LE FAIT DU JOUR
PISA : L’école française recule
ÉDITORIAL
EDD : Il faudra plus qu’un concours
LE SYSTEME
Bac pro en 3 ans : Le ministère impose des taux dès 2008 l Antilles : Fermeture des écoles aujourd’hui l Formations à l’étranger l Affectations dans le supérieur l Sénégal : Des manuels en 9 langues.
L’ÉLÈVE
Le mouvement lycéen à la croisée des chemins
LA CLASSE
13ème Semaine de la Langue française
LA RECHERCHE
Méthodes de lecture : une synthèse de l’INRP
CITOYENNETE
L’état civil en ligne
LES DISCIPLINES
Primaire : Le colloque sur la maternelle l EPS : L’inspection et l’avenir de l’EPS l EPS : Laporte et le sport scolaire l E.D.D. : Le ministère lance un concours sur le Grenelle de l’environnement
LES TICE
Deuxième Biennale des TIC à Grigny (69)
Le fait du jour
PISA : L’école française recule
Les résultats de l’enquête internationale PISA sont sans appel : l’école française recule. On attendait la publication de la seconde grande enquête internationale mardi 4 décembre. Mais une indiscrétion espagnole a conduit l’OCDE à divulguer un premier classement le 30 novembre.
PISA 2006 concerne 57 pays et évalue le niveau des jeunes de 15 ans avec une priorité cette année pour la culture scientifique. Les jeunes français se situent un peu en-dessous de la moyenne avec 495 points. La France qui était 10ème en 2003 descend au 17ème rang, si l’on compare les mêmes pays en 2003 et 2006. Sept pays passent devant la France : l’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, la Hongrie, la Suède, la Pologne et le Danemark. En tête du classement international on trouve la Finlande ((563 points), Hong Kong, le Canada, Taiwan et le Japon. Les Etats-Uni, la Russie, l’Espagne ont des résultats inférieurs à la France.
Comment expliquer ces résultats ? Il faudra attendre mardi pour avoir les éléments nécessaires. On pourra ainsi vérifier si les inhibitions propres aux élèves français sont encore un élément d’explication.
On retiendra déjà que si certains pays ont su remonter rapidement et remarquablement leur score, le système éducatif français devrait pouvoir y arriver. A condition de trouver la voie.
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E.D.D. : Il faudra plus qu’un concours
S’il faut saluer le lancement par Xavier Darcos et Jean-Louis Borloo d’un grand concours national ayant pour thème le Grenelle de l’environnement, cette opération est-elle susceptible d’assurer une véritable prise en charge de ces problématiques par l’Ecole ?
Une des leçons du Grenelle de l’environnement c’est certainement que la durabilité de nos sociétés va nécessiter des changements assez importants dans nos habitudes et modes de vie. Sans cette éducation des citoyens, les efforts réalisés par les entreprises et les administrations risquent d’être insuffisants. On mesure alors l’importance de l’Ecole dans ce processus et on ne peut que s’étonner que le Grenelle ne lui ait pas donné la place qu’elle méritait, c’est-à-dire la première.
Or la diffusion de la problématique EDD dans les classes est encore notoirement insuffisante. André Giordan, qui publie un ouvrage sur ce sujet, évalue à moins de 10% la part des élèves ayant reçu une véritable éducation au développement durable. Une autre étude, réalisée par Yves Girault et Cécile Fortin-Debart auprès d’une cinquantaine d’enseignants, montre « le faible impact de l’appel à la généralisation de la circulaire ». Malgré la mobilisation bien réelle des corps d’encadrement, l’intégration de l’EDD se fait très lentement.
Comment expliquer ce piétinement ? Plusieurs raisons s’additionnent pour rendre difficile la prise en compte de cette problématique. La première tient à la fois à la diversité des courants pédagogiques qui se retrouvent dans l’EDD et à l’évolution du nom de cet enseignement. Le glissement de EEDD à EDD a un sens précis mais ces appellations changeantes perturbent les représentations de cet enseignement nouveau.
