LE FAIT DU JOUR
Carte scolaire : Les propositions des chefs d’établissement du Snpden
ÉDITORIAL
Comment attirer les enseignants ?
LE SYSTÈME
Décret Robien : Les postes ne seront pas rétablis l Carte scolaire : Parents ouvrez vos écoles ! l Mouvements dans des collèges à Vitry et Villeneuve-la-Garenne ! Mayotte : 12ème semaine de grève des instituteurs
L’ÉLÈVE
Orientation : Stratégies et procédures l Les chroniques lycéennes n°6 l 31 mai : 10ème concours des classes non-fumeurs
LA CLASSE
Les valeurs au sommaire de Vie pédagogique l Temps mobile
LA RECHERCHE
Une étude valide l’appel à des auxiliaires pour assurer l’Education pour tous en Afrique
LES DISCIPLINES
EEDD : Travailler plus pour polluer plus l Langues : l’allemand en lycée professionnel l Histoire-géo : le programme de 1ère ST2S l Géographie : Y’a du boulot dans la géo !
Le fait du jour
Carte scolaire : Les propositions des chefs d’établissement du Snpden
« Nous en sommes conscients, le « retour » à une sectorisation stricte, qu’impliquerait la simple défense du principe de la carte scolaire sans autre considération, n’est pas envisageable en l’état actuel des choses. Les engagements pris par le nouveau Président de la République conduisent même à aller dans le sens opposé ; nous le regrettons mais en prenons acte, considérant que le statu quo, en tout état de cause, ne garantit aujourd’hui ni la mixité sociale ni l’égalité. Mais la suppression sans autre forme de procès et sans mesures de régulation, et pour commencer de nouveaux « assouplissements » sans précaution, ce serait la pire des solutions, puisque nous constatons sur le terrain que les inégalités entre les établissements, comme les inégalités en matière d’affectation selon l’appartenance sociale des élèves, sont l’une des conséquences les plus évidentes des expériences antérieures, au détriment d’une mixité scolaire plus compromise encore que la mixité sociale des quartiers où se situent les établissements ». Dans une longue lettre ouverte adressée au ministre de l’éducation nationale, le Snpden, principal syndicat de chefs d’établissement, fait connaître ses « propositions ».
Le syndicat estime que « Moins de carte scolaire, c’est rendre nécessaire une régulation et une organisation par d’autres moyens ». Aussi il attire l’attention du ministre sur 5 mesures. D’abord il recommande de donner la priorité aux demandes de proximité. Il souhaite que les implantations futures des établissements tiennent compte des objectifs de mixité sociale. Deux mesures semblent plus radicales. Le Snpden demande que « une partie des moyens attribués aux établissements soit calculée selon des critères destinés à favoriser l’accueil des élèves de leur secteur, et à encourager leur contribution à l’objectif général de mixité scolaire, afin de stabiliser, voire de corriger l’effet d’écart croissant des inégalités entre les établissements ». L’Etat devrait cesser d’accorder les moyens selon les effectifs bruts ce qui favorise les établissements qui attirent le plus les élèves. Le Snpden demande aussi que soit dissociée la carte des options et les processus d’affectation. « La pratique devrait être d’offrir les options en fonction des besoins du public scolaire accueilli (éventuellement sous des formes mutualisées entre les établissements), et non d’en faire un produit d’appel permettant la sélection d’un public privilégié ».
Le ministre, dans un entretien accordé au Parisien, annonce qu’il se fixe trois rentrées pour supprimer la carte scolaire. Pour permettre la mixité sociale, il envisage de renforcer les moyens dans les établissements défavorisés.
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Comment attirer les enseignants ?
« Dans la plupart des pays il y aura plus de nouveaux enseignants pendant les dix prochaines années qu’à aucune période depuis les années 70. Cette nouvelle génération d’enseignants sera différente, du moins aux États-Unis. Les enseignants bientôt retraités sont en poste depuis les années 60-70, lorsque de nombreuses femmes et personnes issues de minorités ethniques n’avaient guère accès à d’autres secteurs et se sont accommodées de cette profession, moyennant un salaire relativement faible, pendant toute leur carrière ». Pour L’Observateur de l’Ocde, ce recrutement massif est un défi. Il donne l’occasion d’un échange entre les pays de l’Ocde sur les pratiques et les carrières des enseignants.
Or, pour l’Ocde, « au cours des 20 dernières années, la rémunération des enseignants a diminué dans la plupart des pays par rapport à celle perçue dans d’autres professions exigeant un niveau d’études comparable. En outre, dans 70 % des pays examinés, il faut au moins 20 ans aux enseignants du premier cycle du secondaire pour passer du minimum au maximum dans l’échelle des rémunérations, ce qui est long par rapport à d’autres professions ». Comment réussir à attirer de nouveaux enseignants sans revaloriser les salaires et améliorer leurs conditions de travail ?
