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Par François Jarraud

LE FAIT DU JOUR

Le rapport sur la série S veut retarder la spécialisation des lycéens

ÉDITORIAL

2007 éclaire-t-il 2008 ?

LE SYSTEME

Concours : Les syndicats annoncent une dégradation du service public l Enseignements artistiques : le rapport Gross un choc culturel pour l’Ecole ? l Inflation scolaire : Intéressant débat dans « Profession éducation » l Pressions conservatrices dans l’enseignement catholique

L’ÉLÈVE

Stabilité aux élections des parents d’élèves l Cantine : Plus de remise aux familles nombreuses ?

LA CLASSE

Nouveau calendrier du bac : pour le Snes « mission impossible »

CITOYENNETE

Elections : J – 4

LES DISCIPLINES

Documentation : La Semaine de la presse à l’école l Maternelle : Le rapport Bentolila sous la critique l EDD : Le projet de loi sur les OGM l EDD : La Nina l Maths : Sésamath récompensé l Technologie : Les nouveaux programmes bientôt en consultation

LES TICE

Attention aux cartes de vœux électroniques !

Le fait du jour

Le rapport sur la série S veut retarder la spécialisation des lycéens

« La mission ne préconise ni un renforcement de la spécialisation des trois séries générales, ni une fusion de ces dernières qui conduirait à former de la même manière tous les élèves. Au cycle terminal de la voie générale, l’élève doit construire son parcours de formation au fur et à mesure que ses goûts et que ses aptitudes se révèlent, c’est à dire progressivement. La progressivité dans la construction de son parcours permet à l’élève d’affiner son projet, de l’ajuster ou même de le revoir ». Le rapport sur la série S, rédigé par les inspecteurs généraux Jean Moussa, Claudine Peretti et Daniel Secrétan, était guetté. Il vient après un rapport sur la filière L et au moment d’une polémique sur la série ES. Enfin il est publié alors que la crise de la série la plus prestigieuse du système éducatif français est éclatante : une série au recrutement de plus en plus socialement ségrégatif mais qui échoue à produire les étudiants en sciences nécessaires. C’est clairement signifier un certain échec de l’orientation dans le secondaire.

Ainsi les rapporteurs démontrent d’abord l’inefficacité du système des options en seconde. « La classe de seconde ne joue pas son rôle de classe de détermination. Cela tient d’une part à la méconnaissance qu’ont les élèves et les familles de la nature et des débouchés des différentes voies de formation, et d’autre part aux effets pervers du choix des options. Ce choix est en effet opéré dans une liste trop étendue et difficile à décrypter qui ne place ni les familles, ni les établissements, en situation équitable et il est souvent ressenti par les différents acteurs comme une prédétermination à entrer dans telle ou telle série ». Aussi proposent-ils de remplacer les options par un « parcours de formation » qui permettrait de faire découvrir aux élèves les finalités et méthodes des différentes filières. « Cette préparation au choix d’un parcours de formation s’appuierait sur des activités de découverte ; leur cadre réglementaire serait déterminé par un cahier des charges et non par un programme ; les lycées les déclineraient en fonction du projet d’établissement, du contexte local, des partenariats possibles (avec des universités, des établissements technologiques voisins, des institutions culturelles…), des compétences disponibles dans l’établissement, et des intervenants extérieurs susceptibles d’être mobilisés ». C’est le modèle des TPE qui est évoqué ici.

En première et terminale tous les élèves partageraient un tronc commun avec des enseignements d’approfondissement. Ces derniers pèseraient peu en première face au tronc commun et c’est seulement en terminale qu’une véritable différenciation se ferait avec un renforcement des options. On aurait ainsi gagné une autre année à la confirmation des choix des lycéens. Les auteurs ne croient pas qu’un renforcement de l’identité scientifique de la série répondrait aux attentes. Au contraire ils estiment qu’un style d’enseignement des sciences explique le désintérêt des élèves pour les formations scientifiques. « L’effondrement numérique des premiers cycles universitaires en sciences fondamentales, associé à l’attrait continu des études économiques, financières, et médicales, et à l’absence d’effondrement dans le domaine des sciences appliquées plaide en faveur du caractère expérimental de l’enseignement qui a permis de contrarier, au moins partiellement, le phénomène de désintérêt pour les sciences constaté dans la plupart des pays. Sur ce point, la crainte de voir l’Europe manquer de scientifiques a conduit un groupe d’experts mandaté par la Commission européenne à prôner un revirement dans l’enseignement des sciences pour passer d’une méthode déductive à une méthode basée sur le questionnement qui accroît l’intérêt des élèves pour les sciences, notamment des filles, et la réussite des élèves de milieux défavorisés comme favorisés ».