Un autre facteur tient au caractère transdisciplinaire dans lequel l’EDD est inscrit. Dans un système scolaire où les équipes pédagogiques ne sont ni reconnues, ni organisées, ni dotées du minimum matériel qui pourrrait les rendre crédibles, demander à des enseignants formés de façon strictement disciplinaire de partager un enseignement tient de la gageure.
Enfin, André Giordan relève un biais méthodologique. « L’acquisition de démarches de pensée spécifiques, comme la démarche systémique, la pragmatique ou la modélisation restent des plus balbutiantes » estime-t-il… » Par ailleurs, sous le vocable d’EE ou d’EDD, le système scolaire continue à traiter des thèmes classiques, à pratiquer une « pédagogie du milieu » ».
Résultat : « les élèves ne s’approprient pas les questions d’environnement de façon opératoire, ils « ingurgitent (au mieux) des formules magiques » présentées comme des « vérités formulées » par d’autres. Il s’agit souvent de stéréotypes ou mots creux : « pollutions », « perte de biodiversité », « charge environnementale », « effets de serre », inopérants dans la pratique ».
On ne saurait donc séparer les difficultés de l’EDD de celles du système scolaire dans son ensemble. Si le concours lancé hier n’est pas à négliger, il faudra en fait une véritable mutation de l’Ecole pour que les décisions prises lors du Grenelle aient une chance de devenir réalités.
Sur le Café : Giordan : L’EDD oubliée de Grenelle
Surle Café : étude EEDD Ardennes (pdf)
Bac pro en 3 ans : Le ministère impose des taux dès 2008
Dès la rentrée 2008, la moitié des BEP tertiaires (vente, compta, secrétariat, communication), un tiers des bep hôtellerie, électronique, électrotechnique, par exemple, devront être transformés en 1ère année d’un bac pro en 3 ans. C’est ce que révèle une lettre envoyée par X. Darcos aux recteurs le 29 octobre, mise en ligne par le Snuep. Au total cela devrait concerner un quart des élèves entrant en BEP.
L’opération déclenchée par le ministre s’effectue sans préparation : « le contenu de la première année de formation sera adapté par les équipes pédagogiques en prenant en compte les référentiels et les programmes des BEP et des bacs professionnels » écrit le ministre. Or cette absence de programmes avait été identifiée par l’inspecteur général Didier Prat comme une des sources d’échec en bac pro en 3 ans.
Evidemment l’existence de ces taux suscite des réactions négatives chez les syndicats qui crient à « la planification autoritaire » ou à la gestion comptable.
Après le Se-Unsa et le Snetaa, c’est autour du Snes et du Snaep de prendre position. « L’accueil en BEP des élèves de classe de troisième permet souvent, malgré des difficultés réelles, une orientation positive en plaçant nombre des élèves en situation de réussite. La suppression des sections de BEP ne peut qu’entraîner un accroissement des sorties sans qualification du système éducatif car de nombreux élèves ne pourront accéder à un Baccalauréat Professionnel en trois ans au lieu de quatre actuellement ». Le syndicat craint « une fusion des voies technologique et professionnelle ». Les chefs d’établissement du Snpden condamnent « la précipitation qui consiste à supprimer les formations au BEP ». La Fep Cfdt, syndicat de l’enseignement privé, dénonce une mesure qui « hypothèque la réussite des élèves » et supprimera des emplois d’enseignants.
Antilles : Fermeture des écoles aujourd’hui
Suite au séisme qui a touché la Martinique et la Guadeloupe jeudi soir, les écoles resteront fermées pour vérification vendredi toute la journée.
