Comment Internet change le marketing du point de vente
Dix-sept milliards d’euros. C’est ce que devraient rapporter, cette année en France, les ventes sur Internet. Rien qu’au premier semestre 2007, le e-commerce a fait un bond de 38%. Certes, il n’est plus question de parler de disparition du point de vente. L’e-commerce ne concerne que 3% à peine du commerce de détail (INSEE) et le magasin est aujourd’hui largement réinvesti par les marques qui n’hésitent pas à installer des pas-de-porte et dépenser des sommes importantes dans l’aménagement de l’espace commercial. Mais, face à l’ergonomie de plus en plus confortable et esthétique des sites marchands ou la créativité des sites de marques, le point de vente doit rester un vecteur de lien et de sens entre la marque et son client. Et surtout coller davantage à ses nouvelles attentes. Car, au-delà de l’achat qu’il peut effectuer sur le Net, et ce avec de plus en plus de plaisir, 24% des cyberacheteurs prennent plus de plaisir à acheter sur Internet qu’en magasin. Ils sont 40% parmi les cyberacheteurs expérimentés.
http://www.emarketing.fr/Magazines/ConsultArticle.asp?ID_Article=21711
Les soldes d’hiver 2007/2008
Les dates de début des soldes sont fixées, dans chaque département, par les préfets, après consultation des organismes professionnels et de consommateurs. Leur durée maximale autorisée est de six semaines.
Pour l’hiver 2007/2008, la date de début des soldes devrait intervenir le 9 janvier 2008 pour l’ensemble des départements.
http://www.dgccrf.minefi.gouv.fr/actualites/soldes/soldeshiver07_08.htm
Changer de nom de marque
Opter pour un nouveau nom de marque permet le plus souvent de redynamiser son activité. Mais attention, cette démarche a un coût et comporte certains risques. Voici les explications d’experts et un retour d’expérience pour mener à bien un tel projet.
http://www.journaldunet.com/management/marketing-commercial/dossier/07/071107-changer-nom-marque/index.shtml
La mobilité au cœur du marketing direct de demain
Après une année 2006 timorée en matière de campagnes, 2007 semble marquer un tournant pour le marketing mobile. Davantage de marques ont entrepris des campagnes sur ce média, le parc de téléphones se renouvelle, les opérateurs commencent à proposer des forfaits adaptés et les consommateurs, pour leur part, considèrent le marketing mobile comme moins intrusif. Selon l’Arcep, la France comptait en 2006 plus de 48.5 millions d’abonnés mobiles, soit un taux de pénétration de 80,6% ! En revanche, le nombre de connectés à la 3G reste relativement faible: 4 millions d’abonnés.
Dans cet environnement, les SMS et MMS font désormais partie du paysage publicitaire français. Les marques y ont de plus en plus recours pour diffuser leur message de manière instantanée. La simplicité, le prix (85 euros au mille) et la compatibilité du SMS avec le parc de téléphones en font le média le plus plébiscité par les annonceurs. Toutefois, son utilisation future sera certainement cantonnée aux alertes et aux opérations promotionnelles de trafic en magasin. Quant au MMS, plus graphique et attrayant, il est encore victime, d’une part, de son prix assez élevé (trois fois plus cher qu’un SMS) et, d’autre part, des contraintes liées à l’hétérogénéité des téléphones, qui supposent la fabrication de plusieurs formats en amont. Malgré tout, il reste un média différenciant pour la marque qui souhaite communiquer sur son image.
http://www.emarketing.fr/Magazines/ConsultArticle.asp?ID_Zoom=51&ID_Article=19797
Le boom du hard discount
Les Français se mettent au hard discount : 13 % des ménages y font désormais leurs courses, un chiffre qui a doublé en 5 ans.
http://www.linternaute.com/video/actualite/92155/le-boom-du-hard-discount/
Il faut aborder le consommateur chez lui
Vendu par Nestlé à un fonds d’investissement en 2000 et cédé à nouveau en 2006, Findus a réussi à doubler sa part de marché depuis. Et ce malgré de fortes contraintes en termes de business et de budgets marketing. Pour se démarquer, la PME emploie des méthodes telles que l’observation du consommateur chez lui, vidéos à l’appui. Les explications de Steven Libermann, directeur marketing de Findus.
