LE FAIT DU JOUR
E.N.T. : Où en est-on ?
ÉDITORIAL
Orientation : Une vidéo qui interroge
LE SYSTEME
Rassemblement pour l’éducation l Bac pro : ça coince l Lycées : Les blocages continuent l Le Sénat et la gestion de l’éducation nationale l Pisa : En Espagne, le choc l Directions : Les applications nationales l Un enseignant jugé aujourd’hui pour sa participation aux manifestations anti-Cpe l
L’ÉLÈVE
Des progrès trop lents pour les enfants du monde l Des lycéens mobilisés pour Miora l Internet : La France sauvée par ses jeunes ?
LA CLASSE
« A vos blogs ! » un concours Onisep
CITOYENNETE
Aide alimentaire : des familles en sursis
LES DISCIPLINES
Maternelle : Le retour des leçons de mots l Langues : Cyber Langues 2008 l EDD : Journée polaire à l’académie de Paris l Sciences : Les recommandations de l’Académie des sciences l S.E.S. : Bernard Thomas suscite le trouble l Professionnel : Un état des lieux de l’enseignement professionnel
LES TICE
Vulnérabilité dans Skype
Le fait du jour
E.N.T. : Où en est-on ?
On nous les avait promis dans tous les établissements pour la rentrée 2007… De nombreuses collectivités et académies se sont investies dans la mise en place d’espaces numériques de travail (ENT) dans les établissements du second degré. Cependant le choix et l’utilisation de ces ENT représentent en fait pour beaucoup une aventure qui est loin d’être achevée. Aujourd’hui on dénombre un peu moins de 200 établissements du second degré équipés d’une solution industrielle. Même en tenant compte des expérimentations non recensées et des solutions locales, l’ENT est encore très loin d’avoir pénétré les quelque 12 000 établissements potentiellement concernés.
Mais, pour ceux qui l’utilisent régulièrement, l’ENT révolutionne la communication dans l’établissement et induit une nouvelle relation entre la communauté scolaire et les familles. C’est ce que donne à voir ce dossier spécial du Café qui réunit des expériences prises à travers le pays et accorde une place plus large à ENTEA, un projet qui semble avoir une longueur d’avance.
Découvrez le dossier spécial du Café
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Orientation : Une vidéo qui interroge
La publication de l’intervention de Bernard Thomas, délégué interministériel à l’orientation, devant la commission Pochard va certainement faire du bruit. D’abord parce que le délégué condamne sans complexes et sans s’embarrasser de circonlocutions, nos collègues de SES, accusés de détourner des entreprises les jeunes générations (voir plus bas). Mais aussi par ce qu’il dévoile de ses projets de refonte de l’orientation.
Le diagnostic posé par B. Thomas semble solide. Il estime que « l’effort (pour l’orientation) est fait et pourtant ça ne fonctionne pas ». Il peut montrer que le pays connaît un taux de chômage des jeunes record et un taux d’échec scolaire important. Enfin il dépenserait un milliard d’euros pour l’orientation, soit 825 millions pour l’ISO (Indemnité de suivi et d’orientation), cette indemnité versée à tous les enseignants du secondaire, le reste servant à entretenir le réseau des CIO. Face à ce milliard, le taux d’échec apparaît scandaleux. Même les dispositifs récents (découverte professionnelle) lui semblent peu efficaces.
B. Thomas a des solutions. Et d’abord récupérer le milliard. La suppression de l’Iso et des CIO permettrait de réaffecter cette somme directement aux chefs d’établissement qui pourraient la gérer pour créer des événements en lien avec le tissu d’entreprises locales et rémunérer des personnels pour faire le travail d’orientation. Ces professionnels seraient aidés par les enseignants qui verraient, grâce à la commission Pochard, l’orientation entrer dans leur mission et seraient amenés à faire une véritable éducation aux métiers en glissant des informations sur les métiers dans leur enseignement disciplinaire. L’initiation aux métiers et à l’économie pourrait débuter dès le collège et être confiée aux professeurs d’histoire-géographie.