Cette réforme serait-elle à même de lutter contre les volontés ségrégatives à l’œuvre dans le système éducatif ? Au moins pourrait-elle aligner notre système éducatif sur ceux de nos voisins qui n’ont pas forcément des résultats inférieurs (voir Pisa 2006). « L’organisation en séries de la voie générale est une particularité française » écrivent les auteurs. « Lui substituer une logique de construction de parcours de formation faciliterait la réussite du projet professionnel de l’élève, et permettrait un rapprochement des pratiques rencontrées dans différents pays de l’Union européenne. Cela favoriserait les échanges et la reconnaissance des formations et des diplômes entre les pays ».

Le rapport

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2007 éclaire-t-il 2008 ?

Si l’on devait, comme l’usage nous y invite, faire un bilan « éducatif » de l’année 2007, peut-être pourrait-on y introduire comme thème principal celui de l’orientation en soulignant l’écart entre une réelle avancée, des ouvertures et des risques de fermeture.

Une avancée mérite d’être soulignée : en décembre on a vu « l’orientation active », ce dispositif qui guettera à terme chaque lycéen de terminale et chaque étudiant, passer d’un outil de sélection à un véritable instrument d’orientation. L’écart entre les deux pèse pas moins de 500 millions. Et le mérite en revient essentiellement aux étudiants et lycéens qui ont su arracher ces moyens au gouvernement. Là où « l’orientation active » imaginée par Robien se limitait à éliminer les étudiants en difficulté, un nouveau dispositif leur offrira une première année peu spécialisée et donc propice aux réorientations et les aides méthodologiques dont ils pourraient avoir besoin. On est passé d’une logique d’exclusion des étudiants faibles à un effort pour aider ceux-ci à faire leur chemin. Il y a là un renversement de perspective parfaitement conforme à ce que doit être l’école républicaine, si le plan est réellement appliqué.

Les ouvertures se retrouvent dans le dernier rapport sur la série S. Lui aussi repousse l’idée de la sélection précoce et propose des dispositifs pour que le jeune construise son choix d’orientation sur la durée. Il tient compte de la réalité des vœux et des situations des élèves et des familles. Et ce n’est pas par hasard qu’il préconise des pédagogies de type TPE et qu’il ose même regretter leur disparition en terminale. Ces mêmes TPE qu’on trouve encore cités en modèle par le rapport Gross.

Après la glaciation robienne, l’éducation traverserait-elle un printemps des possibles ? Certes il y aussi ceux qui défendent l’idée d’orienter le plus précocement possible les élèves. Ceux qui conçoivent l’orientation comme un processus d’adaptation au marché local de l’emploi. Il y a aussi les apôtres de l’effort et de l’éducation par la souffrance dès la maternelle. Mais pour quelques jours on a l’impression que le changement est possible. C’est ce que laisse penser la posture ouverte adoptée par le ministre. C’est aussi ce qu’on aimerait croire. En cette fin décembre on se plait à espérer qu’un Père Noël de la rue de Grenelle remette en marche l’Ecole vers la démocratisation et la modernité. Après tout c’est l’époque des voeux…

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Concours : Les syndicats annoncent une dégradation du service public

« Chute libre » pour le Se-Unsa, la baisse du nombre de postes mis aux concours est dénoncée par les organisations syndicales. Au primaire un poste sur dix disparaît,soit 1120 postes. Pour le Snuipp , «  le ministère ne tire aucune leçon de ce qui se passe aujourd’hui sur le terrain. Depuis cette rentrée, les inspections académiques sont obligées de procéder, à nouveau, à un fort recrutement sur la liste complémentaire : plus de 1500 enseignants ont déjà été recrutés de cette façon dès octobre 2007. Sans formation, ces nouveaux enseignants doivent assurer du jour au lendemain un métier complexe qui engage une forte responsabilité au niveau de la réussite des élèves ».