http://www.journaldunet.com/management/marketing-commercial/interview/steven-libermann-findus/index.shtml
La beauté conjuguée au pluriel
Quels points communs y a-t-il entre Monica Belluci, Pénélope Cruz et Scarlett Johansson ? Toutes trois sont séduisantes, certes, mais surtout sensuelles, sexy avec des corps loin d’être filiformes et sans bourrelets. Des corps sublimes qui ont d’ailleurs été plébiscités par les lectrices de l’hebdomadaire Elle en juin dernier et désignés «plus beaux corps 2007». Pourquoi ceux-là plutôt que d’autres? «Toute norme produisant son antinorme et amorçant un nouveau cycle de tendances, on voit naître le rêve d’un corps plus normal, un corps naturellement musclé et qui exprime le soin que l’on se porte, mais un corps dégagé des injonctions fixées par d’autres», explique dans son livre, La société mosaïque, Jolanta Bak, p-dg d’Intuition. Car voilà, plus que la beauté encore, le corps a pris «une place centrale dans nos vies. Il est la vitrine de notre identité», ajoute l’auteur. Dans le domaine de la beauté, le corps est ainsi au coeur de nos préoccupations. Il parle à notre place, révèle le côté performant ou volubile des individus. «Le corps devient plus que le visage un instrument de représentation sociale», note Véronique Liaboeuf, directrice associée de Dragon Rouge. Il parle aux autres, traduit nos aspirations, révèle les modes de vie, à tel point que certains chefs d’entreprise ne cachent pas n’employer que des «sportifs faisant au moins trois heures de sport par semaine». Selon Véronique Liaboeuf, il existe plus que jamais un «diktat de la performance». Et ce, quels que soient les canons de la mode, pour peu qu’on paraisse aller de l’avant, optimiser son âge et toujours prendre le dessus.
http://www.emarketing.fr/Magazines/ConsultArticle.asp?ID_Zoom=36&ID_Article=19522
Réforme de la loi Galland : ce qui va changer
La loi Galland qui voulait rétablir l’équilibre des relations commerciales entre fournisseurs et distributeurs fut un échec, entraînant la hausse des prix à la consommation. En cours de réforme depuis 2005, de récentes propositions visent à redonner du pouvoir d’achat aux consommateurs.
http://www.journaldunet.com/management/marketing-commercial/actualite/07/reforme-loi-galland/index.shtml
iPhone : premières retombées commerciales chez Orange
« Un très beau score ». C’est en ses termes que Louis-Pierre Wenes, Directeur Exécutif en charge des opérations d’Orange France, qualifie le lancement de l’iPhone par France Telecom. Après cinq jours pleins d’ouverture commerciale, l’opérateur affiche 30 000 ventes d’iPhones.
Quelques retombées commerciales sont déjà communiquées : 48% des ventes d’iPhone donnent lieu à l’ouverture d’une nouvelle ligne Orange, 80 % des clients souscrivent simultanément un forfait spécifique Orange pour iPhone.
Du coup, France Telecom se montre assez confiant dans sa capacité à conquérir de nouveaux clients avec l’iPhone.
http://www.vnunet.fr/fr/news/2007/12/05/iphone___premieres_retombees_commerciales_chez_orange
Différenciation et fidélisation : la recette de la Boîte à Pizza
La première chaîne de pizzas 100 % française. Voilà comment la PME toulousaine aime à se définir. En effet, si la formule de la pizza à emporter ou à livrer à domicile est directement importée des Etats-Unis, l’enseigne a su l’adapter à la gastronomie nationale. Avec plus de 100 magasins et un chiffre d’affaires de 31 millions d’euros en 2006, en progression de 40 %, le modèle semble en tous cas avoir fait ses preuves. Retour sur la stratégie de la PME avec son PDG, Frantz Lallement.
http://www.journaldunet.com/management/0710/reussite-boite-a-pizza/index.shtml