LE FAIT DU JOUR
Accompagnement éducatif : « une réponse peu opérationnelle à des besoins mal cernés » selon l’Andev
ÉDITORIAL
Définir l’illettrisme et dépasser les idées reçues
LE SYSTEME
Le collège unique pour résister au changement l Primaire : Bentolila chargé de refonder la maternelle l Afrique :la rentrée saison des grèves
L’ÉLÈVE
Classes prépas : un rapport contre « l’autocensure » des lycéens l Une BD pour attirer les lycéens vers les sciences
LA CLASSE
Primaire : Selon un sondage 8 parents sur 10 contre la classe du samedi
LA RECHERCHE
Apprendre les sciences dans XYZep
LES DISCIPLINES
EPS : Le Snep dénonce la baisse des effectifs en Staps l Musique : Le chantier des profs des Enfants de la Zique
Le fait du jour
Accompagnement éducatif : « une réponse peu opérationnelle à des besoins mal cernés » selon l’Andev
Mal ciblé, l’accompagnement éducatif voulu par Nicolas Sarkozy pourrait ne pas répondre aux espoirs mis en lui estime l’Andev, une association qui regroupe des praticiens de l’éducation, les directeurs de l’éducation des villes de France.
« L’accompagnement éducatif n’est pas une petite « mesurette » et concerne des enjeux réels. Cependant en voulant réunir dispositif de droit commun et équité, elle risque de rater l’une et l’autre de ces cibles » déclare l’Andev. Les directeurs des services éducatifs des grandes villes ont déjà une longue expérience de l’accompagnement scolaire. Et l’intervention de l’Andev dans ce projet reflète d’abord les difficultés apportées par le projet ministériel. « Ces mesures ont des impacts directs sur les collectivités, départements et communes qui sont non seulement invitées à cofinancer ces interventions, mais interrogées sur de nombreux autres aspects de leurs compétences (mise à disposition d’équipements sportifs, transports scolaires, liens avec la politique de la ville…) » rappelle l’Andev.
Au-delà des enjeux financiers, l’association souligne l’opposition entre les deux objectifs fixés à l’accompagnement éducatif (AE) par le ministère. L’AE est définie dans la circulaire ministérielle à la fois comme un dispositif de droit commun offert à tous les collégiens et une aide aux « orphelins de 16 heures » c’est-à-dire un dispositif d’égalité des chances.
Or pour l’Andev, « l’expérience des accueils péri scolaires et extra scolaires dans le premier degré fait apparaître que bien souvent, et malgré des tarifs attractifs, voir la gratuité, la fréquentation de ces temps est souvent faible pour les enfants dont on souhaiterait justement qu’ils les fréquentent« . Par conséquent, « un dispositif de droit commun, tout utile qu’il soit, ne peut viser en lui même à « favoriser l’égalité des chances entre tous les élèves ». Des mesures d’accompagnement sont nécessaires pour viser ce but« . Pour l’Andev, plutôt que cet AE généraliste,il vaudrait mieux payer les enseignants pour du soutien individuel des enfants défavorisés.
L’association critique également l’horaire retenu. » Le temps du midi pour peu qu’il soit aménagé, peut devenir un moment de qualité au lieu d’être comme souvent aujourd’hui au collège un espace difficile à gérer et de ce fait souvent source de tensions. La pause méridienne pourrait ainsi être allongé permettant du même coup d’augmenter le temps de scolarité le soir à un moment (16h30/17h) dont on sait qu’en terme de chronobiologie l’aptitude aux apprentissages est bonne« .
L’Andev signale également que si l’AE est un dispositif de droit commun, il ne peut s’appuyer sur des enseignants volontaires mais doit faire appel à des intervenants extérieurs.
En conclusion l’Andev estime que « s’il s’agit de droit commun, les mesures prises sont mal adaptées à la pérennité du dispositif. S’il s’agit d’équité, le dispositif est trop collectif pour pouvoir sérieusement y répondre et contradictoire avec d’autres démarches engagées par l’Etat (réussite éducative) qui visent au contraire à partir de l’enfant pour mettre en place un parcours de réussite« .
Portée par le terrain, l’analyse de l’Andev pourrait signifier une inquiétante résistance des pouvoirs locaux à l’initiative ministérielle. Elle souligne les défauts d’une mesure lancée précipitamment.
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Illettrisme : de quoi parle-t-on ?
Des titres récents de journaux ont établi un lien entre la question scolaire et celle de l’illettrisme. De quoi parle – t on ? Il faut se mettre d’ accord sur les mots.
