LE FAIT DU JOUR
Une expertise de l’Inserm sur les troubles de la voix des enseignants
ÉDITORIAL
Carte scolaire : L’individualisme érigé en modèle
LE SYSTÈME
Le ministre perd l’enseignement supérieur l Le conseil de classe l Manifestations contre les fermetures de classe l Thierry Cadart à la tête du Sgen-Cfdt l Les profs anglais veulent un ajustement salarial de 10%
L’ÉLÈVE
Suicide : Un rapport attendu de la Défenseure des enfants l La Fcpe se prépare à résister l Un enfant de sans-papiers oublié à la maternelle
LA CLASSE
Le ministère clôt la liste Tpe
LA RECHERCHE
Ségrégation scolaire et ghettoïsation dans la revue Claris
LES DISCIPLINES
SVT : Un rapport de l’inspection appelle à renforcer les activités expérimentales l Philosophie : L’enseignement de la philosophie en lycée professionnel l SES : quel sujet au bac ? l Cinéma : Le film de C. Mungiu Prix de l’éducation nationale
Le fait du jour
Une expertise de l’Inserm sur les troubles de la voix chez les enseignants
La moitié des enseignantes et un quart des enseignants ont souvent ou toujours des troubles de la voix. C’est dire l’importance de l’expertise que publie l’Inserm. Elle fait le point sur les études existantes (assez rares au demeurant) et propose des recommandations.
On aura d’abord noté l’absence de parité devant ces troubles. Il n’y a pas grand-chose à espérer de ce coté : les fréquences féminines sont davantage susceptibles de léser les cordes vocales. Mais « certains types d’enseignement comportent un risque plus élevé » atteste l’Inserm sur la foi d’une étude de la Mgen : les enseignants de musique, d’Eps, des classes maternelles sont plus menacés. D’autres facteurs se situent au carrefour du personnel et de l’institutionnel. « Freud situait l’éducation du côté des « métiers impossibles », avec la politique et l’analyse, dans la mesure où « on peut être sûr d’avance du caractère insuffisant du résultat » escompté et espéré (Freud, 1937)… Là où l’analyste silencieux fait usage parcimonieusement de sa voix, le politique et l’éducateur- enseignant en font un usage déterminant. Le propre de ce dernier est de s’engager dans cette « pulsion de savoir » si puissante. L’a-phonie, en ses diverses et subtiles modalités, marque en quelque sorte cet aveu de l’inenseignable en forme de « haut-le-corps ». Preuve que la parole se produit en quelque sorte sur fond d’aphonie. Ce qui en fait le caractère poignant et passionnel… » écrit Paul-Laurent Assoun (Paris 7). L’étude de la Mgen montre qu’il y a bien un lien statistique entre trouble de la voix et la dépression ou les phobies.
Mais bien d’autres facteurs sont aussi à l’action, y compris les qualités environnementales et acoustiques des salles de classe. L’Inserm recommande donc à la fois d’apprendre aux enseignants à mieux utiliser leur appareil vocal et à leur communiquer les informations sur l’acoustique et l’aménagement des salles de classe.
http://ist.inserm.fr/basisrapports/voix.html
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Carte scolaire : L’individualisme érigé en modèle
La suppression de la carte scolaire est-elle susceptible d’amener davantage d’égalité sociale ? Xavier Darcos semble croire à cette hypothèse. « Je commencerai à supprimer progressivement la carte scolaire à partir de la rentrée prochaine » a-t-il annoncé au congrès de la Fcpe. « Ce système ne fonctionne pas dans les quartiers où le besoin de mixité sociale est plus fort que dans les autres. Je considère que l’égalité des chances passe par une redéfinition de nos instruments de mixité sociale, tout en supprimant progressivement la contrainte qui pèse sur les familles ». Dans une logique toute libérale le ministre semble croire que la liberté de mouvement des familles permettra de remédier à la ségrégation scolaire.
