Langues
Les acquis des élèves en langues
Quelle place pour l’expérimentation dans l’enseignement des sciences ? Comment former à une pensée relationnelle ? Le groupe lyonnais du GFEN organise trois rendez-vous scientifiques à Lyon les samedis 8 décembre, 9 février et 24 mai.
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Trois concours de Primlangues
Le site des langues au primaire, Primlangues, annonce trois concours destinés aux élèves. Olympiquizz est un concours national à destination des élèves qui apprennent l’allemand et/ou l’espagnol. Il se présente sous la forme de QCM de grammaire, de vocabulaire, d’orthographe et de culture générale et a pour objectif de motiver les élèves en leur proposant de se mesurer à d’autres jeunes de leur âge. On s’inscrit avant le 21/12/2007.
Le concours Deutsch, ich bin dabei est organisé par l’OFAJ. Il est destiné aux classes d’allemand des écoles primaires françaises (CE2-CM1) et vise un triple objectif : encourager l’apprentissage de l’allemand dans les écoles primaires, valoriser les pédagogies favorisant l’interactivité et l’expression orale et valoriser les compétences en expression orale des enfants en langue allemande. Date limite de la remise des productions : 30 mars 2008.
Enfin, Primlangues lance le concours « Raconter une histoire en langue étrangère » destiné aux cycle 3 et CE1. Inscription avant le 31 mars.
Sur Primlangues
Formations à l’étranger
Le B.O. n°43 fait connaître les programmes de formation à l’étranger. Ainsi des enseignants du premier degré peuvent enseigner en Allemagne, des enseignants du secondaire effectuer des stages linguistiques à l’étranger. Le B.O. précise les conditions à remplir ainsi que le calendrier d’inscription.
Au B.O.
De nouveaux programmes en marche !
Les inspecteurs FSU dénoncent des programmes idéologiquement marqués au primaire
« Il y a des idées généreuses et novatrices, mais il y a aussi une vision de l’école qui obéit à ce que les hommes politiques de droite appellent la « modernité » : le culte du résultat chiffré, l’apologie des idées simples, le souci permanent du contrôle derrière l’affirmation d’une liberté accordée aux agents qui n’est en fait qu’une responsabilisation face à l’obligation de résultat ». Le Snpi, syndicat des inspecteurs Fsu, analyse les instructions ministérielles pour les nouveaux programmes du primaire.
Pour le syndicat, ils devraient remettre en question les cycles. Mais ce n’est pas tout. » Le ministre souhaite des programmes courts, simples…, par année scolaire, dépourvus de préconisations méthodologiques (adieu, donc, la démarche expérimentale dans la didactique des sciences !). À force de dénigrer les programmes nationaux, les deux derniers ministres, De Robien, et maintenant Darcos, font inconsidérément entendre aux maîtres que ces programmes n’ont aucun intérêt. Que seule compte, finalement, la pérennité des vieux manuels scolaires disponibles dans les écoles . Les inspecteurs, dont l’une des missions est de faire comprendre l’intérêt des repères pédagogiques du système scolaire, vont définitivement passer pour des rigolos sans colonne vertébrale, des VRP de la dernière mode pédagogique en cours… Bravo pour l’école de la République ! Mieux encore, les programmes nouveaux seront soumis à l’avis du Parlement via ses commissions des affaires culturelles. On avait pourtant cru comprendre qu’il n’était pas politiquement légitime que les programmes de la République soient soumis aux partisans d’une idéologie politique marquée ».
Communiqué
La FCPE inquiète de la réforme du primaire
« La FCPE s’inquiète de la volonté affichée du ministre de recentrer l’école primaire sur les «apprentissages fondamentaux ». Si l’association de parents d’élèves se félicite de la baisse annoncée des redoublements, elle craint de voir « supprimer purement et simplement des pans entiers d’apprentissages scolaires ». Seraient menacés, selon elle, l’enseignement des disciplines artistiques, culturelles et sportives.