Certains points de ce projet constitueraient une sorte d’aggiornamento pour l’école française. Pour une école traditionnellement fermée à la communauté qui l’entoure, mieux la connaître, intégrer une information économique à jour pourraient être des atouts supplémentaires. L’exemple que donne B. Thomas d’insérer une information sur le métier de sage femme dans un chapitre sur la reproduction humaine en SVT n’apparaîtrait pas aux yeux des élèves comme décalé.
Pour autant sur bien des points ce projet interroge. C’est évidemment le cas pour l’ISO. Cette indemnité versée à tous les enseignants n’a jamais correspondu à un travail précis. Dans la tradition de la fonction publique, cette prime a été un moyen d’augmenter les salaires sans en assumer toutes les conséquences (de retraite, par rapport aux autres corps etc.). Tenter de la reprendre sera ressenti comme une injustice insupportable. Deux autres points méritent une analyse plus approfondie. Peut-on vraiment affirmer que c’est une information insuffisante des élèves qui explique le taux d’échec scolaire ? On voit bien que celui-ci est le plus fort dans des filières professionnelles où le lien avec le tissu économique est étroit. Dans ces filières c’est des structures de raccrochage dont on aurait besoin et d’un soutien éducatif massif à des jeunes (spécialement pour ceux qui sont issus de l’immigration). De la même façon l’idée que c’est par manque d’information que les bacheliers professionnels ou technologiques s’inscrivent en université est un peu courte. C’est souvent le manque de place en BTS et IUT qui les y pousse ou plutôt le coût de ces formations associé à leur sélectivité.
Peut-on ramener l’orientation à l’adaptabilité à un marché local et temporaire de l’emploi ? Bien d’autres paramètres doivent entrer en compte si l’on veut respecter les droits des élèves et même leur assurer un avenir professionnel sérieux. Ce dont le système éducatif a besoin c’est d’une véritable éducation à l’orientation qui certainement reconnaisse les acteurs économiques, c’est indispensable, mais qui aussi respecte les individus et les accompagne dans la construction de leur personnalité. Sur ces questions là il revient à B. Thomas d’apporter des réponses au risque de laisser les enseignants face à une méchante vidéo.
Dansle Café, conférence de B Thomas
Rassemblement pour l’éducation
« Des milliers d’acteurs locaux composent la chaîne éducative : parents, enseignants, mouvements d’éducation populaires, chercheurs, sociologues, médecins, associations, artistes, conseils de la jeunesse, pédopsychiatres, sportifs, animateurs… Et pourtant, dans notre pays, l’éducation est reléguée au second rang des préoccupations du gouvernement… C’est autour de notre appel que nous vous proposons de nous rassembler afin de lancer ensemble et très concrètement la construction d’un projet éducatif national ambitieux, pertinent et d’utilité sociale pour tous les enfants ». Zohra Bitan (Ma6tévachanger) et Patricia Perdrizet lancent cet appel pour un Rassemblement des acteurs de l’éducation en janvier. Venu de la banlieue, cet appel constructif suscite déjà l’intérêt de nombreux acteurs de l’éducation. Rendez-vous est pris.
Bac pro : ça coince
« Les réorientations, ainsi d’ailleurs que les passerelles avec la voie technologique, ne risquent t-elle pas de devenir quasiment impossibles ? Comment les programmes seront-ils traités avec un an de moins ? Ce sont les élèves les plus en difficulté qui courent le risque d’être pénalisés, et l’on voit de plus se profiler une augmentation du nombre d’élèves par classe qui rendrait plus difficile les séances de TP indispensables en voie professionnelle ». L’UNL, pourtant satisfaite sur ses autres revendications, revient sur la question du bac pro en 3 ans et sollicite un entretien avec le ministre.
