante ».
« Si les enseignants sont prêts à mettre en commun leurs pratiques…, ils restent attachés à un exercice « à la base », isolé, et que ce qui se passe en classe relève d’une zone professionnelle mais privée » concluent nos auteurs.
L’étude
Citoyenneté
Minorités visibles : Toronto ouvre un lycée « noir »
L’Expresso du 31 janvier essayait de faire comprendre l’évolution des systèmes éducatifs vis-à-vis de la question raciale dans les pays anglo-saxons. Un nouvel exemple est donné aujourd’hui avec l’annonce de l’ouverture d’un lycée « pour noirs » à Toronto, au Canada.
L’établissement public intègrera « les connaissances et les expériences des peuples originaires d’Afrique dans l’enseignement ». L’objectif est de lutter contre le décrochage des lycéens noirs.
Les disciplines
E.D.D. : Le Se-Unsa premier syndicat vert
« Se reconnaissant dans les objectifs du Comité 21 (Comité français pour l’environnement et le développement durable), le SE-UNSA a décidé d’engager une démarche d’agenda 21″. Résultat les militants du siège national et des sièges locaux vont travailler pour « adopter des modes de production et consommation responsables et réduire les émissions de CO2. respecter la diversité culturelle et lutter contre les exclusions, soutenir les filières environnementales et l’économie sociale, renforcer la solidarité internationale et promouvoir auprès des collectivités l’affectation de 1% du budget aux objectifs du millénaire ».
les tice
L’Eee PC, le portable à 300 euros
L’Expresso l’avait annoncé. Il est là ! L’Eee PC est un ordinateur ultra-portable (920 grammes) à moins de 300 euros. Certes l’écran est petit, le clavier peu agréable,le disque dur minuscule. Mais le Eee PC d’Asus peut se glisser dans le cartable et garder la communication avec Internet ou un réseau. C’est dire qu’il devrait intéresser l’Ecole.
le Cafe
Les anciens Expresso ?
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