C’et sur ce chemin que s’engagent de nombreux pays. Ainsi Singapour a multiplié les catégories enseignantes de façon à maintenir en classe les plus expérimentés tout en reconnaissant leur compétence. Aux Etats-Unis des programmes de professionnalisation permettent de reconnaître les enseignants expérimentés, les Teachers Leaders.
Qu’en sera-t-il en France ? En 2005, la revue ministérielle Education et Formations, prévoyait que près de la moitié des enseignants du primaire partiront en retraite d’ici 2013. Du coup le ministère estimait qu’il faudrait recruter 16 000 enseignants du primaire par an et 16 500 du secondaire de 2006 à 2013. Ces prévisions Xavier Darcos les connaît. Il sait aussi que le président de la République souhaite diminuer rapidement le nombre de fonctionnaires. L’issue du problème se trouvera dans la négociation sur les métiers et les horaires des enseignants que Xavier Darcos a déjà annoncée.
Teachers Leaders
http://cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/09052007Accueil.aspx
Education et formations n°71
http://www.education.gouv.fr/stateval/revue/revue71/resuef71.htm
Vous retrouverez demain la Tribune de la Ligue de l’Enseignement
Décret Robien : Les postes ne seront pas rétablis
« Nous tenons à vous alerter sur les conséquences que ne manqueraient pas d’avoir le non rétablissement des postes supprimés et le recours aux seules heures supplémentaires sur les conditions d’encadrement des élèves à la prochaine rentrée ». Dans une lettre ouverte au ministre, le Snes met celui-ci en garde contre la bivalence et le non-rétablissement des postes supprimés.
Selon le Se-Unsa, le ministre n’obtiendrait pas de rallonge budgétaire. Les 3 000 postes supprimés par Robien ne seront pas rétablis. Des heures supplémentaires seraient accordées aux établissements. Selon certaines informations, seules certaines catégories de décharge supprimées par Robien seraient rétablies.
http://www.snes.edu/snesactu/spip.php?article2583
Carte scolaire : Parents ouvrez vos écoles !
« Il y aura une réponse complète. On offrira aux parents des options pour améliorer leur école ou, s’ils le souhaitent, on les aidera à ouvrir leur propre nouvelle école ». C’est la réponse anglaise à la question de la carte scolaire. Lord Adonis, ministre de écoles, a annoncé son intention de renforcer les pouvoirs des parents. Dès maintenant chaque ouverture d’école sera soumise à compétition.
http://education.guardian.co.uk/policy/story/0,,2088370,00.html
Mouvements dans des collèges à Vitry et Villeneuve-la-Garenne
A Vitry, selon l’AFP, un collège est occupé par des enseignants pour protester contre les suppressions de classes. A Villeneuve-la-Garenne, des enseignants du collège Pompidou protestent contre le manque de surveillants. Ils dénoncent le climat de violence de l’établissement.
Mayotte : 12ème semaine de grève des instituteurs
La mobilisation des instituteurs reste importante à Mayotte alors que le mouvement est dans sa douzième semaine. Les instituteurs mahorais grévistes demandent l’indexation de leur salaire sur celui des fonctionnaires expatriés. Ils dénoncent la répression antisyndicale. La Faen condamne les « actes de violence, les dégradations et demande aux pouvoirs publics de mettre hors d’état de nuire ceux qui salissent Mayotte ».
Article Sud Education
http://www.sudeducation.org/article1989.html
Orientation : Stratégies et procédures
Comment mieux se connaître ? Comment fonctionnent les procédures d’orientation ? La fiche « orientation » de l‘Esen, Ecole supérieure de l’éducation nationale, est austère. Mais elle rappelle la réglementation en vigueur. Elle propose aussi une boîte à outils pour aider les enseignants à suivre leurs élèves.
http://www.esen.education.fr/upload/fiches_film/fiche_film_25.pdf
Le dossier du Café
http://cafepedagogique.net/lesdossiers/Pages/r2006_gen61.aspx#a1
Les chroniques lycéennes n°6
« Ma chère maman. Tu me dis tous les jours que j’écoute une musique dont les paroles ne veulent rien dire et qu’on ne comprend pas ce style de musique, que cette chanteuse est prête à tout pour être connue et avoir de l’argent. Je t’écris car j’ai décidé de t’expliquer pourquoi j’apprécie Diam’s et sa chanson « Petite banlieusarde »… » Les Chroniques lycéennes n°6 sont en kiosque. Retrouvez les critiques musicales écrites par les lycéens de Quimper, Mulhouse, La Rochelle, Verdun, Bourgoin-Jallieu, Sartrouville, Muret etc.