Celui-ci doit aussi encaisser un coup porté par les rapporteurs de son budget au Sénat. Ceux-ci critiquent sévèrement la généralisation du bac pro en 3 ans. « La généralisation hâtive du baccalauréat en trois ans fait courir le risque de l’impréparation, avec les conséquences qui l’accompagnent naturellement. Votre rapporteure juge donc nécessaire de prendre le temps de la réflexion à ce sujet et de se déprendre de l’idée qu’il serait nécessaire d’appliquer le même traitement à toutes les filières. Les progrès futurs de l’enseignement professionnel se mesureront bien au contraire dans sa capacité à prendre en compte les besoins singuliers des élèves, sans chercher à leur imposer un rythme d’études en particulier, qui pourrait ne pas leur convenir » écrit la rapporteure. Elle dénonce un « pilotage qui semble manquer d’ambitions claires » et émet un avis défavorable à l’adoption de ce budget.
Lycées : Les blocages continuent
Les « grands » médias n’en parlent pas, mais nos lecteurs nous signalent que leur lycée est toujours perturbé. Ainsi à Aubervilliers (93), Montreuil (93) (où on signale une radicalisation), en Normandie etc.
Le Sénat et la gestion de l’éducation nationale
Le rapport des sénateurs Richert, Férat et Gonthier-Maurin sur le budget de l’éducation nationale, apporte des informations intéressantes. Ainsi sur les profs en surnombre qui sont un des arguments utilisés pour réduire le budget. Les données ministérielles en décomptent 2 662 (dont 500 en lettres, 300 en Eps), un pourcentage infime pour un corps d’un demi-million de fonctionnaires. La variabilité de ce nombre d’une année à l’autre est éloquente. Une page malicieuse est consacrée aux remplacements où les données officielles semblent improbables aux sénateurs…
Pisa : En Espagne le choc
« Si les enfants de l’immigration, par exemple, ont des difficultés à lire, il faut adopter sans attendre des mesures de soutien scolaire ou encore d’aide à la lecture pour les adolescents » écrit Les échos dans son analyse de la presse espagnole. Les résultats de Pisa sont mauvais pour Espagne, mais leur publication secoue l’opinion.
La synthèse des résultats de Pisa
Les données de Pisa
Directions : Les applications nationales
Baobac, Gfe, Iva, Sconet, Organet etc. L’Esen présente les applications nationales que doivent connaître les personnels de direction.
Un enseignant jugé aujourd’hui pour sa participation aux manifestations anti-Cpe
Le 20 avril 2005, à l’issue d’une manifestation anti-Cpe, David Prévot participait à l’occupation d’un immeuble de l’Education nationale à Paris. Il est arrêté et poursuivi pour violences sur personnes dépositaires de l’autorité publique, ce qu’il conteste. Son procès débute aujourd’hui au TGI de Paris. Il bénéficie du soutien de la Fsu, CGT, Solidaires, Sud éducation, Cnt Fte.
Des progrès trop lents pour les enfants du monde
« En 2006, pour la première fois, le nombre d’enfants qui meurent avant leur cinquième anniversaire est tombé en dessous de la barre des 10 millions, à 9,7 millions – ce qui représente un tournant important pour la survie de l’enfant. Autour de 1960, 20 millions d’enfants de moins de 5 ans, selon les estimations, mouraient chaque année ». Cette phrase résume assez bien les conclusions de cette nouvelle édition de « Progrès pour les enfants », un rapport annuel de l’Unicef. Si l’organisation se félicite des progrès engagés par les organisations, les gouvernements, les ONG, elle en connaît les limites. Et ce document, illustré de cartes et graphiques, apporte les réponses précises utiles à bien des enseignants.
Commençons par les progrès. Depuis 1990, 1,2 milliard de personnes ont eu accès à l’eau potable. La pratique de l’allaitement progresse. Depuis 1999, 4 fois plus d’enfants ont eu accès aux distributions de vitamine A. Enfin le nombre d’enfants non scolarisés a diminué de 20% depuis 2000.
Mais on est encore loin des Objectifs du Millénaire pour le développement fixés par l’ONU. 143 millions d’enfants souffrent encore de dénutrition, principalement en Asie du sud. 1,5 million d’enfants meurent chaque année de diarrhées : une maladie qui pourrait être éradiquée avec de simples moyens de génie civil (réseau d’eau potable). 2,6 milliards de personnes n’ont toujours pas accès aux réseaux d’assainissement. La pneumonie,le paludisme représentent encore 27% des décès d’enfants, alors que là aussi les solutions existent. 500 000 femmes meurent encore des suites de leur grossesse. Enfin le VIH progresse particulièrement chez les plus jeunes.