Formations à l’étranger
Le B.O. n°43 fait connaître les programmes de formation à l’étranger. Ainsi des enseignants du premier degré peuvent enseigner en Allemagne, des enseignants du secondaire effectuer des stages linguistiques à l’étranger. Le B.O. précise les conditions à remplir ainsi que le calendrier d’inscription.
Affectations dans le supérieur
Le B.O. du 29 novembre publie une note sur l’affectation des enseignant du second degré dans le supérieur. Ils sont proposés à des enseignants fonctionnaires. Dépôt de demande avant le 31 décembre.
Sénégal : Des manuels en 9 langues
Le Sénégal s’engage davantage dans la voie de l’intégration des langues nationales à l’école en distribuant le 7 décembre des manuels écrits dans 9 langues, en wolof, en sereer, en joola, en mandinka, en manjacku, en mancagn, en soninké, en pulaar et balant.
Le mouvement lycéen à la croisée des chemins
Après le mouvement étudiant, celui des lycéens est-il sur le point d’éclater ? On sait que l’Unef appelle les étudiants à cesser les blocages. Mieux, le syndicat étudiant « met en garde les étudiants contre les risques de radicalisation et de pourrissement de la mobilisation ». Aussi les lycéens étaient-ils les plus nombreux dans les cortèges du jeudi 29. On dénombrait 4 000 personnes à Nantes, 2 000 à Paris et Toulouse, un millier à Caen, où le rectorat a été occupé. De 100 à 200 lycées ont été bloqués ou perturbés, dont plus de 20 à Paris. De nombreux enseignants nous ont signalé des lycées bloqués à Toulouse, Paris, Lille, Toblaine (54), Aix-en-Provence, Lorient, Pontivy, etc.
Mais l’heure de la négociation approche. « L’UNL demande l’ouverture sans délai d’un dialogue… Les lycéens attendent des réponses sur les points de la loi Pécresse qui les touchent comme la procédure d’« orientation active » et la préinscription qui l’accompagne ou la réussite des bacheliers en licence. L’UNL a présenté également ses propositions pour améliorer la transition entre le secondaire et le supérieur, notamment sur les évolutions nécessaires de la pédagogie au lycée. Il est indispensable qu’un travail interministériel soit entamé sur ce point en y associant étroitement les lycéens et les étudiants ». Finalement le mouvement pourrait-il améliorer l’Ecole ? L’UNL sera reçue par les ministres de l’éducation samedi 1er décembre.
La classe
13ème Semaine de la Langue française
Du 14 au 24 mars, la 13ème Semaine de la langue française permet de sensibiliser le public, et particulièrement les scolaires, au enjeux liés à la maîtrise de la langue. « Pour l’édition 2008, les dix mots retenus qui serviront de fil conducteur aux manifestations et permettront au talent de chacun de s’exercer sont : “apprivoiser, boussole, jubilatoire, palabre, passerelle, rhizome, s’attabler, tact, toi, visage”. Sous le thème de la rencontre, ils illustrent les possibilités de tisser des relations entre les personnes, les pays, les cultures, les arts etc. Ces “mots de la rencontre” éveilleront la curiosité de chacun, et en particulier des élèves, et déclencheront une démarche active de recherche, de découverte et de créativité à l’égard du vocabulaire » nous dit le B.O..
Une opération menée par les ministères de la culture et de l’éducation nationale, « Les mots de la rencontre » s’adresse aux élèves du secondaire. « À partir des dix mots de la rencontre, l’appropriation par les enseignants sera libre : écritures brèves ou longues, références à différents domaines d’expression artistique (littéraire, pictural, musical, cinématographique), recherches lexicales autour des mots (étymologie, évolution sémantique, famille linguistique, associations de mots), récits, nouvelles, poèmes, dossiers, montages de textes, panneaux illustrés, enregistrements audio ou vidéo, jeux de mots et d’esprit, séries de mots etc ».