Communiqué
Français« Conte-moi » : le patrimoine populaire francophone en ligne
» Un jour, Bouc, séduit par la religion musulmane se convertit à l’islam. Il décida de se rendre à la Mecque, en pèlerinage. Il partit, il marcha, il marcha, et il tomba Ratch ! sur Hyène ». Ainsi commence « Les trois vérités de Bouc », un conte sénégalais illustré et mis enligne sur le site conte-moi.
« Conte – moi » propose des contes collectés dans différents pays francophones, enregistrés en français et en langue locale, accompagnés chacun d’une fiche pédagogique. Chaque semaine, un conte est mis en avant. Le site vise à collecter, sauvegarder, et valoriser les patrimoines oraux francophones et locaux pour enfants et à l’utiliser pour l’apprentissage du français.
Ainsi une cinquantaine de contes sénégalais, haïtiens, mauritaniens, maliens sont déjà récoltés et accessibles. Un régal !
Conte moi
Résultats internationauxPIRLS : Des résultats décevants
« Nous avons perdu des places… Aujourd’hui, sur 40 pays, nous sommes dans les six derniers. Même la Bulgarie est devant nous ». S’exprimant fin octobre sur RTL, X. Darcos avait annoncé de mauvais résultats pour la France dans l’enquête internationale PIRLS. Effectuée dans 40 pays, tous les 5 ans, l’enquête PIRLS évalue les capacités de lecture des écoliers de CM1. Le ministre n’avait pas tort mais exagérait. La Bulgarie a toujours été bien classée dans cette enquête. Et les résultats français sont plus décevants qu’exécrables. Mais cela doit interroger les enseignants.
Avec 522 points, la France se place au-dessus de la moyenne (500). Elle a perdu 4 points, un écart jugé non significatif par les enquêteurs. Elle a à peu près gardé son rang depuis la précédente enquête de 2001 : elle est 19ème (18ème en 2001) sur 35 pays. Pas de quoi pavoiser puisque ses résultats sont inférieurs à ceux de la Russie, du Canada, des Etats-Unis, de l’Italie, l’Allemagne ou l’Angleterre. En Europe ils sont supérieurs à ceux de l’Espagne, la Pologne ou la Roumanie.
Interrogé par le Café sur ces résultats, Bruno Suchaut (Iredu) estime que « les résultats de l’enquête PIRLS 2006 confirment des résultats peu encourageants sur le plan des acquisitions scolaires des élèves français au niveau de l’école primaire. De 1990 à 2001, le classement de la France s’est dégradé puisque l’enquête » Reading Literacy » plaçait notre pays en 4ème position sur 24 pays en 1990 et en 18ème position sur 35 pays dans l’enquête PIRLS de 2001. Entre 2001 et 2006, les performances moyennes des élèves français n’ont pas diminué en termes de score et le classement de la France reste stable…Mais, aux deux années considérées, il n’y a que deux pays comparables en termes de niveau de développement économique qui présentent des classements plus défavorables que la France (l’Islande et la Norvège) alors que des pays comme la Bulgarie, la Lettonie ou la Lituanie ont des résultats meilleurs.
L’étude PIRLS (pdf)
Pirls 2006 et PISA dans le Café
PIRLS : Une enquête qui reflète une formation pédagogique insuffisante selon le Snuipp
Pour le Snuipp, » les difficultés de l’enseignement de la lecture sont réelles ». Réagissant à la publication de l’enquête internationale PIRLS, qui a mis en évidence des résultats décevants pour l’école française, Gilles Moindrot, secrétaire général du Snuipp, effectue, pour les lecteurs du Café, une lecture savante qui l’amène à interroger l’Ecole sur ses difficultés.
Ainsi G. Moindrot relève que l’enseignement français fonctionne davantage par classe entière, que les élèves y sont davantage dans le doute sur leurs capacités, qu’ils lisent moins à voix haute et même que » les stratégies de décodage, comme l’anticipation, la généralisation, la déduction d’inférences et la description de la structure des textes sont moins enseignées qu’ailleurs ».