Des lycéens mobilisés pour Miora
Miora est élève en bac pro agricole à Saint-Gaudens. Parfaitement intégrée elle a de bons résultats et des perspectives d’avenir en France. Seulement elle est malgache et menacée d’expulsion avec ses parents et ses 2 frère et sœur, eux aussi scolarisés. Ses camarades du L.P. agricole ont réalisé une vidéo pour la défendre et appellent à signer une pétition .
Internet : La France sauvée par ses jeunes ?
Selon les chiffres européens Eurostat, la France n’arrive pas à rattraper son retard dans l’accès à Internet. Alors que 54% des ménages européens ont accès à Internet c’est le cas de seulement 49% des français. Surtout la France est derrière ses voisins : Allemagne 71%, Royaume-Uni 67%, Belgique 60% par exemple. Mais elle pourrait être « sauvée » par ses jeunes qui sont en tête (relativement : nous sommes 14ème !) du classement européen : 84% des garçons de 16-24 ans se connectent au moins une fois par semaine en France contre 79% en Europe, 84% aussi des filles contre 77% en Europe.
La classe
« A vos blogs ! » un concours Onisep
« Réalisez un blog de classe qui mette en relief les apports de l’informatique dans l’activité et l’évolution d’une entreprise (industrie, banque, grande distribution, transport, environnement, communication….). Montrez le rôle qu’y jouent les professionnels de l’informatique, intégrés à l’entreprise ou prestataires de service. Présentez les différents métiers concernés, les compétences utiles et les différents parcours qui y conduisent. Mettez en évidence les complémentarités et les collaborations entre les professionnels ». L’Onisep lance un concours destiné aux classes de seconde qui permette de découvrir les métiers liés aux nouvelles technologies. Les 3 premières classes gagneront un séjour à Paris, un chèque cadeau pour le prof, différents produits TIC… Attention : date ultime d’inscription le 15 décembre !
Citoyenneté
Aide alimentaire : des familles en sursis
« La préoccupation centrale des familles rencontrées semble se porter sur leurs enfants avec selon les trajectoires, des attentes plus ou moins fortes à l’égard de l’école. La volonté de proposer à leurs enfants une alimentation plus riche et diversifiée que celle du ou des parents, débouchant dans les pratiques sur des régimes alimentaires assez distincts au sein de l’unité familiale a été décrite de façon récurrente. L’alimentation des enfants, plus particulièrement pour les fêtes, constitue un moment paroxystique des angoisses familiales car elles révèlent le poids des contraintes (Qui invite-t-on ? Peut-on rendre une invitation ? Qu’offre-t-on à manger ? Comment faire comprendre en fonction des âges, l’absence ou le rationnement de certains produits ?…). Au quotidien, le goûter à l’école catalyse aussi nombre de tensions ». Ce que montre cette double enquête Abena, réalisée pour l’Institut de veille sanitaire, menée sur les « bénéficiaires » de l’aide alimentaire, ce n’est pas seulement le délabrement des corps. L’enquête épidémiologique relève que la moitié souffre sous-nutrition, les deux tiers ont une consommation alimentaire qui manque de viande, poisson, fruits et légumes. Résultat : la prévalence de l’obésité est 2 à 3 fois plus importante que la normale, la proportion de personnes anémiées est très élevée. Ce que montre surtout cette étude c’est les dégâts à l’âme suscités par la situation de dépendance dans lequel vivent ces personnes. « Ces familles apparaissent globalement en sursis, tant ces situations de pauvreté s’avèrent corrosives pour l’estime de soi et la santé ».