Ils aiment Diams, mais aussi Etyl, Mr. Roux, Abd Al Malik, Asyl, Marie Cherrier ou encore Joseph d’Anvers. « Il sussure (encore un mot de la prof !) des mots doux, de la tendresse. Et finalement on s’est dit tous, qu’on aimerait bien que quelqu’un nous parle comme ça un jour ! »
31 Mai : 10ème concours des classes non-fumeurs
Cette année, près de 1 500 regroupant 37 500 collégiens ont participé au concours des Classes non-fumeurs. Elles se sont engagées à ne pas fumer .durant 6 mois et à mettre en place des ateliers pédagogiques. Un concours relie les clases. Il est soutenu par l’initiative européenne « Help ». Il s’agit de convaincre les jeunes de ne pas commencer à fumer.
http://www.classesnonfumeurs.org/
La documentation pédagogique
http://www.classesnonfumeurs.org/concoursGestion/materiel_telecharger.asp
La classe
Les valeurs au sommaire de Vie pédagogique
« Au retour de la récréation, durant la période de relaxation, Julianne se promène entre les tapis disposés un peu partout sur le plancher de la classe. Chaque élève est couché sur son tapis personnalisé. Ce groupe de huit élèves de deuxième cycle du primaire – des enfants qui souffrent de troubles envahissants du développement – est assez agité depuis le retour des vacances de Noël. Benoît est particulièrement nerveux depuis quelques semaines, alors que son nouveau beau-père habite maintenant à la maison. Julianne réalise soudainement que Benoît se masturbe. Les autres ne le voient pas. Elle ne sait pas quoi faire. Devrait-elle intervenir maintenant ? » La question des valeurs se décline souvent de façon inattendue et urgente en classe. La revue québécoise Vie pédagogique y consacre son numéro 143.
La question est d’importance. A cela plusieurs raisons. D’abord, rappelle Camille Marchand, « l’école, au centre de la sphère publique, lieu des premières expériences de socialisation, est un espace privilégié pour traiter des valeurs; ne pas aborder la question, c’est en parler. Ne pas toucher les valeurs avec les élèves, c’est nier que l’enfant est toujours en train de négocier entre les messages reçus à la maison et ceux qui sont véhiculés par l’école, et cela est très difficile à vivre pour certains ». Ce qui n’empêche pas l’école québécoise de veiller à ne pas dresser les valeurs de l’école contre celles de la maison. « L’école, dans cet effort de clarification de valeurs, doit également donner la possibilité aux parents de s’exprimer en proposant des espaces où ils se sentent entendus sur cette question ».
Le numéro aborde donc les valeurs sous l’angle pédagogique. Ainsi Britt-Mari Barth montre l’importance des valeurs portées par le maître dans la réussite des élèves. « L’élève meurtri doit être le premier à sentir la confiance qu’on a en lui. Il doit sentir que l’enseignant cherche à le comprendre. C’est risqué de faire confiance quand on n’est pas sûr de la réciprocité; il faut d’abord avoir des assurances. Si l’élève remarque que l’enseignant cherche avant tout à mettre ses connaissances à son service pour l’aider à réussir, il se crée ainsi un climat de confiance. Le cognitif est imbriqué à l’affectif, l’un ne fonctionne pas sans l’autre. L’enseignant doit se donner tous les moyens pour favoriser l’établissement de ce lien de confiance. C’est ce que j’appelle « le contrat d’intersubjectivité » : entrer dans une compréhension mutuelle des attentes; de part et d’autre, clarifier les attentes. L’élève doit sentir qu’une personne qui croit en lui est là pour l’aider ».
Mais la question des valeurs au Québec se pose également dans le contexte de la laïcisation du système éducatif. C’est seulement en 2005 qu’a été décidé l’abolition de l’enseignement confessionnel à l’école. En 2008 les nouveaux programmes d’éthique et de culture religieuse remplaceront les anciens programmes catholiques, protestants et d’enseignement moral. Ils feront la place belle à l’héritage religieux du Québec. Une situation qui peut être curieuse vue de France (où se pose quand même la question de l’enseignement du fait religieux) mais qui témoigne du lien particulier entre l’Ecole et la communauté québécoise.
Les valeurs, Vie Pédagogique n°143, mai 2007.
http://www.viepedagogique.gouv.qc.ca/numeros/143/numero143.asp
Temps mobile
« Par un paradoxe intéressant, une heure de cours, c’est trop long et pas assez: trop long pour un enseignement frontal, répété six fois dans la journée; trop court pour y installer une variété requise de formes de travail. Ainsi, en décompressant le cours sur une plage plus longue, on rend possible des phases d’enseignement, d’acquisition, d’appropriation individuelle et collective, de recherche et d’évaluation ». Pour illustrer cette possibilité, François Muller donne à voir des récits d’expériences menées en France dans les années 1980 à travers des extraits vidéos avec Aniko Husti, André de Peretti, et Guy Berger.