De ce tableau il tire trois questions que le syndicat va poser au ministre. Comment rendre confiance en eux aux élèves français ? Comment améliorer le climat des écoles et l’indice de satisfaction des enseignants ? Comment travailler autrement qu’en classe entière et proposer des remédiations aux élèves dès l’apparition de leurs difficultés ?
Sur le Café, lire l’article de G. Moindrot
Sur le Café, le dossier Pirls
Etats-Unis : Les résultats en lecture ne sont pas proportionnels au nombre d’heures de cours
Avec 540 points en moyenne dans l’enquête PIRLS, qui mesure internationalement les compétences en lecture des écoliers de CM1, les Etats-Unis pourraient être satisfaits. Après tout nous sommes en France loin derrière, à 522. Mais la presse américaine souligne deux déceptions. La première est sociale. Malgré les efforts de la loi No Child Left Behind, malgré un système dévaluation qui oblige les écoles à faire progresser les minorités, l’écart entre les groupes ethnique demeure : les écoliers « blancs » obtiennent 560 points, soit presque le score maximum, les « noirs » 503, les « hispaniques » 518.
L’autre déception vient de l’écart entre les investissements et les résultats. Les écoliers américains bénéficient maintenant de plus de 6 heures de lecture par semaine, ce qui est nettement plus que la moyenne Ocde. Visiblement tout ce temps ne suffit pas à faire progresser les minorités.
Article Education Week
Le fichier national des élèves retardé en Angleterre
« Contact Point », le « Base élèves » anglais, ne sera pas disponible avant octobre 2008. Selon BBC News, le déploiement du logiciel sera retardé de façon à en augmenter la sécurité. Un problème bien connu en France.
Article BBC News
Enquête
Pas de rupture générationnelle en primaire ?
Compte tenu du fort taux de renouvellement des enseignants, assiste-on à une rupture des valeurs ou la transmission s’effectue-t-elle ? C’est ce que permet d’évaluer un sondage réalisé par CSA pour le Snuipp. Et bien ils sont toujours à gauche les instits : 63% jugent le mot positif, inversement au capitalisme. Peu de changements au demeurant si ce n’est une hausse des enseignants qui « font plutôt confiance aux méthodes qui ont fait leurs preuves » : ils sont passés de 36% en 2001 à 47% en 2007.
Mais quelles sont-elles ? Sylvain Grandesse affirme son choix pour les bonnes vieilles méthodes : « j’avoue une profonde sympathie pour les méthodes qui ont fait leurs preuves » : Freinet, Orry, Montessori… «
Texte Grandserre
Le 24+2 ? + 3 ?Que faire des heures du samedi matin ?
Le Se-Unsa fait connaître ses propositions pour l’emploi des deux heures libérées du samedi matin. « Pour le SE-UNSA, il est inconcevable de prescrire partout,partout, et quel que soit le niveau d’enseignement, un volume horaire de 72h/année de soutien aux élèves en difficulté pour chaque enseignant. Vu l’extrême diversité des situations, il convient de laisser chaque équipe, après concertation interne, mettre en place ses propres initiatives, tout en offrant un cadre réglementaire national dans lequel s’inscrire. Pour cela, souplesse et autonomie doivent être les maîtres-mots… Le SE-UNSA propose que ces 72 heures constituent un « capital temps » pour les enseignants, au profit du travail en équipe et de l’aide aux élèves en difficulté ».
Article de L’Enseignant
Les positions du Snuipp et du Sgen
Alors que les négociations entre le ministre et les trois syndicats du primaire (Snuipp, Sgen, Se-Unsa) ont commencé,les deux premières organisations font connaître leur position sur l’utilisation des heures libérées. » Un allègement des effectifs de classe, 3 heures de concertation hebdomadaires incluses sur le temps de service, Plus de maîtres que de classes, La prise en compte des nouvelles tâches dans un temps de service allégé » voilà ce que réclame le Snuipp à travers une pétition.
