Serveurs et stockage : les équipements se mettent au vert
Dans un serveur, l’énergie est consommée à égalité par son alimentation et sa ventilation, et par les composants actifs, processeur en tête. À cela s’ajoutent les besoins des disques, souvent mutualisés sur une baie. Pour réduire la consommation, les constructeurs rivalisent d’efforts sur chacun de ces composants, afin de gagner en efficacité. Dell a même placé sa démarche sous la bannière du concept PowerEdge Energy Smart, qui consiste à sélectionner des composants basse consommation. « À moyen terme, tout nos serveurs seront Energy Smart », affirme Nathalie Rotceig, chef de produits serveurs chez Dell.
Cette tendance relève toutefois moins d’une volonté de préserver l’environnement que d’une heureuse conséquence de la réponse aux demandes très concrètes des entreprises. Celles-ci souhaitent en effet réduire leur facture électrique et résoudre les problèmes de dissipation thermique, sans renoncer à l’accroissement des performances.
http://www.zdnet.fr/actualites/it-management/0,3800005311,39374950,00.htm?xtor=EPR-104
De l’importance de l’amélioration du processus de tests
Toutes les entreprises et toutes les organisations sont désormais tendues vers des objectifs d’agilité (pour innover et mettre à disposition des clients des produits et services plus rapidement), de qualité et d’efficacité. Ces objectifs sont en grande partie conditionnés par les systèmes d’information qui supportent les processus associés.
C’est ainsi que beaucoup d’investissements ont été réalisés pour donner ces propriétés d’agilité, de qualité et d’efficacité aux systèmes d’information ; tant sur les applications que sur les infrastructures. Ces systèmes de plus en plus ouverts et communiquant présentent des facteurs de complexités certains, de par l’hétérogénéité des composants, de par la diversité des technologies employées, sans oublier la diversité (culturelle et géographique) des utilisateurs.
Raison pour laquelle les processus de développement se sont considérablement industrialisés ; permettant ainsi des opportunités nouvelles de réductions de coûts en externalisant, éventuellement en offshore la réalisation et/ou la maintenance.
http://www.journaldunet.com/developpeur/expert/15841/importance-de-l-amelioration-du-processus-de-tests.shtml
L’AFP a opté pour Nuxeo EP, plate forme open source de gestion de contenu
Responsable du groupe ingénierie de l’AFP, Daniel Oudet met en lumière les choix technologiques de l’Agence-France Presse et les conditions de déploiement de la plateforme open source de gestion de contenu Nuxeo EP.
http://www.neteco.com/84524-daniel-oudet-afp-nuxeo-ep-plate-forme-open-source.html?xtor=EPR-1
Refacturation en interne des prestations informatiques : mode d’emploi
Nombre de directions des systèmes d’information (DSI) s’interrogent sur l’opportunité de refacturer leurs prestations en interne afin de faire tomber l’image de « boîte noire » de l’informatique et justifier des dépenses engagées en fonction des objectifs métiers ou stratégiques. Ce processus conduit à clarifier le budget, les dépenses et les moyens de répondre aux demandes d’évolution du système informatique. Spécialiste du domaine, William Porret, directeur associé d’Enora Consulting, a bien voulu répondre à nos questions pour faire un point complet sur le sujet.
http://www.indexel.net/1_6_4968__3_/15/90/1/Refacturation_en_interne_des_prestations_informatiques___mode_d_emploi.htm
La programmation défensive
La programmation défensive est un état d’esprit qui consiste à écrire son code de façon à s’attendre au pire. Le fait est que le programmeur peut insérer des fautes non détectées ou des inconsistances. Pour s’en prémunir, il faut prévoir un traitement pour les fautes : soit en ajoutant du code vérifiant l’état du système, soit par un traitement d’erreur classique. Dans l’idéal, il faudrait penser à toutes les sources d’erreurs possibles et prévoir un traitement pour chacune d’elles.
http://www.journaldunet.com/developpeur/tutoriel/theo/070831-programmation-defensive.shtml
Open source business : un marché, des modèles
Red Hat, Jboss, MySQL, Novell, Sun, Nuxeo, Zend, Talend, nombreux sont les éditeurs et fournisseurs de logiciels open source dont la réputation n’est plus à faire. Les éditeurs de logiciels propriétaires eux-mêmes, d’IBM à Oracle, sont de plus en plus nombreux à contribuer à cet écosystème. Comment est né ce mouvement, quels sont ses atouts, ses faiblesses, ses perspectives d’avenir ?