Dans le secondaire, 1600 postes disparaissent soit – 16%. Le Se-Unsa relève que « la suppression programmée de 85 000 enseignants d’ici 5 ans est donc entamée, alors même que 150 000 élèves de plus sont attendus sur la même période. Cela va avoir pour conséquence une dégradation des conditions d’exercice du métier d’enseignant et des conditions de scolarisation des élèves ». Le syndicat s’inquiète également de l’avenir des étudiants privés de 2500 postes. Le Snep souligne la situation particulière de l’Eps : pour 1 300 départs en retraite, il n’y a que 400 postes aux concours.

La Fsu, l’Unsa, la Cgt, le Sgen Cfdt, Fo et Sud ont fait une déclaration commune au Comité technique paritaire du 21 décembre pour protester contre le budget et appeler à la grève le 24 janvier. L’UNL, première organisation lycéenne, appelle les lycéens à participer au mouvement.

Communiqué intersyndical

Se-Unsa

Snuipp

Enseignements artistiques : le rapport Gross un choc culturel pour l’Ecole ?

« Le changement ne peut se concevoir que s’il est accompagné par une volonté politique opiniâtre, érigeant l’éducation artistique et culturelle en grande politique publique dotée de moyens correctement évalués ». En concluant par cette phrase son rapport sur l’éducation artistique et culturelle, l’inspecteur général Eric Gross ne cache pas que ses recommandations nécessiteront des efforts pour être appliquées.

L’objectif n’est pas mince : introduire enfin dans toute l’Ecole, tout le temps, de la culture et des arts. Et E. Gross a bien compris que pour cela il fallait s’appuyer sur les outils de la culture, c’est-à-dire le numérique, et sur une pédagogie qui éveille l’intelligence, et il recommande les outils développés pour les Tpe, comme une évaluation d’un carnet de bord artistique et culturel. Dernier trait, cette éducation passe pour lui par un véritable partenariat entre l’Etat et les collectivités locales, entre l’Education et la Culture. C’est dire qu’introduire culture et arts dans l’Ecole nécessite de changer l’Ecole…

On relèvera encore l’attention qu’E. Gross apporte aux aspects concrets : obligation pour tout élève d’avoir visité le patrimoine local et par suite redéfinition de ce qu’est la visite scolaire et création des structures propres à accueillir les élèves; gestion des droits sur les œuvres numériques et utilisation de l’exception pédagogique; doter chaque établissement d’un projet culturel et artistique.

Ce rapport important amène à réfléchir sur les finalités de l’Ecole et son rapport à la société civile. Un ministère est-il capable d’une telle transformation ?

Le rapport Gross

Inflation scolaire : Intéressant débat dans « Profession éducation »

La revue du Sgen Cfdt, « Profession éducation » n°171, oppose Eric Maurin, auteur d’un ouvrage sur la démocratisation scolaire, et Marie Duru-Bellat qui a consacré un livre au thème de »l’inflation scolaire ». Pour elle, le fait qu’au niveau des personnes, plus on est formé, plus on a de chance de s’insérer socialement signifie-t-il que, au niveau du pays, développer l’éducation va réduire le chômage ?… Dans notre pays où 40% d’une classe d’âge est déjà diplômée de l’enseignement supérieur, est-on sûr que la situation de l’emploi serait meilleure si le chiffre atteignait 60% ? »

Eric Maurin souligne lui les effets de la démocratisation scolaire. « On constate par exemple une proportion de jeunes occupant des postes de cadres et professions intermédiaires 5 ans après la sortie de l’Ecole près de 10 fois plus élevée après la démocratisation qu’avant ». L’interruption de l’effort de démocratisation au milieu des années 1990 a cassé cette « amélioration générale ».

Le Sgen Cfdt

Sur la Café dossier spécial sur l’inflation scolaire

Sur le Café, compte-rendu du livre d’E. Maurin

Pressions conservatrices dans l’enseignement catholique

« Il faut oser réaborder la question religieuse dans les établissements catholiques ». Le Figaro prête cette phrase au secrétaire général de l’enseignement catholique. Selon Le Figaro, l’enseignement catholique français fait écho à un texte émis par la Congrégation pour l’éducation catholique du Vatican qui appelle plus clairement à renforcer le caractère religieux des établissements. Ce texte, validé par le pape, voit en l’école catholique « un lieu pédagogique favorable à la pastorale des vocations » et estime que « le projet de l’école catholique est convaincant seulement s’il est réalisé par des personnes profondément motivées, parce que témoins d’une rencontre vivante avec le Christ », ce qui semble exclure des établissements les non-catholiques.