Le Sgen-Cfdt demande plus de liberté pourles équipes. « Parvenir à combiner un objectif commun et des modalités diversifiées selon les réalités locales, en faire l’évaluation et en déduire des évolutions constituent une démarche susceptible de mobiliser les équipes enseignantes. Pour le Sgen-CFDT confier des responsabilités et des moyens (les deux heures) aux personnels est le meilleur moyen de construire un dispositif efficace au service des jeunes et de leurs familles ».
Le SgenLe SnuippSamedi matin : Le risque de la marginalisation
« Est-ce qu’on apprend collectivement en s’aidant mutuellement ou apprend-t-on au rythme de l’élève moyen, et malheur aux retardataires qui feront des heures supplémentaires? » Dans Fenêtres sur cours n°305, Olivier Maulini (LIFE Genève) réfléchit aux usages des 3 heures libérées du samedi matin.
Pour lui, « enfermer l’école dans une logique de marginalisation des élèves faibles et de compétition entre les autres est un choix politique possible : mais comment le concilier avec la dénonciation de l’égoïsme contemporain, de la violence dans les préaux et d’un rapport purement instrumental aux savoirs? » Il plaide pour une organisation collective du temps scolaire.
» L’organisation collective du travail permet au contraire de créer des modules provisoires et thématiques, des groupes de besoins en fonction des difficultés identifiées pour chaque élève. Les enseignants réallouent ensemble les ressources pédagogiques et se construisent une culture commune pour diagnostiquer et traiter les difficultés scolaires ».
FSC n°305 (en pdf)
Accompagnement scolaireUn colloque du Crap
Le Crap Cahiers pédagogiques organise le 30 janvier à Paris un colloque sur l’accompagnement éducatif. PPRE, études dirigées, aide individualisée sont au programme. On pourra y entendre G. Chauveau, JP Delahaye, JM Zakhartchouk etc.
Le Crap
Méthodes de lecture ; une synthèse de l’INRP
« Ce dossier, qui accompagne le séminaire de formation « Méthodes de lecture et difficultés d’apprentissage : les échanges entre recherche, médiatisation et formation », organisé par l’INRP du 6 au 8 décembre 2007, dresse un panorama des recherches et débats récents sur l’apprentissage de la lecture et ses difficultés. Partant des polémiques de 2006, cette sélection de documents, essentiellement accessibles en ligne, laisse une moindre place à certaines références, comme par exemple la lignée constructiviste (Emilia Ferreiro, Jean-Marie Besse, etc.). » Malgré ce déséquilibre, Annie Feyfant et Marie Gaussel proposent une synthèse claire et savante sur cette question qui a suscité tant d’animation en 2006.
Leur dossier fait le point sur l’apprentissage de la lecture aux yeux des courants de recherche et dans les différents pays développés.
Dossier INRPhttp://www.inrp.fr/vst/LettreVST/31_novembre2007.htm
Sur le café, nos dossiershttp://cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/lesdossiers.aspx
Sciences
La Hulotte n°90
La Hulotte, la sympathique revue d’initiation à la vie de la nature, n’est plus à présenter. Mais ses héros, si. Car La Hulotte nous invite à « la nuit des mathusalem ». Ainsi Grandma, une néo-zélandaise quia eu 4 maris successifs et 105 descendants. Elle est décédée à 62 ans. Grandma est un albatros royal et ce n’est pas le seul oiseau à braver le temps. Qui sait que le martinet noir et ses 45 grammes peut devenir trentenaire ? Le numéro honore aussi un animal très savant et protégé : le castor.
La Hulotte
TICELes TICE à la une du Nouvel éducateur
« Le TBI est-il soluble dans une classe Freinet ? » Voilà bien une question du Nouvel éducateur 185 qui ne perd pas non plus l’objectif de changer l’Ecole avec les Tice. Le numéro ne se limite pas à montrer une grande variété d’usages coopératifs mettant en scène l’ordinateur pour communiquer ou pour écrire,le TBI,l’appareil photo, Spip, la visioconférence, la radio numérique… Chaque article prend de la distance et ramène à ce qui fait la particularité du mouvement Freinet : son regard sur l’enfant, ses capacités créatives et coopératives, sa volonté aussi d’essayer « natirellement »….. Et Célestin, avec la souris il aurait fait quoi ?