La recherche
Méthodes de lecture ; une synthèse de l’INRP
« Ce dossier, qui accompagne le séminaire de formation « Méthodes de lecture et difficultés d’apprentissage : les échanges entre recherche, médiatisation et formation », organisé par l’INRP du 6 au 8 décembre 2007, dresse un panorama des recherches et débats récents sur l’apprentissage de la lecture et ses difficultés. Partant des polémiques de 2006, cette sélection de documents, essentiellement accessibles en ligne, laisse une moindre place à certaines références, comme par exemple la lignée constructiviste (Emilia Ferreiro, Jean-Marie Besse, etc.). » Malgré ce déséquilibre, Annie Feyfant et Marie Gaussel proposent une synthèse claire et savante sur cette question qui a suscité tant d’animation en 2006.
Leur dossier fait le point sur l’apprentissage de la lecture aux yeux des courants de recherche et dans les différents pays développés.
Citoyenneté
L’état civil en ligne
Demander en ligne son acte de mariage et l’acte de décès d’un proche est désormais possible sur le site officiel.
Les disciplines
Primaire : Le colloque sur la maternelle
Quel avenir pour la maternelle ? Le 27 novembre, le Snuipp organisait un colloque sensé faire le point sur les difficultés et l’avenir de l’école maternelle. Viviane Bouysse, Mireille Brigaudiot, parmi d’autres, analysent l’évolution de la maternelle. Un moment rare que la Café souhaite vous faire partager.
Lire le reportage de L. Gillet
EPS : L’inspection et l’avenir de l’EPS
Une fois encore, Eps Actualités, la revue de l’académie de Caen fait date. Les inspecteurs de l’académie (Gilles Grosdemange et ses chargés de mission) s’y interrogent sur l’avenir de l’EPS. « L’école propose dans ses structures pédagogiques des séquences d’enseignement obligatoires, facultatives ou associatives qui enseignent et utilisent les activités sportives. Dans ces contextes, elle doit préciser les finalités poursuivies, afin de bien différencier objectifs et moyens. La mise en place dans le cadre de l’accompagnement éducatif, de pratiques sportives, doit également interroger les enseignants sur les finalités du dispositif. Est-on sur un nouveau champ de pratiques à créer, ou sur l’évolution d’un dispositif existant ? Si l’EPS et l’AS ont défini leurs finalités par des textes institutionnels, il n’en reste pas moins important d’en préciser les enjeux ainsi que la nature même des formes et statuts des pratiques sportives engagées ».
C’est sous cet éclairage qu’ils proposent une riche réflexion sur la leçon d’EPS et son évaluation. Notons que la leçon s’inscrit dans un travail d’équipe. Les inspecteurs demandent aux enseignants un dossier qui fait apparaître le projet d’EPS, la leçon et les investissements personnels de l’enseignant.
EPS : Laporte et le sport scolaire
Bernard Laporte souhaite réunir les Fédérations sportives, l’USEP et l’UNSS pour créer de meilleures collaborations avec l’école.
Dans un discours prononcé devant les responsables du Comité national olympique et sportif français (c’est à dire les représentants des fédérations et des clubs sportifs), Bernard Laporte, secrétaire d’État chargé des sports a rappelé qu’une de ses priorités concernait le développement de la pratique du sport par les jeunes scolarisés.
Pour l’école primaire, il a estimé que « c’est dans cette tranche d’âge que le corps se forme et que l’on commence à acquérir les valeurs indispensables à la vie en société. Le niveau actuel de pratique d’activités physiques et sportives reste trop faible : 3 heures prévues, 2 heures 10 réalisées en moyenne. Ce serait, me semble-t-il, une grande ambition pour notre pays que d’amener, sur la durée de la mandature, les élèves du primaire à pratiquer au moins une heure de sport par jour ». Il a précisé que le mouvement sportif avait tout intérêt à voir cet objectif atteint car « le développement de la pratique sportive chez les jeunes est un moyen privilégié pour détecter les talents et attirer les jeunes vers les clubs sportifs. »
Rappelant l’existence de conventions entre quelques fédérations (rugby, hand, escrime, tennis….) et le ministère de l’Éducation nationale et les programmes de promotion de certaines disciplines au sein des établissements scolaires, il a souhaité une meilleure coopération des acteurs.