A vrai dire, d’autres voix s’élèvent pour dénoncer la carte scolaire. Ainsi le sociologue Mario Oberti, auteur d’un ouvrage à paraître sur le sujet, dénonce, dans la revue Claris, la carte scolaire. « Présentés comme un dispositif de lutte contre la ségrégation scolaire, ces résultats mettent en évidence son faible impact sur les pratiques des classes moyennes et surtout supérieures, qui subissent le moins les contraintes spatiales. Les classes populaires voient au contraire leur assignation spatiale renforcée par une assignation scolaire qui fonctionne de façon beaucoup plus efficace à leur égard. Effet paradoxal d’une mesure visant à lutter contre les inégalités sociales à l’école et qui s’applique précisément de façon profondément inégalitaire en faveur des classes les plus favorisées ». Ainsi la carte scolaire serait devenue plus qu’inefficace : un carcan pour les plus défavorisés. La renforcer « serait une façon de pénaliser les plus pauvres et de protéger les intérêts des mieux lotis » comme l’écrit G. Félouzis.
Mais suffit-il de supprimer la carte scolaire pour mettre fin à la discrimination ? L’exemple des pays qui ont mené cette politique devrait nous éclairer. C’est le cas par exemple de la Belgique ou des Pays-Bas où la disparition de la carte scolaire a conduit à un renforcement de la ségrégation sociale et ethnique. C’est encore plus vrai quand le système diversifie les types d’établissement, creusant encore davantage l’écart entre eux. Ainsi François Dubet et Marie Duru-Bellat peuvent écrire : « il ne suffit pas de dénoncer la carte scolaire pour proposer une politique et, plus encore, une politique plus juste que celle que l’on condamne. La seule suppression de la carte scolaire serait probablement un remède pire que le mal. En effet, on imagine aisément que, comme sur n’importe quel marché, les acteurs ayant le plus de ressources et d’informations s’en tireront nettement mieux que les autres et que, une fois encore, les plus démunis auront moins de choix, moins d’opportunités et moins encore de chances de réussir dans l’école ». Dans cet objectif, en supprimant la carte scolaire, le gouvernement s’attaquerait à une valeur fondamentale de l’Ecole : le tabou de l’égalité. Sous prétexte d’une égalité des chances toute théorique, il inscrirait au fronton de l’Ecole une nouvelle devise, celle de l’inégalité fondatrice.
Il est urgent de ne pas se laisser enfermer dans cette contradiction. « Je demanderai aux établissements scolaires de veiller à une plus grande diversité sociale et géographique de son recrutement » a promis X. Darcos. Si l’objectif de mixité sociale reste affirmé alors peut-on croire que les établissements scolaires puisent seuls le porter ? Quelle politique générale, quelle politique locale entend-il impulser pour remplacer la carte scolaire ?
Le ministre perd l’enseignement supérieur
« Le ministre de l’éducation nationale prépare et met en oeuvre la politique du Gouvernement relative à l’accès de chacun aux savoirs et au développement de l’enseignement préélémentaire, élémentaire et secondaire ». Le Journal Officiel du 26 mai définit les attributions du ministre de l’éducation nationale. Son autorité se limite à « la direction générale de l’enseignement scolaire, l’inspection générale de l’éducation nationale et le bureau du cabinet. Il a autorité, conjointement avec le ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, sur le secrétariat général ». Enfin « il veille, conjointement avec les autres ministres intéressés, au développement de l’éducation artistique et culturelle des enfants et des jeunes adultes tout au long de leurs cycles de formation ». L’enseignement supérieur dispose donc d’un « véritable » ministère ce qui confirme l’intérêt gouvernemental pour ces questions.
Le même jour un arrêté nomme le chef de cabinet et le directeur de cabinet de X. Darcos , MM. David Teillet et Philippe Court, deux proches du ministre.