L’illettrisme est la situation d’une personne adulte qui a été scolarisée en France et qui n’a pas acquis une maîtrise suffisante de la lecture, du calcul et des compétences de base pour être autonome dans les situations simples de la vie courante. (cf. Cadre national de référence ANLCI. 2003 www.anlci.fr . )
Il s’agit pour la personne de réapprendre, de renouer avec la culture de l’écrit dans le cadre de formation de base inscrite dans une politique de lutte contre l’illettrisme. Cet enjeu de société est majeur, au moment où tous les métiers, toutes les situations de vie (se déplacer, faire ses courses…) rendent l’écrit incontournable.
On parle d’illettrisme quand on parle d’une situation repérée chez un adulte. Un enfant, est par définition, un être en devenir, comme élève il est dans un processus permanent d’apprentissage. Dire d’un élève entrant en 6ème qu’il est en situation d’illettrisme est un contre-sens absolu. C’est penser que tous les apprentissages qui concourent à une meilleure consolidation seraient déjà joués à 11 ans. Cela n’a pas de sens.
Que l’on s’alarme que la maîtrise de la lecture et de l’écriture soit, à un temps T, inégale, voire insuffisante aux regards de critères établis, certes, on peut vouloir que tous au même âge sachent les mêmes choses. C’est encore une fois aller un peu vite et oublier que chaque enfant, chaque personne, nous-mêmes, les adultes, avons des temps propres et des rythmes propres d’acquisition.
On parle sans arrêt d’individualisation des apprentissages et des rythmes et pourtant, c’est bien sur la base d’évaluations globales sur une tranche d’âge donnée et à un temps T précis, que les évaluations portent alors forcément, il y a des différences. C’est assez paradoxal.
Pour être vraiment précis, il faut rappeler les chiffres.
L’Insee a fait en 2004 et 2005, pour le compte de l’Agence Nationale de lutte contre l’illettrisme une enquête sur les vrais chiffres de l’illettrisme. Cette enquête a porté sur 40 millions de personnes de 18 à 65 ans ! Trois millions de personnes ont été repérées en situation d’illettrisme, et plus de la moitié des personnes, soit plus de 1,5 millions, est âgée de plus de 45 ans ! La tranche d’âge 18-25 ans ne représente « que » 4, 5 % des personnes repérées. C’est toujours trop, c’est beaucoup trop au regard des exigences que chacun d’ entre nous attend du système éducatif français. Mais on est loin des cris d’orfraie de certains, du catastrophisme et du déclinisme déclamé sur tous les journaux qui voudrait bien nous faire revenir à un âge d’or mythique. Ceux qui ont plus de 45 ans aujourd’hui, sont bien les mêmes qui ne sont pas allés au collège en fin de cycle du primaire. C’étaient bien les meilleurs qui entraient au collège il y plus de 40 ans.
Il ne faut rien minimiser certes, mais s’en tenir à des considérations simples et réalistes. Comment agir pour que les enfants puissent avoir tous accès à la lecture et à l’écriture ? Qu’ils gardent et consolident leurs acquis ? On sait bien que tous les milieux ne disposent pas des mêmes ressources. On sait aussi que les élèves de milieux défavorisés désapprennent scolairement durant les vacances mais au contraire que les autres enfants de milieux plus aisés apprennent et acquièrent beaucoup de savoirs durant ces périodes d’apprentissages informels. C’est bien au cœur de la famille que les enjeux et les moyens doivent être mis .La Ligue de l’Enseignement agit directement auprès des familles au travers de ses actions de formation des savoirs de base pour les adultes. Elle agit aussi dans une logique de prévention, pour éviter le décrochage scolaire avec l’accompagnement à la scolarité ou encore avec les ateliers relais.
Il ne sert à rien de jouer les Cassandre si dans le même temps les politiques d’accompagnement social du chômage diminuent comme peau de chagrin. Les chiffres de l’enquête précisent que 5% « seulement » des 3 millions de personnes repérées sont allocataires du RMI, mais 26% des allocataires du RMI sont en situation d’illettrisme. Soit près d’un quart de la population au RMI, la proportion est donc trois fois plus élevée que dans l’ensemble de la population concernée.
Stigmatiser les enseignants, ou une méthode (celle dite globale n’existait pas il y a 40 ans – si tant est qu’elle ait été largement appliquée – c’est pourtant dans la tranche des 45 ans et plus qu’il y a le plus d’illettrés !), c’est faire un rideau de fumée pour cacher des enjeux plus complexes qui touchent au cœur des politiques publiques, éducatives certes, mais aussi culturelles et sociales, d’accès à l’emploi et de professionnalisation des salariés.
Karin TUDAL
Chargée de Mission nationale illettrisme à la Ligue de l’Enseignement.