Le séminaire qu’il appelle de ses vœux associerait les fédérations de sport scolaire et les fédérations sportives particulièrement impliquées dans des projets à l’école ou en périscolaire. L’objectif serait de dresser le bilan des actions déjà entreprises, en identifiant les éventuels obstacles, et de réfléchir aux réalisations possibles, en collaboration avec l’Education nationale, dès 2008.
Les tenants d’une « Education physique scolaire », distincte de la pratique sportive, semblent désormais relégués à leurs réflexions éducatives : demain plus encore, l’École va ouvrir grande ses portes au sport et son organisation fédérale. (Gérard Lenormand)
E.D.D. : Le ministère lance un concours sur le Grenelle de l’environnement
Un papillon en zone polaire, c’est douteux. Un papillon au fond de l’océan… C’est pourtant ce qui attend le jeune visiteur du site « L’école agit ! » inauguré le 29 novembre par X. Darcos, JL Borloo et Nicolas Vanier. Car il fallait sans doute deux ministres et un réalisateur vedette pour inventer un énième concours destiné aux lycéens et collégiens sur l’EDD.
Dans le cadre de leur classe, ils sont invités à réaliser un rapport électronique sur un thème précis en lien avec le Grenelle de l’environnement. Les contributions devront parvenir aux jurys académiques avant le 7 avril. Un jury national distribuera les prix en mai, les propositions des élèves seront transmises à N. Sarkozy. Quinze propositions seront retenues, présentées au Président de la République et feront l’objet d’une diffusion nationale au mois de mai. Les travaux devront concerner les thèmes du Grenelle de l’environnement ; Lutter contre le réchauffement climatique et maîtriser l’énergie, Préserver la biodiversité et les ressources naturelles, Pour un environnement respectueux de la santé, Agriculture, environnement et développement durable, Démocratie et développement durable, Economie et développement durable.
Pour X. Darcos, l’école doit devenir « le Q.G. du changement des mentalités ». J.L. Borloo l’assure du soutien de son ministère. A preuve, il annonce que 20 000 copies du film d’Al Gore « une vérité qui dérange » seront mises à sa disposition. Pour N. Vanier il faut faire découvrir le Grenelle au « mammouth » qu’est toujours à ses yeux l’éducation nationale…
les tice
Deuxième Biennale des TIC à Grigny (69)
La M@ison TIC de Grigny, dans la banlieue sud-est de Lyon est un lieu privilégié qui s’est donné pour objectif de permettre à tous d’accéder aux technologies de l’information et de la communication. Luttant contre toutes les formes de fractures numériques, les responsables de ce lieu, accompagnés par un conseil scientifique, développent des propositions pour tous, jeunes, adultes, personnes âgées, commerçants, demandeurs d’emplois etc… en partenariat avec les acteurs locaux du monde associatif et social.
Après avoir organisé en 2005 une première rencontre autour du thème « illusion et réalités de l’accès pour tous aux technologies de l’information et de la communication » dans le cadre des entretiens Jacques Cartier, un deuxième volet aura lieu les 7 et 8 Décembre prochain à Grigny.
Découvrir les facettes de cette question, comprendre les pratiques et favoriser les rencontres est le coeur de cette deuxième rencontre biennale associant des partenaires du monde entier qui seront présents, venus du Burkina Faso, du Venezuela, du Brésil, d’Italie, du Québec et de bien d’autres régions du monde. Ces deux journées permettront de comprendre les dynamiques qui se développent actuellement dans le domaine de l’accès de tous à la connaissance, en particulier dans un monde envahit par les TIC.
le Cafe
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