Interrogée par le Café, la Fep-Cfdt, première organisation syndicale de l’enseignement catholique, estime que « le retour en force aujourd’hui d’une certaine forme de cléricalisme et la légitimation de formes ultra conservatrices sont préoccupantes. Il serait regrettable que le texte du Vatican vienne conforter ce courant ». La Fep-Cfdt rappelle que « les établissements privés associés au service public sont tenus d’accueillir tous les élèves quelles que soient leurs confessions d’origine. Les maîtres quant à eux, doivent aussi pouvoir garder leur entière liberté sur ce plan tout au long de leur carrière, ils sont tenus d’assurer un programme officiel et d’offrir toutes les garanties afférentes aux agents de l’Etat ».

Article du Figaro

Le texte du Vatican (sur le site du Sgec)

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Stabilité aux élections des parents d’élèves

Les résultats des élections des représentants des parents d’élèves sont enfin connus. Ils montrent une stabilité des résultats, tant dans la participation que dans le rapport entre les organisations. Les taux de participation ne progressent pas avec 44% de votants dans le primaire et 26% dans le secondaire.

La Fcpe reste la première organisation avec près de 660 000 voix au primaire (Peep 130 000) et un million au secondaire (Peep 330 000). Si au primaire les parents ont voté majoritairement pour des parents non constitués en association, au secondaire la Fcpe et la Peep dominent et représentent les trois quarts des parents.

Les résultats

Sur le Café : Le guide des parents

Cantine : Plus de remise aux familles nombreuses ?

Les remises de principe permettent aux familles dont trois enfants au moins sont internes ou demi-pensionnaires dans les établissements publics de bénéficier sous certaines conditions, de réduction sur le coût du service d’hébergement. Le sénateur UMP G. Longuet demande la suppression de ces remises au motif que leur gestion coûte trop cher. La Fcpe demande le retrait de cet amendement.

L’amendement longuet

Texte Fcpe

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La classe

Nouveau calendrier du bac : pour le Snes « mission impossible »

« La volonté de resserrer le calendrier des épreuves conduit à imposer aux élèves de première L de passer leurs trois épreuves anticipées (français, enseignement scientifique, mathématiques) dans la même journée de 8H à 18H, sans quasiment aucune pause pour les candidats bénéficiant d’un tiers temps ». C’est le premier problème identifié par le Snes dans le nouveau calendrier du bac expérimenté par le ministère dans 13 départements. On sait que X. Darcos envisage de généraliser en 2009 un calendrier scolaire prolongé jusqu’à la fin juin en lycée, ce qui suppose une réorganisation complète du bac.

Le syndicat estime aussi que « imaginer que, pour une dizaine de jours, les élèves de Seconde puissent terminer leur année scolaire dans des salles d’un collège voisin, reconstruire des emplois du temps qui intègrent la mission d’examinateurs des enseignants, anticiper les décisions du conseil de classe pour faire remplir en amont des dossiers d’orientation ou tenir à la hâte ces conseils à la dernière minute semble peu efficace et potentiellement dangereux ».

Enfin, le Snes dénonce l’alourdissement du travail des enseignants qui vont devoir en même temps faire cours, participer aux conseils de classe et corriger les copies dans un temps raccourci. Pour le Snes ce sera « mission impossible » en français et philosophie. « C’est méconnaître nos métiers que penser qu’au motif de « gagner plus » il serait possible d’alourdir indéfiniment les tâches des enseignant sans conséquence sur la qualité de leurs missions ». Le Snes demande une « remise à plat du calendrier ».

Communiqué Snes

Article du Café

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Citoyenneté

Elections : J – 4

Plus que quatre jours pour s’inscrire sur les listes électorales et élire le maire de son choix en mars 2008. Les inscriptions seront closes le 31 décembre. L’UNL, syndicat lycéen, invite les jeunes à s’inscrire et rappelle les dangers de l’abstention. « Les risques d’abstention sont clairs depuis l’horreur du 21 avril 2002, journée qui a connu une abstention massive chez les jeunes et vu l’extrême-droite parvenir à menacer le système républicain. Pour éviter que se reproduisent de telles situations et pour faire entendre leur voix, tous les lycéens et les jeunes doivent être en mesure de voter en mars 2008 ».