Nos excuses à Karine Tudal et à nos lecteurs : une malheureuse confusion nous a fait publier ce matin sous son nom un autre texte. Nous vousprions de nous en excuser.
Le collège unique pour résister au renoncement
« Ce n’est pas parce que le collège unique n’existe pas que son idéal n’existe pas. Proposer le collège unique comme modèle implique une ambition : celle de la réussite de tous, inscrite dans la loi. Autrement dit, c’est un idéal au même titre que l’idéal démocratique. Le fait qu’il existe en tant que tel structure les représentations des professionnels. Ils savent qu’ils doivent faire des efforts pour amener tout le monde au niveau supérieur, parce que la nation l’a décidé. Les familles aussi le savent et nourrissent, de fait, un espoir vis-à-vis du collège. Cet objectif met en tension le système, mais positivement. Il force à résister au renoncement et à la logique du déterminisme scolaire précoce. C’est cela, la fonction du collège unique« . Dans L’Humanité, Choukri Ben Ayed, Université Jean Monnet à Saint-Etienne, rappelle les enjeux du collège unique.
« Envisager de supprimer le socle républicain que constitue la carte scolaire revient à sacraliser l’école comme un espace de concurrence entre les élèves. Dès lors, le collège unique peut être perçu comme une contrainte » ajoute-il.
Article de C. Ben Ayed sur Snuipp 89
Dans le Café : Le collège unique pour quoi faire ?
Primaire : Bentolila chargé de refonder l’école maternelle
« Vous identifierez les réformes qui vous semblent nécessaires à une refondation de l’école maternelle en abordant notamment les contenus,les outils et les publics de ce niveau d’enseignement« . Selon l’AFP, c’est la mission confiée par X. Darcos à Alain Bentolila. Il devrait rendre son rapport à la fin de l’année.
Avec le retour d’Alain Bentolila c’est un peu de Robien qui revient. En effet, dans les dernières semaines de Robien, Bentolila avait rendu un rapport recommandant l’apprentissage systématique du vocabulaire dès l’école maternelle par des « leçons de mots ». Une demande fortement contestée par des spécialistes. Ainsi Philippe Boisseau, dans le Café , expliquait que « l‘enregistrement dans les années 60 / 70 de telles leçons, la déception qui résulta de leur analyse, conduisit à se méfier de la culture du seul vocabulaire et à accorder une bien plus grande part à la construction de la syntaxe… Les leçons de mots de Bentolila, son insistance sur les mots peu fréquents, pourraient nous ramener à la case départ !! »
L’enjeu est de taille : les propositions d’A.Bentolila aboutissaient à une « scolarisation » de l’école maternelle susceptible d’aggraver les inégalités sociales dès la maternelle. Une orientation qu’on retrouvera dans son rapport?
Le dossier du Café sur les leçons de mots
Afrique : La rentrée , saison des grèves
« Où le trésor public va-t-il trouver des centaines de millions voire des milliards de nos francs pour payer 3.600 maîtres supplémentaires dans les écoles primaires et 1500 professeurs de plus dans le secondaire ? D’autant plus que dans de nombreuses écoles de l’intérieur du pays, des professeurs vacataires ne sont pas toujours payés, des fois depuis 3 ou 4 ans de prestation » interroge l’Agence Net Press de Bujumbura. Alors que la rentrée commence en Afrique de l’ouest, les menaces de grève se précisent.
Ainsi au Cameroun, les enseignants feront grève début octobre pour obtenir une revalorisation salariale. Ils boycotteront la Journée des enseignants le 5 octobre. Au Sénégal, ce sont les inspecteurs qui appellent à la grève pour un motif identique. Au Congo Kinshasa, la grève traverse le mois de septembre. Les enseignants devraient abandonner les frais d’écolage mais en échange attendent une revalorisation de leur salaire.
Partout ces mouvements témoignent des fortes tensions dans les systèmes éducatifs du fait des progrès de l’Education pour tous. Les états sont sommés d’embaucher plus d’enseignants et tentés de bloquer les salaires.
Classes prépas : Un rapport contre « l’autocensure » des lycéens
« 30 % des bacheliers ayant obtenu une mention intègrent une classe prépa quand ils sont enfants d’enseignant ou de milieu supérieur, 12 % quand ils sont issus de milieu populaire ; 54 % des étudiants en classes préparatoires sont issus de milieu favorisé« . Ces deux constats sont faits par les sénateurs Legendre et Bodin dans leur rapport sur les classes préparatoires.
Ils soulignent « un phénomène d’autocensure, d’ordre à la fois socioculturel et psychologique, qui renvoie notamment aux défaillances de notre système d’information et d’orientation ; des handicaps financiers (logement, frais d’inscription aux concours, coût des études, travail salarié peu compatible…) » et signalent des inégalités territoriales d’accès aux classes prépas.