Pour François Muller, « cela reste d’une furieuse actualité pour nos établissements scolaires, à l’heure de l’expérimentation pédagogique, article 34, de la Loi de 2005 ».
http://francois.muller.free.fr/diversifier/TEMPS.htm
la recherche
Une étude valide l’appel à des auxiliaires pour assurer l’Education pour tous en Afrique
De nombreux pays africains, et particulièrement le Togo, le Mali et le Niger, ont fait appel à des auxiliaires pour faire face à la montée du taux de scolarisation et assurer l’objectif de la scolarisation pour tous. L’Iredu publie une étude de Jean Bourdon, Markus Frölich et Katharina Michaelowa sur la qualité des apprentissages des élèves qui leur sont confiés.
« De manière générale », écrivent-ils, « l’efficacité pédagogique des enseignants non titulaires est relativement plus efficace pour les enfants de niveau scolaire initial le plus faible dans les classes de grade inférieur ; alors que les enseignements titulaires tendraient à faire davantage progresser les élèves d’un bon niveau initial. Ceci tendrait à souligner l’apport de ces « nouveaux maîtres » pour faire accéder à l’école les populations les plus désavantagées ».
Mais l’étude souligne les différences entre les trois pays. D’effets positifs au Mali, les résultats des non-titulaires sont mitigés au Togo et négatifs au Niger. Ce qui est en cause c’est le mode de gestion de ces auxiliaires. Les résultats sont meilleurs quand ils sont gérés localement. « De manière nette, les effets positifs sur le Mali et le Togo paraissent liés à une plus forte implication des structures locales sur le suivi de ces enseignants ; alors qu’au Niger le processus n’a été que peu déconcentré ».
EEDD : Travailler plus pour polluer plus
Travailler plus pour gagner plus, une idée has been ? C’est ce que défendent des activistes américains, selon le BE Etats-Unis. Plusieurs ONG lancent une campagne pour réduire la durée du travail. Leur premier argument est écologique : les actifs qui ont de longues journées de travail ont davantage recours aux produits conditionnés et dépensent de façon moins respectueuse de l’environnement.
http://www.bulletins-electroniques.com/actualites/42954.htm
Langues : L’allemand en lycée professionnel
Une des particularités de l’enseignement professionnel c’est qu’une seule langue vivante y est exigée. Dans ces conditions l’allemand pèse peu dans une filière dominée par l’anglais. La Dgesco réunissait en mai 2006 des enseignants d’allemand en L.P. pour un séminaire national. Les actes en sont publiés. Ils proposent des exemples de séquences pédagogiques qui s’appuient sur les Tice (par exemple utilisation de l’exerciseur Hot Potatoes) mais aussi compte-rendu de période de formation en milieu professionnel en Allemagne ou de section européenne en lycée professionnel.
http://eduscol.education.fr/D0217/actes_allemand_pro.htm
Histoire-Géo : Le programme de 1ère ST2S
EduScol met en ligne les programmes d’histoire-géographie de première ST2S, la nouvelle série qui remplace la SMS. Selon EduScol, les programmes sont applicables à la rentrée 2007 c’est à dire dans quelques mois. Leur publication officielle au B.O. se fait attendre.
http://eduscol.education.fr/D0012/LLPEPR01.htm#ST2S
Géographie : Y’a du boulot dans la géo !
« La mise en actes du nouvel ordre issu des urnes le 6 mai 2007 devrait modifier tous les paysages français au cours des dix prochaines années, sauf erreur majeure du pouvoir. Il devient urgent d’enregistrer d’un œil aigu la géographie de la France telle que chacun de nous croit la voir » écrit Pierre Gentelle dans un nouvel éditorial des Cafés géographiques.
Mais foin du passé ! Il appelle les géographes à cartographier la vague bleue. « Sortez-nous des cartes brillantes qui montrent d’autres phénomènes que ceux que montraient déjà, il y a presque un siècle, les cartes malhabiles d’André Siegfried, en partant des résultats électoraux… Montrez-nous les aspects nouveaux de la France politique actuelle ! Quels faits sociologiques représenter ? Quelles pulsions antagonistes exposer ? Quels désirs révéler ? Quels appétits mettre en cartes ? Changez d’échelle ! Faut-il s’en tenir au niveau du département ou du canton ? Faut-il descendre au niveau du quartier, si souvent cité, de l’îlot dont Jospin faillit faire la base de sa police, de la communauté, ou bien du ghetto ?… Et tant pis pour les fameuses CSP et les garants de la scientificité globalisante… Courage ! L’enquête, encore l’enquête, toujours le terrain ! Y a du boulot dans la géo ! »
http://www.cafe-geo.net/article.php3?id_article=1098
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