Le conseil de classe
Quels textes régissent le conseil de classe ? Quel est son rôle ? Ses horaires ? L’Esen met à jour sa fiche synthèse. Elle oriente vers une boîte à outils qui propose une fiche de suivi, un panorama des logiciels existants,un exemple de charte de conseil.
Fiche Esen
http://www.esen.education.fr/upload/fiches_film/fiche_film_24.pdf
Sur le Café : Ressources pour le conseil
Manifestations contre les fermetures de classe
Selon l’AFP, 500 personnes ont manifesté le 27 mai contre le fermeture d’une école à Poissy (91). A Clermont-Ferrand c’est la fermeture de 18 classes de maternelle qui a réuni une centaine de parents.
Thierry Cadart à la tête du Sgen –Cfdt
Réunis en congrès du 21 au 25 mai, les militants du Sgen-Cfdt ont élu un nouveau secrétaire général. Thierry Cadart, professeur de maths, aura à mener le dialogue avec le nouveau gouvernement.
Les profs anglais veulent un ajustement salarial de 10%
Le gouvernement propose 2%. Le National Union of Teachers, principal syndicat, réclame 10% de hausse des salaires. Il réclame un salaire minimum de 3000 livres soit 4 400 euros.
http://news.bbc.co.uk/1/hi/education/6693415.stm
Suicide : Un rapport attendu de la Défenseure des enfants
Le suicide de deux adolescentes en Corse attire l’attention des médias sur la détresse de certains adolescents. La Défenseure des enfants a annoncé qu’elle remettrait un rapport sur ce sujet au président de la République le 20 novembre.
Sans doute évoquera-t-il également le développement des jeux à risques, du type du jeu du foulard. Un guide vient utilement de rappeler à la vigilance les enseignants sur ces jeux. Il donne des indications pour reconnaître les enfants qui pourraient s’y adonner.
Selon Libération, la France fait partie des pays où le taux de suicides chez les jeunes diminue.
Communiqué Défenseure des enfants
http://www.defenseurdesenfants.fr/actus/index1.htm
La brochure sur les jeux à risque
http://eduscol.education.fr/D0203/jeux_dangereux.pdf
Dossier suicide de Doctissimo : Les numéros d’écoute
Sur le café : suicide et jeunes
La FCPE se prépare à « résister »
« Nous risquons fort d’être en face d’un régime libéral dur pendant 5 ans. Ce n’est pas une situation nouvelle. Il ne s’agit pas seulement de résister. Il faut aller au-delà de la résistance, il nous faut nous mobiliser en permanence ». En clôturant le congrès de la FCPE, première association de parents d’élève, F. Hamana appelle les parents à se mobiliser. « Nous devrons nous attendre à des suppressions de postes sans commune mesure avec ce que nous avons connu depuis cinq ans ».
Un enfant de sans papiers oublié à la maternelle
Jacques, 4 ans, est resté seul dans son école maternelle du 19ème arrondissement de Paris. Ses parents, des sans-papiers chinois, ont été arrêtés le 23 mai. Selon Resf, « personne n’avait pris la peine d’avertir ni sa famille, ni l’école de l’enfant… Est-ce ainsi que le nouveau gouvernement entend traiter… les principes élémentaires des droits de l’enfant » interroge Resf.
http://www.educationsansfrontieres.org/
La classe
Le ministère clôt la liste Tpe
« Les Tpe ne semblent plus aujourd’hui nécessiter une liste spécifique ». Le ministère annonce la fermeture à la fin de l’année scolaire de la liste de discussion qui accompagnait la mise en place des Tpe. Ses animateurs soulignent la réduction du nombre des messages. Elle compte pourtant environ 1300 abonnés.
