– La désagrégation de l’être moderne

L’épreuve de dissertation de l’agrégation de lettres modernes s’est déroulée jeudi 21 février sur fond de coquilles à la limite de la surprise et du suspens. Une coquille dans le sujet a en effet jeté la confusion dans les salles de composition. Devant les protestations massives, le ministère a dû annuler l’épreuve et la reporter au 26 mars 2002 de 9h00 à 16h00 (heure de Paris).

– Voir l’article du Monde :
« Des candidats à l’agrégation dupés par une mauvaise citation de Marivaux »
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3208–263915-,00.html
– Voir l’article de Clicanoo : « Fâcheuse coquille au concours de l’agrégation »
http://www.clicanoo.com/articles/article.asp?id=22984
– Suspension et report de l’épreuve :
http://www.lemonde.fr/article/0,5987,3226–264748-,00.html

– Le sujet de l’agrégation (avec coquille):
“Je ne sais point créer je sais seulement suspendre en moi les pensées que le hasard me fait”. Cette réflexion de Marivaux vous paraît-elle éclairer votre lecture des Journaux?

Il fallait donc lire : je sais seulement surprendre en moi les pensées…