Appel UNL

Pour s »inscrire sur les listes électorales

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Les disciplines

Documentation : La Semaine de la presse à l’école

Dès le 8 janvier, les enseignants pourront inscrire leur classe à la » Semaine de la presse à l’école « . La Semaine se déroulera du 17 au 22 mars et aura pour thème « une info, des médias ». C’est l’occasion pour les élèves de découvrir les médias et leurs métiers et aussi pour les enseignants de les former à une analyse critique de la presse. En 2007, la Semaine avait touché plus de 4 millions d’élèves dans plus de 13 000 établissements.

Le Semaine

Maternelle : Le rapport Bentolila sous la critique

« Avec A. Bentolila, on pouvait s’attendre au pire ». Pour Pierre Frackowiak, inspecteur, qui analyse ici le dernier rapport d’A. Bentolila sur la maternelle, le texte d’A. Bentolila ignore et méprise l’école maternelle.

La tribune de P. Frackowiak

Le rapport Bentolila dans L’Expresso

EDD : Le projet de loi sur les OGM

Faisant suite au Grenelle de l’environnement, le projet de loi relatif aux organismes génétiquement modifiés institue une Haute Autorité sur les OGM chargée de surveiller les cultures. L’article 5 impose une garantie financière aux exploitants agricoles et l’article 6 une déclaration précise des cultures OGM.

La Fnsea estime que « que la composition de la future haute autorité de même que le libellé du projet de loi laissent à penser que la France prend ses responsabilités et donne la parole aux experts scientifiques, c’est-à-dire à ceux qui peuvent éclairer le débat et rassurer les consciences sur la prise de décisions » et appelle les agriculteurs à ne pas acheter de semences OGM avant la fin de la session parlementaire le 9 février.

Le projet de loi

Déclaration Fnsea

EDD : La Nina

La Nina est bien au rendez-vous ! La Nasa montre l’évolution des températures dans l’océan pacifique et met en évidence la Nina. Elle rappelle également ses effets : températures plus froides sur le nord-ouest américain par exemple.

Article de la Nasa

Maths : Sésamath récompensé

« Mercredi dernier, j’ai reçu des mains du directeur de l’UNESCO une mention d’honneur récompensant Sésamath pour  » la qualité de ses supports pédagogiques et pour sa capacité démontrée à toucher un large public d’apprenants et d’enseignants » nous écrit Benjamin Clerc, président de Sésamath. L’Expresso avait annoncé en octobre la remise du prix Unesco – Roi Hamad Bin Isa Ak-Khalifa à Sésamath. Le prix récompense des projets utilisant les TIC dans l’éducation.

Pour l’association, « cette reconnaissance internationale renforce la motivation de tous les membres de l’association et ses nombreux contributeurs ».

Sésamath

Dans L’Expresso

Technologie : Les nouveaux programmes bientôt en consultation

« Le projet de programmes pour les 4 années du collège vient d’être déposé à la Direction Générale des Enseignements Scolaires (DGESCO). Respectueuse de la lettre de cadrage, notre proposition réalise un équilibre entre le rapprochement de la Technologique avec les autres disciplines scientifiques du collège, l’apport de compétences en informatique indispensables à tout enfant du 21ème siècle et l’ouverture vers les aspects socio-économiques et le développement durable ». L’Assetec, une association de professeurs de technologie, publie ce communiqué du Groupe d’experts sur les programmes de technologie au collège.

La réécriture des programmes est terminée et le projet sera soumis à consultation fin janvier. Ils pourraient entrer en application à la rentrée 2008. Ces programmes devraient renforcer la convergence des enseignements scientifiques demandée par l’académie des sciences.

Communiqué

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les tice

Attention aux cartes de vœux électroniques !

Cette année encore, Secuser met en garde contre les cartes de vœux électroniques envoyées par courriel. N’ouvrez que celles qui vous sont confirmées par l’expéditeur. En effet, le virus Storm Worm se présente comme un message de Noël et incite à visiter un site « Happy New Year ! » proposant une carte de vœux électronique.

http://www.secuser.com

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le Cafe

Le Café en vacances

L’Expresso est en vacances et devient hebdomadaire jusqu’à la rentrée début janvier. Nous vous souhaitons de bonnes et joyeuses fêtes !

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