Rapport : étude épidémiologique
Rapport : aspects socio-anthropologiques
Les disciplines
Maternelle : Le retour des leçons de mots
Selon Le Figaro, Alain Bentolila incluera dans son rapport sur la maternelle, remis mardi au ministre, des leçons de mots, reprenant les termes d’un précédent rapport remis à Robien. Il remettrait aussi en question l’apprentissage de la lecture au CP, pratique dont nous avons pu montrer la richesse. A Bentolila s’opposerait également à la scolarisation à 2 ans. Un autre rapport, rédigé par la Desco, sera également remis au ministre. Celui-ci a inscrit à son emploi du temps mardi une conférence de presse suivie d’interventions médiatiques…
Dans le Café, les leçons de mots
Surle Café, La lecture en grande section avec B. Devanne
Langues : Cyber Langues 2008
Rendez-vous important pour les professeurs de langues,chaque année le colloque Cyber Langues réunit des enseignants de langues particulièrement innovants. Car Cyber Langues vise à promouvoir et encourager l’usage des TICE dans l’enseignement et l’apprentissage des langues.
C’est donc le rendez-vous des pratiques, la grande bourse d’échanges des initiatives de terrain, le rapprochement d’une sympathique « communauté virtuelle » qui construit ensemble ses pratiques.
Le colloque aura lieu fin août, mais l’association lance dès maintenant un appel à participation. Vous avez jusqu’au 30 mars pour proposer une communication (formulaire en ligne).
EDD : Journée polaire à l’académie de Paris
Le groupe de pilotage EDD de Paris organise le 12 décembre une animation autour de l’année polaire en présence de chercheurs (E Canobbio etc.), d’explorateurs (JL Etienne) et d’enseignants qui présenteront leurs réalisations.
Sciences : Les recommandations de l’Académie des sciences
« Nombre d’IUFM auront été intégrés dans des universités ne possédant aucune activité dans le domaine des sciences (mathématiques, sciences de la nature). Ceci ne manquera pas de poser problème pour le rattachement des personnels scientifiques affectés à l’IUFM ». L’Académie des sciences lève un lièvre dans la réforme des IUFM. Mais soucieuse de mettre en place un enseignement intégré des sciences, elle conseille aux Iufm d’œuvrer en ce sens. « Les enseignements de sciences et de technologies doivent désormais être étroitement couplés au collège, ce qui suppose une révision en profondeur de la formation initiale des professeurs de technologie de collège, lesquels forment aujourd’hui un corps à part ».
S.E.S. : Bernard Thomas suscite le trouble
« Il n’est pas normal là aussi que contrairement aux autres pays, nous n’offrions pas à nos jeunes un minimum d’informations sur la réalité économique, d’informations sur la réalité de l’emploi, d’informations sur la réalité du fonctionnement des entreprises ». Devant la commission Pochard, Bernard Thomas, délégué interministériel à l’orientation, dénonce l’enseignement des SES avec la bénédiction de la commission. Il rejoint une campagne plus large et les critiques, moins franches, de X. Darcos sur la filière ES.
L’Apses, association des profs de SES, dénonce elle « des propos tout autant scandaleux qu’erronés ». L’Apses rappelle « que l’ « Entreprise » est un des objets centraux enseignés de la seconde à la terminale en SES » et demande a être reçue par la commission Pochard. Le sera-t-elle ?
Professionnel : Un état des lieux de l’enseignement professionnel
Comment évoluent Cao, Bep et bac pro ? Qu’est ce qui motive les élève sde Bep à aller en bac pro plutôt qu’en 1ère d’adaptation ? Que deviennent les bacheliers professionnels ? Quelles différences entre un prof de l’enseignement technologique et un PLP ? Toute sces questions trouvent réponse dans le numéro 75 d’Education & formations, une revue ministérielle.
Une quinzaine d’articles dresse un tableau précis et complet de l’état des lieux de l’enseignement professionnel. L’accent est mis sur les évolutions en cours,par exemple le déclin des bep et la question du bac pro. Cette somme permet de mettre à jour facilement ses connaissances sur un enseignement encore peu connu. Il permet aussi de mieux comprendre les enjeux des débats actuels.
Education & formations n°75
les tice
Vulnérabilité dans Skype
Secuser recommande de télécharger un correctif disponible pour Skype, le logiciel permettant sinon l’exécution d’un virus.
le Cafe
Les anciens Expresso ?
Les archives complètes de L’Expresso
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