http://www.educnet.education.fr/listes_educnet/tpe-tice.htm
la recherche
Ségrégation scolaire et ghettoïsation dans la revue Claris
« La notion de ségrégation s’avère en fait très pertinente pour saisir le passage des inégalités d’accès à certains niveaux d’enseignement aux inégalités d’accès à des cadres de scolarisation différents à l’intérieur d’un même niveau qui caractérise le paysage actuel des inégalités d’éducation. Ceci est d’autant plus le cas que la dimension spatiale y est très présente car la diversification de l’offre éducative entre établissements de même type a renforcé la territorialisation des inégalités. Par ailleurs cette notion, qui inclut l’idée d’une mise à l’écart de certaines populations, permet également de comprendre le processus, à la fois objectif et subjectif, de production de l’exclusion à l’intérieur même des institutions d’enseignement ». Dans le numéro 3 de la revue du groupe Claris, Agnès Van Zanten analyse la ségrégation scolaire.
Ségrégation qu’elle montre puisque « il existe des différences entre les caractéristiques scolaires, sociales et ethniques du public des établissements d’enseignement et celles de la population enfantine ou adolescente de leur zone d’implantation ». Encore faudrait-il évoquer les différences entre classes à l’intérieur même des établissements. Et pour A. Van Zanten, « les pratiques familiales jouent un rôle essentiel dans ces processus… Les politiques des établissements doivent aussi être pris en considération ».
Son article éclaire un numéro totalement dédié à la ségrégation. Elle est évoquée par L. Mucchielli. Mario Oberti et Laurent Ott interviennent, de façon contrastée, dans le débat sur la carte scolaire.
http://90plan.ovh.net/~groupecl/IMG/pdf/Claris._La_revue_n3.pdf
SVT : Un rapport de l’Inspection appelle à renforcer les activités expérimentales
« Mettre en œuvre des activités dans l’enseignement des SVT n’est pas une mode pédagogique… Une des spécificités de la discipline est la pensée expérimentale. Elle nécessite, dans la recherche d’une explication des phénomènes, une confrontation entre des faits (naturels ou provoqués expérimentalement) et des idées explicatives qu’il s’agit sans cesse d’améliorer. Chaque expérience est susceptible, dans des conditions définies, d’éprouver une ou des hypothèses explicative(s) précisant la nature d’une relation entre des paramètres et leur effet ». D’emblée, dans ce rapport remis au ministre, pour l’Inspection générale de Svt les méthodes actives en Svt ne se discutent pas. C’est « la poussée du savoir universitaire » dans la discipline qui a amené les activités expérimentales dans la classe… « La formation au mode de pensée expérimental est devenue un objectif majeur. La pratique de raisonnements inductifs et déductifs, le développement d’une attitude critique, de la capacité à remettre en cause les interprétations des phénomènes provoqués par l’analyse expérimentale font désormais partie de cette formation. Il est apparu à la fois légitime et important pour les professeurs de dépasser un enseignement des résultats de la science et, de manière adaptée, de contribuer à cette formation intellectuelle originale en concevant des activités à portée éducative, chaque fois que cela est possible dans le cadre d’une situation expérimentale. » Une affirmation qui n’aurait sans doute pas été bien accueillie sous le ministre précédent…
Pour autant, si ces activités sont pleinement légitimes aux yeux de l’Inspection, « les professeurs qui enseignent les SVT au collège souffrent de ne pas avoir les conditions suffisantes pour donner plus de crédibilité à la formation au mode de pensée expérimental qu’ils ont la volonté de dispenser ». L’Inspection relève des obstacles matériels (des horaires insuffisants) et didactiques (l’inspection évoque une « caricature de la démarche hypothético-déductive »). « Cette difficulté des professeurs tient en partie à leur formation initiale. En effet, la distance est grande entre l’enseignement universitaire, très spécialisé, le plus souvent magistral et fondé a posteriori par des travaux pratiques, et l’enseignement secondaire centré, chaque fois que cela est possible, sur une argumentation ».