Le sommaire
Maths
Certaines compétences en maths sont au centre des apprentissages
« Certaines compétences sont véritablement au cœur des apprentissages et que leur maîtrise est indispensable à la réussite scolaire. Certaines compétences en mathématiques, et principalement les habiletés en calcul mental sont fortement explicatives du niveau global d’acquisition des élèves et de son évolution au fil des années » écrit Bruno Suchaut dans une conférence donnée lors d’un Séminaire national les 13-14 novembre.
Il met en évidence l’importance de certains automatismes pour l’ensemble des apprentissages. « Ce résultat est d’autant plus important que ces mêmes habiletés sont corrélées également aux capacités cognitives des élèves et notamment à la mémoire de travail… A ce titre, la pratique d’activités systématiques et variées dans le domaine du calcul mental ne sont sans doute pas à négliger, ce qui pourrait permettre de réduire le coût cognitif des activités d’apprentissage en automatisant certains processus ».
Cette recherche s’appuie sur le suivi de deux cohortes d’élèves. B. Suchaut et S.Morlaix avaient déjà fait une communication sur ce point en juin dernier.Sur le Café, compte-rendu de la publication de juin 2007
EPSLaporte en veut plus
Dans un discours prononcé devant les responsables du Comité national olympique et sportif français (c’est à dire les représentants des fédérations et des clubs sportifs), Bernard Laporte, secrétaire d’État chargé des sports a rappelé qu’une de ses priorités concernait le développement de la pratique du sport par les jeunes scolarisés.
Pour l’école primaire, il a estimé que « c’est dans cette tranche d’âge que le corps se forme et que l’on commence à acquérir les valeurs indispensables à la vie en société. Le niveau actuel de pratique d’activités physiques et sportives reste trop faible : 3 heures prévues, 2 heures 10 réalisées en moyenne. Ce serait, me semble-t-il, une grande ambition pour notre pays que d’amener, sur la durée de la mandature, les élèves du primaire à pratiquer au moins une heure de sport par jour ». Il a précisé que le mouvement sportif avait tout intérêt à voir cet objectif atteint car « le développement de la pratique sportive chez les jeunes est un moyen privilégié pour détecter les talents et attirer les jeunes vers les clubs sportifs. »
Rappelant l’existence de conventions entre quelques fédérations (rugby, hand, escrime, tennis….) et le ministère de l’Éducation nationale et les programmes de promotion de certaines disciplines au sein des établissements scolaires, il a souhaité une meilleure coopération des acteurs.
Le séminaire qu’il appelle de ses vœux associerait les fédérations de sport scolaire et les fédérations sportives particulièrement impliquées dans des projets à l’école ou en périscolaire. L’objectif serait de dresser le bilan des actions déjà entreprises, en identifiant les éventuels obstacles, et de réfléchir aux réalisations possibles, en collaboration avec l’Education nationale, dès 2008.
Les tenants d’une « Education physique scolaire », distincte de la pratique sportive, semblent désormais relégués à leurs réflexions éducatives : demain plus encore, l’École va ouvrir grande ses portes au sport et son organisation fédérale. (Gérard Lenormand)
USEP : Le sport à l’école primaire au coeur de la tourmente du « périscolaire » ?
À l’occasion du salon de l’Education, l’USEP proposait un débat intitulé « Le sport scolaire des 3 – 11 ans : de l’élève au sportif. ». Peu de choses furent dites sur la réalité de l’enseignement de l’EPS à l’école primaire. En effet, le débat fut largement imprégné par les annonces sur l’accueil des « orphelins de 16h ». C’est ainsi que le président de la République a affirmé la volonté que chaque jour, des activités sportives, culturelles, artistiques (et du soutien scolaire) soient proposées à tous. ».
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