http://www.neteco.com/84538-open-source-business-modeles.html?xtor=EPR-1
Construire le socle d’une architecture orientée services
De plus en plus pour venir à bout de la complexité des applications et maximiser la réactivité aux changements, celles-ci sont architecturé en services réutilisables. C’est notamment l’esprit de l’approche SOA qui définie un modèle de conception et d’interaction applicative mettant en œuvre des connexions en couplage lâche entre divers composants logiciels associés à des contrats de service définissant précisément leurs modalités d’interaction. Ici, on entend par « service » une action exécutée par un composant « fournisseur » à l’attention d’un composant « consommateur », basé éventuellement sur un autre système. Rendre un service disponible c’est définir le contrat (API) à respecter afin d’accéder au service. Le contrat définit également les protocoles de communications, la structure des messages échangés et l’URI ou point d’entrée/d’accès. Consommer un service dans une application peut être un processus complexe. Tout objet désirant accéder à cette ressource doit transiter par une passerelle qui se charge de traduire tout appel de méthode simple en appels API appropriés.
http://www.journaldunet.com/developpeur/tutoriel/theo/071024-service-gateway-pattern/2.shtml
Lille veut révolutionner son commerce de proximité avec la RFID et le WiFi
Le pôle de compétitivité nordiste des industries du commerce a lancé son projet « Lille Métropole ubiquitaire » – une déclinaison de l’Ubiquitous Project japonais.
À partir de janvier 2008, dans une rue commerçante du centre ville et une galerie commerciale de Villeneuve d’Ascq, seront expérimentés de multiples services basés sur les réseaux à distance WiFi et la technologie RFID.
Via un téléphone mobile spécial, des usagers pilotes pourront réserver leur place de cinéma après avoir consulté le programme, être guidés en magasin vers les articles qu’ils auront auparavant sélectionnés sur internet, visualiser les offres promotionnelles des commerçants, régler leurs achats ou télécharger la musique du chanteur apparaissant sur une affiche de spectacle.
http://www.zdnet.fr/themas/0,3800005031,39374712-4000002040+4000002880q,00.htm
Projets informatiques : dix erreurs à ne pas commettre
Une récente étude menée pour le compte de Computer Associates auprès d’une centaine de directions des systèmes d’information (DSI) de grandes entreprises montre qu’un tiers des projets informatiques dérapent en termes de respect du budget et des délais. Pour 25 % de ces projets, le coût à l’arrivée aura doublé. Pire, 10 % n’aboutiront jamais.
Pourquoi ces projets dérapent-ils ? « Quelle que soit la nature du projet – site web, application métier, etc. – on retrouve toujours les mêmes raisons », constate Stéphane Bordage, cofondateur de Breek, une SSII qui accompagne les maîtrises d’ouvrage (AMOA). « Un besoin mal défini, des règles de gestion spécifiées sans tenir compte de l’outil utilisé, l’évolution du périmètre fonctionnel en cours de projet et l’intervention d’autres interlocuteurs en cours de projet qui ne possèdent pas tout l’historique du dossier », énumère-t-il.
Un constat que partagent Franck Laudet, responsable du système d’information de Cogedim et Serge Cadenat, responsable NTIC dans une grande institution. Ces trois spécialistes détaillent les dix erreurs à ne pas commettre et nous donnent des pistes pour les éviter.
http://www.indexel.net/1_6_4962__3_/15/90/1/Projets_informatiques__dix_erreurs_a_ne_pas_commettre.htm
Les méthodes agiles sont-elles possibles à l’offshore ?
Quel est le but de l’eXtrem Programming : réduire les coûts du changement. Quel est le but du développement offshore : le même. C’est sur base de ce constat que nous avons fait évoluer depuis plus d’un an notre collaboration avec certains de nos clients, et tout particulièrement un éditeur de logiciel dans le monde de la gestion électronique de la relation client.
http://www.journaldunet.com/developpeur/expert/18259/les-methodes-agiles-sont-elles-possibles-a-l-offshore.shtml