Aussi l’inspection demande que soient prises en compte dans la formation initiale des professeurs des compétences techniques, des compétences sur l’évaluation et des compétences didactiques propres à développer les activités expérimentales. Elle demande aussi des moyens. « L’organisation de groupes à effectifs allégés n’a rien d’une procédure de confort en SVT : il s’agit bien de mettre en place les conditions d’un enseignement pratique, condition nécessaire pour une approche raisonnée du réel complexe et pour attirer davantage de jeunes vers les carrières scientifiques… L’organisation de groupes à effectifs allégés n’a rien d’une procédure de confort en SVT : il s’agit bien de mettre en place les conditions d’un enseignement pratique, condition nécessaire pour une approche raisonnée du réel complexe et pour attirer davantage de jeunes vers les carrières scientifiques ».
http://media.education.gouv.fr/file/27/7/5277.pdf
Philosophie : L’enseignement de la philosophie en lycée professionnel
« Il ne fait donc pas de doute pour les rédacteurs de ce rapport que l’enseignement de la philosophie en lycée professionnel, tel qu’ils ont pu l’examiner en fonctionnement dans l’académie de Reims, a fait la preuve de son opportunité et de sa faisabilité. Ils estiment que les avantages éducatifs, mais aussi culturels et sociaux, l’emportent très largement sur les coûts collectifs, au bénéfice des élèves parmi les plus démunis et, qu’à ce titre, son développement doit être encouragé ». C’est un rapport très favorable qu’ont remis les inspecteurs généraux Alain Séré et Philippe Forstmann sur le dispositif d’enseignement de la philosophie en lycée professionnel. Disons tout de suite que cet enseignement est balbutiant. Alors que la philosophie est inscrite aux programmes des terminales technologiques et générales, elle est seulement expérimentée en lycée professionnel. Elle ne touche que 650 élèves de 50 classes.
Pourtant, les inspecteurs soulignent ses apports positifs. Les élèves sont sensibles au fait qu’ils font des études comparables aux autres bacheliers. Et cet enseignement « contribue à modifier indubitablement le rapport au savoir et au langage des élèves concernés, à installer (ou à développer) des attitudes face aux textes, aux concepts, aux autres, à l’exercice personnel de la pensée ». Les élèves maîtrisent mieux l’écrit, ils sont mieux préparés à suivre l’enseignement de culture générale de BTS, leur attitude envers l’école s’améliore.
Comment arrimer cet enseignement à la filière professionnelle ? Pour l’inspection générale il faut « mieux articuler l’enseignement de la philosophie au cadre pédagogique du lycée professionnel ». Et pour cela, les inspecteurs recommandent de s’appuyer sur les PPCP, un dispositif malheureusement généralement ignoré des professeurs de philosophie qui oeuvrent en L.P… L’inspection souhaite également que cet enseignement soit évalué au bac professionnel. Enfin il conviendra de préparer les professeurs de philosophie à enseigner en L.P. car l’inspection estime qu’il « n’est pas pertinent de former des enseignants en vue d’une pratique exclusive en L.P. ». Le rapport demande donc des moyens pour cet enseignement, menacé par les réductions de postes, et un cadrage réglementaire. Deux conditions qui devraient impliquer l’inspection générale de philosophie à laquelle n’appartiennent pas nos deux auteurs.
http://media.education.gouv.fr/file/27/5/5275.pdf
SES : Quel sujet au bac ?
Quels thèmes sont déjà tombés au bac ces dernières années ? L’Apses publie un tableau récapitulatif qui peut aider à faire ses pronostics pour 2007.
http://www.apses.org/spip.php?article556
Cinéma : Le film de C. Mungiu Prix de l’éducation nationale
Déjà Palme d’or du festival 2007, le film de C. Mungiu « 4 mois, 3 semaines et 2 jours » a reçu le prix de l’éducation nationale. Il sera étudié par les élèves de l’option cinéma.
http://www.crdp-nice.net/cannes2007/
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