Ils proposent d’améliorer l’information des lycéens sur les classes prépas pour « lever l’autocensure » et développer des contacts directs entre professeurs de lycée et de classe préparatoire. Ils souhaitent aussi la généralisation du tutorat en seconde.
Une BD pour attirer les lycéens vers les sciences
Le constat n’est pas nouveau : trop peu de bacheliers, et surtout trop peu de bachelières, s’orientent vers les premiers cycles scientifiques universitaires. Plusieurs rapports le montrent et le Café en a parlé à plusieurs reprises. La décroissance des effectifs est importante, notamment en physique et sciences de la nature et de la vie (respectivement – 47 et – 27 % en 5 ans). Or, il parait essentiel pour les universités, si elles veulent maintenir une activité de recherche innovante et performante, de disposer, dans leurs filières fondamentales, d’un vivier important d’étudiants issus de tous les horizons, auxquels elles peuvent offrir, sans doute plus qu’ailleurs, un enseignement favorisant le développement de leur curiosité, de leur esprit critique et de leur capacité à mener un projet de recherche.
Pour mener une campagne d’information et de séduction, auprès des lycéens, de leurs parents et de leurs enseignants, huit universités franciliennes et le Conseil régional se sont associés pour créer la bande dessinée « Objectif sciences : A la découverte des métiers scientifiques ». Tirée à 130 000 exemplaires, elle sera bientôt distribuée dans les lycées.
Des webographies pour aider l’élève
Comment construire son raisonnement, sa méthode, son autonomie ? Comment apprendre les langues ? Le Crdp de Nice publie des webographies pour aider les élèves dans leur travail scolaire.
Sur le Café : le Guide de rentrée, édition parents
La classe
Primaire : Selon un sondage 8 parents sur 10 contre la classe du samedi
Selon un sondage publié par Le Nouvel Observateur et Play Bac, l’école le samedi matin est rejetée par 80% des parents et 59% des enseignants. Ils préféreraient une réduction des grandes vacances (pour 40% des parents).
Le sondage est publié alors que X. Darcos laisse entendre qu’il pourrait supprimer les cours du samedi matin (voir L’Expresso du 25/9). Parmi les arguments avancés contre la classe du samedi, les enseignants soulignent l’absentéisme des élèves ce jour là et la nécessité de prendre en compte les enfants dont les parents sont séparés. Les parents eux plaident pour le week-end familial, le besoin de deux jours de coupure et les activités extra-scolaires. Des besoins sociaux qui semblent l’emporter sur les rythmes biologiques des enfants.
La recherche
Apprendre les sciences dans XYZep
« Beaucoup reste à faire au sujet de l’enseignement des sciences et des milieux populaires : nombre de questions à propos des rapports de cet enseignement avec les savoirs savants, la didactique et la sociologie de l’éducation et de la connaissance ; autant d’enquêtes à mener sur la question des savoirs enseignés, la manière dont ils s’enseignent, et la manière dont les élèves y font face, de manière socialement différenciée ». Françoise Carraud introduit ainsi le dossier « apprendre les sciences » du numéro 28 de XYZep, lebulletin du Centre Savary (Inrp).
XYZep donne la parole à Bernard Lahire qui montre l’importance du langage dans l’enseignement. Pierre Léna évoque l’expérience de La main à la pâte.
Les disciplines
EPS : Le Snep dénonce la baisse des effectifs en STAPS
« Pour développer une nation sportive, au même titre qu’il est nécessaire de lancer un plan d’urgence pour les installations sportives, il faut un taux d’encadrement élevé, qualifié, reconnu et donc, des emplois attractifs » demande le Snep, syndicat de l’éducation physique Fsu. Le Snep proteste contre la chute des effectifs en Staps, résultat de la baisse du nombre de postes mis aux concours.
Musique : Le chantier des profs des Enfants de la Zique
Les Enfants de la Zique proposent « le chantier des profs ». Du 22 au 25 janvier, cette formation nationale a pour objectif de fournir à des personnes ressources les informations et pistes nécessaires à la conception, la mise en œuvre et l’évaluation de projets autour de la chanson selon trois axes : Savoir écouter … ou comment faire découvrir le répertoire de la chanson; Ressources et partenariats… ou comment faire découvrir la réalité d’un univers artistique et culturel; créer… ou comment révéler la sensibilité du jeune public par la démarche artistique (création de chanson, interprétation, arrangement et ré-interprétation orchestrale).
Chaque année, Les Enfants de la Zique font découvrir la chanson française à des milliers d’élèves.
le Cafe
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